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n° 02662Fiche technique24320 caractères24320
Temps de lecture estimé : 15 mn
16/08/01
Résumé:  Un homme dépressif reprend goût à la vie suite à sa rencontre avec une inconnue.
Critères:  fh inconnu travail toilettes telnet voir exhib fmast hmast
Auteur : Errata  (Jeune homme, 31 ans)      

Série : Nouveau départ

Chapitre 01 / 04
Nouveau départ - Ep 1 : Comment sortir de sa léthargie



Je suis agent de maintenance dans une tour à la Défense. Avant j’étais informaticien, mais une mission très difficile, une dépression nerveuse grave et longue m’ont fait choisir un autre métier avec moins de pression et surtout moins de contacts. Depuis bientôt trois ans, je travaille de nuit, sous la responsabilité d’un homme d’une cinquantaine d’année. Lorsque j’arrive vers 19h, nous avons un entretien d’environ 1/2 heure lors duquel il me fournit une liste des opérations à effectuer dans la nuit. C’est mon seul contact approfondi avec un autre être humain et cela me va très bien. J’interviens sur l’électricité (changer des ampoules, réparer une prise,…), la plomberie (lavabos bouchés…), parfois l’informatique (problèmes de câblage réseaux) et plein d’autres trucs… Je passe ensuite une heure à préparer ma tournée en fonction des lieux et des urgences. Je prévois mon matériel, en fonction des réparations, pour ne pas m’alourdir inutilement. Je travaille jusqu’à 3h du matin et en général j’ai fini ma liste bien avant la fin du travail. Je passe alors le temps en lisant un bouquin dans mon local. Lorsque mon temps de travail est terminé et que je suis autorisé à quitter l’immeuble, en bas je croise mon second contact régulier : le gardien de nuit. Celui-ci sait que je ne suis pas très bavard et en général il se contente de me saluer et de me souhaiter bonne nuit. Je rentre alors me coucher… Je me lève vers midi, mange, fais quelques courses mais la plupart du temps je vis reclus dans mon appartement, derrière ma télé. Ma vie n’est pas trépidante mais elle me convient car elle ne m’oblige pas à nouer des contacts permanents et superficiels avec tous les inconnus que l’on croise habituellement. Je sais que ma famille est inquiète pour moi mais je trouve que je vais plutôt bien…


Un soir, après avoir préparé ma liste, je pars faire ma première intervention : au second étage il y a un évier à déboucher dans les toilettes pour femmes. C’est l’heure que j’aime le moins car même s’il n’y a plus grand monde dans l’immeuble, il arrive que je croise des gens et certains se sentent obliger de m’arrêter pour faire la causette. En général, je coupe court car je ne supporte plus ça et cela a suffi à me tailler une réputation d’ours mal léché.


Arrivé à la porte, je frappe doucement et en l’entrouvrant demande s’il y a quelqu’un ! Comme il n’y a pas de réponse, j’entre et dépose ma sacoche à terre. Je m’approche du lavabo et commence mon ouvrage. Comme pratiquement à chaque fois, je retrouve dans le siphon une quantité impressionnante de cheveux, bruns et blonds, mêlés en un amas qui empêche l’eau de s’écouler normalement. Cette fois-ci, il y a en plus des résidus de papier sèche-mains : il serait temps qu’ils installent des sèche-mains à air pulsé !


Je suis sur le dos, la tête sous le lavabo en train de récurer le siphon lorsque la porte s’ouvre et que je vois arriver vers moi une splendide paire de jambes. Comme nous sommes en plein été, elles sont nues, fichées dans des chaussures avec des légers talons qui mettent en avant leur galbe naturel. Le mollet est fin et la jupe de la propriétaire étant assez courte (environ 10 cm au-dessus du genou), je peux voir la naissance des cuisses qui me semblent fuselées. Je n’ai pas eu le temps de bouger ni même de dire un mot quand j’entends un " ne vous dérangez pas pour moi " dit d’une voix suave et que ma paire de jambes disparaît dans la première cabine venue.


Je ne vois plus maintenant que les pieds, d’abord tourné vers les WC pendant que retentit le bruit caractéristique de la pochette plastique qui se place sur la lunette puis qui se retournent vers moi, tandis que leur propriétaire prend position. Les deux pieds sont bien parallèles. La jupe entre dans mon champ de vision, descendue jusqu’aux chevilles. Puis arrive la petite culotte et là je remarque en une fraction de seconde qu’elle à l’air d’être assez " humide ", une auréole de 4 à 5 cm trônant en son milieu.


Je tente de détourner les yeux et de continuer mon travail, mais je dois avouer que j’ai du mal à me concentrer. Je commence cependant à remonter le siphon, mais assez lentement… Je jette régulièrement un coup d’œil vers le dessous de la porte… Comme je n’ai pas vu la femme dans son intégralité je ne peux l’imaginer et me concentre donc sur ce que je vois…. Les pieds sont toujours parallèles, mais pas les jambes qui sont chacune penchées vers l’extérieur. Je me dis que la femme doit avoir les cuisses écartées : peut-être est-ce une position plus agréable, je ne me suis jamais posé la question.


Mon travail étant presque terminé, je commence à ranger mes ustensiles. Accroupi, je jette un dernier coup d’œil sous la porte, mais cette fois-ci je suis placé à environ 50 cm de la porte ce qui me permet, en me penchant jusqu’au sol, de voir un peu plus haut… et là j’ai la surprise de voir des jambes largement ouvertes et le bout de doigts qui s’agitent frénétiquement. Comme je l’avais imaginé plus tôt, les cuisses sont fines et fuselées, les muscles sont visibles dans cette position mais sont harmonieux, pas trop saillants ni développés… Je devine plus que je ne vois le reste, la main très active me cachant presque entièrement le sexe de la femme.


Je dois avouer que je suis ému par cette situation. Je n’ai pas eu de contact physique avec une femme depuis mon divorce il y a de cela trois ans. La proximité de cette jeune femme apparemment occupée à des opérations intimes me chamboule intérieurement. Ne sachant comment réagir, je range en vitesse mes affaires et après avoir vérifié que l’eau coule sans problème dans le siphon, je quitte les WC précipitamment.

Arrivé dans le couloir, je m’adosse au mur, mon sac en bandoulière et prends quelques minutes pour me calmer totalement. L’érection qui a poussé spontanément dans mon caleçon se calme et redescend, mais pas complètement. Je sors ma liste de ma poche et regarde ce que j’avais prévu ensuite : la même opération deux niveaux plus haut, après retour à mon local pour prendre le nécessaire électrique pour changer plusieurs néons à différents niveaux. J’essaye de me concentrer pour poursuivre mon travail mais j’ai du mal étant donné la situation à laquelle je viens d’être confronté.


A ce moment la porte des WC s’ouvre et mon inconnue apparaît. Elle mesure environ 1m75. Elle est brune avec les cheveux mi-longs légèrement ondulés. Elle a des yeux noisette clairs et un visage aux traits fins et réguliers. Elle est habillée avec un tailleur qui met sa silhouette en valeur. Sa veste est ouverte sur un chemisier bleu clair tendu au niveau d’une poitrine visiblement assez généreuse d’après ce que je peux en juger. Un masque de paix, caractéristique d’une femme apaisée après un orgasme éclaire son visage. Je ne la regarde qu’une fraction de seconde et baisse les yeux, gêné de ce à quoi j’ai assisté précédemment. Elle passe devant moi sans me dire un mot. Au passage, je sens son parfum, léger mais subtil qui flotte jusqu’à moi, mélangé à une odeur que je n’ai pas sentie depuis de nombreuses années : celui du sexe, du désir ou du plaisir éprouvé.


Elle disparaît rapidement dans un bureau. Je me dirige vers l’ascenseur et continue mes tâches, dans l’ordre que j’avais établi. Cette rencontre m’a profondément troublé et j’essaie de l’oublier pour ne pas perdre le fil de mes habitudes. J’ai passé plusieurs année à me construire une vie tranquille, bien orchestrée et je ne veux pas que les choses changent. Après une heure passée à bricoler à droite et à gauche, mon aventure m’est presque entièrement sortie de la tête.


Vers 23h30, j’ai fini ma liste et me dirige vers mon local, situé au 15ème étage, pour poser mon barda et attendre la fin de mon service. Je me sers un grand verre de coca. J’attrape mon livre de poche dans ma veste et me calant dans mon fauteuil m’installe et commence à lire tranquillement. À un moment, la vision de la jeune femme s’impose à moi et mon esprit commence à vagabonder sur les courbes entrevues tout à l’heure. Maintenant que j’ai vu son visage et l’ensemble de son corps, je me mets à imaginer la scène dans les WC avec un autre point de vue, comme si j’étais la porte, profitant pleinement du spectacle de cette jeune femme se donnant du plaisir. Ces pensées font à nouveau monter une érection. J’essaye de les chasser car je n’aime pas me sentir ainsi sur mon lieu de travail et me vois mal aller me branler dans les WC même si la belle tout à l’heure ne semblait pas gênée de se caresser allègrement presque en ma présence.


Je reprends mon livre pour me calmer et faire redescendre la pression aussi bien dans ma tête que dans mon membre toujours dressé. À ce moment, le téléphone intérieur sonne. Cela n’arrive presque jamais. La plupart du temps c’est le gardien qui me prévient suite à un mot laissé par un des occupants partis tard et signalant une intervention urgente. Je n’aime pas ces intrusions dans mon monde et mon cœur se met à accélérer.


Je décroche le téléphone. Le gardien que je préfère me signale gentiment que M. Bidule en partant lui a signalé un problème de tube néon qui saute au second étage dans la salle de réunions qui se situe en bout de tour. Il me demande si je peux intervenir aujourd’hui ou s’il doit le signaler sur le registre pour le lendemain. Je lui réponds, en un minimum de mots, que ce sera fait ce soir. Il me remercie et raccroche.


Je prends un tube néon et un starter, un tournevis et sors après avoir fermé mon local à clé. J’attends l’ascenseur quelques instants. Cette intervention m’a fait penser à autre chose et je me sens plus serein, content d’avoir quelque chose à faire pour m’occuper l’esprit. L’ascenseur ultra rapide me dépose 13 étage plus bas en quelques secondes. Les lumières sont éteintes et je me dirige à la lueur des bornes " issue de secours " vers la salle de réunion située au bout du couloir. La porte au fond du couloir donne sur une extrémité de la salle de réunion. Avec mon passe j’entre sans problème. La salle est grande avec un pan de mur dans la longueur, entièrement vitré, qui donne sur une salle de travail avec des box rangés les uns à côté des autres. Cet agencement ressemble à celui de la salle de rédaction d’un journal tel qu’on le voit habituellement dans les films américains.


Je pose ma sacoche à terre et me relevant, j’aperçois qu’une lumière est restée allumée dans l’un des box. J’allume les néons et vois immédiatement l’objet du délit. L’un des tubes au milieu de la salle n’arrive pas à s’allumer. Il oscille entre " je m’allume " et " je m’éteins ", le gaz n’arrivant pas à se stabiliser dans l’une ou l’autre des positions. Je prends une table que j’avance sous l’applique et monte dessus. Avec mon tournevis, je fais sauter la glace protectrice. Je jette alors un coup d’œil dans la salle avec cette position dominante et aperçois la jeune femme déjà entrevue en début de soirée. L’émotion me submerge à nouveau faisant rejaillir les images que j’ai eu tant de mal à m’enlever de la tête tout à l’heure. Elle est penchée sur un écran d’ordinateur, dos à moi, le chemisier largement défait, la jupe remontée autour de la taille. Ses cuisses sont écartées et sa culotte est posée sur son bureau. Je détourne les yeux à la fois stressé et excité par la situation.


Mécaniquement, j’enlève le starter lié au tube. Je prends le starter neuf pris dans mon stock précédemment et le mets en position. À ce moment, une grande étincelle surgit et je me prends un méga coup de jus. Je n’ai pas tenu compte de la plus élémentaire des précautions : couper le courant avant d’intervenir sur un système électrique. Autant sous l’effet de la surprise que du coup de jus en lui-même, je fais un bond en arrière et déséquilibré, je tombe de la table sur laquelle je m’étais perché.


Le système électrique de protection des personnes a bien fonctionné : tous les points lumineux ont été coupés pour éviter une électrocution. La belle se retrouve donc dans le noir, son ordinateur fonctionne toujours car il est relié à un autre circuit. Ma chute ayant fait du bruit, la jeune femme est intriguée et se dirige vers moi en se rhabillant promptement.


Je suis toujours au sol, groggy par le coup de jus lorsqu’elle s’approche de moi. Elle jette un coup d’œil rapide et me voyant avec les yeux ouverts me demande comment je me sens. De ma place, je vois le haut de ses cuisses car elle n’a pas pris le temps de remettre parfaitement sa jupe. Je crois même deviner son entrejambe mais n’en suis pas sûr.


Encore sous le coup de ma chute, je lui réponds :



Je lui avais parlé d’une voix bourrue, mécontent de ma mésaventure, et surtout un peu gêné d’avoir été pris en faute, la belle ne s’étant pas aperçu de ma présence jusqu’à ce que je tombe.



Elle baisse les yeux, soudain gênée, car elle vient de se rendre compte que j’ai été témoin de pratiques que je n’aurais pas dû voir. Elle reprend :



Curieusement, pour la première fois depuis bien longtemps, j’ai pris plaisir à une conversation, sans ressentir ni angoisse ni distance vis-à-vis de mon interlocutrice. Décidément, en plus d’être belle, Adeline est sympathique et d’une très agréable compagnie. C’est le cœur léger que je m’en vais remettre en marche le circuit électrique qui reprend du service sans aucun problème.


Je retourne ensuite dans la salle de réunion et éteins la lumière avant de remonter sur la table. Je reprends là où j’en étais resté : Je change le starter et le tube pour ne pas perdre plus de temps et après avoir vérifié qu’ils sont bien en place je remets la glace en position. Je me retourne vers la salle, tout en me disant qu’Adeline a dû quitter les lieux après notre rencontre fortuite qui l’a certainement coupée dans son élan.


Or, c’est exactement le contraire qui s’est produit. Lorsque j’ai éteint la lumière, Adeline a sans doute pensé que j’avais fini et quitté les lieux. Elle a donc repris ses activités pensant être seule pour reprendre tranquillement là où elle en était restée.


Je reste sur ma table, interdit devant le spectacle. Adeline me tourne toujours le dos. Sa jupe a rejoint sa culotte sur son bureau et ses jambes sont posées sur les accoudoirs de son fauteuil, très largement écartées. Sa veste est par terre et son chemisier est entièrement déboutonné. Je me dis qu’elle prend des risques, n’importe qui pourrait entrer : un gardien de nuit ou même moi. Peut-être qu’elle aime prendre des risques après tout.


Je l’observe, elle est devant son ordinateur sur lequel elle tape régulièrement quelques mots. Puis elle se remet en arrière et se caresse, tantôt avec sa main tantôt avec des objets pris sur son bureau : une agrafeuse, un surligneur, un gros marqueur pour tableau blanc. De mon poste d’observation je ne vois pas précisément ce qu’elle fait mais je l’imagine très bien, et je dois dire que j’aimerais pouvoir l’observer de plus prêt. Décidément que d’évolutions en une soirée ! Me voilà presque à rechercher de la compagnie auprès de cette jeune femme dont j’ignore absolument tout… Dans le fond peut-être suis-je amoureux !


Je ne serais dire combien de temps je reste là à la regarder se donner du plaisir… Il me semble qu’elle est connectée à un chat sur Internet et qu’elle dialogue avec un ou deux hommes. En tout cas de temps à autre l’écran change et des photos d’hommes et de femmes en pleine action apparaissent. Elle s’astique frénétiquement et j’ai vu son corps se tendre en une série de spasmes au moins à deux reprises.


Je finis par décrocher de ce spectacle qui m’a donné une trique d’enfer ! Je suis dans un état second ! Je ne me suis jamais senti aussi bien depuis le début de ma dépression, 3 ans auparavant. Je n’ai pas envie de casser ça et hésite à m’approcher d’Adeline car j’ai peur de subir un revers que je ne me sens pas capable de supporter. Avant de quitter la salle de réunion, je rallume la lumière pour vérifier mon travail : le néon marche parfaitement. Je jette un dernier coup d’œil vers Adeline qui s’est retournée vers moi et me regarde droit dans les yeux. J’éteins la lumière et remonte dans mon local le plus vite possible.


Il est 3h20 quand je quitte l’immeuble ce soir-là… C’est la première fois que je quitte mon travail en retard. Le gardien me salue et me demande ce qui m’est arrivé, si je me suis endormi. Curieusement sa remarque me fait plutôt sourire alors qu’en temps ordinaire, j’en aurais été fortement irrité. Je lui réponds que l’intervention de dernière minute m’avait pris plus de temps que prévu et m’avait retardé. Il me regarde en souriant et me demande si la personne à l’origine de l’appel avait apprécié mon " intervention ". Je ne sais trop comment prendre cette phrase car elle sous-entend que c’est Adeline qui a demandé le changement du tube néon, sans doute pour que je me retrouve à proximité d’elle pendant qu’elle faisait ces affaires !


Je quitte l’immeuble, prends ma voiture et rentre rapidement chez moi. J’ouvre ma porte, jette tous mes vêtements dans le panier à linge sale et rentre sous la douche où je reste longuement pour me détendre. Je ressors et enfile un peignoir que je ne ferme pas. Je m’installe dans mon canapé… Pour une fois je n’allume pas la télé, les images que j’ai stockées dans ma tête sont suffisamment claires pour que je puisse me passer du tube cathodique. En repensant à toute cette aventure, depuis ma première rencontre avec Adeline dans les toilettes jusqu’à ce spectacle (exhibition) de plaisir intime, ma trique revient au grand galop.


Je me prends alors à imaginer que je suis face à elle pendant qu’elle se donne du plaisir. Je la vois se caresser les seins, jouer de sa main avec son clitoris que j’imagine gonflé de désir et sortant largement de ses petites lèvres. Les images vues précédemment et celles issues de mon imagination se superposent : je vois ses lèvres gonflées et l’agrafeuse qui joue à l’entrée de son vagin. Dans ma tête, ses seins sont de bonne taille, fermes et fièrement dressés. Leur pointes, très érectiles ressortent, titillées par les doigts d’Adeline après qu’elle les ait humidifiées de salive. Ses mains repartent à l’assaut de son sexe : d’une main, elle écarte ses lèvres le plus possible, et de l’autre, elle se caresse frénétiquement de bas en haut, faisant pénétrer deux doigts dans son vagin à chaque passage. Le rythme des mouvements de ma main sur ma queue tendue est identique. Elle se saisit du marqueur pour tableau et l’enfile entièrement dans son vagin. On ne voit même plus le capuchon ! Elle ondule du bassin sans doute pour ressentir le contact du marqueur avec ses parois intimes. Elle écarte ses lèvres et opère une contraction de son vagin pour faire ressortir le marqueur. Puis elle le présente à l’entrée de son anus déjà entrouvert. Elle pousse dessus et il entre sans aucun problème. J’ai fait un anneau avec mon pouce et mon index. Il enserre fortement ma queue et je le fais coulisser jusqu’à la base. Mon gland est gorgé de sang, à la limite de l’explosion. J’ai l’impression que ma queue n’a jamais été aussi gonflée de sang tellement je suis excité.


Pendant ce temps, dans ma tête, Adeline a pris de l’avance ! Le marqueur est entré aux trois quarts dans son fondement et ses doigts ont repris leur mouvement dans son vagin et sur son clitoris. Celui-ci est tellement gonflé qu’il semble jaillir de ses petites lèvres. Du plat des doigts, elle imprime une caresse légère et régulière sur son clito, trois doigts de son autre main sont dans son vagin. Avec son petit doigt, elle maintient en place le marqueur dans son cul. Ses trois doigts ne semblent pas bouger vu de l’extérieur mais des mouvements musculaires semblent indiquer qu’elle se caresse le point G de l’intérieur. Ces trois stimulations conjuguées semblent la mettre dans un état de transe. Elle monte de plus en plus vers le plaisir, ses caresses clitoridiennes s’accélérant de plus en plus. Les contractions de sa main dans son vagin sont maintenant très visibles et les trois doigts semblent très occupés, mais ils commencent à avoir du mal à bouger, sans doute à cause des contractions vaginales qui se rapprochent. Le rythme des doigts sur le clitoris accélère encore d’un cran, et celui de ma main sur ma bite aussi. Adeline a la tête rejetée en arrière dans son fauteuil, son bassin se soulève et, dans un dernier spasme, elle hurle son plaisir, les doigts immobiles dans son vagin contracté. Le marqueur ressort avec force sous l’effet de la contraction de son fondement et son doigt s’arrête sur son clitoris. À cet instant j’éjacule avec force : le sperme emmagasiné depuis plusieurs jours jaillit à 50 cm et dans ma tête c’est sur les seins d’Adeline que mes flots de sperme atterrissent lui couvrant les tétons.


Je rouvre les yeux et me retrouve dans mon intérieur. La table basse devant moi est souillée de sperme épais. Je me lève, fébrile, et vais chercher une éponge pour nettoyer tout ça. Cela faisait longtemps que je ne m’étais pas tapé une queue pareille. Je suis redescendu, lessivé. Je jette un coup d’œil à la pendule : il est 5h20, J’ai du me branler pendant au moins 1h en imaginant la belle. Il est temps d’aller se coucher.