n° 02880 | Fiche technique | 12451 caractères | 12451Temps de lecture estimé : 8 mn | 21/09/01 |
Résumé: Je fantasme sur mon aide-ménagère. Une occasion se présente où je peux découvrir beaucoup des secrets de son corps. | ||||
Critères: fh massage intermast uro | ||||
Auteur : Ommegang |
DEBUT de la série | Série : Ma Lusitanienne Chapitre 01 / 02 | Épisode suivant |
Ma Lusitanienne.
Depuis quelques mois nous utilisons les services d’une aide-ménagère lusitanienne.
Elle a à peine trente ans et, comme ses compatriotes, elle est gorgée de soleil et confite en religion. Inutile de dire que je fantasme sur sa supposée pilosité que j’espère abondante.
Elle est sacrément jolie avec ses yeux noirs, ses sourcils bien tracés et sa bouche à la lèvre un peu relevée. Elle est solidement charpentée sans être grosse. Le travail a fortifié sa musculature. Elle s’habille toujours assez chastement. Pas de décolleté plongeant, pas de pantalon collant, pas de jupe courte, des manches courtes mais tout cela ne dissimule que peu une poitrine qui semble attrayante et des fesses bien charnues.
Bon, elle est engagée pour nettoyer et pas pour que je la saute….Quoiqu’elle me fasse bien envie !
Elle est naïve ou rouée, je ne sais pas encore, mais penche plutôt vers la première hypothèse.
A plusieurs reprises déjà j’ai pu, sous un prétexte quelconque, lui prendre les hanches, les fesses et, comme par mégarde, lui effleurer un sein. Chaque fois qu’elle me dit avoir mal là où là, je m’empresse de palper doucement la zone douloureuse, bien plus qu’il ne faudrait le faire. Toujours sans réaction de sa part, d’où sa supposée naïveté !
Lorsqu’elle va à la toilette, je reste près de la porte pour capter le bruit de son pipi dans la cuvette et je m’imagine un minou poilu bien mouillé.
Comme c’est, en plus, une excellente aide-ménagère, j’ai garde de la heurter et de la perdre. Faut choisir dans la vie !
Ne voilà-t-il pas qu’un beau matin, elle arrive en boitant légèrement. Elle me dit avoir eu un important nœud dans le mollet pendant la nuit et avoir toujours mal. Voilà me chance me dis-je aussitôt.
Je lui explique qu’aucune contracture musculaire ne résiste à un massage relaxant. Elle hésite, ne voulant pas me gêner (c’est délicieux…) et accepte finalement mon aide.
Je l’installe sur une chaise en face de la mienne, lui demande d’enlever ses souliers et place le talon de son pied gauche en appui sur ma chaise. Son autre jambe reste au sol.
La plante de son pied se trouve ainsi placée à quelques centimètres seulement de mon entrejambes.
Ce jour la, elle était en jupe. Pour ne rien brusquer, j’ai introduit doucement mes mains en dessous de sa jupe qu’elle avait d’ailleurs pudiquement refermée sur ses jambes.
Au contact de son mollet à la chair chaude et douce, j’ai une violente érection, heureusement dissimulée par mon pantalon.
Je masse doucement son mollet, malaxant bien les muscles que je sens encore durcis par la crampe. Elle me dit :
Je m’attarde très longuement à ce contact délicieux et je remonte vers son genou où je fais des légères pressions dans le creux. C’est un point très érogène pour certaines femmes. Mes deux mains, en conques, enveloppent maintenant le genou complet et lui font également un doux massage d’effleurement.
Comme mes mains sont maintenant loin sous sa jupe, j’en profite pour, de mes avant-bras, remonter celle-ci, dans un geste naturel. Elle est maintenant bloquée juste au-delà du genou. Comme elle a une jambe au sol et l’autre tendue sur ma chaise, elle a les cuisses entrouvertes.
Je me suis avancé un peu sur l’assise de ma chaise et cette fois, à peine une feuille de papier séparerait mon sexe en érection de la plante de son pied. Je ne dois rien hâter, rien brusquer.
Je reviens longuement vers le mollet endolori et dit à ma " patiente "
Mes mains remontent vers sa cuisse et, au passage, entraînent la jupe qui, maintenant est roulée très haut. Je vois ses cuisses naturellement bronzées, entrouvertes et je ne peux résister à m’avancer encore sur mon siège pour toucher sa plante de pied. Elle ne peut ignorer cette présence inhabituellement dure en contact avec son pied mais ne dit rien.
Sa cuisse fait l’objet de toute l’attention de mes mains qui partant de l’extérieur, rejoignent très vite la face interne très douce et la pétrit comme du bon pain.
La position devenant inconfortable pour mon dos, j’avance fortement ma chaise et plie donc son genou, faisant reposer cette fois son pied sur mon entrejambes. Je dois me retenir pour ne pas déjà jouir tant ces contacts, encore innocents peut-être, sont d’un fol érotisme.
Ma Manuella ne réagit pas.
Ce mouvement a fait encore bouger la jupe qui, maintenant, ne cache plus rien …
Une culotte très simple, blanche, m’apparaît. Des frisottis de poils noirs abondants en sortent à l’aine et, par transparence, je devine une toison bien telle que je la rêvais, luxuriante et noire, sur un pubis bien gonflé.
Je continue mon massage de la cuisse en m’enhardissant maintenant à caresser de mes pouces le petit muscle assez tendre situé à la face intérieure de la cuisse, pratiquement à la limite de l’entrejambe… Manuella, aussi naïve, soit-elle doit maintenant bien savoir que le massage décontractant de son mollet endolori est loin et que la connotation sexuelle de notre progression est évidente.
Lorsque je m’attarde sur ces petits " oreillers d’amour " ( j’aime cette image car dans une certaine position, nos oreilles touchent cette partie !!!) je constate que ses yeux se ferment et qu’elle mord sa lèvre inférieure. Elle accepte donc mes attouchements ….
Risquant plus, je saisis son autre jambe et la pose sur ma cuisse. Elle est maintenant bien ouverte et forcée un peu par moi elle a écarté fort ses genoux, tout cela dans un silence que je veux croire complice.
J’hésite à sortir mon sexe de mon pantalon. Il est peut-être trop tôt encore. Mais maintenant, mes mains s’occupent chacune de l’intérieur d’une cuisse et effleurent, masse, caresse toute la surface avec une prédilection toute particulière pour les petits " oreillers " que j’ai déjà cité !
Mes yeux sont rivés sur son entrejambes caché par sa culotte blanche. Ne voilà-t-il pas que je vois cette culotte se tacher d’humidité. Une belle raie humide verticale se constitue. Manuella mouille !! C’est plus que dans mes rêves ? Elle s’est d’ailleurs avancée d’elle-même sur sa chaise, ouvrant ainsi ses cuisses encore plus et m’offrant ainsi encore plus facilement accès à son intimité.
Mes pouces se rejoignent maintenant sur son entrejambes et j’ose effleurer délicatement la trace humide de son slip, cherchant le contact avec son bouton d’amour.
Je la regarde. Elle a toujours les yeux fermés mais sa respiration est maintenant devenue plus rapide et une de ses mains s’est mise en coupe sous son sein.
Sous ma caresse précise, son bassin s’anime d’un imperceptible mouvement comme pour venir au-devant de mes pouces. Tout son pubis est maintenant parcouru par mes doigts et je varie les pressions et les endroits, alternant les caresses et les effleurements ou même une bonne poignée sur sa chatte tout entière.
Tout l’entrejambes de sa culotte est maintenant à tordre.
Je n’y tiens plus et, d’une main, je libère mon sexe qui ne demandait que cela. Il est bien dressé et n’attend, lui aussi, qu’une caresse pour exploser.
Manuella ne semble pas avoir remarqué mon mouvement ou ne veut pas le remarquer. Je lui saisis une main et la pose sur ma queue qui vibre. Elle la retire comme si elle avait touché une barre de fer en fusion, rejette sa main en arrière et s’écrie :
Bon, n’insistons pas pour le moment, elle y viendra bien d’elle-même !!!!
Mes deux pouces se sont introduits hardiment sous la culotte et sont maintenant en contact direct avec sa chair, largement poilue et noyée déjà de son plaisir. Serré par le tissu, je n’ai pas grande possibilité de mouvement et roule un peu le bord, découvrant ses lèvres ourlées comme d’une soie noire.
Cette fois, elle s’est elle-même écartelée pour me faciliter totalement l’accès. Je veux lui enlever le slip mais cette fois encore se sont des Non, non, non catégoriques qui sortent de sa bouche. Sa main maintient d’ailleurs la ceinture du slip.
Moi j’ai l’air malin avec ma queue en l’air et personne pour s’en occuper. Elle n’aurait d’ailleurs besoin que d’une petite main gentille pour exploser. Nous verrons cela plus tard !
Je m’affaire dans sa fente et n’ai aucune peine à atteindre son bouton d’amour. Bien décapuchonné, il se montre dressé dans les poils, comme un petit soldat. Il réagit pleinement à mes caresses précises.
Ma Manuella gesticule maintenant doucement sur son siège, mordant violemment ses lèvres, à mon avis pour ne pas crier sa jouissance.
Elle ne me refuse aucun contact et j’introduis deux doigts très lentement, dans sa chatte qui est indescriptiblement douce. Je commence un léger mouvement de va - vient, tournant bien mes doigts en elle pour encore mieux la sentir. Son plaisir me coule le long de la main et bientôt un troisième doigt rejoint les deux autres et j’active mon mouvement.
Mon autre main remonte vers sa poitrine mais, rien à faire, elle me la repousse avec une certaine violence. J’ai une envie folle d’approcher ma bouche de son minou pour la boire, la lécher, la manger goulûment mais je n’ose pas, ne connaissant pas encore ses limites.
Je suis maintenant avec mes trois doigts en elle, mon pouce titillant en plus son clitoris, à l’amener à plusieurs orgasmes consécutifs.
Mon autre main s’est enroulée autour de mon sexe, dur à faire mal et je commence à me faire jouir.
Tentant cependant, je lui dis :
Elle a les yeux ouverts, pétrifiée par la vision de ma verge dressée, prête à jouir. Je continue mes mouvements en elle et sur moi et, soudain, je ne peux plus me retenir.
A jets abondants je me laisse aller, lançant mon sperme sur l’intérieur de ses cuisses.
Manuelle a refermé ses yeux et les tiens serrés fortement tandis qu’elle s’est mise à serrer aussi convulsivement ses cuisses, bloquant ainsi mes doigts profondément en elle.
Je la sens jouir, jouir sans fin.. le tout dans un râle à peine caché.
Elle-même, voulant encore aller plus vite à son plaisir, bouge son bassin et conduit le mouvement de mes doigts au rythme qu’elle souhaite.
C’est fabuleux….
Puis, soudainement…. Rideau. Manuella me retire la main, se lève, fait retomber sa jupe sur ses cuisses et s’en va !!!! Le tout sans un mot.
Je suis toujours là assis, un peu penaud, le sexe encore un peu bandé. Ce ne doit pas être joli comme tableau. Je me rajuste aussi et m’en vais faire un petit pipi et me laver les mains qui en avaient bien besoin !!! De vous a moi, j’ai léché mes doigts pour connaître le goût du minou de ma Manuella. Un nectar vous dirons les connaisseurs !!
Un peu après, j’ai croisé Manuella dans le couloir et elle m’a dit :
Nous n’en avons plus parlé de la journée !! Aura-t-elle encore une crampe à soigner ? C’est à elle de le dire.
Mon petit doigt (vous savez, celui qui fait si bien vibrer le bouton d’amour !) me dit qu’elle viendra en redemander….
Ommegang.