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n° 02713Fiche technique15555 caractères15555
Temps de lecture estimé : 10 mn
22/08/01
Résumé:  Plaqué depuis peu, encore nostalgique, la petite Caro est là pour le consoler.
Critères:  fh douche amour volupté cérébral hmast intermast cunnilingu pénétratio fdanus
Auteur : Stets77  (Smooth guy)      
Vapeurs de bains


J’étais sous la douche depuis quelques minutes, me rappelant les bons moments passés avec Laura. J’avais littéralement été plaqué une dizaine de jours auparavant, mais j’avais encore beaucoup de mal à sortir son souvenir de mes pensées. La chaleur de l’eau avait dû suggérer les petites mains de mon ex courant sur mon corps, dans mon dos, sur mes cuisses. Laura était petite - 1m50 environ - et lorsqu’elle me caressait de ses mains, ses doigts minuscules me faisaient toujours l’effet de petits filets d’eau, à la fois sensuels et chatouilleurs.

Malgré sa petite taille, elle était merveilleusement bien faite, avec une poitrine ronde, ferme, dont les seins remontaient légèrement lorsqu’elle se tenait debout. Pour peu qu’elle fut légèrement excitée, sa poitrine pointait vers moi, et elle savait se cambrer légèrement pour faire ressortir ses formes dans un geste extrêmement excitant, levant ses bras et tirant en arrière sur ses cheveux comme si elle avait voulu les préparer pour les coiffer. Mais à côté de ses fesses, ses superbes seins n’étaient rien. Sa magnifique croupe arborait fièrement deux globes ronds et tentateurs, mis en valeur par sa taille très mince, si étroite que mes deux mains en faisaient presque le tour. Bref, une pouliche excitante, au charme ravageur et qui à mon grand désarroi, savait en user parfaitement.

Il est aisé de comprendre que la perte d’un petit bijou comme celui-ci a semé une panique féroce dans mes hormones, entraînées depuis plusieurs mois à réagir au quart de tour à la moindre provocation de la belle - et pour provoquer, elle provoquait, car ses multiples expériences sentimentales lui avaient appris à apprécier les plaisirs de la chair. À ce stade de mes réflexions, ma main se baladait donc du côté de mon entre-jambes, et je caressais mon sexe sans grande ardeur, mais avec suffisamment d’attention pour qu’il démontre son souci de ne pas s’arrêter à ces contrariétés sentimentales.

En toute modestie, je dois avouer que mon sexe ne me déplait pas, et même s’il n’était que moyennement excité, les veines élargies et le gland gonflé me faisaient apprécier ce joli cadeau de la nature…


Je commençais alors à me souvenir d’une soirée avec Laura… Je l’avais invitée au restaurant et nous avions bu une bouteille entière de vin à nous deux. Etant donné sa petite taille et ma résistance médiocre à l’alcool, ces quelques rasades nous avaient suffisamment égayés pour que quelques inhibitions commencent à tomber. Une fois le repas terminé, nous avons décidé de nous promener afin d’oxygéner nos esprits embrouillés. Passant ma main autour de sa taille, je menais Laura vers un grand classique du circuit romantique à Paris: les quais, le Pont des Arts, le Louvre. Elle avait sa tête appuyée contre mon torse, et mes doigts lui caressaient tendrement la hanche.

Une fois arrivés au Louvre, et tandis que nous admirions ce magnifique spectacle qu’offre la bâtisse illuminée chaque soir, elle me demanda soudain de l’embrasser. M’exécutant avec empressement, je lui tenais délicatement le cou de mes deux mains, puis, tandis que je passais tendrement une main sur sa joue, mon autre main commença à descendre lentement, avec une grande douceur, le long de son petit dos si fragile - du fait de sa petite taille, j’avais toujours l’impression que mes mains allaient briser ses os ou labourer méchamment sa peau si parfaite. Nos deux corps se rapprochaient et elle devait commencer à sentir mon excitation contre son ventre. Je lui attrapais alors la taille pour la serrer contre moi, et le petit gémissement qu’elle émis me confirma son état lascif. Pour une simple vérification, ma main vint se blottir dans la chair tendre de ses cuisses, tandis que ma jambe s’avançait plus près de son entre-jambes. Elle soupira, me serra la tête de ses mains, et sa langue se mit à caresser la mienne avec une dextérité à réveiller les morts - bon sang, que cette fille était douée ! Nos deux langues étaient dressées et se mélangeaient tendrement, comme deux amants excités et dont les caresses sont emplies d’une assurance tranquille et confiante dans la somme des plaisirs à venir. Laura se mit alors à onduler son bassin à mesure que ma main caressait l’intérieur de ses cuisses au travers de son jean.

J’arrêtais de l’embrasser et la tirais doucement jusqu’à l’un de ces bancs qui garnissent les façades du Louvre, face aux Pyramides. Elle vint sur mes genoux et, tandis que nous nous embrassions tendrement, ma main se glissa sous elle pour caresser son sexe à travers son pantalon. L’épaisseur du jean atténuant mes caresses, j’exerçais de fortes pressions avec mes doigts, la paume de ma main étant placée juste sur sa petite toison. Mes gestes tendres mais fermes l’excitèrent, et elle remuait son bassin comme si mes doigts s’étaient directement enfoncés entre ses lèvres, sans doute humides et gonflées à l’heure qu’il était. Cela ne faisait d’ailleurs aucun doute au vu de la chaleur qui traversait désormais son jean… Ma petite chérie devait fondre littéralement, et les petites pointes qui dressaient désormais son t-shirt me le confirmaient. Elle pivota légèrement pour être un peu plus face à moi et glissa sa main directement dans mon pantalon pour empoigner mon sexe dressé. Elle le serra avec assurance et je soupirais, abandonné à cette caresse.

Il y avait très peu de monde autour de nous et la situation était d’autant plus excitante que nous avions l’air de deux amoureux romantiques, alors même que nos mains respectives faisaient le plus grand effet sur les zones les plus érogènes de nos corps. Attrapant son poignet, je lui fis retirer sa main et l’embrassais tendrement. Ces préliminaires étaient une grande réussite, mais maintenant qu’il nous fallait passer aux choses sérieuses, le moment était venu de revenir dans un endroit plus intime. Nous traversâmes de nouveau la Seine et revînmes jusque chez moi.

Inutile de dire que les préliminaires furent beaucoup plus brefs. De mon côté, j’étais largement prêt, ayant pu admirer les mouvements adorables des fesses de ma douce pendant la brève montée des escaliers. Son superbe derrière savait titiller ma libido au plus haut point, et mon sexe ne demandait plus qu’à passer à l’acte, dressé et serré dans mon pantalon. Le temps de déshabiller Laura et elle avait, elle aussi, retrouvé le chemin de l’excitation.

Elle était désormais allongée sur mon lit, vêtue seulement d’une culotte de soie blanche. J’adorais la voir dans cet état lascif, abandonnée aux plaisirs et à mon imagination. Mes mains caressaient ses seins raffermis par l’attente et le plaisir, puis jouaient avec son nombril et son piercing, et je descendis l’une d’elles pour saisir fermement son sexe, comme je l’avais fait quelques instants auparavant à travers ses habits. Elle gémit et se lova contre moi. Ses lèvres étaient trempées, mes doigts jouaient avec la soie et la pénétraient tantôt directement, s’enfonçant juste pour l’entendre gémir de nouveau et s’enduire de mouille, tantôt en exerçant une pression sur la soie, pression conduisant ses lèvres délicates à s’ouvrir un peu plus. Elle commençait à se trouver dans l’état qui m’est cher, celui où les filles s’abandonnent au plaisir, lorsque la chair de leur sexe cède à toutes les caresses, contrastant avec leur poitrine qui se tend désespérément dans l’attente d’une caresse.

Cette petite chatte sans défense s’offrait à moi. Je crochetais alors la culotte pour l’attirer vers le bas, tout en glissant moi-même délicatement pour embrasser ma chérie là où elle m’attendait. Je glissais ma langue tendue entre ses lèvres, très délicatement, de bas en haut. Elle gémit encore une fois et écarta ses cuisses pour m’encourager. La pression de ma langue augmenta alors un peu plus, et après quelques mouvements circulaires pour déguster son jus je l’enfonçais comme s’il s ’était agit de mon sexe.



Je remontais légèrement jusqu’à son petit bouton - vraiment petit et difficile à trouver chez elle, d’ailleurs - et tendant encore une fois mon organe buccal, je savourais ce petit morceau de chair tout en enfonçant deux doigts en elle. Elle reprit les mouvements de son bassin et étira son buste, relevant la taille et roulant les fesses, s’offrant ainsi totalement à mes caresses. Elle était trempée, son sexe coulait comme s’il était inondé de jus de pêche, et mes doigts allaient et venaient entre ses lèvres ouvertes, caressant son point G, tandis qu’elle gémissait de plus en plus fort. Je retirais mes doigts, fis passer mes bras à l’extérieur de ses cuisses pour masser ses seins, en dès que j’eus enfoui ma langue aux tréfonds de son vagin, le visage inondé de mouille, son clitoris écrasé contre l’arête de mon nez, elle appuya ses mains contre les miennes pour lui agripper les seins, remua frénétiquement le bassin pour frotter son sexe contre ma langue, et enfin poussa un cri de jouissance. Ses cuisses se mirent à trembler, m’enserrant la tête et m’écrasant le visage contre son sexe trempé et brûlant de désir. Je sentais son orgasme durer par le tremblement de ses cuisses, et au bout d’un instant elle dut les laisser retomber, terrassée par le plaisir.


Je jouais alors encore un peu avec ses lèvres ouvertes et me passais la main sur le visage pour effacer les traces de sa jouissance. Je glissais de nouveau mes doigts dans sa chatte pour les enduire de cyprine, puis les posait doucement contre son anus et les fis pénétrer d’un coup, ce qui la fit crier de nouveau. La petite salope avait tellement dégouliné que son jus avait coulé jusque sur son sphincter; du coup, il était aussi facile à pénétrer que s’il avait été lubrifié.

Cette introduction rectale était juste pour profiter de la situation, car je savais qu’elle n’aimait pas mes tentatives récurrentes pour forcer son petit passage. Elle me le rappela avec élégance, prenant délicatement mon visage dans ses mains pour m’attirer jusqu’à sa bouche et m’offrir un tendre baiser, serrée dans mes bras.

Même si j’appréciais cette délicate attention, je bandais toujours à mon maximum. Revenant au-dessus d’elle, je faisais glisser mon gland contre sa chatte toujours grande ouverte et excitée. Après quelques mouvements opérés en nous regardant droit dans les yeux, elle me supplia :



Je tendis alors mon bassin, redressais mes fesses pour que ma bite revienne dans un angle de pénétration, et m’enfonçais sans détour jusqu’à la garde, écartelant les parois de son vagin avec mon engin - je vous rappelle que la miss mesurait 1m50, à comparer à mon 1m80 bien monté. Elle manifesta son plaisir en poussant un véritable beuglement, et j’accélérais tout de suite mon rythme de pénétration, porté aux anges par la tension de sa petite chatte brûlante enserrant mon sexe. Elle était tellement trempée que je glissais en elle trop facilement, au point pas franchement agréable que nous produisions des bruits de succion. Elle serrait ses cuisses contre ma taille et ses pieds poussaient mes fesses, comme si elle avait voulu que je la transperce de mon sexe dressé.

Je la fis pivoter afin de m’allonger sur le dos; elle était fichée sur ma bite, dévorée de désir, ses seins gonflés anormalement. Elle se mit en mouvement sur moi, laissant juste mon gland en elle puis se laissant glisser sur toute la longueur de mon sexe, qui se plantait contre sa matrice. À chaque mouvement, elle poussait un cri de plaisir, ses lèvres si sexy étaient légèrement tordues dans son effort de concentration, comme si elle devait pleurer, et tout en accélérant le rythme elle se baissait de plus en plus contre mon torse pour me caresser du bout des seins et exciter son clitoris contre ma toison. Voir ainsi tous ses organes en érection, elle-même dans un état second, nous caressant avec obscénité, tandis que je voyais la large base de ma bite s’enfoncer en elle puis ressortir, luisante de son désir, elle criant toujours plus fort, moi haletant, nos corps trempés de sueur, me fit soudain trembler et répandre ma semence en elle, au moment où elle s’effondrait sur moi dans un long soupir. La force de l’orgasme la faisait trembler contre ma poitrine, et moi-même sentais ma bite remuer dans ses entrailles à chaque jet de sperme.

La petite taille de son vagin laissait toujours glisser hors d’elle toute ma semence, mais nous restâmes collés l’un à l’autre pendant un long moment, nos sexes trempés de mon sperme et de son jus.


Après ces quelques souvenirs, j’aurais aussi bien pu être avec Laura dans la douche, tant j’étais excité. Je saisis alors mon sexe avec une force exagérée, et fis glisser violemment ma main sur la hampe, à la fois énervé et frustré.

C’est alors que je m’aperçus que ma demi-sœur était entrée dans la salle de bains pendant mes rêveries. L’excitation m’avait enlevé toute gêne mais j’appréhendais sa réaction; certes, elle n’avait pu me voir nu, puisque les parois de la douche étaient faites de verre martelé, mais elle ne pouvait avoir raté ma silhouette, bizarrement déformée par une proéminence qui ne laissait aucun doute. Tandis que j’arrêtais le jet de la douche - j’étais largement rincé, depuis le temps - je me rassurais en me disant que Caroline n’avait pas l’air du genre à se formaliser pour ce genre d’histoires.

Ce n’était qu’une supposition car c’était la première fois que ma demi-sœur et moi passions vraiment du temps ensemble. Je passais alors mes vacances chez mon père et les fois précédentes, la fille de sa nouvelle compagne n’avait jamais eu les mêmes disponibilités que moi - en fait, nous n’avons pour ainsi dire aucun lien de parenté, même si Caroline et moi nous déclarons demi-frères. Cela faisait donc deux semaines que nous avions réellement fait connaissance, et ma foi fort bien sympathisé. Le fait de m’être fait plaquer par Laura m’avait conduit à lui raconter mes histoires sentimentales, et elle avait de même… Et la garce était une sacrée coureuse, ce qui n’avait rien d’étonnant vu sa plastique parfaite, son visage adorable, ses beaux cheveux blonds et ses grands yeux verts. Le tout serti d’une personnalité très présente et d’une intelligence presque palpable.


Bref, pas la peine de vous faire un dessin, Caroline était tout à fait mon genre, et j’avais déjà dû me raisonner à plusieurs reprises, durant les longues soirées passées à échanger nos confidences, pour ne rien entreprendre avec elle. Mais là, me voilà sortant de la douche, une serviette cachant mes parties intimes mais ayant du mal à dissimuler les manifestations physiques de mon trouble, en présence de Caro qui est en sous-vêtements et en train de se maquiller avant de sortir…