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Temps de lecture estimé : 10 mn
21/09/01
Résumé:  Buffy est contente. En déplacement professionnel, elle va s'arrêter chez sa vieille amie Angéla. Lui préparera-t-elle une surprise ?
Critères:  ff rousseurs ascenseur soubrette strip intermast cunnilingu traduction
Auteur : Marie-France Vivier  (Adaptée de l'anglais par Marie-France V)      
Buffy - Un ascenseur à Glasgow



Bonjour chers lecteurs.


Commençons par les présentations. J’ai 30 ans et je me prénomme Buffy, et autant vous le dire tout de suite, si vous êtes un vampire vous n’avez rien à craindre. Il se trouve que c’est pourtant mon vrai prénom et que j’ai un petit air de ressemblance avec Sarah Michelle Gellar. Comme elle, on m’a souvent dit que j’étais bien faite. Je suis moyennement grande, j’ai les cheveux blonds et les yeux mordorés. J’ai une belle paire de seins fermes et biens ronds et de jolies fesses charnues. Ma ressemblance avec l’actrice américaine va jusqu’à cet étrange petit duvet qui me recouvre les avant bras et que je n’ai pas du tout l’intention d’épiler.


La présentation serait incomplète si je ne parlais pas de ma vie professionnelle et de mes choix sexuels.


Professionnellement, je ne suis donc pas chasseresse de vampires, ni actrice de séries télévisées, mais plus simplement "commerciale" dans l’agro-alimentaire, ce qui m’amène à me déplacer dans tout le royaume, pas seulement en Angleterre, mais aussi en Ecosse et au pays de Galle


Sexuellement, je suis très coquine et suis particulièrement attirée par le corps des jolies femmes. C’est ma vie, c’est mon choix, c’est comme ça ! J’aime pratiquer la domination, mais je n’en fais pas un sacerdoce, et ne considère nullement cette tendance comme devant être une donnée obligatoire de mes relations.


Ce mardi, je roulais à destination de Glasgow. Je resterais quatre jours sur place, ayant plusieurs clients à visiter dans la ville et dans ses environs. Il se trouve que chacune de mes venues dans la métropole écossaise constitue pour moi un petit plus particulièrement jouissif. Je vais vous expliquer.


Ma vieille amie, Angéla Burton est gérante d’un hôtel à Glasgow. Elle doit avoir maintenant dépassé la cinquantaine, mais elle est fort bien conservée. Nous nous sommes livrées, il y a trois ou quatre ans à quelques séances de galipettes tout à fait jouissives et instructives. Mais ce temps est fini. Angéla vit avec un cerbère femelle qui lui interdit toute liaison qui pourrait lui faire de l’ombre.


Le personnel recruté est entièrement féminin. Mais n’allez pas vous figurer des choses ! La loi britannique n’est en aucune façon transgressée, et cet hôtel est très respectable. N’empêche que ces demoiselles sont néanmoins engagées en fonction de leurs aptitudes au saphisme. (Quels tests ou quelles sortes d’entretiens d’embauches sont-ils employés pour parvenir à un tel résultat ? Il faudra qu’un jour je pose la question à Angéla !)


Quand j’ai l’occasion de descendre dans son hôtel, Angéla se met en quatre pour me faire plaisir. Il n’est ainsi pas rare qu’elle m’attribue une soubrette pratiquement à plein temps, et je n’ai jamais eu à m’en plaindre, le recrutement est parfait. Et parfois j’ai droit à quelques surprises, j’en raconterais quelques-unes unes. Et d’ailleurs en voici une !


Quelques milles avant d’arriver, je prends le soin de téléphoner à Angéla pour annoncer ma venue ! Si elle souhaite me faire une surprise autant qu’elle ait le temps de la préparer !


Vers midi, je débarquais, Angéla en personne m’accueillit chaleureusement m’enlaçant dans ses bras, et me gratifiant d’un "french kiss" hélas bien bref !


Nous avons alors échangé quelques banalités d’usages, puis me faisant comprendre qu’elle était débordée, elle me laissa aux soins de Valérie.


Valérie, la plus ancienne des employées, une française, belle blonde aux énormes seins, se présenta devant moi, les yeux pétillants de désir. La première fois que nous avions fait l’amour, elle avait adoré et brûlait à chaque fois que nous recommencions.



Elle passa subtilement la main sur la mienne. Elle remonta et la posa sur l’un de mes seins. Je ne protestais pas.



Dans mon soutien- gorge ! Pensais-je !


Elle ôta sa main.



J’avais cru un instant qu’Angéla m’avait "attribué" Valérie. Il fallait donc croire qu’elle avait d’autres projets. Qu’importe ! Pensais-je, cet hôtel ne m’a jamais déçu ! C’est alors qu’une jeune fille d’une vingtaine d’année arriva devant moi. De très beaux yeux bleus, les cheveux blond vénitiens et une surabondance de taches de rousseurs.



Nous nous sommes donc dirigés vers l’ascenseur. Elle entra et mit mes effets près d’elle. Elle appuya sur le bouton et nous avons commencé à monter. Nous allions au dernier étage, c’est à dire le cinquième. Je ne sais pas quel âge à cet ascenseur, mais je vous assure que l’on fait beaucoup plus moderne et beaucoup plus rapide de nos jours. Ce vieux modèle hydraulique mettait un temps infini à accomplir sa fonction. Je jetais un regard circulaire et fut "surprise" d’y découvrir une caméra vidéo en fonctionnement. Jusqu’où vont se nicher les mesures de sécurité ? Je m’amusais à faire un clin d’œil dans sa direction. L’appareil se mit en branle et s’arrêta soudainement après 30 secondes ! Je l’aurais parié !



Je haussai les épaules et sachant les pannes de ce genre d’appareil, rarement courtes, je m’assis sur le plancher. Elle fit de même. Comme j’étais en pantalon, je pus ramasser mes genoux. Cela était impossible pour Gillian du moins si elle désirait rester décente vue la longueur de sa jupe. Elle choisit alors d’étendre ses jambes, solution plus sage, mais qui ne m’empêchait nullement d’apercevoir le haut de ses bas de nylon. Je la détaillai du regard. La peau très pale, un joli sourire. Sa chemise à cordon laissait présager une bonne paire de seins. Je changeai de place et m’installai près d’elle. Je posai ma main par terre le plus proche que je pouvais de ses fesses sans qu’elle ait l’impression de se sentir agressée.



J’approchai un peu ma main de sa jupe.



Je glissai ma main vers ses genoux, elle le vit mais ne dit rien. Elle ne parut nullement surprise par mon attitude. Je décidai de poser ma main sur son genou. Elle me regarda dans les yeux. Je remontai lentement ma main.



Je commençai à pétrir doucement son nichon.


Elle ne dit rien, elle parut aimer cela. Elle posa alors sa main sur mes seins et commença à les masser.


Sans que je m’y attende, elle se jeta sur moi et se mit à m’embrasser sur la bouche. Je ne lui refusai pas ce plaisir et inséra ma langue dans son palais. Nos langues se contorsionnaient dans tous les sens. Elle se mit à me pétrir le sein. Je la laissais faire un moment puis la repoussais doucement, et tout en la regardant, je commençai à défaire les boutons de mon chemisier. Elle me fit me cabrer, les bras renversés et appuyés sur le sol de l’ascenseur. Elle me dégagea les épaules afin que les pans de mon chemisier restent écartés et se mit à me lécher les seins par- dessus mon soutien- gorge. Je renversai ma tête et posa une main sur la sienne pour lui caresser les cheveux et l’inciter à continuer. Elle retroussa mon soutien-gorge par-dessus mes seins et se mit à me sucer les mamelons avec intensité.



Tout en continuant sa sucette, elle fit glisser ses mains sur mes hanches, frottant doucement sur mes flancs. Sa langue tournait autour de mes mamelons, me faisant crier de plus en plus fort. Elle se mit à me bécoter partout sur la poitrine. Je me trémoussai un peu plus. Je caressais ses doux cheveux avec plus de vigueur. Elle remonta sa main le long de ma jambe, faisant aller et venir le tissu du pantalon sur ma chair. Elle passa sa main sous ma fesse gauche et inséra un doigt sous mon pantalon. Elle se mit à me caresser le dos, puis revint sur mes seins. Sa langue qui titillait mes mamelons et ses mains qui glissaient sur ma poitrine eurent tôt fait de me faire jouir. Je fermai les yeux pour laisser monter en moi le plaisir. Je sentis mon jus être absorbé par ma culotte et mon pantalon.



Je crispai les mains sur le tapis pour ne pas exploser. Je baissai les yeux et la regardai. Elle était à quatre pattes et se dandinait le cul en passant sa langue sur ses lèvres. Je sentis ses mains entourer ma taille. Elles glissaient sur ma ceinture. Tout en me regardant, elle en défit la boucle. Puis, elle se mit à lécher mon corps, en partant de mon ventre. Elle passa sa langue curieuse dans mon nombril, puis parcouru le haut du bord de mon pantalon. Elle le baissa très légèrement, découvrant ainsi le triangle de dentelle blanche que formait ma petite culotte. Elle me donna un baiser furtif à cet endroit..



Elle inséra un doigt sous le rebord de dentelle et le laissa parcourir sur ma peau et mon pubis parfaitement rasé. Elle rebaissa encore un peu plus mon pantalon. Elle continuait de bécoter ma petite culotte. Puis très rapidement elle me retira mes chaussures, les envoyant valdinguer, et dans la foulée me retira ce satané pantalon qui devenait encombrant. Imaginez le tableau : je n’étais plus qu’en petite culotte, le soutien-gorge au-dessus de mes seins, et le chemisier ouvert tenant encore comme par miracle. Elle glissa ses mains curieuses sur mes jambes puis exerça une pression de côté pour me faire retourner sur le ventre.



Je me mordis doucement les lèvres quand elle commença à me caresser les mollets. Ce fut ensuite les cuisses, qu’elle bécota longuement, me faisant languir. J’avais les bras tendus, la tête retournée pour la voir.



Je n’émis qu’un léger gémissement pour toute réponse. Elle passa doucement ses mains sur ma petite culotte.



Elle commença à retirer doucement mes sous-vêtements. Elle faisait glisser lentement ma culotte. À mesure qu’elle descendait, elle bécotait mes fesses avec douceur.



Elle finit de me retirer ma petite culotte et se mit à m’embrasser littéralement le cul. Puis, elle se mit à me le lécher. Elle parcourait ma fente et ma raie de ses doigts. Je sentis sa langue glisser sur mon cul.



Je fus terriblement heureuse quand je la vis se déshabiller. Elle allait me faire un strip-tease.


Elle commença par le haut. Elle se caressa longuement par-dessus le tissu, faisant remonter ses seins que je ne voyais bien sûr pas. Elle défit lentement les cordons de son chemisier blanc, puis elle l’ouvrit pour laisser découvrir une belle paire de boules, enserrées dans un soutien-gorge blanc. Elle continua de se caresser d’une main et de l’autre, qu’elle entra dans sa jupe, elle faisait le geste de se masturber. Enfin, elle fit glisser sa jupe sur le sol et se retourna. Elle dégrafa son soutien et le laissa choir sur le tapis. Elle ne se retourna pas encore, ce qui fit augmenter mon désir de la voir nue devant moi. Puis, ses doigts se portèrent sur le rebord de sa culotte, qu’elle ôta rapidement. Puis, lentement, très lentement, elle se retourna. Elle ne portait plus que ses bas de nylon. Elle avança vers moi et se mit à genoux par-dessus mes fesses. Comme j’étais sur le plancher, elle ne faisait qu’effleurer mon cul. Elle me fit passer mon chemisier par-dessus la tête et se mit alors à me peloter les seins. Je sentais les siens dans mon dos parce qu’elle s’était couchée sur moi. Elle se frottait contre moi. Je sentais les babines de sa vulve qui me laissait des traces humides sur les fesses. Je trouvais cela très excitant. Enfin, dans un gémissement, elle jouit et m’aspergea le cul de sa cyprine. Puis, elle me fit un nettoyage impeccable en me léchant.


Je n’avais toujours pas joui, alors elle me retourna doucement et regarda ma chatte un instant. Elle approcha sa langue si lentement que je sentais son souffle qui faisait frémir ma chatte. Elle passa mes jambes derrière elle et entra sa langue en moi. Je me cabrai de plaisir. Je poussai un long râlement et posa ma main sur mes cheveux pour qu’elle poursuive son cunnilingus. Elle posa sa main sur mes seins et tout en me léchant l’intimité, me malaxa la poitrine d’une main experte. Elle fouillait mon vagin et je ne pus m’empêcher de pousser des légers gémissements. Soudain, je sentis qu’elle approchait son doigt de mon anus. Elle fit des ronds puis passa ce doigt sur ma raie.



Elle n’en fit rien et continua de me lécher et de laisser jouer son doigt. En plus, je sentis son pouce qui me chatouillait la vulve. Puis alors que sa bouche se concentrait sur mon clito, qu’elle mordillait avec une étonnante efficacité, je sentis enfin son doigt s’insérer dans mon cul. Je serrai mes jambes, elle me fouillait de partout. Je me mordis les lèvres et laissa ma cyprine lui envahir le visage. Elle me regarda, tout en se léchant les babines pour ne rien laisser passer du liquide, puis, la bouche encore pleine, vint en étendre sur mes seins. Elle me prit la nuque, me força à goûter mon propre jus tandis qu’elle continuait de caresser mes seins en les imprégnant de ma liqueur.


Je la regardai dans les yeux. Moi qui m’attendais à la surprendre. Cette petite était décidément bien douée. Je vous l’avais dis, le recrutement d’Angéla était impeccable !



Je lui mordis le doigt et dit :



C’est alors que l’ascenseur se débloqua et réentama sa longue montée. Gillian le bloqua manuellement pour nous permettre de nous rhabiller. Comble de mon malheur, je ne pourrai pas goûter tout de suite son nectar..


J’aurai deux mots à dire à Angéla, me dis-je tout haut.


Fin de l’épisode


Note : Ce texte est, vous l’aurez deviné une traduction-adaptation d’un texte anglais anonyme. Il mérite sans doute une suite, mais ne l’ayant dénichée nulle part, je me chargerais de l’écrire.


Marie-France Vivier