n° 02898 | Fiche technique | 14201 caractères | 14201 2473 Temps de lecture estimé : 10 mn |
29/09/23 corrigé 29/09/23 |
Résumé: Je retrouve un vieux copain d’enfance à la gare... | ||||
Critères: hh intermast fellation hsodo | ||||
Auteur : Fred 2 (Fred, bisexuel et fier de l’être) |
En ce dimanche après-midi, alors que j’étais en vacances, je me rendais à la gare pour récupérer un copain. Il s’appelait Michel. Je le connaissais depuis maintenant plus de dix ans. Je le voyais tous les étés, sur mon lieu de vacances. On s’entendait parfaitement bien. Ces dernières années, on s’était un peu perdu de vue. En effet, lui qui avait une copine qui vivait relativement loin de chez lui, profitait des vacances pour aller la voir. Un mois avant ce dimanche, il m’avait appelé en m’expliquant qu’il souhaitait venir à Paris pour que l’on puisse se revoir. De mon côté, je n’étais que moyennement chaud, car les vacances étaient courtes et je voulais passer du temps avec ma copine.
Devant son insistance, j’acceptai. De son côté, il était à nouveau disponible, car sa copine l’avait quitté quelques semaines auparavant. Je me rendis donc à la gare et attendis en début de quai l’arrivée de son train. La poignée de main fut très chaleureuse. Nous décidâmes d’aller boire un coup dans un café et passâmes ainsi la fin d’après-midi à nous remémorer nos bonnes histoires du passé. Il semblait très affecté par l’abandon de sa copine à laquelle il tenait particulièrement. Je lui proposai d’aller passer la soirée dans ma chambre de cité universitaire. Je pensais que nous y serions plus tranquilles que chez mes parents. En fait, je lui cédai ma chambre pour la nuit tandis que j’empruntais celle de ma copine.
Nous avions dîné rapidement dans un self situé non loin de ma chambre, puis avions regagné tout de suite après la cité universitaire, fort calme en cette période de congés scolaires. Nous nous installâmes dans ma chambre et commençâmes à discuter de différents sujets. La discussion s’orienta assez rapidement vers le souvenir des expériences sexuelles que nous avions eu en vacances avec les mêmes filles. Pendant que nous parlons, je ne pus m’empêcher de repenser à la façon de nous avions découvert le sexe tous les deux. On avait eu quelques jeux de « touche pipi ».
Je me rappelais un jour d’un été où nous avions décidé de ne pas aller à la plage. Nous étions restés à la maison à jouer aux cartes. Celui qui perdait la partie devait subir le bon vouloir de l’autre. Cela n’allait évidemment pas très loin… Le gagnant enlevait le maillot de bain de l’autre et décidait par exemple qu’on devait s’embrasser sur la bouche ou s’allonger nu l’un sur l’autre. Mais après coup, en étant un peu plus âgé, je me disais que cela aurait pu être intéressant d’aller plus loin pour savoir ce que cela faisait. Par la suite, avec d’autres copains, il m’était arrivé d’avoir des séances de branlettes collectives comme le font beaucoup d’adolescents. Parfois, je masturbais un copain puis, c’était lui qui me masturbait. Une fois, alors qu’un copain se faisait une branlette et que je le regardais, il éjacula. Le problème, c’est qu’il risquait d’en mettre partout. Je recueillis donc tout dans ma main. Prétextant d’aller me laver les mains, en fait, je décidai de lécher le sperme qu’il y avait déposé. Je pris un énorme plaisir à avaler sa semence.
Pour en revenir à mon copain Michel, j’avais très envie de poursuivre ce que nous avions entamé des années auparavant. Michel, qui était très maigre à son adolescence, s’était plutôt rembourré depuis notre dernière rencontre. Je prétextai donc de vouloir voir son bide pour lui faire ouvrir son pantalon. Je pus effectivement constater qu’il avait augmenté de volume à ce niveau-là. Mais en réalité, c’était davantage la taille de son sexe qui m’intéressait. Je me souvenais que son pénis avoisinait les dix-sept à dix-huit centimètres au repos et près de vingt et un à vingt-deux centimètres en érection. Je me lançai en lui demandant si son sexe était toujours aussi grand. Il descendit un peu son jean pour me faire constater qu’effectivement son engin était toujours d’une bonne taille. Je poussai le vice en lui demandant ce qu’il en était en érection. Il souligna que pour observer cela, il fallait se mettre au travail. Je lui proposai de le masturber, mais il m’indiqua que cela avait relativement peu d’effet sur lui. D’après lui, le moyen le plus efficace pour qu’il y parvienne à bander c’était qu’on lui fasse une fellation. Je fis le gars un peu dégoûté. En réalité, je mourrais d’envie d’avoir cette expérience. Il finit de me convaincre en m’indiquant qu’après cela, il me ferait à son tour une fellation. Finalement, j’acceptai. Je lui proposai donc de nous déshabiller entièrement pour être plus à l’aise. Une fois nus tous les deux, on s’installa sur le lit. Michel était allongé sur le dos m’offrant sa queue encore molle tandis que, pour ma part, j’avais déjà une érection respectable. Je n’avais finalement encore jamais joué avec une queue non circoncise. Cela m’intriguait assez de manipuler son prépuce. Je commençai à lui titiller le gland encore couvert avec la langue. Telle une glace, je lui léchai la tige de haut en bas, passant également sur ses testicules. Il y prenait visiblement beaucoup de plaisir puisque sa queue prenait des proportions importantes. Lui prenant l’engin en main, je le décalottai lentement puis le recalottai plusieurs fois. Une fois que sa bite eut atteint sa taille maximum, soit environ vingt-deux centimètres, je décalottai définitivement le gland et enfournai le tout dans ma bouche. Je ne pouvais l’avaler complètement, car elle était bien trop longue. Je montais et descendais en accélérant progressivement le mouvement.
Au bout d’une bonne dizaine de minutes, je sentais qu’il se raidissait, se rapprochant probablement de l’orgasme. Je lui demandai donc de me prévenir avant son éjaculation, de façon à ce que je puisse me retirer avant qu’il ne décharge. Il insista pour que je prolonge ma pipe jusqu’à ce qu’il se vide. Je lui dis ne pas avoir très envie qu’il décharge son foutre dans la bouche. Il insista en disant que son sperme avait un goût très agréable. En effet, sa copine lui faisait souvent des fellations jusqu’à l’orgasme et avalait systématiquement son jus alors qu’elle refusait de le faire avec ses anciens copains dont elle n’appréciait pas le foutre. Je finis par accepter. Je poursuivis donc ma pipe. Il se contracta puis déchargea une quantité impressionnante de liquide laiteux au fond de ma gorge. Je crus que cela ne s’arrêterait jamais. J’avais de la peine à tout avaler. Il en coulait le long de ma bouche. Lorsque cela cessa, je nettoyai tout ce qui traînait autour de mes lèvres. Je le débarrassai également tout ce qui restait sur son gland encore tout gluant. Il m’expliqua qu’il n’avait plus éjaculé depuis plusieurs semaines, justifiant ainsi la quantité de semence dont il m’avait gratifié.
À mon tour, je me mis sur le dos lui présentant ainsi ma bite bien bandée. Il la prit complètement en bouche sans trop de mal. Il faut dire qu’elle n’avait pas les mêmes proportions que la sienne puisqu’elle ne dépassait pas les quinze centimètres en érection. Il montait et descendait assez rapidement sur ma queue, faisant monter du même coup le plaisir. Il ne fallut pas plus de cinq minutes avant que je ne me déverse dans sa bouche. Je lui expédiai quatre giclées qu’il avala facilement. Il est vrai que la quantité était bien moindre que celle que j’avais dû absorber.
Michel avait très envie que l’on poursuive. Je n’y étais pas opposé. Il me proposa de me sodomiser. Je n’étais pas très chaud compte tenu de la taille de son engin. De plus, mon anus était vierge. Il n’avait jamais été pénétré par autre chose que mes doigts. Cela ne me préparait pas vraiment à recevoir pareil engin. Il m’indiqua qu’il me lubrifierait bien le trou du cul avant de me pénétrer comme il le faisait avec son ex-copine qui, d’après lui, n’avait jamais souffert de ses assauts rectaux. Bien au contraire, il me dit qu’elle y prenait beaucoup de plaisir et lui en réclamait à chacun de leurs rapports. Je me plaçai donc à quatre pattes sur le lit. Aussitôt, il commença à me lécher la rosette. Je trouvais cela très agréable. Une fois qu’il eut déposé un maximum de salive, je lui pris la bite et lui déposai à mon tour une bonne quantité de salive en la suçant. Maintenant tout était prêt pour qu’il m’encule. Il positionna son gland contre mon trou et commença à pousser. Au début, ce fut assez douloureux. Puis, je finis par y prendre du plaisir. Il avait alors sa bite entièrement dans mon cul. Il entama ses va-et-vient en me tenant par les hanches. Tantôt, il allait vite, parfois il s’enfonçait lentement. Il poursuivit ainsi pendant près d’un quart d’heure. Il m’informa qu’il arrivait au bout. Je lui demandai de se vider sur mes fesses. Il reprit alors ses mouvements quelques instants puis sortit sa queue et explosa sur mon cul et mon dos. Il m’expédia encore une fois une quantité importante de foutre qui se déposa jusque dans le milieu de mon dos. Il prit soin de tout étaler sur mes fesses et sur mon dos. Je me retournai pour enfourner sa bite dans ma bouche pour la nettoyer complètement, profitant du goût mélangé de son sperme et de mon orifice annal.
À mon tour, j’avais très envie de lui fourrer les fesses. Il prit donc ma place sur le lit et je commençais à lubrifier son petit trou en le léchant abondamment. Je ne me contentais pas de cela, je passais également ma langue sur toutes ses fesses, descendant jusqu’à ses couilles poilues, ce qui visiblement le faisait beaucoup jouir. Je plaçai enfin mon gland à l’entrée de son cul et je poussai lentement. J’étais maintenant totalement enfoncé dans ses fesses. Je m’activais largement en d’amples va-et-vient.
Le plaisir montait en moi. Je sortis ma queue de son trou, pris ma bite en main et, après quelques mouvements de va-et-vient, déversai un flot de foutre sur ses fesses. À mon tour, j’étalai le tout avec mon gland, prenant bien soin de nettoyer les dernières traces de foutre sur mon bout.
Sa queue avait repris de la vigueur. Il me demanda de m’allonger sur le lit. Il vint s’installer sur mon torse. Il présenta sa queue à l’entrée de ma bouche. Je démarrai une nouvelle fellation. Je lui léchai également les couilles, les prenant même en bouche l’une après l’autre. Pendant ce temps, mes mains se plaçaient sur son cul. J’introduisis mon majeur dans son anus encore bien lubrifié. Il vint placer sa rosette au-dessus de ma bouche. Je lui introduisis ma langue dans le trou. Puis, je repris à nouveau ma pipe. Je crois qu’il n’était pas loin de l’orgasme. Je lui demandai alors de se reculer. Il s’installa sur mon ventre. Je pris sa queue en main et débutai une branlette. C’était parti. Il lâcha sa purée. Il posa sa main sur la mienne pour accélérer le mouvement sur sa bite. Les premières giclées atterrirent sur mon visage, puis sur mes cheveux, dans la bouche que j’avais grande ouverte, les derniers jets se déposant sur mon torse. Quel plaisir !
Tout ce qui s’était déposé à proximité de ma bouche, je le nettoyai avec ma langue. Je lui demandai de s’installer sur le dos sur le lit. Il releva ses jambes pour permettre d’avoir accès à son anus. J’étais reparti à lui sucer sa bite toute molle. Je léchai également avec délectation ses grosses couilles. Son anus est resté légèrement ouvert du fait de la précédente sodomie. Cela me permis d’y introduire facilement ma langue, ce qui le fait gémir. Je me préparai à l’enculer de nouveau. Cette fois, la pénétration se fit comme dans du beurre. Je le bourrai sans ménagement. Il y pris visiblement beaucoup de plaisir et moi aussi. Tout en lui défonçant le cul, je jouais avec sa queue. Quel plaisir de branler une bite aussi grande et grosse ! Avec mes doigts, j’essuyai le précum qui coulait de son gland et le portai à ma bouche. C’était un vrai nectar.
Cette fois-ci, il me fallut m’activer une grosse dizaine de minutes avant que je ne sente le jus monter. Puis, je finis par exploser, lui déversant ma crème dans l’intestin. Je lui mis ensuite ma bite dans la bouche pour qu’il la nettoie complètement. Sa queue avait de nouveau retrouvé sa taille normale. Je plaçai mon cul au-dessus de sa bite bien dure. J’écartai les fesses et j’introduisis son engin en totalité dans mon petit trou. Je m’agitai sur lui en faisant rentrer et sortir sa bite de mon cul. Je m’étais bien habitué à ses dimensions et maintenant je prenais un plaisir immense à le sentir au fond de moi.
Après un quart d’heure de pénétration, il me lâcha sa semence dans l’intestin et aussitôt je m’empressai de venir lécher ce qui restait sur son gland. Nous étions tous les deux épuisés. Je pense que ma queue n’aurait pas pu supporter une nouvelle érection. Je commençais à avoir un peu mal. Pour une première, je pense que j’avais eu ma dose. On finit par s’endormir l’un à côté de l’autre.
Le lendemain matin, je me réveillai avant Michel. Je le vis nu à côté de moi, ce qui était une vision agréable, même pour moi qui avant-hier soir n’étais pas un adepte des relations homosexuelles. Sa queue toute molle semblait me lancer un appel. Je la pris en main et commençai à l’astiquer. Je la portai à ma bouche et entrepris une fellation. Cela eut pour effet de réveiller Michel qui ouvrit les yeux avec un large sourire. Il me proposa d’aller prendre une douche et de continuer cela en même temps.
Nous nous rendîmes à la douche. Je me plaçai à genou devant lui et repris ma pipe. Son engin n’eut aucun mal à récupérer ses dimensions habituelles. Cette fois-ci, je la pris en totalité dans ma bouche. Il atteint le fond de ma gorge. Au bout de dix minutes à peine, il me lâcha une quantité impressionnante de foutre. Moi qui croyais lui avoir vidé les couilles la veille, j’en fus surpris, mais je réussis à ne pas en perdre une goutte.
Contrairement aux autres fois, il ne débanda pas. Il souhaitait me sodomiser. Il mit du gel douche sur mon anus et enfonça aussi sec sa queue dans mon cul. Il partit pour dix minutes de va-et-vient infernaux qui se terminèrent par une éjaculation abondante dans mon intestin. À mon tour, je me plaçai derrière lui et lui massai le trou avec du gel. Sans hésitation, je lui fourrai ma bite très dure dans le cul. J’étais dans un état d’excitation intense. Je le besognai violemment et me vidai à mon tour dans son cul.
Mais c’est beaucoup plus calmement que se termina la douche et également le séjour de Michel.