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n° 02701Fiche technique24024 caractères24024
Temps de lecture estimé : 15 mn
21/08/01
Résumé:  La montée est rude et il fait déjà chaud sur le sentier de chèvres qu'on suit en silence. Des cailloux, encore des cailloux...
Critères:  ffh fbi intermast facial fellation cunnilingu pénétratio
Auteur : Cyber Syr            Envoi mini-message
L'otage



L’otage


La montée est rude et il fait déjà chaud sur le sentier de chèvres qu’on suit en silence. Des cailloux, encore des cailloux. Seuls quelques brins d’herbe jaunes rompent un peu la monotonie. Encore une petite demi-heure et on fera une pause dans la gorge avant de déboucher là où la vallée s’élargit mais où on sera en vue du fort qu’occupent les rebelles. Et là commencera notre boulot de repérage…


Faut dire que je l’ai bien cherché. Il y a encore 3 mois, j’étais bien peinard dans un bureau de la capitale, à l’abri du conflit avec les rebelles qui ensanglante le sud du pays. Mon statut d’athlète de haut niveau et mon titre de champion du monde militaire de course d’orientation me valaient pleins de protection et j’étais presque sûr de passer ma vie militaire dans un bureau, peinard. Les grades allaient suivre avec mes distinctions sportives : champion du monde militaire m’avait fait devenir Sergent et je comptais bien que les Championnats du Monde de l’an prochain me ferait devenir au moins Lieutenant, peut être Capitaine, avec la solde qui va avec, bien sûr. Et puis, comme d’habitude, j’ai fait une connerie. Mon sourire, ma renommée (la Course d’orientation est très renommée dans mon pays montagneux, c’est un sport national au même titre que le foot au Brésil ou les Claquettes en Andalousie), mes yeux bleus (qui détonent dans ce pays) m’ont attiré les méfiances de quelques très hauts gradés. Et leurs manigances pour m’éloigner de leur femme et de leurs filles ont été plus fortes que les appuis dont je bénéficiais au ministère des sports. Bon autant l’avouer, ils n’avaient pas franchement tord. Pendant les quelques années que j’ai passé dans les bureaux de la capitale, j’ai pu découvrir un certain nombre de paires de seins, toutes aussi variées les unes que les autres, mais toujours appétissantes. Entre le sein mûr de la femme d’un général qui passe son temps à entretenir son corps et celui tout pointu de la fille du même général, pleins de différences mais un plaisir semblable quand je le découvre pour la première fois et quand j’y passe ma langue doucement en le faisant frissonner. Bref, avec ces histoires, j’ai perdu un bon réservoir de conquêtes éventuelles, et mon petit pays perdait sans doute l’un de ses plus brillants espoirs de médaille internationale. Bon, OK, on n’a jamais gagné avant la compétition, mais là, franchement, même si je me sers un peu de mes prédispositions pour guider ma petite troupe dans les montagnes en échappant aux groupes adverses, je ne suis pas dans les meilleures dispositions pour le prochain championnat.


Toujours est il qu’on est là, tous les 10 sur ce chemin. Tous ayant fait quelques conneries plus ou moins graves mais qui nous ont valu la route pour les montagnes du sud, et aujourd’hui, une mission d’observation du fort adverse et des pièges que devront éviter nos hélicos lorsqu’ils lanceront l’offensive. Entre quelques déserteurs, celui qui avait choisit la bagnole de son chef pour aller faire un tour en ville à la dernière perm’, je suis bien entouré. Heureusement pour les yeux qu’il y a Irina. Petite blonde avec un joli visage que l’on verrait plus servir dans un bistrot huppé de la capitale, voire de notre ancienne capitale du temps où on était réuni avec ceux du Grand Nord comme on les appelle ici, elle a été intégrée dans ma troupe il y a 2 semaines. Elle n’a pas l’air volontaire pour servir ici vu la tronche qu’elle tire en permanence, mais impossible d’en savoir plus. En tout cas, elle crapahute bien, elle tire bien et si tous les gars étaient comme elle, il y a bien longtemps qu’on aurait pris d’assaut le fort… Le désespoir semble lui servir de moteur et il rajoute un charme fou à ses yeux profonds. Après 3 mois d’abstinence, c’est une épreuve vraiment trop difficile d’avoir une telle nana dans ses rangs.


On repart de notre dernière pause. À présent, je ne veux plus entendre un bruit. Le fort est trop proche, et même si le vent nous protège en emportant notre bruit et nos odeurs dans la vallée, je préfère assurer le coup avec mes guignols. Le fort est en vue, de l’autre côté de la vallée. On se planque entre les gros rochers, en sortant le matos de surveillance. Le radio (l’un des seuls qui sachent parler correctement dans l’équipe) annonce à notre base qu’on est en place grâce au code convenu (si je vous dis que le code était ’Le décalcomanie est imprimé’ vous diriez que j’exagère en vu du concours, et pourtant, c’est la vérité …). Le soleil ne peut pas nous trahir en se reflétant dans nos jumelles, tout va bien. On dirait qu’il y a pas mal d’activité dans ce fort, un vieux fort qui date des conflits du XIXe siècle et qui a été utilisé il y a quelques années pour surveiller l’accès au pays, mais que les rebelles ont repris il y a quelques temps déjà. Il est d’autant plus important qu’avec ce fort, c’est toute la vallée qui est sous contrôle et que cette vallée est l’un des rares passages à peu près fréquentables l’hiver pour passer dans le pays voisin et donc en recevoir armes et vivres. Il semble qu’un groupe se prépare à sortir avec du matos. Le radio signale l’info à la base et quelques minutes plus tard, quand il transmet qu’il y a une civile avec eux, on reçoit l’ordre d’envoyer 2 personnes pour les suivre et pour les empêcher à tout prix de franchir la frontière. Ça ressemble fort à une mission directe pour le cimetière c’est histoire, mais si mes gars ne comprennent pas trop l’importance de la chose, je sais très bien ce qui doit se passer en bas : depuis 3 mois, une occidentale a été enlevée par les rebelles et il y a 90% de chances que ce soit elle qui soit dans ce groupe et qu’on la déplace une nouvelle fois. Notre armée n’a jamais réussi à savoir où elle était retenue, et les 2 ou 3 fois où on l’a vu (ou cru la voir), avant de se retourner, elle avait disparu avec ses geôliers. Nos chefs savent bien ce qui arrivera à celui qui la libèrera : le grade de général direct, alors ça vaut bien le coup de sacrifier quelques gars pour la récupérer.


N’étant pas du style à me débiner (et voyant une occasion en or de me rapprocher des bureaux de la capitale), j’annonce à mes gars que je veux un volontaire pour m’accompagner. Personne ne se propose exceptée Irina. Ça me gène un peu de l’emmener dans cette galère, et j’espère que son volontariat va en déclencher d’autres mais le " courage " de mes gars semble plus fort que leur machisme et c’est donc accompagner de la jolie blonde que je pars le long de la montagne, faisant attention de ne pas être trop à découvert au cas où il viendrait aux rebelles l’idée de regarder de l’autre côté de la vallée. Ils ne progressent pas trop vite ce qui nous permet de faire quelques pauses d’observation. D’après la carte, la vallée va bientôt s’élargir pour laisser place à un lac naturel où arrivent deux gorges très étroites, l’une semblant aller vers un cul de sac ou en tout cas des cols très escarpés (mais tranquilles) l’autre rejoignant le col frontière. Je me dis que si j’étais eux, je prendrais le chemin le plus difficile de peur d’être surpris au col par l’armée régulière, mais sait on ce qu’ils vont décider, eux, les rebelles, " armée " composée de pauvres gars embrigadés sous des prétextes démago et fallacieux et encadrés par des extrémistes qui ne reculent devant rien et sûrement pas devant la mort de quelques pions (encore moins que nos chefs, c’est dire).


Lors d’une petite pause, alors que la farandole de rebelles avance toujours lentement, soulevant un gros nuage de poussière derrière elle, on prend quelques forces à base de gâteaux secs (l’armée de notre petit pays n’est pas plus riche que les autres) et d’eau de source. Et surprise, pour la première fois, je vois un sourire barré le visage d’Irina et elle aligne plus de mots qu’en 15 jours de vie commune (ou presque commune…) :



Je ne la pensais pas capable de parler autant à la fois, et l’émotion a gagné notre petit rocher derrière lequel on est caché. Pendant qu’elle me raconte son histoire, je me permets de la dévisager un peu plus précisément. Son visage est bien rond, mignon comme tout avec ses yeux marrons très profonds. Son treillis cache pas mal ses formes, mais je ne pense pas qu’elle en ait beaucoup. En tout cas, on pourrait la prendre pour un petit homme de derrière. On en oublierait presque la mission. Mais mon rôle de Sergent étant de ramener les pieds sur terre, je lui promets que si on réussit cette mission, je ferais tout pour qu’elle retrouve son gosse. Un coup d’œil pour voir que nos rebelles ont un peu avancé et qu’on va pouvoir reprendre la chasse.


Lorsque nos rebelles s’arrêtent au bord du lac bleu, je comprends que mon intuition ne s’est pas trompée : ils vont vers la vallée en cul de sac et il va falloir les en déloger de là bas si ils décident de s’y cacher. En attendant, ils installent le campement pour le déjeuner et sans doute la sieste (on est du sud et il fait chaud à midi) au bord du lac. Les ânes (les bêtes, pas les hommes) se désaltèrent au lac, l’otage est assise du côté du lac et les rebelles, mi soldats, mi paysans, sirotent leur thé en discutant. On se trouve un énorme rocher, pas très loin d’eux. Hors de question de parler mais on est suffisamment loin et protégé par le vent qui porte nos bruits de l’autre coté. Je m’épate toujours quand je les vois de leur inexpérience. Tout militaire sait que le vent porte les bruits et les odeurs et qu’il faut donc se mettre de façon à ce que le vent apporte les infos et n’emporte pas les vôtres. Et eux ils font le contraire. Enfin, tant mieux pour nous. On va pouvoir entendre leurs projets (heureusement que j’ai grandi dans ces montagnes et que je comprends leur dialecte), bien que pour le moment, ce soit surtout les airs populaires des montagnes joués par les quelques harmonicas (une autre spécialité locale) qui parviennent à nos oreilles. L’otage semble assez tranquille elle aussi, et l’état du campement me fait dire qu’ils n’ont pas dû repérer notre présence, ni celle de mon groupe, qui je l’espère, surveille toujours le fort (je n’ai que peu envie de voir rappliquer une autre colonne de rebelles dans mon dos).


Repas, puis une petite sieste, enfin pour eux, nous ne pouvons pas nous permettre de perdre notre attention.. Le soleil de midi sur le treillis nous chauffe les os, et je dois reconnaître qu’Irina et moi serions heureux d’un peu d’ombre ou d’un petit plongeon dans le lac. Je détends la ceinture qui tient ma veste pour l’ouvrir un peu et laisser apparaître mon tshirt. Irina après un peu d’hésitation m’imite, et je remarque les 2 pointes qui tendent le tshirt moulant. Effectivement, elle ne doit pas avoir beaucoup de poitrine. Mais je sais que ce sont souvent les plus sensibles au toucher de la langue. Je ne peux pas empêcher mon esprit de divaguer et de m’imaginer en train de parcourir ces seins attirants de ma langue.


Là bas, il ne reste que deux rebelles éveillés, les 2 qui surveillent d’un côté et de l’autre le campement. Pas de bol les gars, il ne fallait baiser la femme de votre chef… L’otage paraît plus nerveuse et semble regarder à droite et à gauche si il y aurait possibilité d’évasion ou d’aide. Elle semble prête à filer à la moindre occas. Sans consulter ma hiérarchie ni personne, je commence à réfléchir à un moyen de lui provoquer cette occas. Irina aussi vu les regards qu’elle me lance. On parle avec les signes, pour éviter d’être entendu maintenant que le campement est au calme.


Je vous passe les détails de l’attaque (en supériorité numérique, 2 militaires contre une quinzaine de rebelles à moitié endormis) qui n’apporteraient rien à l’histoire et seraient difficiles à piger sans un descriptif bien plus détaillé des lieux, mais voilà que mes 2 nanas (Irina et l’occidentale) ressortent du lac, à l’opposé du campement, que les aboiements du chef des rebelles ont remplacés les mélodies d’harmonica qui m’avaient rendu mélancolique quelques temps plus tôt et que mon rocher est la cible des quelques fusils qui restent chez les rebelles. Une petite grenade plus tard pour ménager une retraite rapide, les rebelles prennent la fuite et je rejoins mes deux héroïnes plus haut sur les flancs de la montagne. Un coup de radio portative à mes gars pour leur dire de transmettre l’info de la libération de l’otage et de la bonne opportunité de passer à l’attaque sur le fort, et je peux m’occuper des 2 demoiselles. L’otage est une jolie fille châtain, plus jolie que sur les photos qui circulaient dans la presse ou dans les casernes, avec des formes avantageuses. Elle paraît fatiguée (elle vient de vivre quelques semaines d’un sacré calvaire et de se taper un 200m en zigzag dans un lac froid et sous la mitraille) et surtout émue d’être libre. Elles sont toutes les 2 trempées et surtout blessées. L’occidentale a du sang au bras et Irina semble toucher à la jambe. Ils ne savent pas viser (sinon je ne serais plus là pour vous raconter) mais il arrive que leurs balles touchent les cibles malheureusement (j’ai perdu suffisamment de potes bêtement pour le savoir). Premiers soins, premiers constats et surtout, je leur propose de leur donner ma veste de combat et mon tshirt pour changer leur haut mouillé, l’eau ne devant pas atteindre les 10° dans ce lac de montagne. On manque un peu de vêtements de rechange (le bain n’était pas franchement prévu au programme), mais on se débrouille comme on peut et on commence la redescente vers mes gars postés en surveillance du fort.


Je vous laisse imaginer la troupe : moi torse nu portant sur le devant mon sac à dos avec le matos de base et sur le dos Irina, qui ne porte plus que ma veste de treillis (sa veste et son tshirt étaient trop mouillé). Je sens de temps en temps ses petits seins nus sortir par l’ouverture de la veste et caresser la peau de mon dos. Malheureusement elle se réajuste à chaque fois que son sein sort et me touche, mais pour quelqu’un qui n’a pas eu de contact avec une peau féminine depuis quelques mois, c’est difficilement supportable… Ça m’en ferait presque oublier notre ex-otage. Mais on ne risque pas de l’oublier, quand elle ne parle pas pour vanter notre courage et notre gentillesse, c’est pour regretter de ne pas avoir pu sauver ses notes de détention qui étaient dans son sac, resté au campement des rebelles, et les substantiels droits d’auteur qu’elle pourrait en tirer. Ces occidentaux ont toujours les pieds sur Terre : vous les sauvez des mains des rebelles les plus machistes et préhistoriques de la planète et ils vous parlent livre et Hollywood… Enfin, elle est mignonne et ses gros seins ressortent bien, voire même se balancent, dans ma tshirt et je lui pardonne tout.


D’autres qu’il ne faut pas oublier malgré le plaisir de la situation actuelle, ce sont les rebelles. La stupeur, la panique passée, ils nous ont pris en chasse (avec pas mal de retard et que 2 ou 3, les autres n’étant plus aptes à la poursuite). Heureusement que nos hélicos pointent le bout de leur nez, parce que sans la peur qu’ils ont suscitée, je pense qu’on aurait été rapidement rejoint. Et à 1 + 2 blessées contre 2 ou 3 rebelles revanchards, on n’aurait pas fait les fiers. Mais entre l’arrivée des hélicos et la rencontre avec le groupe qui doit nous apporter les brancards, il y a encore 2 heures de descente, avec les seins d’Irina de plus en plus dénudés et la jeune militaire qui se réajuste de moins en moins. Si bien que rapidement dans la descente, j’ai deux tétons raides comme du bois qui me caressent le dos ou les épaules suivant sa position sur mon dos. Sa peau est très douce et connaissant mes fantasmes, vous imaginez dans quel état je me trouve malgré la difficulté du moment (Irina n’a beau pas être très lourde, au bout d’un moment, ça fatigue un peu).


Quand j’estime que le danger immédiat est passé, je décrète une pause dans la descente. On sort quelques gâteaux secs (il en restait) et un peu d’eau, et je fais quelques exercices pour détendre un dos qui souffre quelque peu. Irina n’a pas pris la peine de tenir la veste complément fermée et je peux donc admirer les seins qui me font tant d’effet depuis le début de la descente, des petites pointes surmontées d’un téton rose tout pointu lui aussi. Le genre de seins que, en temps normal, j’adore porter à ma bouche et sucer délicatement en les aspirant. Si on n’était que tous les 2, je tenterais bien ma chance, mais avec l’occidentale, je ne veux pas prendre de risque. C’est pourtant elle qui remarque mon état et mes regards et qui nous sort dans notre langue avec un accent occidental à coupé au couteau :


" Jolie vue dans ces montagnes en effet. Je comprends que cela vous fasse tant d’effets Sergent " et son regard appuie franchement ses propos, ne laissant aucun doute à ceux là. On se regarde avec Irina un peu surpris, les rapports n’étant jamais si directs entre garçon et fille chez nous.


" Mais les montagnes d’Europe de l’Ouest ne sont pas mal non plus " insiste t elle joignant les gestes à la parole en enlevant mon tshirt et dévoilant ses gros globes blancs aux larges aréoles brunes. Voyant le froid qu’elle jette sur la petite assemblée, elle demande timidement " Je vous choque ? ". Je lui explique qu’on n’a pas trop l’habitude d’être si direct par ici (j’avais déjà remarqué lors de mes déplacements pour des championnats internationaux que les américaines n’étaient pas farouches, mais les européennes semblent être à leur niveau), mais que c’est une jolie vue. Elle réplique que depuis qu’elle est prisonnière, elle n’a pas senti de corps masculin contre elle et que cela lui monte à la tête, ses geôliers ayant trop peur des flammes de l’Enfer promis à ceux qui toucheraient à l’impie qu’elle était.


En souriant, on lui explique qu’on est un peu dans le même état tous les 2 en lui racontant nos 2 histoires, et je l’invite à venir contre moi. Ses seins s’écrasent contre mon buste nu et nos langues se mélangent fougueusement. On rattrape des semaines de frustration dans un élan de fougue incontrôlé. Sa peau est chaude et rugueuse, mais me fait un bien fou. Je remarque à peine que malgré sa jambe blessée, Irina vient jusqu’à nous, enlève le pantalon de notre compagne et entreprend avec sa langue de lui faire retrouver les plaisirs de l’orgasme. Je ne sens que son corps se tendre en propageant l’onde de plaisir. La petite blondinette oubliant un peu plus ses blessures m’entreprend à mon tour et me prépare pour que je puisse honorer l’ex prisonnière en lui rappelant les plaisirs du couple. Trop excitée pour résister à ma pénétration, elle jouit une nouvelle fois rapidement, me permettant, le devoir accompli de me retirer et d’éjaculer sur son visage rond et un peu sale. La crème blanche rescapée des branlettes solitaires qui ont peuplé mes nuits ces derniers temps s’étale sur son visage et sa bouche, et Irina dans un élan de perversité qui me prouve que les généraux ne doivent pas s’ennuyer loin des combats, vient lui nettoyer le visage avec la langue, arguant qu’il ne faut laisser des traces de mes méfaits. Elles partent toutes les 2 dans un corps à corps qui n’a rien de violent, les gros seins de l’une écrasant les petits seins de l’autre, les blessures n’étant plus qu’un souvenir effacé par les affres du plaisir. Comment voulez-vous avec ce spectacle garder une attitude normale d’un militaire en mission ? Heureusement, quand elles jouissent après moult caresses mutuelles, elles ont la bonne idée de s’embrasser profondément et leurs cris se perdent dans la bouche de l’autre.


Quand tout le monde est calmé et s’excuse de son comportement immoral (mais sans trop de conviction, chacun ayant apprécié le moment passé), on se réajuste dans une tenue plus propice à la rencontre de militaires, le but étant quand même de rejoindre la colonne qui nous apporte les brancards. Pendant que les 2 filles remettent leurs vêtements originaux, séchés au chaud soleil des montagnes, les hélicos qui attaquent le fort nous ramènent à notre véritable situation et quelques minutes après, quand on retrouve la colonne de secours, les " plaisirs " de la guerre retrouvent leur place, renvoyant les plaisirs de la chaire au rayon des souvenirs.


Les heures qui suivirent furent suffisamment remplies entre récit à mon commandant, félicitations du Ministre en personne, activités classiques de retours de mission pour que je n’aperçoive à peine du départ de l’occidentale vers son pays, sans l’avoir revue depuis que je l’ai laissé avec Irina dans une ambulance sur la route de la caserne.


Quelques jours plus tard, Irina et moi avons reçu notre mutation pour des bureaux à l’Etat major ou au Ministère, avec horaires aménagés pour l’entraînement. On s’est installé tous les 3 avec son fils dans un petit appartement (offert par le gouvernement) de la capitale, loin des combats, et le jour où elle m’a appris qu’elle était de nouveau enceinte, on recevait un courrier d’Europe, contenant le récit de captivité de notre otage publié en édition de poche, quelques photos d’elle dans une tenue très légère en guise de marque page et un livre de décalcomanies représentant les monuments de l’Europe pour le petit. En attendant que les prochains championnats du Monde se déroulent en France ou en Allemagne pour qu’on puisse la revoir et montrer à nos 2 bouts de choux les beautés artificielles de l’Occident, nos montagnes, même infestées de rebelles, valant toutes les Tour Eiffel du monde.


Lieutenant A.H.