n° 02918 | Fiche technique | 8254 caractères | 8254 1397 Temps de lecture estimé : 6 mn |
28/09/23 corrigé 28/09/23 |
Résumé: Le petit capuchon rouge rend visite à sa mère-grand... (attention, contient de l’humour !) | ||||
Critères: fhhh fellation pénétratio fsodo hdanus conte humour | ||||
Auteur : Auteur Indécent (30 ans, sans histoires) |
Il était une fois un petit capuchon rouge qui allait dans les bois, rendre visite à sa mère-grand. C’était une petite salope de lolita tout juste pubère, mais déjà des envies de foutre plein la tête. Sa belle-mère la détestait parce qu’elle était plus belle qu’elle, et pour tout dire, franchement plus baisable. Elle arborait fièrement de longs cheveux blonds, un mètre soixante-quinze, une taille de guêpe et une poitrine ferme et abondante relevée par son petit costume de sainte nitouche rouge à jupons amplement décolleté.
Le petit capuchon était courtisé par tout ce que le royaume comptait de princes charmants, de ducs et de grands-ducs, et même par un évêque. Cependant, elle n’avait aucun appétit pour le mariage, et préférait marivauder à tout va. C’est ainsi qu’il vint l’idée à sa marâtre de l’expédier chez sa mère-grand, dans la forêt enchantée où elle ne pourrait plus lui faire d’ombre.
En chemin, elle tomba évidemment sur le loup. Celui-ci l’avait déjà à moitié gosier en s’approchant nonchalamment d’elle.
Celui-ci se dit qu’il se taperait bien d’abord la grand-mère, et qu’il aurait bien le temps de se farcir la jeunette plus tard.
La nuit tomba et surprit le petit capuchon rouge en pleine forêt.
Hélas pour elle, le bois était bien désert. Quoique ? Quelle est cette lumière au loin ? Une petite chaumière ! Le capuchon s’avance gaiement, s’arrête devant la petite porte en paille et frappe. Personne ne répond. Notre héroïne est bien déçue.
En faisant le tour de la maison, elle distingua au loin une autre chaumière, en bois, celle-ci. Elle trotta jusque-là, mais ses coups à la porte ne furent point suivis de réponse. Scrutant l’horizon avec espoir, elle finit par deviner une nouvelle demeure un peu plus loin. En s’approchant, elle constata que cette maisonnette était faite de briques, avec une antenne satellite sur le toit, une piscine dans le jardin et une Mercedes garée dans l’entrée. Elle actionna la sonnette.
La porte s’ouvrit brusquement, et le petit capuchon dut baisser les yeux pour détailler son hôte. Celui-ci ne mesurait pas plus d’un mètre, avait une peau grasse et sale, portait un kimono vert flashy, « définitivement nouveau bourgeois », se dit-elle. Cependant, ce n’était pas le plus frappant. Non, le plus frappant était d’une part la bite en érection visible entre les pans du kimono (au moins 24 centimètres d’après elle, et elle avait le compas dans l’œil pour ces choses-là. Enfin, quand je dis dans l’œil, nous nous comprenons), et d’autre part le visage de cochon du bonhomme (au sens propre, mais par opposition au sens figuré, parce que propre n’est pas le premier adjectif qui venait à l’esprit en regardant son visage…).
Sur ce, deux autres cochons arrivèrent, l’un blond (comme de la paille), l’autre brun (comme une écorce), eux aussi en train de s’astiquer le conduit. Elle s’aperçoit que le premier est roux (comme une brique), maintenant qu’elle voit son pubis (ben, oui, ils sont chauves).
Celui-ci était décoré avec un manque de classe évident, mais elle ne fit aucun commentaire, quoiqu’elle ait du mal à se retenir de pouffer en voyant la collection de boules à neige sur le bar. Une télé à rétroprojecteur d’un mètre vingt de diagonale occupait le centre de la pièce. Il y passait un film hard en grand format, où une minette recevait les assauts d’une douzaine de types bien membrés, trois par trois pour en finir au plus vite.
Les moments suivants sont assez difficiles à raconter de façon à laisser transparaître le chaos et la perversité qui les caractérisent. Imaginez cependant trois porcs ayant passés toute leur vie sans femelles, à se branler devant des films entre W et Y, face à une donzelle pas encore en détresse, pourvue de tous les attributs qu’un homme normalement constitué souhaite à sa femme ?
Imaginez ces mains à trois doigts soulevant les jupons, arrachant le string (évidemment rouge !) et le corset de la jeune fille (mais laissant intacts ses bas et ses chaussures à talon, à chacun ses vices !). Imaginez ces trois cochons, la queue raidie par le désir, s’enfonçant tout à tour et en rythme dans la chair rose du capuchon pendant que les deux autres la clouent au sol. Imaginez le capuchon qui supplie :
Imaginez les litres de foutres accumulés qui se déversent sur le corps bronzé de la jeune salope. Imaginez-la qui en crie son désarroi :
Imaginez les trois cochons, heureux de leur premier coït, et le capuchon qui sautille de joie.
Et les trois gros cochons s’exécutèrent, un peu penauds.
Et le cochon eut son premier orgasme anal, en déchargeant dans la bouche avide du capuchon.
Et ils essayèrent les trois trous, leurs queues raides se présentant l’une après l’autre. Et ils perdirent leurs trois paris.
Et les trois gros cochons, bien dégonflés, tombèrent de fatigue. « arghh », dit le premier. « gaga ga », répondit le deuxième. « flttt », ajouta le troisième.
Des ronflements emplirent bientôt la maisonnette de brique. Le petit capuchon chercha en vain un concombre à se mettre sous la dent, mais dut se contenter d’une carotte. Une fois de plus, le capuchon rouge allait mériter son surnom… il lui faudrait mettre la main à la pâte et irriter son délicieux capuchon. Déçue, elle quitta la maisonnette et se dirigea vers la maison de mère-grand.