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Temps de lecture estimé : 18 mn
10/09/01
Résumé:  Alors qu'il se promène nu dans les bois, au détour d'un sentier il tombe sur une femme en train de se caresser...
Critères:  fh fplusag extracon grosseins forêt campagne danser voir exhib nudisme fmast hmast intermast fellation cunnilingu pénétratio fsodo
Auteur : Jean-Christophe
Mais que fait la laitière ?



Souvenirs de vacances (mais quand même très romancés, désolé !)


Pourquoi le cacher ? Je fais du naturisme sauvage, une certaine forme de naturisme, pas celui qui s’exhibe sur les plages, d’ailleurs j’ai une sainte horreur de m’exhiber, j’ai une sainte horreur d’être regardé, je ne veux pas être vu ou alors incidemment, au détour d’un sentier, une vision fugace d’un homme qui se promène contre toute attente entièrement nu dans la forêt. Ce n’est qu’une perversion, votre serviteur n’est qu’un satyre.


NDA - En fait je suis voyeur, surtout voyeur, voyeur secret, voyeur dans l’ombre. J’aime voler des images mais j’ai horreur des exhibitionnistes sans complexe, c’est le vol qui m’intéresse, surprendre quelqu’un qui ne s’y attend pas… De la même façon mon exhibitionnisme à moi n’est qu’un flirt continuel avec le risque, c’est se montrer pour ne pas être vu, c’est le plaisir que procure la montée d’adrénaline lorsque j’entends crisser une branche…


Je vais donc dans la forêt ou alors dans les sous-bois, plus rarement en terrain découvert ou il me faut alors quelque endroit où me cacher. Je me déshabille presque entièrement, ne gardant en général que mes chaussures, c’est plus facile pour marcher, et je me balade ainsi de branche en branche, de liane en liane, comme un Tarzan d’opérette, sauf que pour ma part je reste sagement au sol et me contente de me branler.


Parfois, rarement, je rencontre des promeneurs, j’essaye alors de les éviter, à moins qu’il ne s’agisse d’une femme seule et pas trop farouche ni dégoûtée. Devinez, c’est fort rare ! Ce n’est d’ailleurs pas une raison pour que je me jette dessus et me mette à la violer… Un homme à poil dans les bois est rarement un violeur… Non, je me contente de me faire remarquer et cette fois, je l’avoue, de m’exhiber, et souvent de me caresser. Ça va rarement plus loin, sauf très rares exceptions… Comme par exemple une proposition alléchante de ma gentille voyeuse.


Mais pour l’heure je voudrais vous conter mes démêlés avec une fermière alors que j’étais en vacances dans un coin perdu, propre à mes activités. Donc, entièrement nu, en train de me toucher, protégé par les frondaisons. Il faisait un temps radieux et les rayons du soleil, perçant parfois le feuillage dardaient sur ma queue nue et érigée. J’étais sur une petite colline et soudain je fis irruption dans une clairière qui s’étalait en contrebas. Il y avait un chemin de ferme, avec de larges ornières, qui serpentait, boueux en diable, et de l’autre côté un talus inondé par la lumière crue de ce bel après-midi d’été.


Elle était là, étendue dans l’herbe. Jupe et jupons… mais aussi à moitié débraillée… Pour l’heure je ne voyais pas grand chose, il me fallait m’approcher, mais j’ai tout de suite compris qu’il se passait quelque chose et que cette brave femme était en train de s’adonner au plaisir solitaire. Tout en restant à couvert, j’ai dévalé la pente avant de remonter de l’autre côté, faisant tout mon possible pour ne pas me faire remarquer.

D’une part je n’étais plus à contre-jour et surtout beaucoup plus près, seule une dizaine de mètres nous séparaient encore. Je me suis installé confortablement pour essayer de ne plus bouger. Je suis voleur d’images, je ne voulais pas être repéré.


Elle était allongée de trois quarts, une femme mure entre deux âges, disons la quarantaine bien tassée. Habillée à l’ancienne, jupon et tablier, elle avait relevé ses guêtres et était en train de se caresser. À moitié débraillée, les nichons au soleil, de l’autre main elle se les palpait, de lourds nichons blancs qu’elle avait entièrement sortis de son soutien-gorge et qu’elle était en train de se tripoter. Par conséquent elle était fort occupée, une main à la chatte, une autre aux mamelles… Humm c’est un délice de voir une femme "ordinaire" se caresser, lorsqu’elle se sent seule et qu’elle se laisse aller à toutes ses envies sans fausse pudeur.

Ses nichons, elle se les torturait, elle se les tiraillait, apparemment elle avait vraiment l’air d’apprécier car elle y allait de bon cœur la bougresse tandis que son autre main accélérait le rythme sur sa touffe. Le seul problème c’est que, de là où j’étais, je ne la voyais pas moi sa touffe, je ne voyais qu’un nichon et demi et une main frénétique enfoncée entre deux cuisses bien grasses.


Cela devait bien faire plus d’un quart d’heure que je regardais quand je l’ai vue prendre son plaisir, sans un bruit, sans crier, juste en rejetant sa tête en arrière avant de rouler dans l’herbe, les mains entre les cuisses, en train de se tortiller. Presque aussitôt elle s’est relevée, a renfilé sa culotte qu’elle a retrouvée dans l’herbe épaisse puis s’est réajustée. Elle portait deux grandes bottes vertes en caoutchouc et elle pataugeait dans les ornières. Je ne sais pourquoi, mais ça aussi ça m’a excité !

Je l’ai suivie de loin, essayant désespérément de me frayer un chemin dans la végétation. Mais, toujours nu, les branches me griffaient et ralentissaient ma progression. À un moment je l’ai vue prendre à droite dans un sentier. Le temps que j’arrive là bas et elle avait disparu, évaporée. J’ai suivi le sentier jusqu’au bout de sa course avant de déboucher sur la vallée : des champs à perte de vue, des champs et deux fermes, je me demandais dans laquelle d’entre elles elle habitait.


Le lendemain, je me dis que ce serait bien de commencer la journée par un bon bol de lait bien frais. Avec mon souffreteux carrosse, je me dirige donc candidement vers la plus grande des deux fermes.

"Nous ne faisons pas de lait" me répond une grande dame rougeaude au grand nez crochu. Absolument rien à voir avec ma comparse de la veille, même si l’autre finalement je ne l’avais pas vue de trop près.

D’humeur coquine, je me demande s’il lui arrive, elle aussi, parfois de se branler. Après tout, pourquoi pas, c’est peut-être une habitude dans cette contrée ! Il est possible que les femmes soient toutes, en ce pays, de grosses vicieuses lubriques. Je l’imagine dans sa cuisine en train de se frotter, appuyée contre l’évier, les cuisses légèrement écartées, saisissant une motte de beurre et s’en enduisant abondamment la chatte. Quelle salope ! Je suis sûr qu’elle doit être encore plus vicelarde que celle de la veille avec ses airs de ne pas y toucher ! Oui, ce doit être une véritable obsédée ! Je la verrais bien s’empaler par le cul sur une branche noueuse ou alors se faire lécher par une chèvre.


Toujours est-il que pour l’instant je fais causette… Je vous rassure, j’étais en train de rêver !

Elle habite seule ici avec son mari et sa belle-mère. Je ne pense pas non plus que la mamie puisse être ma branleuse solitaire, quoique après tout, pourquoi pas, c’est peut-être elle aussi une vieille vicieuse dégénérée.

Je devise sur la ferme d’à côté :



Pas très curieux dans la région, pourtant ce sont les seuls voisins à des kilomètres.



Tout de suite, je me suis percé à jour, elle a suivi mon regard, sans pour autant s’en offusquer. J’aurais tout aussi bien pu prendre une beigne ou me faire foutre à la porte. Au lieu de ça, elle me rétorque, faisant mine de ne rien avoir remarqué (même si je devine que quelque part ça lui plait d’être ainsi matée) :



Quelle cochonne ! Elle a envie de se faire traire ou quoi ?



Et moi sans gêne de continuer de lui reluquer les miches et d’évaluer grosseur et consistance. Après tout, puisqu’elle aime ça, pourquoi l’en priver ?

Je me demande soudain si lorsqu’elles étaient jeunes ça leur ai arrivé toutes les deux de se gouiner, en 69 dans la nature ou alors à moitié à poil dans la bouillasse en train de lutter avec leurs gros nichons qui balancent et qui s’entrechoquent. En ce qui concerne le cul, je ne suis jamais à court d’imagination !

Si ça se trouve en plus elles continuent ces vicelardes, elles se retrouvent toutes seules à l’étable et se roulent à poil dans le purin.


Mais il est temps de prendre congé. Mais oui à l’occasion je reviendrai. Ils vendent quelques légumes, alors si ça m’intéresse je peux passer. Je rêve ou elle en train de me draguer ? Non, je rêve, bien sûr, je m’imagine déjà en train de lui enfoncer quelques courgettes dans tous les orifices. Vicelarde ! Tu ne penses qu’à ça ma salope ! Un dernier coup d’œil à ses tétasses, juste pour la route, et direction la ferme d’à côté !



Quelques minutes plus tard je m’arrête dans l’autre cour de ferme.



C’est ouvert mais y-a personne. Une grande salle commune très sombre, un peu triste, assez vieillotte aussi. Ça empeste le fromage blanc en plus.



Pas de réponse mais au moment où je vais pour m’en aller, un homme fait irruption dans l’encadrement de la porte, un petit moustachu blondinet, le regard méfiant, qui me regarde en coin.



Pour butiner ta rombière crétin !



Peut-être aussi de se faire curer ! L’homme m’est à priori antipathique, le genre de personnage qu’on a envie d’emplâtrer tellement son aura est négative.



Il ramasse son paquet de tabac sur la commode et s’en retourne sans dire un mot.

Bon, et bien on va faire comme ça, s’il me la file sa pétasse, autant en profiter.


J’vais donc fureter du côté de l’étable à la recherche de cette Marie salope qui doit encore être en train de s’astiquer !

Mais non, elle est là, en train de récurer en bottes et tablier. Je la reconnais tout de suite, c’est bien elle, dans une activité disons… plus ordinaire.



De près, pas très jojote, elle a deux grosses verrues en plein milieu du front, des yeux insignifiants, pas de lèvres, beaucoup plus âgée que son julot en plus et déjà bien grisonnante. N’empêche que c’est une obsédée de la branlette ! Et que de l’imaginer ça me fait déjà bander. Si je lui proposais de la trousser là, dans la paille, vous croyez qu’elle accepterait de se faire tripoter ?

En plus il y a du monde au balcon, dans le style gros nichons bien lourds, elle concurrence sa copine. Je vous le dis, ces deux gouinasses doivent parfois se brouter.



A nouveau le regard sur sa poitrine mais cette femme là a beaucoup moins l’air d’apprécier. Je n’insiste donc pas puisqu’elle semble irritée, je veux échapper à son courroux.



Elle traverse la cour à grandes enjambées. J’ai vraiment du mal à imaginer qu’hier elle était en train de se branler. J’ai presque envie d’abandonner, de retourner voir sa copine. Au moins, elle, je pourrai peut-être arriver à la convaincre…


Mais finalement, le sourire de la laitière, lorsqu’elle se retourne, en dit long sur sa coquinerie résiduelle. Maline la guêpe, elle a parfaitement compris mon manège et s’enorgueillit de mes yeux posés sur ses formes. Elle joue au jeu du chat et de la souris. Cette fois elle bombe le torse puis se retourne et maintenant cambre le cul sous le prétexte futile de chercher de la monnaie. Elle allume cette salope, elle a un beau gros cul en plus. Je suis sûr que ça doit lui plaire en plus d’aguicher comme ça un inconnu, elle doit en mouiller sa petite culotte.

Puis elle me tend la monnaie d’un petit air coquin, l’air de ne pas en avoir l’air.

Mais alors que je suis peut-être sur le point de faire quelque proposition indécente, son gracieux rentre dans la salle :



Il plaisante pas ce taré, faut aller au turbin. Et elle, parfaitement docile d’obéir sur-le-champ sans rechigner. Ça doit pas être drôle toute la journée !


Toujours est-il que l’après-midi je suis retourné pour l’espionner sur le talus et, comble de turpitudes, la bougresse est réapparue et a repris aussitôt ses activités illicites. Cette fois-ci je me suis arrangé pour être un peu plus près d’elle, dans un meilleur champ de vision en tout cas, et je n’en ai pas perdu une miette. Immédiatement la main à la culotte, juste le temps de se trousser et vas-y que je te branle la baveuse et vas-y que je te sors mes gros nichons pour en torturer les pointes. Chrono en main cela a guère duré plus de dix minutes, mais quel spectacle ! Elle n’y est pas allée de main morte cette vicelarde ! Et moi, seul dans mes branches, la queue à la main en train de m’astiquer…


Les jours suivants je n’ai pas eu cette chance. Il faisait un temps de chien, averse sur averse, ça dégoulinait de partout. Des vacances pourries ! J’ai passé tout mon temps au casino à lever des mamies en désespoir de cause. L’une d’entre elles a même bien voulu m’accompagner jusque dans mon lit.

Reste que le samedi soir c’était la fête au village et que grâce au ciel, la pluie s’est arrêtée en fin d’après-midi.


Je me pointe donc au bal du samedi soir. Et là surprise : Mes deux fermières étaient là, chacune à un bout de la salle, je les ai tout de suite repérées. Elles aussi je crois, elles me mataient chacune de leur côté.


Edith est encore avec son gracieux qui la serre de fort prêt, ça aussi je le remarque. Il lui serre la vis ce fumier et ne lui laisse que peu de temps dans la journée pour aller se branler.

Toujours est-il que je ne suis pas là depuis à peine 10 minutes que Jocelyne s’approche de moi et m’invite à danser avec son plus beau sourire, ses grosses joues rouges et son nez crochu. Cette fois-ci elle a une jupe et un chemisier un peu plus habillés et un fort joli décolleté plongeant en diable et qui met en valeur ses bons gros nichons laiteux.

C’est une danse entraînante, je fais gaffe de pas lui marcher sur les pieds mais c’est difficile car elle me sert de près. Jusque là pas de mal, mais elle me glisse à l’oreille : "Le prochain slow vous me le réservez !". Elle attaque dur la gueuse !

Nous continuons au bar. Jocelyne la rougeaude connaît et tutoie tout le monde, je me demande si elle se les est tous envoyés. De toute façon, apparemment ce soir-là c’est moi qui suis sa victime toute désignée. Après tout pourquoi pas ! Les gros nibards m’ont toujours fait fantasmer et curieusement ses grosses joues rouges elles aussi m’excitent. J’ai envie de me la rouler dans la paille.



Puis se penchant vers moi :



Quelle garce, je suis sûr qu’elle se les est tous envoyés…

Mais malgré tout, ça m’excite, je plonge entre ses tétasses et me mets à bander comme un ours, un ours miniature cela va de soi.



Ambiance tamisée, elle m’entraîne dans un coin au fond de la salle et se colle sans complexe à moi. Elle se frotte cette chienne, elle se frotte à ma queue déjà dure, elle va me faire éclater.

Du coup je ne me fais pas prier pour glisser par derrière la main dans sa jupe et palper ses grosses fesses. Elle a l’air d’apprécier ! De même lorsque je plonge un peu plus tard la main dans son décolleté et lui palpe sans vergogne ses grosses miches molasses…

Hummm, encore un slow, alors on continue, tous les deux très excités. C’est même elle qui se décide à me rouler une grosse pelle bien baveuse tout en continuant à danser… Hummm quel accord parfait ! Exactement sur la même longueur d’onde que nous sommes ! Il me semble d’ailleurs percevoir l’odeur forte de sa mouille qui remonte jusqu’à mon nez…

C’est à ce moment que mes yeux croisent ceux d’Edith dans l’obscurité. Elle est en train de danser avec son mari et visiblement elle a l’air de fortement se faire chier. Un regard désapprobateur aussi, elle semble outrée que je sois en train de bécoter Jocelyne. Une jalousie féroce… tiens, tiens ! Est-ce à cause de cette rivalité avec son amie d’enfance ?


La musique s’arrête. Nous regagnons le bar, encore tout émoustillés. Une grosse dame vient nous rejoindre. Jocelyne me présente sa cousine, une vraie pipelette. Et vas-y que je te blablate… Au bout d’un certain temps, je vais faire un tour dehors sous un prétexte futile. Quelle merde ! C’était trop bien parti avec Jocelyne la rougeaude, il a fallu que la cousine vienne nous faire chier, c’est pas la patience qui m’étouffe. Je fume une cigarette puis retourne dans la salle… Et cette fois-ci c’est Edith qui m’accoste, les yeux brillants et décidés :



Elle aussi elle sait ce qu’elle veut. Décidément j’ai du succès ce soir-là… C’est pour toutes les fois où je suis rentré bredouille !!!

Encore un slow. Aussitôt elle me colle, ne me laissant aucun doute sur ses intentions. D’ailleurs elle me confie à l’oreille :



Nos bouches se soudent dans l’obscurité, une pelle frénétique, elle en profite pour me palper les couilles sans se soucier des gens qui nous entourent. Véritablement déchaînée avec sa langue qui s’enroule sur la mienne. Je me contente de lui palper les miches qui sont encore plus opulentes que celle de Jocelyne. Je me les ferais bien toutes les deux ces cochonnes… Malheureusement je sens qu’il va falloir choisir…


Le sort va décider pour moi. La musique s’est arrêtée et Edith a repris une attitude convenable. Elle regarde alentours, un peu paniquée… Et j’ai bientôt la cause de sa panique qui s’abat sur mon nez, puis un deuxième sans que j’aie le temps de me reprendre… Une folie furieuse, des hommes essaient de nous séparer, j’essuie une volée de coups, ce connard est déchaîné, ils ont vraiment du mal à le ceinturer.



Je suis assis par terre, le visage en sang. Cet enfoiré ne m’a pas loupé. Je me relève avec peine en regardant mon agresseur s’en aller, raccompagné par les pompiers. Sa femme, Edith, le suit tristement. Elle se retourne vers moi, complètement abattue. Malgré la douleur qui me lance j’ai de la peine pour elle. Je suis sûr que cette ordure va la dérouiller.

Jocelyne est revenue vers moi, elle me demande ce qui s’est passé. Evidemment qu’elle le sait, évidemment qu’elle me pardonne, elle n’est pas du genre à se formaliser.



Décidément le monde m’étonnera toujours ! Elle me chipe mes clefs prétextant que je ne suis pas en état de conduire, direction droit chez elle. Je suis aux petits soins, je n’ai qu’à bien me tenir. Et vas-y que je te lave à grande eau, et vas-y que je te mets de l’alcool, et un ou deux pansements en prime. Et puis tu devrais te mettre à l’aise et retirer tout ça. Mais c’est qu’elle me déshabille ! Je me retrouve à moitié à poil dans sa chambre, sur son lit et elle entre mes cuisses qui commence à me sucer avec appétit. Inutile de dire que je suis à nouveau au garde à vous. Je me redresse un peu pour voir ma bite aller et venir entre ses grosses joues rouges. Quelle vorace ! Quelle goulue ! Elle n’y va pas de main morte, c’est une vraie experte.


Je lui suggère de venir en 69. Quel fumet ! Une forte odeur de désir émane de sa belle grosse chatte poilue que j’entreprends aussitôt de dévorer avec appétit. Nous sommes tous les deux déchaînés et proches de la jouissance. Je me retire pour ne pas exploser, pour me consacrer à sa moule dans laquelle je rentre plusieurs doigts. Deux puis trois puis quatre. Elle est tellement large qu’en forçant en peu je pourrais presque la fister. Mais je me contente de quatre doigts et, de mon autre main j’en glisse un ou deux autres dans son cul pour lui branler les deux trous en cadence.

Elle aime ça, elle se laisse bien faire, elle est toute concentrée sur mes caresses. J’accélère la cadence et elle ne tarde pas à déverser entre mes doigts un flot de cyprine, ses grosses cuisses tétanisées par la jouissance.


Je ne lui laisse pas reprendre ses esprits. Je la fais se retourner et entreprends de la bouffer, à pleine bouche, aspirant toute sa jute avec délectation, glissant ma langue en elle pour recueillir toute sa mouille. Son clito est fort sensible. À chaque fois que ma langue passe dessus elle est prise de tremblements. Alors pervers comme pas deux je n’arrête plus de lui bouffer son bouton, la faisant se tordre dans tous les sens. Elle gratte, elle griffe, elle couine, elle hurle, elle jouit encore en déversant un nouveau flot de mouille sur ma langue qui aspire tout.


Du bruit dans le couloir.



Elle se lève sans même se rafistoler, les nichons à moitié à l’air, elle sort dans le couloir.



Vraiment un couple très libéré. Moi, bonne poire, j’ai donné mes clefs.

Ensuite nous avons pu reprendre tranquillement là où nous nous étions arrêtés… Une bonne partie de jambes en l’air avec cette bonne vieille baiseuse qui a su plusieurs fois me revigorer. Sa chatte, son cul, ses beaux gros nichons mous, tout y a passé, elle avait une sacrée santé. Je me suis endormi dans son lit épuisé.


Le lendemain matin j’ai eu droit au petit-déjeuner en famille. Robert n’a fait aucun commentaire quant à ma nuit avec sa femme. Ce n’était pas ses oignons et c’était bien ainsi, elle avait le droit de s’amuser, après tout ! Au contraire, il était ravi d’avoir pu conduire ma vieille Chevrolet pourrie :



Tout était pour le mieux, je m’étais même fait un copain.

Jocelyne m’a raccompagné jusqu’à la voiture. Et, sans gêne, m’a roulé un patin :



Une seule chose m’ennuyait dans tout ça, c’était le devenir d’Edith. Mes vacances allaient se terminer et cela m’inquiétait un peu. Je n’aurais pas voulu être la cause d’une tragédie.

Je suis retourné dans ma clairière un jour, deux jours, nulle trace de ma laitière…

Le dernier jour fut le bon. J’allais m’en aller lorsqu’elle arriva et entreprit aussitôt de se branler. Connaissant sa vivacité dans ce domaine et ne voulant surtout pas cette fois la louper, j’entrepris de dévaler la pente dans sa direction, bite à la main.

Je finis par la rejoindre au moment même où elle jouissait. Elle ne m’avait pas vu approcher, ayant le dos tourné. Lorsque son visage crispé par les spasmes de plaisirs me vit, il était trop tard pour tout arrêter. Elle éclata devant mes yeux émerveillés en se mordant les lèvres pour ne pas crier et resta là pantelante dans l’herbe humide. Pantelante et soumise, je me suis approché, me suis agenouillé entre ses cuisses et ai glissé ma tête sous ses jupons pour laper sa belle grosse chatte dégoulinante de mouille.

Loin de me repousser elle a posé une main sur la tête et m’a attiré vers son con humide, m’invitant à continuer à la manger. Je ne me suis pas fait prier, je l’ai broutée dans l’herbe à perdre haleine jusqu’à la faire pisser.

Mon gourdin était tellement dur que je n’ai eu aucun mal à m’enfoncer, à la tringler comme un mâle en rut, complètement déchaîné. Elle n’attendait que ça de se faire mettre, elle poussait son bassin plus loin vers ma bite, à grands coups de reins rageurs. Je l’ai prise comme une bête cette incroyable petite femelle.

Peut-être trop vieille avec ses cheveux grisonnants, peut-être trop grosse avec ses mamelles énormes, mais surtout trop chaude, pleine de désir de s’envoyer en l’air, de se faire mettre comme une chienne en chaleur… À quatre pattes dans l’herbe folle, je l’ai pistonnée à fond jusqu’à l’engrosser… Je me suis vidé en elle entièrement, des grands jets de sperme qui s’écoulaient et nous sommes retombés l’un sur l’autre, repus et épuisés.


Depuis ce jour, je corresponds secrètement avec ma laitière préférée. Je lui envoie de longues lettres enflammées chez une de ses copines et elle me répond dès qu’elle en a l’occasion. C’est presque une histoire d’amour entre nous. Autant Jocelyne est je dois dire une bonne experte, autant sa copine Edith est beaucoup mieux que ça. Entre nous c’est physique… et puis nous avons aussi beaucoup de fantasmes communs, des cochoncetés !!!


Inutile de préciser où je compte passer mes prochaines vacances… au risque de me faire étriper par le mari !!!