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Temps de lecture estimé : 13 mn
11/09/01
Résumé:  Au hasard de ses promenades dans la campagne, il est mis en faute par une jeune femme...
Critères:   fh grosseins poilu(e)s amour cunnilingu pénétratio
Auteur : Sentinelle
Parenthèse



Initialement, j’avais prévu comme titre à ce récit "L.E. Confidential", allez savoir pourquoi. Et puis ensuite "Back to USSR", je trouvais que ça sonnait bien. Mais finalement je me suis rabattu sur "Parenthèse", plus sobre, car il s’agit simplement d’une parenthèse, un instant de répit entre deux grands trous noirs.


Imaginez que quelque chose s’était passé mais nul ne savait quoi et nul ne le saurait jamais. Quelque chose de grave c’est bien probable, ou de jugé comme tel, comme si le monde s’était effondré tout d’un coup, sauf que le monde, lui, continuait à tourner.


Çà devait être moi qui ne tournais pas rond, je tournais dans le sens inverse des aiguilles d’une montre, complètement à l’inverse de tous ces gens que j’avais fréquenté. Ils me semblaient tellement lointains, tellement bizarres, tellement improbables, je ne voulais plus les côtoyer, ils me faisaient horreur.

Par conséquent, j’ai mis mes menaces à exécution. Je suis parti loin, très loin, dans mon monde intérieur et inaccessible, pour y vivre des aventures rocambolesques, quelques-unes que j’aurais pu vous conter… et bien d’autres encore évidemment, beaucoup plus folles et terrifiantes.


Et pourtant, au dehors, le monde continuait d’exister.


Un jour je me promenais seul dans la lande, menant un peu une vie d’enfant sauvage. Ce qu’il y a de bien à la campagne c’est qu’il y a souvent des no man’s land où l’on ne rencontre pratiquement jamais personne. C’était mon territoire ! J’en connaissais chaque parcelle, je faisais corps avec la nature et âme avec le reste.

Le problème ça a toujours été les gens, j’ai toujours voulu les néantiser.


Me voici donc au bord d’un petit étang vaseux, près d’une vieille camionnette toute rouillée transformée en cabane de pêcheur. C’était un de mes points de chute, elle sentait la vermine mais je m’y sentais bien.

Et donc en temps normal j’étais vraiment peinard, pauvre prince d’un royaume sans histoire.


Mais là, je me suis fait bêtement surprendre. Je n’étais pas spécialement aux aguets, je fouillais juste dans la camionnette à la recherche de fil à pêche et puis :



Et puis merde, pris la main dans le sac si je peux dire.

C’était une jeune femme dans les 25 ans, au moins cinq ou six ans de plus que moi, mais d’apparence un peu vieillotte, surfaite : Une vieille jeune femme en somme, plus le look campagnarde rustique que celui étudiante branchée.



Je n’avais rien à répondre à ça, c’était la pure vérité. J’aurais voulu fuir mais elle me coupait toute retraite.



Elle pouvait toujours rêver, méchante femme, il suffisait que je la pousse un vilain coup pour que je parvienne à me tirer.


J’ai consentis à sortir de la camionnette et elle m’a dévisagé.



Et alors ! Je m’en foutais… complet.



Finalement comme je n’étais pas très loquace, elle m’a laissé filer non sans m’avoir fait encore quelques remontrances. Et je suis parti sans demander mon reste.


Curieusement, les jours suivants je suis retourné de ce côté et trois ou quatre jours plus tard je l’ai à nouveau rencontrée.



Elle s’est assise sur une pierre au bord de l’étang. J’ai fait de même. Je ne recherchais pas spécialement la compagnie des autres mais pour elle, c’était différent. Après tout elle était sympa, elle m’avait laissé filer.

Difficile de me faire dire un mot par contre, j’étais désespérément muet. Elle non plus n’était pas très loquace :



Je n’ai pas répondu. Pour ma part j’étais toujours inscrit mais je ne parvenais pas à franchir la porte des amphis : peur panique, incapacité totale à côtoyer mes homologues ! Et, en ce qui concerne les TP, je n’y allais que très imbibé ou complètement drogué… Dans ces conditions j’allais fatalement moi aussi rater mes examens.



Elle me confiait tous ses petits secrets tandis que moi je restais bouche bée dans le désespérant mutisme de mon néant intérieur : blanked, paralyzed ! Je voulais bien l’écouter mais je ne voulais surtout pas me confier.


Elle n’était pas vraiment belle avec son espèce de permanente choucrouteuse sur la tête. Complètement ridicule en somme, elle ressemblait à ma tante de par certains côtés mais avec des formes quand même beaucoup plus généreuses et même très épanouies que l’on ne faisait pourtant que deviner sous son curieux accoutrement. Pas du tout le style qui peuplait mes fantasmes. Et pourtant…

Ceci dit j’ai toujours été particulièrement attiré par les femmes aux formes rebondies, disons plus joliment arrondies, et ce depuis toujours, mais je n’arrive toujours pas à en déterminer la cause exacte. Ça doit être génétique ou quelque chose comme ça : tendance naturelle à aimer l’embonpoint. Non, je plaisante, évidemment…

N’empêche que le simple fait d’imaginer ses formes bien pleines perdues sous des vêtements sans forme a suffit à provoquer chez moi "l’accrochage". C’est ce qui a fait que j’ai commencé à "l’envisager", c’est à dire à voir en elle autre chose qu’une étrangère, et déjà presque à la désirer.

Par la suite, j’ai du faire dans ma tête le travail qui consiste à peu à peu à gommer toutes ses imperfections, comme par exemple son incroyable chevelure. En fait, on s’en rend à peine compte et ça vient tout naturellement, processus d’idéalisation !

Bientôt idéalisée, à la perfection, à l’amour, à la folie, ce sont toujours des mêmes sensations extrêmes qui nous envahissent. Mais il ne faut pas avoir peur de cet élan destructeur, de ce "tout ou rien", cet absolu romantique. Ça flirte avec l’amour, avec la folie, avec la mort, c’est déraisonnable mais tellement bon !


Parfois il suffit de peu de choses pour obtenir cet "accrochage".

Tenez, l’autre jour je prends le train. J’étais dans un couloir, je passe près d’un compartiment. Nos regards se sont croisés : Elle avait quelque chose de Björk avec sa bouille toute ronde, et une très grande malice dans le regard. Je ne suis pourtant pas spécialement fasciné par la chanteuse islandaise mais néanmoins je lui trouve un certain charme et cela a suffit à ce que je fasse demi-tour.

Je suis rentré dans le compartiment et me suis assis face à elle : J’étais émerveillé. Elle ne ressemblait pas vraiment à Björk, un tantinet chinoise malgré tout et beaucoup d’espièglerie dans les yeux. Sans doute beaucoup moins belle aussi que la chanteuse (tout du moins par rapport aux critères officiellement colportés) et habillée très simplement, jean, t-shirt et baskets. Mais quand même quelque chose en elle d’extraordinaire : je ne me suis jamais senti aussi déluré ni aussi dragueur. Tout me semblait tellement léger, je sortais même des blagues subtiles, j’ai réussi à la faire rire plusieurs fois, ensuite elle ne s’arrêtait plus, c’était la plus belle petite brunette de la terre et elle m’a donné son numéro de téléphone sans aucun problème… Sur le quai, je sautillais comme un cabri, j’ai même donné 50 balles à un mendiant…

Ceci dit, il est fort probable que nous en resterons là et c’est très bien ainsi : Elle est trop jeune, trop belle, trop pleine de vie pour que je puisse me permettre de lui gâcher l’existence avec mes incertitudes… Mais simplement pour le plaisir d’avoir vécu cet instant magique, il faut le préserver…


Pour en revenir à ma paysanne, qui s’appelait, je crois bien, Claudine, ce qui me gênait le plus chez elle c’était sa mine tristounette, cette apparence trop sérieuse et trop rustique qui la faisait passer pour une vieille fille.

Allait-elle au bal ? Non, ce n’était pas le genre ou alors poussée par une copine ! Moi jamais !

Avait-elle déjà couché ? Oui, probablement ! Moi relativement peu, en tout cas peu de souvenirs impérissables.

Avait-elle un copain ? Apparemment non. Moi non plus !

Avait-elle des amis ? Pas beaucoup à vrai dire. Pour ma part, j’étais une âme particulièrement solitaire.


Elle est restée là toute une partie de l’après-midi, allongée dans l’herbe, comme si ça lui faisait du bien de me parler.

Enfin elle s’est levée, elle devait s’en aller. Je devais paraître un peu déçu car elle a cru bon d’ajouter :



J’ai prié toute la nuit pour qu’il fasse beau le lendemain. Je me suis même levé pour scruter le ciel, angoissant devant quelques nuages.


Le lendemain 13 heures, déjà je l’attendais, je ne savais pas à quelle heure elle allait pouvoir se libérer. Cela faisait si longtemps que je n’avais pas été amoureux !

Je l’ai vue arriver à grandes enjambées avec ses bottes en caoutchouc à travers le marais. Et, à chaque pas qu’elle faisait, je ressentais l’amour que j’avais pour elle comme quelque chose qui s’imposait. J’étais vraiment accroc, j’avais peur de me planter, on a toujours peur de se planter. Et si elle ne m’aime pas, et si elle me repousse, et si, et si… Quelle angoisse, j’en étais tout tremblotant. Surtout que pour moi, c’était la première fois depuis très longtemps que je côtoyais un être humain… et surtout que j’envisageais quelque chose avec lui. Même si ce n’était probablement que quelques câlins, pour moi c’était un précipice qui risquait bien d’engloutir le peu de stabilité qui me restait.


Je me suis donc mis à bafouiller comme le dernier des crétins en lui disant bonjour. Un petit baiser un peu plus appuyé, un peu trop appuyé… C’est là que l’on commence à se poser 10000 questions : Peut-être que nous ne sommes pas du tout sur la même longueur d’onde ! Peut-être que je ne suis rien pour elle ! On sent des choses mais on en est jamais vraiment sûr, et puis on peut se tromper. La certitude ne vient jamais. J’aimerais rester enfermé toute ma vie dans ma coquille…

Toujours est-il que nous étions assis côte à côte à jeter des petits cailloux dans la mare et que de mon côté je me maudissais d’être si peu entreprenant ! J’aurais voulu la prendre par les épaules et lui faire un petit bisou mais même ça j’en étais incapable ! Je me suis fixé un ultimatum du style "Si tu fais rien aujourd’hui, tu te jettes sous un train", mais même ça c’était inefficace ! Pauvre de moi, ça ne venait toujours pas, ça s’amplifiait comme une énorme obsession qui remplissait peu à peu tout mon esprit. J’étais écœuré, dégoûté de tout, de la vie, de moi-même, de ma médiocrité.

J’étais tellement mal à l’aise que je voulais m’en aller. Je me suis levé, j’ai fait semblant de m’occuper. Elle s’est levée à son tour, elle m’a rattrapé, elle a posé sa main sur mon épaule : C’était le signe que j’attendais, je me suis retourné et je l’ai embrassée. Putain ! J’avais failli être vraiment nul sur ce coup là, un vrai minable, comme souvent, cette peur atroce de franchir le pas et de s’exposer…


Un jour aussi j’avais attendu des lustres sans pouvoir déclarer ma flamme à cette petite femme que j’adorais. À l’époque, j’étais toujours fourré chez elle, je ne pouvais pas m’en passer, une mignonne petit souris toute menue au visage très fin (Ben, oui, les contradictions ça existe !). Elle fumait clope sur clope et faisait brûler de l’encens. Nous passions des heures et des heures tous les deux à discutailler. J’écrivais même des poèmes enflammés que je lui camouflais. Mais jamais rien d’autre, jamais rien de plus, copain-copain et c’était tout amoureux transi et bien caché. Je devais être seul à délirer dans mon coin, tout du moins c’est ce que je me disais… N’empêche que, quelques mois plus tard, elle est partie vers d’autres horizons. Du coup je lui ai écrit de longues lettres d’amour, plusieurs par jour, j’étais comme fou. D’ailleurs j’étais complètement fou, déjà en temps normal c’était pas mal mais à cette occasion encore bien plus… À peine imaginable. Et bien elle a fini par me répondre très simplement… En me disant que cela faisait des mois qu’elle attendait ne serait-ce qu’un petit geste de ma part et qu’elle s’était lassée, que c’était bien dommage tout ce gâchis mais que c’était trop tard, qu’elle ne voulait plus donner suite. Une vieille claque des familles en travers la gueule, là où tu te dis que t’es vraiment un gros nul, le pire de tous les gros nuls que le monde ait enfanté, le dernier des minables avec sa petite fierté merdeuse mal placée, sa petite trouille en bas du bide, négligeable et grotesque.


Et là j’avais failli recommencer, pauvre de moi. Mais désormais nous étions tous les deux dans l’herbe en train de nous bécoter (Et donc, sauvé par le gong !) Et pas qu’un peu, de longs baisers enfiévrés, à se demander lequel des deux était le plus en manque : Tous les deux semble-t’il, mais nous restions très sages malgré tout, à peine quelques caresses bien gentilles, juste un élan passionné.

Elle était gênée parce que "Là où nous étions, quelqu’un aurait pu nous voir". Qui ? Je ne sais pas. Mais c’est vrai qu’un pêcheur, un promeneur… même si pour l’instant nous n’avions encore rien fait d’illicite.

Elle m’entraîna à travers champs dans la bouillasse, nous marchions main dans la main comme des amoureux. J’étais aux anges et je crois bien qu’elle aussi, elle était toute guillerette, toute joyeuse, toute épanouie… Elle m’a guidé vers une petite bâtisse qu’elle connaissait, le style hangar couvert mais sans mur avec trois ou quatre machines agricoles et nous nous sommes réfugiés tout au fond bien au chaud dans la paille.

La paille c’est sympa mais ça pique : Pas vraiment de tout confort. Mais ce n’était pas vraiment notre soucis majeur à ce moment là. Je l’ai déshabillée dans l’urgence, elle était comme folle, complètement excitée, presque trop… à raviver mes incertitudes ! Elle avait vraiment des seins très opulents, très lourds aussi, merveilleux donc, aucune trace de bronzage, un délice. Je les lui ai tétés d’un appétit féroce, tellement je les trouvais excitants. Elle me caressait la tête tandis que j’aspirais ses tétons, d’un geste très maternel et plein de douceur. Elle me regardait avec amour et moi j’étais heureux de satisfaire ma douce et divine princesse.

"On n’a jamais été aussi attentionné envers moi" me confia-t-elle par la suite. Moi qui avais l’impression d’être pourtant un peu trop pressé, il y a vraiment des mecs qui ne s’embarrassent pas de préliminaires…


Toujours est-il que nous nous sommes bientôt retrouvés presque entièrement nus sur les bottes de paille, ma langue agile dans sa touffe épaisse. Là encore, peu de mecs avaient exploré cette contrée de cette façon là (que des goujats ses amants !) et elle était véritablement aux anges et pleine d’admiration, comme quoi parfois il n’en faut pas beaucoup pour rendre les gens heureux… Un peu réticente tout de même au début "parce que cela ne devait pas sentir très bon". T’occupe que je lui ai répondu, moi j’adore.

Une fois ses complexes totalement évaporés, elle s’est laissée aller entièrement à mes caresses buccales, ouvrant même les cuisses pour m’offrir généreusement sa chatte luxuriante. (Message à tous les mecs qui ont parfois quelques petits problèmes : léchez-la, sucez-la, doigtez-la, appliquez-vous surtout pour lui donner tout le plaisir qu’elle mérite. Et vous verrez, la plupart d’entre elles ne vous en voudront même pas pour cette petite insuffisance passagère).

Encore une très poilue, pas du tout épilée. Etait-ce parce que j’habitais un coin complètement perdu au milieu de la France profonde mais le fait est qu’à l’époque la moitié des femmes du coin étaient ainsi (Ceci dit, je ne parle pas non plus des filles de mon âge que je n’ai jamais eu trop l’occasion de fréquenter !). Et je trouvais ça pour ma part extrêmement excitant.


A force de la sucer comme ça à pleine bouche et de la sentir hyper-excitée par les pouvoirs de ma langue frivole, mes petits problèmes psycho-sexologiques sont passés en second plan et j’ai recouvré la plupart de mes moyens. Et même que, quand elle m’a demandé instamment que je m’empare de son corps, et bien je l’ai fait sans aucun problème. Je l’ai investie puissamment. Elle était vraiment divine, divine avec ses gros lolos tout blancs et même divine avec sa curieuse permanente sur la tête, elle était vraiment trop cette nana. Je lui ai fait l’amour en l’embrassant, en la tétant, j’étais vraiment fou d’elle, complètement fou d’envie, de désir, de passion, de sentimentalité et d’amour intense.

"Je veux rester toute ma vie avec toi" que je lui ai dit à l’oreille. Elle avait joui comme une possédée et j’étais retombé tout près d’elle. Elle m’avait pris dans ses bras tout contre elle et nous vivions un instant intense d’une merveilleuse simplicité. "Je suis bien avec toi" m’a-t-elle simplement répondu.

Vous allez dire que tout ceci n’a rien d’extraordinaire, que des millions de couples se forment ainsi en permanence et vivent la même histoire. Et pourtant, quand vous êtes au cœur de tout ça, pour vous c’est toujours un moment fantastique et exceptionnel dont on recherchera peut-être la magie toute sa vie.


Nous avons refait l’amour, elle est venue sur moi, elle était déchaînée. Ses gros seins qui allaient et venaient sans pudeur devant mes yeux émerveillés, elle n’en avait cure, elle se déchaînait sur mon vit à son rythme, accélérant sans relâche avant de finalement exploser.

Sitôt un peu reposée (j’en profitais alors pour la téter), elle recommençait, toujours plus fort, toujours plus loin toujours plus à fond, à la recherche d’une jouissance mémorable. Un sacré tempérament et une sacrée envie de s’éclater. Elle a fini par me faire jouir à nouveau avant de retomber sur moi, repue, rassasiée, comblée par ce divin plaisir.


Nous avons recommencé très souvent le mois qui a suivi, toujours avec grand plaisir. C’était ma seule amie et je crois que j’aurais voulu la garder pour toujours. Mais je pense que de son côté elle devait voir les choses différemment. Elle devait se dire que ce n’était pas vraiment possible entre nous, que nous étions trop différents, que notre couple aurait été trop bizarre. Je suis sûr que c’était cela. D’ailleurs elle a tenté de me l’expliquer mais je n’ai rien voulu entendre. Je voulais rester avec elle, je ne pensais qu’à. Pauvre naufragé sans port d’attache, je me raccrochais à cet amour comme à une branche.


Nous avons vécu ce mois d’amour intensément… Ensuite elle a prétexté ce travail à l’usine, on ne pouvait plus se voir ou très difficilement, nous n’avions ni l’un ni l’autre de "chez nous". J’ai compris ça trop tard, toutes ces difficultés, je suis replongé en dépression. Elle a voulu m’aider mais c’était déjà trop tard, j’étais déjà trop loin, parti ailleurs, dans cet univers parallèle où elle n’avait plus sa place et où nul ne pouvait plus m’atteindre…