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n° 02799Fiche technique20282 caractères20282
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Temps de lecture estimé : 15 mn
06/08/23
corrigé 06/08/23
Résumé:  Son amie Lou-Anne lui a vivement conseillé de se rendre aux Thermes la prochaine fois qu'elle passerait à Nantes.
Critères:  grp sauna douche voir photofilm intermast fellation préservati pénétratio fsodo
Auteur : Caline  (Femme, 40 ans)      
Nantes... les Thermes

Dix minutes que je faisais les cent pas sur le parvis… ! Hésitante, mais avec une énorme envie de passer la porte d’entrée.

Mon amie Lou-Anne était habituée des lieux et m’avait conseillé – que dis-je, « ordonné » serait plus le mot – de me rendre aux Thermes.


Un lieu magique, où l’anonymat côtoie l’érotisme… où chacun cherche son chat, et où tous les chats sont gris ! disait-elle. Vas-y, ma chérie, tu reviendras conquise !


Conquise ? Par qui ? Par quoi ? Je n’avais pas sa beauté, son charisme… Elle, c’était une merveille ! Il y avait Lou-Anne, et autour d’elle, une sphère invisible qui l’entourait. Un véritable aimant à Hommes ! En fait, un véritable aimant tout court !

Moi-même, j’avais été aimantée, je crois ! Mais notre relation était toute autre que ce que l’on pourrait imaginer… On s’aimait, c’est tout. Rien de sexuel ni de physique ; elle était tout simplement la femme de ma vie ! Aussi, lorsqu’elle me disait « vas-y, ma chérie »… eh bien, je ne me posais pas de questions, j’y allais ! Et c’est ainsi que je me suis retrouvée devant les Thermes ! Les explications avaient été des plus simples :


C’est face au Centre hospitalier, une immense bâtisse en arcades, tu verras… tu ne peux pas la rater !


En effet, je n’avais rien raté ! Mais maintenant, je faisais le « pied de grue » devant, et hésitais à entrer. Je regardais d’un œil furtif, mais régulier, la devanture :


LES THERMES SAUNA MIXTE


Cela indiquait de bons moments : détente, repos, bien-être… mmh mmh… m’occuper un peu de moi… mais ce qui me freinait était le mot « mixte » ! Je m’assis donc sur le banc du parvis et empoignai mon portable. Le numéro composé, j’entendis la sonnerie à l’autre bout…



  • — Allô ? C’est toi, ma puce ?


« Ma puce » ! La voix de Lou-Anne ; toujours à m’appeler ainsi alors que je faisais le double de son poids !



  • — Oui, c’est moi… Dis donc, je t’appelle, car j’ai suivi ton conseil, et je suis à Nantes !
  • —  Ah oui ?
  • —  Oui ! En fait, je suis devant les Thermes !


Elle se mit à rire.



  • — Eh bien, c’est parfait ! dit-elle. Amuse-toi bien…
  • —  Ben, justement, il y a une chose qui me gêne assez… C’est mixte !


Elle rit de plus belle, mais son rire était si charmant qu’on ne s’en offusquait jamais.



  • — Écoute, ma puce… tu y es, alors tu y vas ! Et puis tu me raconteras… c’est pas la mer à boire ! C’est mixte, et alors ? Tu as déjà vu des hommes nus, non ?! Allez… bon après-midi, je dois te quitter. Bises !


J’ouvris la bouche pour parler, mais déjà, elle avait raccroché !


Pendant que je téléphonais, j’avais pu voir s’approcher un homme en uniforme de gendarme mobile. Il avait attiré mon attention non seulement par son uniforme bleu nuit, mais plus par sa personne. Moyennement grand, la tête rasée, il avait un visage froid et expressif, du genre à ne pas venir s’y frotter. Il n’avait pas trente ans et je dois dire que, physiquement, je le trouvais particulièrement attirant. Sans doute, ce côté « brute » !

Il venait de passer devant moi et quelle ne fut pas ma surprise de le voir entrer aux Thermes ! J’essayai alors de rappeler mon amie, mais peine perdue, et je me retrouvai là avec un air plus « godiche » que motivé !


« Bien, me dis-je, de toute façon je peux aller voir… et si cela ne me convient pas, je ressortirais… c’est simple ! »


Après encore quelques minutes qui n’eurent pour utilité que de me faire encore plus hésiter, je me levai subitement et me dirigeai vers la porte en verre fumé, que je poussai doucement.

J’avais l’impression d’entrer dans le hall d’un cinéma… Une caissière attendait derrière une vitre : pulpeuse, en peignoir de satin noir, elle était assez jolie et très agréable à regarder.



Cette phrase était sortie stupidement, et je m’en voulais de l’avoir prononcée comme une excuse…



« Gratuit, pour les femmes », me dis-je, mais je ne comptais pas me rendre encore plus ridicule en demandant d’autres explications… Elle me remit une serviette de bain, une clef de vestiaire accrochée à une petite pochette à fermeture éclair, et la porte qui se trouvait à ma droite s’ouvrit lorsque la jeune femme appuya sur un bouton. J’entrai. Je me trouvai alors dans une sorte de salon, avec banquette et fontaine de fleurs, dans les couleurs « saumon ». La lumière y était diffuse, mais claire tout de même. J’avançai, suivis le chemin qui menait vers un couloir.

Une ouverture sur la droite : le vestiaire ! Je descendis une marche et me retrouvai sur une moquette rase et agréable. Je dois dire que le cadre était joli. Un homme était en train de s’habiller. Un signe de la tête m’indiqua un salut sommaire.

Derrière la rangée de vestiaires, une ouverture donnait sur un salon avec canapé et fauteuils en cuir vert ; sur une table basse, des revues X et juste une lampe douce. Je commençai donc à me dévêtir et mis tout dans mon armoire, que je fermai à clef. En rangeant la clef dans la pochette prévue à cet effet, je découvris un préservatif, et du gel…


Je passai l’encadrement de la porte et me retrouvai dans un couloir sombre. Tout ici n’était que pénombre et lumière tamisée. Sur ma gauche, le bar avec des miroirs donnant un effet de profondeur à la pièce était accueillant, la piste de danse était minuscule - mais y dansait-on ? -, juste quelques tables en fonte - années « rétro » - et des plantes artificielles pour rehausser le cadre.

Deux hommes prenaient un verre et mon apparition dans la pièce leur fit tourner la tête dans ma direction. Un sourire, un hochement de la tête, et j’étais repérée ! Je souris moi aussi et ne m’attardai pas. Je visitais… alors je n’allais pas m’arrêter dès le début !

Dans le couloir, juste après le bar : la douche ! Obligatoire, comme il se doit ! Depuis mon entrée, je constatai que la propreté était présente, ce qui m’inspirait beaucoup. Je passai donc à la douche. Juste deux douches, face-à-face, sans séparation, dans la pénombre, toujours. J’appuyai sur le bouton, attendant que l’eau coule, et je commençai à me laver. Un distributeur de savon liquide était à disposition. Je voulus l’utiliser, mais une main s’en servait déjà. Je me retournai, surprise ! Un homme était avec moi ; nu, bien entendu !


Comme il me dévisageait, je fis de même, sans retenue ! Et bien sûr, je ne détaillai pas que son visage… De toute façon, ses yeux étaient déjà bien au-delà de mon nombril… La quarantaine, brun avec une moustache, juste quelques cheveux gris sur les tempes, de-ci, de-là… et des yeux qui semblaient être marron. À vue d’œil, je dirai 1,75 m pour 65 kg. Je ne ferai aucun commentaire sur la taille de son sexe qui me faisait face, mais loin de m’effrayer, il était plutôt du genre à me mettre en appétit… En même temps que cette pensée me traversa l’esprit, je fus surprise de la tournure de la situation. Plus du tout envie d’appeler mon amie « aux secours » ! Je trouvai la situation plaisante : « mater » sans retenue ce type que je ne connaissais ni d’Eve ni d’Adam… nu, qui plus est…

Nu ? Oui, et moi aussi, d’ailleurs ! Alors là, c’était autre chose, et la situation n’était tout à coup plus plaisante à mes yeux ! Je cherchai ce que je pouvais cacher… Mes seins qui tombaient ? Ma culotte de cheval (et là, je suis modeste… « l’attelage de la reine, les jours de gala ! » dirait Stéphane Bern !) ? La cellulite dans les cuisses (semblable au flux des flots à la pointe du Raz aux grandes marées !)… ? Mes mains cherchaient désespérément où se poser, mais l’homme en attrapa une furtivement.



Appétissante ? Je ne pus m’empêcher de sourire. Cet adjectif ne m’était jamais venu à l’esprit, le matin, devant mon miroir de salle de bain…



Il me regardait droit dans les yeux, comme s’il devinait mes pensées.



Alors là, je ne bougeai plus ! Il s’était approché de moi, et l’eau avait cessé de couler. Je sentis son visage tout près du mien.



Je ne pus répondre ; bloquée par cette promiscuité. Il commença alors à presser le distributeur de savon, et se remplit la paume de la main. Celle-ci était déjà sur mon cou ; le savon glissa doucement et se répandit entre mes seins. Je n’osai regarder mon laveur…

Sa main était sur mon bras et elle massait délicatement. Son autre main s’approcha de ma taille où elle se posa.



En même temps que je prononçai ce mot, je me maudis de l’avoir dit ! Il sourit.



De pis en pis ! Je n’arrivais pas à me décontracter ! Toute mon attention était sur ses mouvements. Il me lavait en parlant, et y prenait un immense plaisir, en plus… ! Cela se sentait. Ses mains savonnaient mon dos avec des mouvements délicats. Il était si proche de moi, je sentais son souffle sur mon cou, et son haleine mentholée… Je ne bougeais toujours pas. Une pression de son corps et j’étais littéralement dans ses bras. Il continua à frotter délicatement mon corps de toute part, chaque mouvement était d’une sensualité extrême, et cet homme me faisait un effet « bœuf » !



Il était rendu à mes fesses et les malaxa avec savoir… Je fermai les yeux.



La pression de son corps me confirmait l’effet que je lui faisais. Son sexe, que j’avais pu observer tout à l’heure, avait pris un volume très intéressant et était maintenant venu trouver refuge entre mes cuisses…



Je sentis alors ses lèvres, dans mon cou, remonter sur ma joue et venir se perdre sur les miennes. Je répondis à ce baiser divin ; étonnée moi-même de ne pas opposer de résistance. En fait, j’y prenais même beaucoup de plaisir !

D’une main, il pressa le bouton de la bouche, et l’eau tiède vint me rincer de tout ce savon. Notre baiser continua de plus belle.


Il m’entraîna ensuite hors des douches et m’enveloppa le corps de ma grande serviette jaune. Lui se passa une petite serviette rouge autour de la taille.



Sur la droite, une pièce donnait accès au Sauna et au Hammam. Sur la gauche, une ouverture permettait d’entrer dans une pièce de style grec, avec des colonnes de marbre et une statue antique. Au milieu, un jacuzzi bouillonnait et trois personnes s’y trouvaient installées : une femme et deux hommes. Elle était nonchalamment allongée, les bras sur le rebord, la tête en arrière. La cinquantaine bien passée, encore jolie, mais d’une beauté fanée. À sa droite, un jeune homme qui ne devait pas avoir plus de vingt-cinq ans était en train de lui masturber la pointe d’un sein tout en léchant l’autre. À sa gauche, un homme faisait un mouvement régulier de la main sous l’eau, laissant apercevoir parmi les bulles qu’il était en train d’explorer son sexe avec les doigts. Elle, cela se voyait sur son visage, y prenait un plaisir certain. Sa main caressait le crâne rasé de l’homme que j’avais remarqué à l’extérieur des Thermes…



Ainsi, Olivier, puisque c’était son prénom, venait ici pour se taper des vieilles… je le revoyais si sévère dans sa tenue de gendarme mobile… je ne pus m’empêcher de sourire.


Un homme était à l’extérieur du bain, adossé au mur, et regardait la scène tout en se masturbant ; il tourna la tête dans notre direction.


Je dois dire que le spectacle ne me choquait pas, j’étais entrée dans un lieu de plaisir, d’échangisme, de mélangisme… et n’étant tout de même pas une oie blanche à quarante ans, je découvrais un lieu inconnu certes, mais qui ne me déplaisait pas.


Jean-Michel me tenait par la taille.



Je fis « oui » de la tête en souriant. Il me plaisait et je me sentais bien. Je savais qu’il saurait, avec attention, me porter à des sommets voluptueux et sensuels.

De nouveau dans le couloir, un escalier montait à l’étage supérieur. Ce n’était plus la pénombre, mais la quasi-obscurité ! Dans un renfoncement, un couple se découvrait à grands bruits de gloussements et de soupirs. Je pense même que de découverte, ils en étaient rendus au stade d’introduction… Mais il faisait si sombre que l’on ne devinait que des formes au loin, et encore… !


Nous passions devant des cabines aux portes ouvertes. Certaines avec un matelas de skaï surélevé, et un miroir au plafond. D’autres avec un grand matelas au sol et des miroirs sur les murs. Je pensais que mon partenaire allait m’entraîner dans une de ces pièces ; mais pas du tout ! Au bout du couloir, le noir était total ; et nous nous dirigions là…


Je serrai la main de Jean-Michel…



En effet, nous entrions dans une grande salle qui n’avait pour tout éclairage que la lumière d’un poste de télé encastré dans un mur où un film porno était en diffusion. Dans le fond, il y avait des espaliers comme aux arènes, et sur le milieu de cet espace, des coussins étaient répartis. Là se déroulait un spectacle vivant ! Des hommes étaient assis et regardaient non pas la vidéo, mais un couple qui s’ébattait au milieu de la pièce. Jean-Michel m’entraîna vers le fond, et nous nous assîmes aussi.

La jeune femme, très jolie, vingt-cinq ans, blonde scandinave, la peau si laiteuse qu’on aurait dit qu’elle était farinée, avait des courbes parfaites ! Je distinguais qu’elle était totalement rasée. Elle se tenait allongée sur le dos et appuyée sur ses coudes, et regardait l’homme qui se trouvait à quatre pattes, entre ses cuisses, la léchant goulûment. Un des hommes assis se leva et s’approcha du couple. Il s’agenouilla, et sans aucun préambule, mit son sexe en érection dans la bouche de la jeune femme, qui, loin d’être surprise, se mit à le sucer sans complexe. L’homme lui tenait la tête et dirigeait la succion en enfonçant la bite de plus en plus loin dans sa gorge. Autour de nous, les autres hommes présents appréciaient grandement, et bien des mains étaient rendues sous les serviettes…

À ma droite, un homme me caressait, mine de rien, le côté de la cuisse avec son index, en regardant lui aussi le spectacle qui s’offrait à nous. Mon compagnon me tenait par l’épaule et ne voyait pas le manège. Ma main était posée sur sa cuisse, et je fus prise d’une envie irrésistible de remonter doucement. Il tourna alors sa tête vers moi, toujours un regard doux et rassurant… J’avais vraiment très envie de cet homme…

Je me penchai et vins l’embrasser tout en remontant encore la main. J’étais maintenant tout près de son sexe en érection et je le pris délicatement dans mes doigts. Je voulais le mouvement clair et subtil. Sa langue s’affaira encore plus autour de la mienne, et son souffle s’accéléra.

Hum, comme j’étais bien ! Je détachai ma bouche de la sienne et le regardai droit dans les yeux. Un sourire commun nous envahit, et sans dire un mot, je me penchai vers sa bite tout offerte que j’avais savamment malaxée. Avec ma langue, je mouillai mes lèvres, avant de venir enfourner ce membre qui m’était offert. Pour plus d’aisance, j’avais quitté mon siège et étais à genoux entre ses jambes. Je tenais la queue d’une main pendant que je la faisais entrer et sortir dans ma bouche en prenant soin de bien aspirer à chaque sortie. Mes joues se creusaient et je le sentais frémir de plaisir. De mon autre main, je caressais avec mes ongles les bourses bien pleines de mon partenaire. Je les malaxais du bout des doigts et sentais le plaisir que je lui procurais. Je ne tardai pas à sentir dans ma bouche ce petit goût salé…


De temps en temps, je me retournais pour voir où en étaient les ébats du trio central qui, en fait, avait été rejoint par un autre homme. La belle Scandinave avait maintenant deux queues à sucer en alternance et se faisait dévorer la chatte, mais plus par le même homme qu’au début. Là, c’était un superbe black qui s’en chargeait.

Je ne m’occupais pas des spectateurs ni du nombre… je me sentais caressée sur le corps par d’autres mains que celles de Jean-Mi, mais je n’en faisais pas cas. Il me releva et m’assit sur ses genoux, face à lui. Il commença à me pénétrer doucement. J’eus un mouvement de recul, prenant son sexe dans ma main, car il était hors de question de ne pas prendre de protection… Là, je sentis un préservatif qui était déjà en place, je ne l’avais pas vu le mettre. J’arrêtai mon mouvement, et me laissai faire.

Cette sensation était des plus agréable… Je passai alors mes jambes autour de sa taille et resserrai l’étreinte afin d’accentuer encore plus ses mouvements. Les va-et-vient de mon partenaire étaient très précis et de plus en plus profonds en moi. Il me tenait par la taille et la pression de ses mains activait en moi une envie intense.

Je n’avais pu voir, dans cette position, s’approcher l’homme qui m’embrassait la nuque et me caressait les seins. Je n’avais d’yeux que pour mon compagnon qui avait son regard plongé dans le mien.

Les mains qui malaxaient ma poitrine étaient expertes, et vite, les doigts firent bander les pointes de mes tétons, jouant avec… ce qui décupla mon envie !


Jean-Michel s’ôta de moi et je me retournai enfin. Face à moi se trouvait un homme d’une cinquantaine d’années. Je vis des yeux bleus, identiques aux miens, ma vue s’étend habituée au manque de luminosité. Il avait les cheveux très gris, des moustaches et un bouc, les deux contournaient sa bouche en totalité. J’étais assise sur les genoux de Jean-Michel et cet homme m’écartait maintenant les cuisses afin de venir enfouir son visage dans ma chatte. Les mains de Jean-Mi me caressaient de toute part, ma tête était renversée en arrière et je sentais une langue nouvelle m’explorer. En même temps, un doigt venait me découvrir au plus profond de moi et je sentais mon anus investi, ce qui avait pour effet de multiplier mon plaisir. Mes gémissements se faisaient entendre, je ne pouvais les retenir tellement cela était intense.


Lorsque je rouvris les yeux, je vis que la scène centrale avait pris une autre tournure. La femme était à califourchon sur un de ses partenaires qui la pénétrait, pendant que l’autre homme la sodomisait avidement… Elle suçait le troisième ! Cette vision nous excitait tous encore plus que le porno minable qui continuait à passer sur la vidéo…

Jean-Mi me prit par les hanches et me releva. Je me laissai faire docile… L’homme – j’appris plus tard qu’il se prénommait Marc – s’allongea sur le dos, sur un des bancs, et Jean-Mi me pencha en avant afin que je le suce. Ce que je fis sans problème ! La croupe bien en l’air, je m’affairais sans ciller lorsque je sentis le sexe de mon partenaire commencer à entrer en moi… La pénétration vaginale, prise par-derrière, est ce que je préfère ! Et pendant ma succion de la bite de Marc, Jean-Michel me prenait de la sienne… Je poussai le vice jusqu’à ce que mes deux partenaires jouissent ensemble. L’un dans ma bouche, et l’autre sur mes fesses… C’était jouissif !

Le spectacle central avait de nouveau évolué, la fille était assise par terre avec ses trois partenaires debout devant elle, plus d’autres spectateurs qui les avaient rejoints. Tout ce petit monde se masturbait vaillamment, ce qui donna un déferlement de sperme sur la jeune femme qui ne demandait que cela… léchant tour à tour chaque bite qui se présentait.


Nous sortîmes tous les trois de la salle, laissant la belle à sa dégustation « spermatozoïque » ! Nous sommes descendus au bar, prendre un pot. Là, nous avons fait plus ample connaissance, chacun de nous enveloppé sagement dans sa serviette…

Après de nouveau une douche, que j’ai partagée cette fois avec mes deux compagnons, et quelques jeux de mains dont je passerais les détails, nous nous sommes habillés tout en papotant comme de vieux amis…

Avant de sortir, j’échangeai avec Jean-Michel, puis avec Marc, un baiser passionné. Une fois dehors, chacun se dirigea vers sa voiture… il était 18 h 30 et j’avais passé un après-midi complet de sexe !


Mon portable sonna, et me fit sortir de mon rêve dans lequel je me remémorais nos ébats…



  • —  Ma puce ? Alors ? T’es-tu décidé à entrer aux Thermes ?


C’était Lou-Anne…