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n° 02657Fiche technique15037 caractères15037
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Temps de lecture estimé : 11 mn
29/07/23
corrigé 29/07/23
Résumé:  Sur le parking de leur motel, un couple de britanniques semble un peu perdu...
Critères:  fhh frousses extracon grosseins lunettes parking hotel vengeance lingerie intermast fellation cunnilingu pénétratio fsodo
Auteur : XXL anonyme
Vengeance d'une Lady

Septembre, dix-huit heures, Mulhouse, mon jeune collaborateur et moi allons dîner après une journée de travail bien remplie : mise à jour des logiciels des robots d’une usine de notre multinationale. Sur le parking de notre motel, un couple d’Anglais consulte un guide sur le capot d’un monospace britannique chargé à ras bord. Le monsieur nous interpelle dans un français chaotique pour qu’on lui conseille un restaurant traditionnel alsacien. Dans sa langue natale, que de par mes fonctions je pratique couramment, je lui conseille de nous accompagner dans une ferme auberge dans laquelle on avait réservé, pas très loin de la ville. Le couple anglais est vraiment sorti d’une carte postale : lui, la petite soixantaine, gros chauve avec un pantalon vert, un gilet écossais rouge et bleu sur une chemisette jaune ; elle, la quarantaine, grande, les cheveux roux coupés courts et une énorme paire de lunettes carrées qui lui donnent l’allure d’une institutrice de l’ancien temps. La robe aux motifs floraux gigantesques et multicolores est boutonnée sur le devant de bas en haut et la paire de sandales jaune vif doit avoir une pointure masculine… La poitrine semble assez opulente, les hanches ont pris de l’ampleur et un léger embonpoint disgracie la silhouette malgré des jambes élancées et racées. Comme ils viennent d’arriver au motel, il faut les aider à décharger le monospace rempli de valises et de caisses de vin d’Alsace. Impossible d’ouvrir les portes latérales à fond vu que le monospace est coincé entre deux véhicules, alors le mari ouvre le hayon arrière et, en titubant un peu, apporte deux grosses valises à leur chambre pendant qu’on commence à décharger des caisses de vin du fourgon.


La rousse anglaise, dégrafe deux boutons inférieurs de sa robe pour monter dans le véhicule, atteindre tous les bagages et nous les avancer. Elle est obligée de s’accroupir et sa robe s’ouvre régulièrement au détour de ses déplacements difficiles : j’ai l’occasion d’entrevoir un morceau de cuisse et la lisière d’un bas couleur chair. Plus elle se déplace en canard, plus sa robe remonte et s’ouvre. À présent, les jarretelles marron qui tendent les bas sont très visibles et alors que l’Anglaise se retourne pour nous avancer deux bagages à main, ma surprise est grande d’apercevoir un morceau de gaine-culotte à l’ancienne avec les jarretelles attenantes et des boutons pression dans l’entrejambe… Je suis persuadé qu’elle s’est rendu compte de mon voyeurisme aigu, car elle essaie maladroitement de serrer les cuisses pour me cacher le spectacle de son intimité. Elle arrête ce jeu excitant en descendant pudiquement du véhicule et en nous priant de les attendre quelques minutes afin qu’ils puissent se changer. Madame porte maintenant un ensemble pantalon et veste en lin écrue, mais le mari a gardé sa tenue flamboyante. Durant le trajet, on apprend qu’il est dentiste, qu’elle était infirmière avant la naissance de leur trois enfants… Brefs, ils sont en France depuis cinq jours (via Paris) et, cet après-midi, ils ont parcouru la route des vins d’Alsace avec plusieurs arrêts pour la dégustation… On nous installe à une table à deux bancs dans un coin de la grande pièce où une dizaine de convives français nous accompagnent. Betty, l’épouse anglaise, est assise à mes côtés et nous offre un crémant royal à base de liqueur de myrtilles de la ferme. Par politesse, j’offre la même chose, vu que c’est mon jeune collaborateur Yannick qui conduit et que lui est sobre comme un dromadaire. Le couple anglais devient vite euphorique et on attaque la tarte flambée gaiement en l’accompagnant d’un Tokay Pinot gris excellent dont John, le mari anglais, se ressert copieusement. Il nous narre alors leur visite à Paris, avec les restaurants, les monuments… il fait même rougir son épouse en évoquant des achats de lingerie sexy près de Saint-Lazare. John est très volubile et la deuxième bouteille de Tokay est bien entamée quand il attaque ses confidences sur une aventure amoureuse lors d’un séminaire à Paris il y a quelques années. Il me raconte tout de A à Z, comme perdu dans son nuage imbibé d’alcool, ignorant, volontairement ou pas, la présence de son épouse éméchée, mais attentive. Au fil du récit, Betty se raidit et sa main gauche devient blanche à force de serrer le bord de la table. Visiblement, elle vient d’apprendre qu’elle avait été trompée et elle est humiliée publiquement par son gentil dentiste de mari, ivre au point de se vanter publiquement de ses exploits sexuels en sa présence.


Pour éviter l’incident, je prends discrètement la main de ma voisine et la console en l’étreignant tendrement. Betty se calme un peu, mais ses yeux sont encore injectés de sang, et son corps crispé de violence retenue. Tout se serait peut être estompé si cet ivrogne de dentiste n’en avait pas rajouté une couche en évoquant des clientes peu farouches de son cabinet (dont une amie intime de son épouse) qui s’installaient sur son fauteuil médical, la jupe sur le nombril, le slip sur les chevilles et la main dans sa braguette… Fier de lui, le mari anglais se lève dignement et se rend aux toilettes, accompagné de mon collaborateur qui craint qu’il s’effondre en chemin. Betty est au bord de la crise de nerfs, elle distille à voix basse une série de gros mots à l’encontre de son mari dont je saisis au vol : « Meurtre, divorce, scandale, tribunal… ». Je la laisse quelques secondes dans sa haine puis, très délicatement, je pose la main sur sa cuisse, et tout en entamant une caresse amicale, je lui suggère le mot vengeance. Elle sort de son monologue intérieur et me fixe du regard quand je répète le mot vengeance tout en accentuant la pression de ma main sur sa cuisse. Betty reste songeuse cinq secondes, puis radieuse, sa joie éclate dans ses yeux pétillants de haine :



Quand le fermier vient s’enquérir de nos appréciations culinaires, je retire la main en catastrophe et Betty la serre dans la sienne en guise de remerciements. À la surprise de son mari, elle commande un schnaps pour chacun en vue d’une « fantastic night ! », allusion que l’Anglais ne relève pas tant il est imbibé. Le fourgon de l’entreprise est garé assez loin et on doit soutenir le dentiste ivre avant de le sangler sur la banquette arrière. Il s’assoupit dans la minute. On est les derniers clients à partir, le clair de lune est splendide. Betty s’est assise entre nous deux, sur la banquette avant du véhicule, et remercie Yannick, le jeune informaticien, par un tendre baiser maternel sur la bouche. Elle avoue que son époux la néglige depuis deux ans et qu’elle a maintenant la réponse à ses questions ! Elle m’embrasse ensuite fougueusement comme pour rattraper le temps perdu ; je suce sa langue langoureusement en caressant sa poitrine. Comme elle a l’air d’apprécier, je dégrafe deux boutons de la tunique pour palper un sein lourd avec ma main qui s’engouffre sous le bonnet d’un énorme soutien-gorge. Nos ébats continuent de longues minutes et je réussis à sortir les deux mamelles britanniques de leur écrin en baissant les bretelles du soutien-gorge. Les seins sont imposants et laiteux avec de grandes aréoles et des tétines aussi larges que des filtres de cigarettes qui durcissent sous l’effet de mes succions profondes. Je reprends mon souffle en me redressant sur le siège et suis très surpris d’apercevoir la main travailleuse de Yannick sous la culotte anglaise.


Comme le mari commence à ronfler, Betty se retourne et envoie une bordée d’injures à son époux, puis elle baisse brusquement pantalon et slip sur ses chevilles en nous lançant en français :



Et elle éclate de rire avant de fermer les yeux, attendant nos caresses. Les cuisses ouvertes sur sa large chatte velue et la lourde poitrine laiteuse en liberté, la bourgeoise anglaise s’offre à la débauche de ses sens. C’est un apéritif original. Yannick s’occupe méticuleusement des gros nichons maternels britanniques tandis que ma langue goûte la foufoune moite de la Lady qui pousse déjà de légers râles de satisfaction. Betty halète maintenant et nous arrête net en nous expliquant qu’elle ne veut pas faire plus dans le véhicule, mais qu’elle prendra soin de nous deux au motel. En ville, un distributeur nous donne un paquet de préservatifs pour rassurer tout le monde. On couche le dentiste au motel, en donnant le numéro de ma chambre à son épouse très excitée et totalement pompette. En la quittant provisoirement, je l’invite à essayer la lingerie sexy parisienne en lui faisant un clin d’œil polisson…


Betty réapparaît dans ma chambre vingt minutes après. Yannick et moi l’attendons en petite tenue allongés sur le lit. Elle porte encore son ensemble en lin, mais des hauts talons noirs et elle a manifestement forcé son maquillage. Ses lèvres rouge vif sont sensuelles à souhait et ses yeux fardés à outrance appellent au vice. Elle me demande de baisser la lumière et se retourne pudiquement pour se débarrasser de son ensemble, puis elle nous fait face. Des bas noirs à couture, tendus par un porte-jarretelles rouge, encadrent un triangle rose fluo bordé de dentelle noire. Le slip possède une large ouverture bordée de froufrous noirs qui ne cachent rien de la minette velue de l’Anglaise. La Lady se caresse alors la chatte lentement en se passant la langue sur les lèvres et en nous provoquant du regard (elle devait avoir vu ça dans un film X). Elle sort un à un ses seins d’un soutien-gorge à balconnet assorti au slip, mais visiblement trop petit pour les contenir. Une mamelle lourde dans chaque main, elle s’approche de nous, comme pour nous donner la tétée. Elle nous les fait sucer un à un longuement puis elle s’écarte du lit en reculant, et en se baissant, elle anime son buste d’un mouvement latéral pour laisser ses gros nichons se balader librement dans l’espace.


Accroupi, je lèche sa grosse moule goulûment pendant que mon index explore le petit trou de Madame qui essaie d’arrêter (mais sans succès) cette fouille intime. Le slip sexy est aussi largement ouvert à l’arrière… Yannick se jette sur les seins de notre partenaire pour les masser en profondeur et en sucer les bouts épais. Betty commence à mouiller et des petits cris de plaisir s’échappent de ses lèvres. Elle choisit cet instant pour s’asseoir sur le lit, jambes ouvertes, foufoune rousse velue en exhibition, et pour enfin se saisir de nos membres et commencer à les astiquer manuellement, timidement. Je libère mon sexe de sa main et le lui présente aux lèvres. Visiblement, vu son attitude, la fellation n’est pas sa tasse de thé… Je lui souffle dans l’oreille le mot « Vengeance », et presque immédiatement, sa bouche s’ouvre timidement pour recevoir en offrande mon gros sexe humide. J’enlève alors ses énormes lunettes pendant que j’engouffre ma verge au fond de sa gorge, et Betty se fait un devoir de me sucer méthodiquement et avec ardeur. Ses lèvres dégoulinent d’une fuite de sperme quand je la mets à quatre pattes sur le lit et que je lui lèche sa moule trempée et ouverte en refouillant, de deux doigts, les profondeurs de son petit trou ridé, sans aucune opposition, cette fois.


Mon jeune complice se fait exciter la queue par le balancement des grosses mamelles anglaises qui, par un mouvement de pendule d’horloge, la lui caressent. De petits cris de plaisir de plus en plus rapprochés et sonores nous prouvent que la sage épouse anglaise prend son pied. On se relaye ensuite (préservatif en place) chacun son tour pour la pénétrer brièvement dans toutes les positions : en levrette ; couchée sur le flanc et à quatre pattes ; en missionnaire, ses jambes sur nos épaules ou repliées sur son buste… Quand une queue la pénètre, l’autre est dans la main ou la bouche de la Lady. De nombreuses minutes après, le petit ventre rond de l’Anglaise dégouline vu l’effort physique imposé, mais ses râles de jouissance vont crescendo et nos voisins ne doivent plus se poser de questions ! Mon jeune collègue explose avec un cri d’extase dans la foufoune britannique, essuie tranquillement son sexe dégoulinant entre les nichons de l’épouse (qui avait été trop longtemps sage), puis s’éclipse après un gros bisou sur les lèvres de Betty qui reprend son souffle. Sans que je le lui demande, Betty me resuce le membre activement et se met alors sur le bord du lit dans la position du prieur musulman, la croupe largement ouverte. Elle guide d’elle-même mon sexe turgescent à l’ouverture de son anus béant et elle murmure : « Vengeance… ». La pénétration se fait en douceur et ma queue s’enfonce en entier dans ce tunnel moite. Betty agite sa croupe pour me faciliter la tâche et augmenter sa jouissance. M’accrochant à ses larges hanches, je la lime frénétiquement et mon sexe éclate son jet de sperme très rapidement pendant que l’épouse du dentiste serre ses dents sur le drap pour ne pas hurler son second orgasme.


L’épouse, maintenant dévergondée, a la gentillesse de m’ôter le préservatif et de me lécher méticuleusement tout ce qui reste sur mon sexe. Betty, ravie de sa vengeance, essuie avec son slip sexy le sperme qui inonde ses lèvres pulpeuses, sa poitrine opulente, sa chatte béante rouge vif et son petit trou encore élargi. Quand le slip, maintenant au parfum masculin, a tout épongé, Betty m’explique que cette pièce à conviction de sa vengeance sera offerte à son mari dès son réveil ! Elle ne revêtit que sa tunique et je la raccompagne chez elle dans la nuit noire en la soutenant un peu, car sa démarche est hésitante. Au milieu de la pelouse, près d’un spot posé au sol, elle me donne soudainement les vêtements qu’elle n’a pas remis, s’accroupit en relevant sa tunique, écarte les cuisses et fait un énorme pipi urgent dans le gazon. Le jet, irisé par le spot, ressemble à celui d’une jeune génisse tant il sort puissant et abondant de sa chatte poilue.



Un énorme bisou humide nous sépare à l’entrée de sa chambre. Betty me montre alors la boîte de préservatifs qu’elle m’a fauchés et m’explique simplement que c’est pour continuer sa vengeance pendant la suite du voyage de leurs vingt ans de mariage… et elle éclate de rire.