Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 02848Fiche technique44347 caractères44347
7367
Temps de lecture estimé : 30 mn
16/09/01
Résumé:  A l'occasion d'un repas familial, deux jeunes garçons sont les témoins de la débauche d'une tante éloignée.
Critères:  fh ff fhh fbi oncletante fête collection voir intermast fellation cunnilingu pénétratio anniversai
Auteur : Fripon  (Jeune homme, 25 ans - Fripon)
Tante Rachel


  • — ---- 1/9 -----



Ma mère venait de pester comme ça lui arrivait rarement. Cet éclat teinté de vulgarité n’en était que plus impressionnant. L’objet de la discussion houleuse qui avait lieu ce jour-là à la maison, était la réunion de famille que mes grands-parents organisaient à l’occasion de leur anniversaire de mariage. Cet évènement était devenu une sorte de rituel et l’attaque cardiaque de mon grand-père l’hiver dernier rendait celle-ci encore plus sacrée. Toute la famille, assez nombreuse, faisait des efforts pour y assister. Toute la famille y compris Henri, un cousin éloigné de ma mère que nous ne fréquentions qu’en ces occasions. Agé de 60 ans ce cousin veuf s’était remarié il y a trois ans avec son infirmière alors âgée de 25 ans. Cette union scandaleuse fit jaser dans la famille ! Mais l’ire de ma mère ce jour-là prenait pour prétexte non ce remariage finalement accepté, mais la personnalité de la jeune femme elle-même.

Absent lors des dernières retrouvailles, je n’avais jamais eu l’occasion de voir ce phénomène qui apparaissait comme l’ennemi public numéro 1 de toute femme mariée qui se respecte, aux dires de ma mère.



D’après ce que j’en avais compris elle s’appelait Rachel. Elle était blonde et affectionnait les tenues vulgaires et provocantes.



Décidément ce que j’apprenais sur cette bombe commençait à m’intéresser moi aussi et j’attendis avec impatience le week-end prochain.





  • — ---- 2/9 -----


Celui-ci arriva finalement. La route prit trois heures à travers la campagne pour atteindre la ferme de mes grands-parents. Ma mère était nerveuse et mon père ne faisait rien qui puisse déclencher une éventuelle explosion d’humeurs.


Enfin à destination nous nous aperçûmes que la moitié de la famille était déjà là. Retrouvailles, embrassades, nouvelles. J’allai embrasser tendrement mes grands-parents et fis le tour des autres convives. Je vis de loin mon cousin Thomas.



Il se retourna et une chaleureuse accolade nous réunit. Thomas était le cousin que je connaissais le mieux et avec qui nous avions partagé le plus d’expériences réjouissantes. Après quelques bavardages il me confia :



Thomas rit sous cape



Il pris un air dubitatif



Tout en circulant dans la cour, qui se remplissait toujours de nouveaux arrivants, nous nous amusâmes à échafauder mille plans pour surveiller ce phénomène, à son insu bien sur. Soudain une rumeur s’éleva, suivie de salutations plus bruyantes. L’oncle Henri venait de faire son apparition avec sa jeune épouse à son bras. On aurait pu tout aussi bien dire qu’une star avait fait son apparition soutenant charitablement un vieil homme. De loin je n’apercevais que sa chevelure blonde mais bientôt le cercle s’agrandit et je pus constater que l’opinion de ma mère était… totalement fausse, mais.. peut être aussi très juste !



Rachel n’était pas du tout vulgaire. Comme Tom me l’avait dit c’était… voyons… c’était un vrai fantasme masculin ambulant ! Blonde, cheveux courts elle devait mesurer 1m70, silhouette gracieuse, seins ronds sans exagération et surtout… un vrai visage d’ange, un visage de star de cinéma : fin avec une bouche délicate et souriante, de grands yeux bleus. Vraiment rien de vulgaire, mais côté "ennemie publique numéro 1", là je dois avouer que ma mère risquait d’être dans le vrai.





  • — ---- 3/9 -----


Pendant l’apéritif nous avons mis notre plan à exécution. Effectivement cette beauté avait le rire facile, pour le plus grand plaisir de ses interlocuteurs et l’agacement des femmes alentours. Elle était vêtue d’une robe claire, près du corps qui s’évasait au niveau des cuisses pour former une corolle laissant apparaître ses genoux. Le décolleté était parfaitement correct, encadré par les bretelles de sa robe et un petit foulard autour du cou. Elle avait une voilette dans les cheveux attachée par une épingle fleurie et portait des sandales à talons très fins. Ses jambes, parfaitement galbées, étaient voilées de bas couleur chair qui leur donnaient un aspect vaporeux. Vraiment rien de vulgaire, mais alors… j’en avais un début de frisson.


Plusieurs hommes de tous âges se relayaient pour entretenir la conversation avec elle. Sa façon de se tenir, de se déhancher, de mordre sa lèvre inférieure, de baisser lentement ses paupières, et surtout son air de boire vos paroles en faisait visiblement la plus dangereuse des prédatrices, sous ses airs angéliques.


Le repas en plein air suivit. Thomas et moi nous étions placés de manière à bien contrôler la place qu’elle occupait. Mon père, tenant parole, avait installé ma mère le plus loin possible de cette dangereuse créature. De proches parents s’y étaient également réfugiés.

Rien de notable ne se passa dans un premier temps. Un incident retint toutefois notre attention : Un lointain cousin, nommé Jean-Charles je crois, se leva, une cruche vide à la main pour se donner un prétexte. Il passa derrière Rachel et se pencha à son oreille. Elle sourit et sans le regarder, hocha la tête. Tout cela n’avait duré qu’une seconde mais nous l’avions vue !



Il ne me plaisait pas trop ce cousin-là. Assez corpulent, la quarantaine, une barbe en collier, des lunettes. Un vague air de professeur qui en impose. Une première pause dans le repas permit aux convives de se dégourdir les jambes, de danser, de changer de places. Rachel parlait avec des amies. Elle se faisait de plus en plus discrète mais elle ne pouvait échapper à notre vigilance !





  • — ---- 4/9 -----


Soudain elle interrompit sa conversation et se dirigea d’un pas léger dans la maison. Thomas et moi nous nous sommes regardés puis, aussi discrètement que possible nous l’y avons suivie. Elle empruntait l’escalier menant aux chambres. Sans s’arrêter sur le palier elle continua à gravir les marches de bois que nous nous efforcions de ne pas faire craquer. Une porte grinça. Celle du grenier ! Le cœur battant, nous avons presque rampé le long des marches, comme des sioux sur une piste chaude. La notre l’était assurément ! Il nous fallut de longues minutes avant d’arriver devant la porte du grenier dont le bois vermoulu avait refusé de se fermer totalement.


Profitant de cette aubaine nous y glissâmes nos regards avides. Les réjouissances avaient débuté. L’homme était bien le cousin à l’air professoral. Il était assis sur une chaise et fourrait son visage dans la poitrine de Rachel qui se tenait debout devant lui, nous tournant le dos. Le haut de sa robe était baissé jusque sur sa taille. Thomas et moi nous sommes regardés. Oui la bombe de la famille était bien la petite nympho que nos mères nous avaient présentée !


Elle poussait des petits gloussements aigus terriblement excitants en caressant les cheveux de son amant. Lui, ânonnait des mots que nous n’arrivions pas à entendre. Je commençai à bander dans mon pantalon et je supposais qu’il en était de même pour Tom. Elle couina littéralement lorsque le cousin lui mit les mains sous sa robe. Le tissu léger s’agitait très suggestivement et bientôt la culotte blanche de Rachel glissa sur ses jambes. Prestement ôtée l’étoffe soyeuse se retrouva sur le plancher poussiéreux. L’homme s’affairait sur les seins de la belle tandis qu’il s’évertuait nerveusement à dégrafer son pantalon. Il en tira finalement un membre de bonne taille qu’une main frénétique gonfla rapidement à son maximum.


Il murmura quelques mots et Rachel s’agenouilla. Prenant dans une main la tige fièrement tendue et dans l’autre les bourses velues, elle ouvrit ses lèvres et baisa l’extrémité du sexe. Délicatement elle décalotta de sa bouche le gland rouge qu’elle se mit à lécher avec des bruits de succion parfaitement impudiques. Le gros cousin râlait, les mains dans les cheveux blonds. Sa voilette décrochée, tomba sur le sol. Elle prenait maintenant toute la hampe dans sa bouche, n’épargnant pas la salive qui rendit luisante sa main et la verge qu’elle maintenait. "Touche-toi !" Lui dit-il dans un soupir contenu. Il réitéra sa demande et elle écarta légèrement les jambes. À travers l’étoffe moulante de la robe on vit apparaître une déformation ressemblant à des doigts fouillant son entre-jambes. Elle ne fut pas longue à onduler du bassin et à gémir lascivement autant que son bâillon de chair lui permettait !



Cette fois le commentaire provenait de Thomas. Il avait visiblement une folle envie de se toucher comme en témoignait ses mains placées entre ses jambes.



Il me répondit en hochant la tête et bientôt nous avions sorti nos jeunes virilités déjà en érection. L’action nous ramena vers la fente providentielle. Le gros cousin était en train d’enlever à Rachel ce qui lui restait de sa robe. Enfin nue, à l’exception de son foulard, de ses bas et de ses sandales, la blonde fut saisie à la taille par son amant qui la guida vers lui. Elle s’assit lentement de manière à s’empaler sur le membre érigé qu’elle guidait de la main. Elle gémit et son délicat visage grimaça tandis qu’elle se faisait remplir son vagin liquéfié. Les mains posées sur ses épaules elle montait et descendait sur la tige luisante, faisant pousser des râles sourds au cousin, l’accompagnant elle-même de soupirs acidulés. Ses nymphes roses nous apparaissaient à chaque ruade, dilatées par la branche gonflée. Elle émit un petit rire lorsqu’elle vit son homme plonger son visage vers sa poitrine nue aux tétons arrogants. Les mains fortes caressèrent les douces cuisses nacrées, saisirent pleinement les globes des fesses rondes et glissèrent des doigts dans le vallon creux. "Oh cochon ! cochonnn !" soupira Rachel en sentant des sensations lui monter de son anus peloté. "… En levrette… je te veux en levrette…" Le cousin soufflait comme un boeuf. "hi hi hi, petit cochon !" s’amusait la délicieuse blonde. "… a quatre pattes !..hhhh… vite !…hhhh… vite !…" Il semblait au comble de l’excitation. "oh non, … c’est sale par terre… pas comme ça…" Gémit-t-elle entre deux soupirs indécents. Il insista : "… je te veux !…hhhh… je te veux en levrette !…". Levant Rachel par la taille, elle fut desempalée, il la guida, debout, vers le poteau central soutenant la charpente. Haletante elle se pencha en avant, les bras croisés sur le poteau, la tête posée dans ses bras, les jambes galbées écartées et les reins arqués dans un geste d’offrande impudique. On devinait un filet luisant dégoulinant de sa conque gonflée sur le haut de sa cuisses, imprégnant la dentelle de son bas.



Sans lui répondre je continuai à me masser les testicules, sans toucher à ma verge au bord de l’explosion, suivant le spectacle de tous mes yeux.


Rachel nous tournait le dos. Jean-Charles vint se placer derrière elle, masquant son corps délicieux à l’exception de ses jambes écartées. Il recommença à la posséder en fourrant sa verge excitée d’un coup brutal. Elle poussa un cri et monta sur la pointe des pieds ce qui accentua le galbe de ses jambes vaporeuses déjà mises en valeur par ses bas et ses sandales. Elle fut littéralement pistonnée par l’homme excité qui lui imposa un va-et-vient rapide et animal. Suant à grosses gouttes, soufflant, rugissant, il la maintenait par les hanches qu’il besognait sans relâche, faisant remonter son excitation au point ultime. Rachel ondulait au rythme sauvage qui la possédait, ses cris cristallins devenaient insoutenables de lascivité. Elle réclamait "encore !", approuvait "ouiiii !", stimulait son amant "baise-moiiii" de sa voix de jeune fille. Le mâle poussa des cris rauques en poussant encore plus en avant son bassin à la rencontre de celui qu’il ensemençait avec vigueur. Les couinements de la blonde finirent de nous stimuler et chacun de nous perdit son plaisir dans le kleenex prévu à cet effet.


Soulagés par cette décharge, nous nous rajustâmes en vitesse et en silence, puis descendant l’escalier aussi prudemment que nous l’avions monté nous rejoignîmes les autres convives.





  • — ---- 5/9 -----


Le repas se continuait sur le même rythme. La belle infidèle avait rejoint sa place à côté de son mari. La bienveillance de ce dernier nous donna matière à discussion. Était-il aveugle vis à vis des incartades de sa jeune épouse ou bien lui laissait-il la bride sur le cou de manière à la garder près de lui sans générer de frustration chez elle ? Dans ce cas se contentait-il de fermer les yeux ou bien était-il au courant de chacune de se frasques ? Était-il l’organisateur de ses rencontres ? Cette dernière hypothèse était bien improbable, mais elle eut le mérite de nous exciter Thomas et moi. Nos dialogues, que nous rendions incompréhensibles pour nos voisins immédiats, entretenait et développait même, notre intérêt lubrique pour notre parente éloignée. Tom était encore plus excité que moi et n’arrêtait pas de lancer vers elle des regards dont l’ardeur nous aurait trahis si elle s’en était aperçue ! Tous deux espérions qu’elle se ferait un devoir de se montrer à la hauteur de sa sulfureuse réputation.


Un nouvel entracte eut lieu. On monta la volume de la musique et des couples se formèrent au milieu de la cour. Évidemment il ne se passa pas une minute avant que la délicieuse ne soit invitée. Les hommes étaient ravis de pouvoir tenir dans leurs bras un tel objet de convoitise, surtout qu’elle se livrait avec une grâce souriante à ces jeux. L’un de ses cavaliers, un jeune homme de 25-30 ans m’était quasiment inconnu. Thomas me répondit d’une moue interrogative lorsque je lui demandai qui il pouvait être. Quelqu’un de la famille c’est sûr, mais qui ? Ce détail n’était pas important du reste. Ce qui l’était plus c’est que le gars en question avait la fâcheuse tendance à laisser glisser son bras dans le bas du dos de sa cavalière, qui le foudroyait du regard tout en affectant un sourire malicieux. À la fin de la danse le couple se sépara comme à regret, des regards complices sous des paupières mi-closes. Elle tomba droit dans les bras d’un nouveau cavalier qui, était la copie conforme du précédent avec une paire d’années en plus ! Thomas s’écria :



Je le regardais en lui faisant comprendre que sa remarque ne m’éclairait pas spécialement.



Bien content de le savoir ! Mais pour le moment ce qui nous inquiétait, et nous ravissait tout à la fois, c’est que la belle regardait le frère avec autant de chaleur que le précédent. Les caresses à peine discrètes sur ses rondeurs n’échappaient pas à tout le monde et des commentaires virulents fusaient à voix basse à notre table. Des femmes surtout.


Une fois encore la musique s’arrêta. Toujours charmante Rachel repoussa néanmoins les invitations suivantes. Elle se réfugia sous la tonnelle, un verre de vin à la main. Notre attention fut soudain accaparée par un incident comique. Un de nos aînés, grisé par la musique s’était retrouvé les quatre fers en l’air ! Heureusement plus de peur que de mal, mais lorsque nous nous sommes retournés vers la tonnelle Rachel avait disparu ! Un rapide tour d’horizon nous confirma cette impression.






  • — ---- 6/9 -----


On décida de se séparer. Tom prit le garage et moi la grange. Celui qui trouvait prévenait l’autre.

Aussi discrètement que possible je m’éclipsai et, contournant le corps de bâtiment je gagnai la basse-cour, puis longeai le mur en bois de la grange. La porte était fermée, mais mon pressentiment me guidait. Avisant une pile de bottes de foin formant une sorte d’escalier le long du mur, je commençai l’escalade. Arrivé au sommet je pus atteindre la fenêtre de l’étage. Je me laissai glisser dans la paille. Des voix figèrent mon mouvement. Je ne distinguais pas les mots mais une voix masculine, non deux voix, se répercutaient dans l’espace clos. Lentement j’en cherchai l’origine, rampant dans le foin. L’étage en mezzanine de la grange donnait une vue partielle sur le niveau inférieur, mais les voix semblaient provenir de sous le plancher jonché de foin sur lequel je me trouvais. Lentement je dégageai les planches larges et mal jointes. Des formes bougeaient ! Collant un œil sur un interstice ma gorge se serra.

Rachel était à genoux. D’une main elle glissait alternativement sur le sexe tendu de Fred, le plus jeune des frères. De l’autre elle caressait les testicules du second, Marc, dont le membre bandé coulissait entre ses lèvres et qui lui maintenait la tête, une main froissant ses cheveux blonds.

Devant cette vision mon sexe se durcit instantanément. Je n’arrivai plus à me détacher de la scène, excité autant par les réflexions salaces des frères que par la vue de la délicieuse blondine amenée à des actes immoraux.

Je pensai soudain à Tom et m’arrachai à cette contemplation qui tendait mon pantalon. Aussi discrètement que lorsque j’étais entré je franchis la fenêtre de la grange, dévalai la pile de foin et courrai vers le garage. J’y trouvai Thomas, furetant en tous sens. Lorsqu’il me vit, ma physionomie suffit à lui faire comprendre que j’avais trouvé l’objet de notre désir.



Nous traversions la cour en courant lorsque :



C’était la voix de ma mère. Nous protestâmes mais sans grand succès. La mort dans l’âme nous la suivîmes dans la cuisine. Le dessert allait être servi et nous avions été recrutés pour aider à porter les plats. Évidemment ceux-ci n’étaient même pas encore remplis ! Trépignant d’impatience en pensant à ce qui était en train de se jouer sans nous, nous attendions la fin de leur préparation.

Les heures qui passèrent, ou bien les minutes je ne sais plus bien, furent les pires de mon existence. Nous nous regardions avec Thomas, échangeant des regards impuissants et enragés. Finalement on nous donna les fameux plats et comme un seul homme nous nous précipitâmes dehors pour délivrer notre fardeau sur les tables les plus proches. Ceci fait, une course effrénée nous amena près de la grange. L’escalade des ballots de foin nous mena à la fenêtre, puis de là nous nous sommes mis à plat ventre pour atteindre l’endroit du plancher que j’avais découvert.


L’ambiance sonore avait changé. Cette fois c’est la voix frêle de Rachel qui prédominait, sur un ton sans équivoque ! Les voix masculines n’étaient plus que râles lascifs ponctués de qualificatifs que toute honnête épouse tiendrait pour vils outrages. La robe légère gisait en boule dans un coin. Rachel, dénudée, avait été allongée sur un ballot de paille. Fred, le plus jeune, était entre ses jambes qu’il tenait relevées contre sa poitrine. Elle se tortillait, son slip blanc glissé à mi-cuisses, juste assez pour laisser libre accès à ses trésors intimes. Le mouvement de va-et-vient que Fred imprimait secouait tout le corps de la belle blonde qui gémissait en se mordant le poing. L’autre frère était accoudé à une pile de foin et faisait glisser sa main sur sa virilité tendue. Il contemplait la jeune femme éperdue de jouissance d’un air mi-amusé, mi-méprisant.



Le visage affolé, la délicieuse jeune femme fit balancer sa tête, sans cesser de gémir.



Excités par tant de perversité nous nous sommes regardés et sans bruit avons dégagé nos envies de leur prison étroite.



Obéissant à son frère, Fred se dégagea, il enjamba le corps de Rachel et vint, à califourchon au-dessus de sa poitrine, lui darder son membre ferme sur son visage. L’humidité visqueuse dont il était recouvert macula les joues et les lèvres de la blonde, qui ouvrit la bouche pour l’accueillir. Ses yeux bleus regardaient avec candeur le visage grimaçant de plaisir de celui qui la dominait. Une fois son frère en place, Marc se leva, recueillit les jambes gainées de soie de Rachel dans le creux de ses bras et finit de la déculotter. Il présenta ensuite son excitation entre les muqueuses roses, luisantes, gonflées, ouvertes. D’un coup de reins il poussa sa virilité à la conquête de la féminité sans défense. Rachel se cambra sous cette intromission vigoureuse et poussa un gémissement étouffé. Quelle vision que cette délicate blonde, allongée sur la paille, le corps pris de spasmes incontrôlés, la bouche pistonnée par un vit tendu, les jambes aux bas exquis relevées, écartelées, ouvrant un abricot juteux dans lequel plonge un pal inflexible. Ses sandales fines décrivaient des cercles dans l’air au rythme des gesticulations impuissantes de ses jambes. Elle gémissait, étouffée par la présence envahissante dans sa bouche. Comment osaient-ils traiter cette déesse de salope ? Et pourquoi cela nous excitait-il tant ? Les ondulations du trio lubrique nous avaient déjà menés au seuil du plaisir, quand Marc intervint.



Il releva encore davantage les jambes de Rachel, jusqu’à ce que son frère placé devant lui puisse en saisir les chevilles. Ainsi ouverte la belle blonde dévoilait en toute impudeur les chemins creux de son bas-ventre. Elle gesticula, mais sans succès. Ses gémissements se firent plus aigus et ses sourcils se froncèrent. Son agitation ne faisait qu’attiser le désir des hommes, et le nôtre ! Marc sortit son sexe de la grotte vaginale entraînant un filet translucide qui perla entre son gland et les lèvres de corail. Plongeant un doigt dans la vasque gluante il s’en servit pour agacer la rosette froncée qui se présentait à lui. Rachel tortilla son bassin mais elle dut renoncer à ses tentatives lorsque le doigt disparut entre ses fesses blanches, lui causant un frisson qui la fit couiner. Ses petits poings martelaient les hanches de celui qui n’arrêtait pas d’onduler dans sa bouche et qui maintenait ses chevilles ouvertes. Imaginait-elle que ses efforts pour articuler des mots de protestation se muaient dans sa gorge en vibrations particulièrement délicieuses pour le membre qui s’y vautrait.



Marc fit ressortir son doigt de l’étroit fourreau et y présenta son gland violacé. Rachel se tortilla à nouveau, les expressions de son visage alternaient entre la colère et la supplique.



Rachel poussa des gémissements aigus, comme une souris prise au piège. Sa tête blonde n’arrivait pas à se défaire de l’emprise qu’elle subissait et ses gesticulations excitaient encore plus celui dont la verge se tendait raide, coulissant entre son palais et sa langue baveuse.



Je rejoignais peu à peu la transe sexuelle des deux frères qui abusaient, si l’on peut dire, de notre désirable tante.


Marc, dirigea son membre tendu d’une main tandis que de l’autre il maintenait écartés les globes fessiers qui se trémoussaient inutilement. Nous le vîmes pousser en avant son bassin, un rictus de satisfaction sur le visage, avec un feulement rauque. Les yeux bleus de la délicieuse enculée lancèrent des flashes avant que ses paupières se referment, crispées. Un long mugissement sourd accompagna la progression de la hampe dans l’étroit fourreau dont les muqueuses se dilataient devant le mandrin durci. D’abord lent, le va-et-vient se fit implacable et rapide, imprimant au sphincter délicat la voluptueuse torture d’un frottis sans cesse contrarié. Le corps arqué, Rachel râlait, les yeux fermés, la bouche grande ouverte dans laquelle nous distinguions sa langue rose et surtout la verge sombre qui s’y complaisait. Ses pieds, aux sandales élégantes, battaient, fermement maintenus aux chevilles. Elle s’agrippait à la botte de paille qui servait de table sacrificielle pour un rite barbare et luxurieux.



C’en était trop pour Thomas qui se vida dans le foin


L’orgasme de mon cousin fut suivi par celui de Fred qui fut pris de secousses tandis que sa lance expulsait son plaisir dans la bouche de Rachel. Les spasmes firent jaillir la verge en pleine satisfaction hors de la bouche accueillante et la belle reçut sur le visage le reste de la semence bouillonnante.

La face angélique marbrée d’un blanc sirupeux nous donna le spectacle émouvant de la jouissance féminine que nul bâillon n’empêchait plus de s’exprimer. Ses "Ouiii … Ouiii…" perçants et ses halètements courts, nous montrèrent, si besoin en était, l’appréciation finale de notre adorable parente sur l’intromission délictueuse dont son intimité tabou avait fait l’objet.


Marc fit à son tour aboutir son plaisir sous l’aspiration moulante qui stimulait sa verge en se déversant dans les fesses de Rachel.


Je ne savais plus à quel moment exact j’avais moi-même pollué le sol. J’essuyai mes mains gluantes dans la paille fraîche alors que Thomas reprenait en rampant, la direction de la fenêtre.





  • — ---- 7/9 -----


Nous avions repris notre place avec la famille. Il restait du dessert et il fut le bienvenu après ces émotions. Rachel était aussi de retour. En pleine discussion, aussi fraîche et naturelle que s’il ne s’était rien passé !

Le café accompagné de pâtisseries suivit le dessert et la musique se remit à entraîner les couples sur la piste de danse improvisée. L’infidèle roucoulait maintenant au bras de son partenaire légitime. La délicatesse de son visage et la grâce de sa silhouette ne cessaient de nous enchanter. Notre libido semblait maintenant calmée et nous étions intérieurement reconnaissants à cette beauté angélique de nous avoir satisfait à son insu. Pourtant une ombre vint planer sur ce tableau paisible.



Thomas me montrait une femme d’une cinquantaine d’années, d’aspect strict qui dévisageait Rachel d’un regard sévère. J’identifiai Viviane, la soeur cadette du brave oncle Henri. Elle s’était fermement opposée au remariage de son frère et en avait été le principal obstacle avant qu’un revirement aussi subit qu’inexpliqué permette l’union scandaleuse. Néanmoins Viviane n’avait jamais témoigné beaucoup de sympathie envers sa jeune belle-soeur. Ses regards foudroyants n’étaient pas spécialement étonnants vu les sentiments entretenus par une bonne moitié des femmes de l’assistance envers Rachel. Par contre ce qui l’était plus ce sont les yeux soumis de la belle blonde lorsqu’elle croisait par hasard ceux de Viviane. D’habitude elle ignorait purement et simplement les calomnies à son sujet ainsi que les attitudes défensives des autres femmes, mais là une sorte de crainte respectueuse semblait l’inspirer.

Haussant les épaules nous nous demandions quels secrets pouvait se cacher derrière ces rapports inhabituels. Les pâtisseries entraînèrent nos pensées du moment vers d’autres, plus légères. Nous profitions de la fête, enfin… sans plus nous fixer sur notre jolie tante. Mes yeux tombèrent néanmoins sur elle. Elle était en plein bavardage avec trois autres femmes et je contemplai avec un désir respectueux cette fleur délicate. Soudain elle s’éloigna du groupe. D’un regard circulaire elle s’assura sommairement de ne pas être vue et disparut derrière une haie. Mon sang ne fit qu’un tour. Je cherchai Thomas et le trouvai en plein baratin avec des cousines. Je le tirai par le bras et lui chuchotai à l’oreille ce que je venais de voir par hasard.





  • — ---- 8/9 -----


Nous nous éclipsâmes une fois de plus, traversant la maison par la cuisine pour rejoindre notre objectif qui se dirigeait vers le jardin potager. Par une fenêtre il était possible de la voir hésiter entre les rangées de haricots, les branches de tomates. Soudain elle se dirigea vers la cabane de jardin d’un pas aussi ferme que lui permettait ses talons hauts sur le sol meuble du jardin. Elle y pénétra. Sans un mot Thomas et moi nous sommes glissés dans le potager par la porte de derrière. Celle-ci émit un grincement qui nous stoppa net ! Rien ne bougea, nous reprîmes notre progression prudente.

Au seuil de la cabane des voix se firent entendre. Une voix de femme, autoritaire. Les mots étaient encore incompréhensibles. Lentement nous avons atteint les parois de la cabane. Malheureusement les fenêtres étaient obstruées de planches ou de caisses qui empêchaient de voir ce qui s’y passait. Nous en fîmes le tour de façon à ne pas risquer d’être vus depuis la maison.



Un bruit mat suivi d’un cri étouffé succédèrent à cette déclaration alarmante.



Chacune de ces odieuses déclarations était suivie des mêmes bruits à la signification effrayante ! Rachel avait dû tomber dans un piège ! Croyant retrouver un amant, c’est la femme de celui-ci qui l’avait accueillie et qui se vengeait sur elle. Le coeur battant nous nous sommes regardés avec la même interrogation au bord des lèvres : Comment secourir notre idole ? Pendant que nous réfléchissions aux actions possibles nos nerfs subissaient cruellement les effets sonores de la punition odieuse de la délicate blondine. Une nouvelle réplique nous fit sursauter :



"Tapp ! - Ahhhii !"


… C’est quoi ça ? C’est quoi ces seins impudiques ? Ca te plaît de te faire fesser ?


Rachel gémit sans mot dire


… Tu n’as pas honte de dresser tes mamelons quand je te corrige ? Dévergondée !


"Tapp ! Tapp ! … aaahh ! … Tapp ! … mmmf !"


… Attends un peu que je vérifie le reste !



… mets tes mains dans le dos…….

… voilaaa, comme ça tu te tiendras tranquille !


Nous aurions payé cher pour savoir ce qui était en train d’arriver à Rachel et surtout qui était sa punitrice. Son timbre de voix trahissait une certaine maturité mais nous n’arrivions pas à mettre un visage dessus.



… tiens ta robe ainsi, que je voie bien tes reins… allez … mmm… bien… alors ? Combien aujourd’hui ?



Les sons qui résonnaient maintenant étaient plus secs et clairs. Oh bon sang ! que faire ? Nous restions tous deux impuissants, en train d’assister à l’humiliation de celle qui avait fait notre ravissement.



… c’était… Jean-Charles - Avoua-t-elle dans un soupir



Les aveux de Rachel ravivèrent en nous les images délicieuses dont nous avions été témoins et bientôt, nos sentiments boulversés se changèrent en une excitation un peu honteuse. Thomas avait placé une main entre ses jambes et la faisait aller et venir discrètement.



Je lui répondis d’un signe de tête bientôt confirmé par la suite du dialogue :



La belle blonde ne cessait de soupirer profondément avec un rythme très suggestif



Rachel poussa un râle rauque qui nous fit frémir et nous décida à sortir nos membres génés par nos pentalons.



… C’est quoi cette humidité qui dégouline de tes fesses ? Et cette dilatation ?


Pas de réponse à part le souffle contracté de la malheureuse punie.



Reprenant sa respiration en sanglotant Rachel avoua :



… Réponds, tu as aimé qu’ils te forcent par là ?



Cet aveu de jouissance sous la sodomie de Marc nous fit serrer encore plus nos mains sur nos tiges tendues.



… Et j’ai bien fait parce qu’il va me servir à te punir !



La litanie perverse se poursuivit jusqu’à DIX !



La respiration sourde et profonde de Rachel s’entendait nettement à travers la cloison mince de la cabane.



A nouveau la succession lancinante se fit entendre. Parfois les gémissements de Rachel se faisaient plus forts ou plus aigus, j’imaginais alors l’origine de ces variations et mon sexe en répercutait aussitot l’effet.



La voix de Rachel était un souffle fébrile, représentatif de l’état dans lequel la délicieuse blonde devait se trouver.



Bon sang ! Voilà qui c’est ! Je me tournai vers Thomas. Son air m’indiqua qu’il avait lui aussi deviné qui était celle qui abusait ainsi de notre jolie tante !



Encore cette suggestion lancinante autant qu’immorale ! Oh cette voix de belette !



Ce dialogue érotique nous avait menés aux portes du plaisir. Imaginer Rachel, cambrée sous les doigts et les objets manipulés par la sévère Viviane, nous fit succomber. De conserve nos virilités se soulagèrent sur le mur de la cabane ! Mais tout n’était pas fini à l’intérieur !



La cinquagénaire était en train de se faire rendre la pareille par la blondine qui apparemment ne se faisait pas prier ! Les bruits de secousses ne durèrent que quelques minutes avant que Viviane ne sombre à son tour dans le tourbillon de l’orgasme sous le lutinage forcément efficace de Rachel.

Collés contre le mur nous entendîmes les deux femmes s’apprêter à sortir. La porte s’ouvrit. Nous nous faisions aussi silencieux que des pierres. Viviane et Rachel sortirent prudemment de la cabane et s’en retournèrent d’un pas rapide vers la maison, sans se douter que la confidentialité de leurs ébats avait été rompue par deux garçons !

Nous pénétrâmes dans la cabane désertée. Il y flottait un mélange subtil et envoûtant de parfums délicieusement féminins associés à des senteurs plus lourdes. Thomas aperçut un morceau d’étoffe à terre.



J’étais un peu jaloux de ce trophée sensuel mais je ne le disputai pas à mon cousin qui avait été le premier à le découvrir.



Je haussai les épaules tout en réfléchissant au scénario qui s’était déroulé dans les lieux. Soudain, comme nous sortions de la cabane j’eus un flash. J’en fit part à Thomas qui me répondit avec des yeux mi-incrédules, mi-excités :






  • — ---- 9/9 -----


Nous étions revenus avec les convives. Certains étaient déjà partis, mais la cour était encore pleine d’enfants, de groupes qui discutaient, riaient, dansaient. Mes grands parents étaient allés se reposer. Viviane bavardait avec sa voisine de tablée et Rachel était à nouveau entourée d’une cour de soupirants qu’elle enivrait de son rire cristallin.

Soudain une idée me vint ! Ce matin Rachel portait aussi une voilette bleue dans les cheveux. Tenue par une épingle. Et maintenant elle ne l’avait plus, où l’avait-elle perdue ? J’en parlai à Thomas qui se creusa la tête pour m’aider à rechercher ce qui pourrait devenir mon trophée à moi ! Soudain :



En quelques bonds j’étais dans la maison. Je montai lentement les escaliers pour ne pas risquer de déranger le repos de mes grands parents. J’étouffai un juron lorsque la porte du grenier grinça. Je cherchai la fine maille bleue et l’épingle à cheveux. Rien. Aussi silencieusement que je le pouvais je furetai partout. Plusieurs minutes passèrent où ma joie se transforma en désespoir. Je m’assis sur un coffre et réfléchis à la scène. Ils s’étaient tenus là, sur la chaise, elle à genoux devant lui, puis sur lui. Ensuite devant le poteau là. Voyons… Un éclair brillant attira mon regard. De sous l’angle d’une vieille malle l’épingle dépassait ! J’avais retrouvé la douce voilette et elle était parfumée en plus !

Soudain le grincement de la porte me fit sursauter. Mon sang se glaça lorsque je vis qui se tenait dans l’encadrement de la porte !

Elle tenait ses sandales à la main. Elle les avait ôtés pour ne pas faire de bruit dans l’escalier. Ses yeux bleus me gelaient sur place, sa voilette à la main. Son visage n’exprimait aucune colère, presque de l’amusement. Elle avança vers moi. Je ne me serais pas senti plus mal devant une reine !



Avalant difficilement ma salive je lui remis sa délicate coiffure. Sans un mot elle sortit de la pièce. Dans l’escalier elle se retourna vers moi, ses yeux étaient rieurs !

Je restai quelques instants sur place, ne sachant que faire. Il me semblait que jamais je n’oserai me représenter devant elle, avec tout ce qu’elle avait pu deviner de ma présence ici !

Finalement je redescendis et rejoignis Thomas, l’air catastrophé.



C’est tout ce qu’il put tirer de moi ce jour là !

Quelques temps après la famille commença à s’égailler. Certains se pressaient pour saluer oncle Henri et son épouse, tandis que d’autres faisaient un détour ! Nous étions prêts à partir Thomas et moi, nous promettant de nous appeler bientôt. Inconsciemment nous nous étions rapprochés du groupe constitué autour de Rachel, juste pour le plaisir de l’apercevoir encore quelques instants. La voix de ma mère s’impatienta. Je soupirai en saluant une nouvelle fois mon compagnon de "débauche" quand… Elle tourna ses regards vers nous, s’excusa auprès de ses interlocuteurs du moment et se dirigea dans notre direction. Tom et moi restions figés ! Un scandale ? Ici ? Oh non pitiééé !

Elle planta devant nous sa silhouette parfaite et tendit la main en s’adressant à Thomas, médusé :



Immobilisé par cette apparition féérique mon cousin ne réagit pas. Je lui envoyai un coup de coude.



Il fouilla dans les poches de son blouson et tendit l’étoffe parfumée.



Elle l’attacha à son cou et fit quelque chose qui faillit nous faire perdre connaissance : Elle se pencha et nous déposa un baiser léger sur la joue en ajoutant à voix basse :



Elle tourna les talons et se replongea dans la foule de ses admirateurs sans plus faire attention à nous. La voix de ma mère nous sortit de la transe dans laquelle son baiser nous avait plongés.



Je me hâtai vers mes parents qui m’attendaient devant l’entrée de la ferme. Evidemment ma mère avait dû voir la scène. J’étais bon pour une sérénade jusqu’à ce qu’on arrive à la maison. Seulement cette fois je savais à quoi m’en tenir