n° 02699 | Fiche technique | 36839 caractères | 36839 6233 Temps de lecture estimé : 25 mn |
01/02/24 corrigé 01/02/24 |
Résumé: Un représentant les invite à passer le week-end, lui et sa femme, dans une charmante demeure en plein bois. Ils seront accueillis généreusement... | ||||
Critères: 2couples fbi hbi gros(ses) grosseins groscul intermast facial fellation cunnilingu fgode pénétratio fdanus fsodo hsodo | ||||
Auteur : André Sébastien Borland |
Je travaillais au service « Achat » depuis un certain temps déjà. On peut parfois trouver quelques avantages à cette situation, en tout cas on y voit du monde, et aussi du beau monde, comme la très plantureuse Catherine V. qui représente un grand groupe d’équipementiers automobiles… Mais ça, c’est vrai, c’est une autre histoire !
C’est ainsi que j’ai fait la connaissance d’Henri N., un autre personnage charismatique.
Il s’est présenté comme étant récemment employé par un petit importateur afin de remettre un peu d’ordre dans les méthodes fort peu orthodoxes de son prédécesseur, et pour redonner ainsi confiance aux clients dont je faisais partie. Je savais de source officieuse que le susnommé prédécesseur s’en était foutu plein les fouilles et qu’il avait démissionné avec perte et fracas, sans indemnités, son employeur considérant qu’il s’était déjà largement servi dans la caisse. Il n’avait échappé à la justice que pour éviter un scandale et la mauvaise publicité qui s’y rattachait.
J’étais au café, Madeleine m’a rappelé à l’ordre, mon rendez-vous était arrivé. Après tout, je pouvais bien le faire poireauter un moment, c’était moi le client, je pouvais bien faire ma précieuse…
Dans la salle d’attente, un type grand, trapu, charpenté, avec une grande barde bouclée m’attendait. Il m’a serré la main chaleureusement et nous avons tout de suite sympathisé, ce qui est pourtant fort déconseillé lors d’un premier contact. Mais le personnage était avenant et sincère, je n’y pouvais rien. Quoiqu’il en soit, je ne risquais pas grand-chose. Nous pouvions facilement faire jouer la concurrence alors que de leur côté ils risquaient de perdre un client prestigieux, ce qui dans leur cas aurait été dommage. La seule chose qu’ils ne savaient pas c’est que nous étions en bisbille avec ladite concurrence et qu’il fallait quand même conclure vite avant que cela ne s’ébruite.
Nous avons travaillé sérieusement tout le restant de la matinée. Mon interlocuteur était vraiment très arrangeant, à tel point que je me suis demandé un instant si je n’étais pas en train de me faire entuber. J’ai même consulté discrètement les tarifs des autres enfoirés à diverses reprises pour me rassurer. Eh bien non, ils voulaient le marché coûte que coûte et étaient prêts pour cela à faire pas mal de concessions, y compris celle de ne pas nous facturer de charges supplémentaires pour alimenter nos centres de fabrication en Allemagne, une véritable aubaine !
La négociation était tellement bien avancée que sur le coup de midi j’ai sorti une bonne bouteille de whisky écossais que je planquais dans un tiroir de mon bureau, et nous nous en sommes servi une bonne rasade.
Les langues se sont déliées et la conversation est rapidement sortie du cadre professionnel. Des bons whiskies aux bons vins et des bons vins à la bonne bouffe… et bientôt aux bonnes femmes.
À cette époque trônait sur mon bureau une grande photo de ma compagne de l’époque, une dénommée Sadia, une belle petite beurette particulièrement jalouse. C’est elle qui avait tenu à ce que je mette sa photo bien en évidence, elle pensait que ça pourrait éliminer la concurrence, en tout cas elle l’espérait vivement. Nous nous entendions à merveille, mais sa jalousie était vraiment pesante.
Quand je dis « petite » Sadia, elle ne l’était pas, fort heureusement. Comment pourriez-vous supposer un seul instant que votre serviteur se mette à la colle avec une petite femme menue et longiligne ? Elle était grande, opulente, imposante, avec des formes plus que généreuses. Vous me prenez pour un cave ou quoi ?
Ensuite, je l’ai emmené dans un bon petit restau ; pas très classe, mais un bon petit bouiboui avec une cuisine aux p’tits oignons, le temps d’admirer chez mon hôte un sévère coup de fourchette et aussi une bonne descente. Preuve en est qu’il était bientôt quatre heures quand nous avons repris notre travail, pleins comme deux grosses outres…
Le rendez-vous fut pris quelques semaines plus tard et c’est avec chaleur que nous nous quittâmes en nous serrant la main. Je regrettai presque de ne point l’avoir tutoyé tant l’homme m’apparaissait fort sympathique.
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J’étais en train de lui brouter abondamment sa belle et large minette tout en pelotant sans vergogne ses beaux petits bourrelets lorsque ça m’est revenu en mémoire. J’ai relevé la tête et lui ai communiqué l’information avant de reprendre mes activités souterraines.
De son côté, elle a sagement différé ses questions, écartant largement les cuisses pour que je la bouffe au plus profond, et implorant bientôt d’être prise de toutes les façons, « à grands coups de bite », qu’elle précisa, « à grands coups de ta très grosse et très belle bite », qu’elle ajouta pour me flatter… Qu’est-ce qu’on peut raconter comme conneries dans ces moments-là !
Le temps de terminer ce que nous avions si bien commencé et de reprendre quelque peu nos esprits, au bas mot une demi-heure plus tard :
Allons bon, ces femelles, je ne les comprendrai jamais. Mes armoires étaient pleines de ses vêtements, à tel point que pour trouver un pantalon je devais passer à travers toute une kyrielle de robes, et, elle, elle n’avait rien à se mettre ?!
Nous y voilà ! J’étais tombé sur une collectionneuse, une froufrouteuse. Elle arpentait les magasins de mode à longueur de journée, et comme de par sa corpulence elle était limitée aux grandes tailles, ça nous emmenait parfois fort loin. Mais comme je l’adorais, je cédais sans rechigner à tous ses petits caprices.
Le jour dit, après être passés chercher quelques babioles – deux ou trois bonnes bouteilles, un gâteau des familles, un gros bouquet de fleurs ainsi que des gadgets pour les mômes, car ils avaient des mômes –, nous nous sommes présentés à l’entrée d’une propriété dans une épaisse forêt. Un long chemin chaotique menait dans une très grande clairière lumineuse où trônait une belle petite fermette retapée aux bâtiments disparates. L’endroit était ravissant, même si assez rustique.
Au centre de la cour, deux garçons de dix-douze ans pataugeaient dans une piscine bâtarde improvisée avec une bâche au milieu de bottes de paille. Ils nous ont fait de grands signes et Sadia leur a répondu chaleureusement.
Et voilà le bon roi Henri qui émergea de son bercail pour nous accueillir, la barbe florissante et la chemise fleurie, une chemise hawaïenne à la Antoine, de quoi faire mourir de honte Sadia qui s’était habillée très classe pour la circonstance. Et le voici qui s’approcha, qui me prit dans ses bras, qui me tapa dans le dos comme si nous étions à tu et à toi. Je n’en revenais pas ! Pareil pour Sadia qu’il colla de très très près avec de gros smacks, ce vieux cochon ne perdait vraiment pas de temps !
Et Sadia devait se trémousser dans sa petite culotte, car elle adorait les compliments.
La dénommée Fanou était une splendide petite femme d’une cinquantaine d’années, brune, pulpeuse en diable, certes un peu bedonnante, avec une forte poitrine et surtout une croupe gigantesque, un cul énorme, démesuré, hors norme, hors concours. En l’embrassant et en pensant à son adorable fessier, je me suis mis à triquer comme un cheval, d’autant plus qu’elle fleurait bon un délicieux parfum poivré aux arômes exotiques. Sur ce, Sadia m’a donné un grand coup de coude et m’a fait les gros yeux, il y a des signes qui ne trompent pas.
Tandis que je me remettais difficilement de mes émotions, les yeux sans cesse attirés par le gros popotin de cette divine créature, une véritable tornade a traversé la pièce, dans un sens puis dans l’autre, une belle jeune fille aux joues bien pleines, replète comme sa mère et dotée d’une poitrine fort généreuse pour son âge.
Finalement, elle a consenti à venir nous saluer.
Apéritif dans le living, je vous passe tous les détails. Henri nous avait confectionné de délicieux cocktails, Fanette y avait ajouté une tonne de petits amuse-gueule tous plus raffinés les uns que les autres. Dès que Sadia m’en donnait l’occasion en regardant ailleurs, j’en profitais pour détailler en détail notre très charmante hôtesse, avec déjà une forte envie d’en croquer.
Ensuite, nous sommes passés à table et les enfants nous ont rejoints. Le déjeuner était exquis et pantagruélique. Au troisième plat, les deux garçons, le fils de la maison et un de ses copains, ont demandé l’autorisation de sortir de table pour retourner dans la piscine. Quant à Babette, elle en a profité pour s’éclipser discrètement sans rien dire à personne.
Mais nous n’en étions encore qu’à la moitié du repas. Nous allions nous faire péter la panse. Un petit trou normand pour nous remettre de nos émotions et nous passions aux choses sérieuses.
Nous étions de fort charmante humeur. Il en profita pour déboucher une autre bonne bouteille tandis que je détachais discrètement les boutons de mon falzar. J’étais plein comme une outre, je n’en pouvais plus. J’ai regardé Sadia, elle aussi criait grâce, tandis qu’Henri, imperturbable, la barbiche pleine de sauce, continuait à s’empiffrer.
J’ai failli vomir ! C’était délicieux, mais je ne parvenais plus à rien avaler. Babette, qui était redescendue pour le dessert, par contre, se régalait et a avalé la moitié du plat à elle toute seule.
Puis, détournant astucieusement la conversation, elle brancha Sadia :
Nos deux passionarias s’étaient envolées vers des sommets que notre dose d’alcool nous empêchait d’atteindre. Aussi avons-nous pris la sage décision de nous replier tous les trois, Henri, Fanette et moi, vers la tonnelle, laissant à nos deux jeunettes le loisir de refaire le monde. Henri s’est allongé, peinard dans un transat, et moi, face à lui, tranquille sur la balancelle. Fanou est partie dans la cuisine nous faire un café. Une douce brise nous rafraîchissait quelque peu les esprits :
Sur ce, Fanette nous rejoint avec les tasses à café et quelques friandises.
Et tout en servant le café :
Sadia et Babette nous avaient rejoints et avaient certainement assisté à la fin de la conversation :
Elle est déjà partie, la divine Babette. À dix-sept ans, c’est déjà une femme pleine d’assurance. Si seulement j’avais vingt ans de moins !
Il a l’air tout malheureux, Riton, il me faisait chaud au cœur.
Et l’agrippant par les hanches, il parvint après une courte lutte à la basculer sur ses genoux.
Puis, s’adressant à ma douce :
Puis, relevant légèrement la jupe de sa compagne :
Elle finit par s’arracher à son étreinte :
Je me suis levé d’un bond :
Curieusement, je n’ai pas remarqué trop de jalousie dans sa voix, et lorsque j’ai vu sa façon de regarder Henri, c’est moi qui ai été jaloux. Putain, elle n’a quand même pas pris les facéties de ce vieux coureur de jupons pour argent comptant ! Elle a envie de se faire sauter, ou quoi ? Du coup, je n’avais plus guère envie d’aller dans la cuisine et de les laisser seuls tous les deux, d’autant plus que le bon roi Henri était en train de la dévorer des yeux, bougre d’obsédé, se voyant sans doute en train de lui dévorer les tétons.
Mais Fanou m’a tiré de mes rêveries :
Contraint et forcé, je lui ai emboîté le pas. Bien mal m’en prit, le battant de la porte de la cuisine à peine rabattue qu’elle s’est jetée sur moi pour me rouler une grosse pelle des plus baveuses, torride la greluche ! Aussi simple que ça, inattendu et merveilleux, nos langues se sont enlacées dans la plus folle des passions tandis qu’elle allait droit à l’essentiel et me palpait les roubignoles. Inutile de préciser qu’à ce rythme-là je ne tardai pas à bander comme un ours, d’autant plus que ma main plongée dans son corsage palpait de forts beaux et forts juteux attributs. Quel patin, mes amis, j’en retournais en pucelage ! Et quelle bonne grosse cochonne bien chaudasse, sacré tempérament, sacrée langue et sacrées mamelles ! J’ai continué mes attouchements un long moment avec une forte envie de me l’enfiler, là, contre l’évier et dans l’urgence, mais elle m’en a dissuadé :
Et tandis qu’elle avançait dans le couloir, une boîte de cigares à la main, je m’évertuais à lui pincer ses belles grosses fesses.
Ce vieux sagouin d’Henri était agenouillé devant ma pétasse, une main qui farfouillait entre ses cuisses. Pris la main dans le sac. Sadia était à moitié partie vers un septième ciel évocateur et elle eut quelque mal à nous rejoindre sur terre.
Et ce salaud se rassit en humant ses doigts humides du parfum de ma salope.
Nous étions confortablement engoncés dans de profonds fauteuils de cuir à siroter un excellent cognac et à fumer nos barreaux de chaise. La vie s’écoulait douce et paisible au rythme du tic-tac de la pendule et nous n’éprouvions aucun besoin de la troubler par quelque parole superflue, mis à part qu’au bout d’un moment nous commençâmes à nous ennuyer de nos pétasses :
Nous voici donc partis dans le dédale des pièces de cette somptueuse demeure à la recherche des deux donzelles. Et là, paf, je vous le donne dans le mille, les deux dodues tête-bêche, entièrement nues, en train de se brouter avidement la cramouille. Ces deux vilaines ne nous avaient point attendus. Et comme j’allais entrer, Henri me retint par la manche :
Pour sûr que c’en était bandant, tous ces bourrelets, toutes ces mamelles, toute cette bidoche, ces deux chiennes mélangées qui se broutaient fiévreusement la touffe. J’avoue que je ne connaissais pas ce talent chez Sadia, car j’ignorais qu’elle était gouinasse. N’empêche qu’elle était au-dessus et qu’elle ne suçait nullement du bout des lèvres, mais au contraire qu’elle se déchaînait entre les cuisses de notre charmante hôtesse. Celle-ci, qui était face à nous, nous avait effectivement repérés, mais se gardait bien d’arrêter les ébats, redoublant au contraire d’intensité sur la belle chatte de Sadia qui ondulait le popotin de satisfaction.
Le bon roi Henri regardait ça sans en perdre une goutte, les yeux brillants, émerveillés, et je n’étais pas très loin de le suivre dans sa contemplation.
J’en pensais tout autant du fessier de sa familière, ses énormes fesses adipeuses m’excitaient tout autant. Crénom de salope, j’avais forte envie d’y pénétrer ma bite et je bandais tellement fort que mon slip allait craquer. Je ne tenais plus.
Sadia releva la tête, le regard dévoré par la lubricité.
Henri a mouillé son doigt et l’a glissé dans la raie culière de ma bien-aimée qui curieusement n’attendait que ça. Aspirée par Fanou, enculée par Henri, elle se déchaînait comme une folle. Henri glissa sa langue sur sa rosette et commença à l’y enfoncer. De mon côté, je m’approchai et glissai mes mains entre les deux femmes pour pétrir leurs beaux nichons et leurs généreux bourrelets graisseux…
L’instant d’après, nous étions tous les quatre à poil : les deux mâles, la bite dressée ; les deux femelles, en chaleur. Henri avait un fort désir de s’empaler Sadia et moi une forte envie de défoncer Fanette. Fort bien préparées, elles n’attendaient plus que ça. Je me suis un instant désintéressé d’Henri et de Sadia pour me consacrer exclusivement à Fanette, plongeant ma tête entre ses deux grosses cuisses adipeuses vers sa cramouille juteuse. Très poilue, beaucoup plus que Sadia, de très longs poils bouclés recouvrant son pubis, et deux petits anneaux, un à chaque lèvre. Comment diantre cette salope avait-elle pu se les faire mettre ? Qui avait été l’heureux élu pour contempler ce spectacle et s’occuper de ce merveilleux buisson ardent ?
C’était bougrement excitant et foutrement bandant, toute cette grosse chatte bien rouge, bien écartelée, imbibée de cyprine, avec ces deux anneaux, hum, un délice pour le dessert ! Je l’ai broutée abondamment, me délectant comme un fou de cette belle moulasse avant de glisser dans sa raie pour lui titiller le cul.
Puis, agrippant ses bourrelets ventraux, je me suis mis à la laper comme un petit chien essoufflé, de plus en plus vite, toujours plus vite et toujours plus fort, jusqu’à ce qu’elle explose enfin d’un dernier coup de langue…
Lorsque je me suis redressé, Sadia était à quatre pattes à l’autre bout du lit et Henri la ferraillait à grands coups de boutoir. Ma belle était déchaînée et venait sans cesse à l’encontre de cette bite qui la pistonnait sans relâche.
Entre-temps, j’ai invité Fanette à se mettre à quatre pattes pour la bourrer en cadence.
Je n’en revenais pas ! Une des sept merveilles du monde. Un cul énorme, débordant de jovialité et accueillant en diable. Je lui ai sucé le fion quelque temps par-derrière puis me suis enfoncé en elle en tapotant ses grosses fesses. L’énorme popotin de la grassouillette que je bourrais généreusement méritait bien quelques fessées.
De concert, nous les avons fait se retourner côte à côte de façon à ce qu’elles puissent aussi se rouler des pelles et se branler mutuellement tandis que nous continuions à les baiser. Nous les ramonions en cadence, excités par le flic flac de leur moule détrempée, tandis que nos pétasses couinaient en écho.
Sadia est venue d’un coup en hurlant comme une folle et en agrippant violemment la tétasse de Fanou, qui, deux secondes plus tard, la rejoignait au nirvana.
Nouvelles péripéties : nos deux compagnes à nouveau à quatre pattes et nous qui cherchions à les enculer après avoir copieusement enduit de gel lubrifiant leur gros cul accueillant. J’y parvins en premier, sans aucune difficulté, Fanou étant sans doute rompue à ce genre de pratique. Henri eut un peu plus de mal, nous le faisions parfois avec Sadia, mais ce n’était pas vraiment sa tasse de thé. En tout cas, dans la situation présente elle ne rechigna pas et aida même son amant en ouvrant largement ses fesses avec ses mains. Sodomisées en cadence, les deux drôlesses s’en mordaient les lèvres tellement elles avaient l’air d’apprécier… Même Sadia qui pourtant avait souvent mal en pareille circonstance, ce jour-là elle se donna à fond.
Je me suis retiré juste à temps pour asperger le bon gros cul de ma plantureuse compagne, prenant soin d’étaler tout mon foutre sur son énorme fessier. Henri me rejoignit quelque temps plus tard dans la jouissance, prenant soin de faire se retourner Sadia pour lui asperger copieusement ses opulentes mamelles.
Et nous sommes retombés tous les quatre sur le lit.
Je suis quand même intervenu pour la forme :
Henri se releva péniblement et revint peu de temps après avec un petit sac de sport.
Quelques accessoires, qu’il disait, mais il y avait tout l’attirail d’un sex-shop, là-dedans : des godes de toutes tailles et de toutes consistances, des boules de geisha, des menottes, un martinet, des cordages…
Après un temps de repos, je me suis mis en 69 sous Fanette, deux trois godes à portée de main afin d’être en mesure de satisfaire tous ses orifices, un dans le cul, un dans la chatte, et ma biroute dans le gosier. Elle m’astiquait comme une dépravée en remuant son gros derrière. Hum, quelle vision dantesque !
Henri, de son côté, ne chômait pas non plus. Sadia était de nouveau à genoux, mais cette fois-ci, les mains attachées derrière le dos, la tête reposant sur le lit, parfaite petite esclave soumise et offerte à un maître capricieux qui tantôt lui enfonçait un gode, tantôt la défonçait avec sa bite avant d’opter pour un vibro… Bourrée jusqu’à plus soif. De mon côté, j’ai enfoncé un gros gode vibrant, réglé sur la puissance maximale, dans la chatte de Fanou. Ça plus quelques allers-retours ainsi qu’un long gode lisse remplissant son anus, et elle s’est mise à jouir à répétition en hurlant comme une bête, plus possible de l’arrêter, tandis que moi, sans pitié, je continuais encore et toujours dans sa chatte, dans son cul, malaxant sans relâche tantôt un nichon ou un de ses bourrelets… jusqu’à ce que, complètement vidée, elle m’implore enfin d’arrêter…
Alors que je pensais qu’elle allait reprendre sa fellation, la voici qui me glisse à l’oreille :
Ni une ni deux, alors qu’il était en train de limer ma Sadia, ce vieux cochon, je m’approche par-derrière et, mouillant abondamment un doigt, le lui glisse lentement dans l’anus.
Et lui de la limer de plus belle, et moi de lui mettre deux doigts et de lui écarteler le fion en lui huilant de lubrifiant comme je l’avais fait pour Fanou.
Il se pencha légèrement, le cul dressé, prêt à se faire mettre, à se faire enculer, et je ne tardai pas à me l’enfiler, de toute ma longueur.
Pas si évident que ça de coordonner nos mouvements tous les trois, la situation était pourtant bougrement excitante. Fanou nous regardait de l’autre bout du lit en se doigtant tranquillement la chatoune tandis que Sadia dégustait, pas mal écrasée par le poids des deux mâles au-dessus d’elle. Nous nous sommes finalement retirés de nos trous respectifs et nous nous sommes terminés en nous branlant sur le visage de Sadia qui a été copieusement aspergée de laitance.
Quelle soirée, mes amis ! Nous sommes tous allés prendre une bonne douche, moi avec Sadia et Henri avec sa femme, comme si nous avions quand même aussi besoin de nous retrouver un peu en couple. Alors, sous la douche, nous nous sommes tendrement embrassés, Sadia et moi, dans un bel élan complice, nous assurant ainsi qu’après ce grand délire charnel notre amour restait intact.
La soirée s’est écoulée alors paisiblement en amoureux sous le patio. Pas de baise effrénée, pas d’orgie culinaire, pas de boisson alcoolisée… le repos après la bataille, ce qui ne nous a pas empêchés de recommencer le lendemain, les filles étaient vraiment trop belles, leur chair était trop appétissante, il aurait fallu être moine pour pouvoir s’en priver.