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Temps de lecture estimé : 46 mn
18/09/23
corrigé 18/09/23
Résumé:  Autour d’un verre de bière, Alexis raconte ses exploits sexuels à son ami Marcel.
Critères:  grp fbi hbi couleurs asie cinéma boitenuit anniversai toilettes photofilm intermast fellation cunnilingu préservati pénétratio fsodo hsodo uro
Auteur : Alexis Defond-Rossignol  (Solitaire mais optimiste)      
Les pérégrinations érotiques d'un buveur de bière

1 – Prologue




Le garçon de café au teint blanchâtre nous resservis pour la troisième fois nos demis débordant d’une mousse qu’il rasa de sa spatule d’un geste très professionnel.





2 – Le récit d’Alexis



C’était une nuit de pleine lune, et en rentrant à la maison, j’avais une grosse envie de sexe. D’habitude quand ça m’arrive j’attrape un bouquin de cul qui traîne sous la table de nuit de ma femme pour me branler. Mais là, j’ai eu envie de cul pervers et sans limites… Alors quand elle est rentrée, je lui ai dit de s’habiller sexy, que j’allais l’emmener à Paris au restaurant.


Je l’ai même surveillée tandis qu’elle s’habillait, dirigeant ses choix vers des bas noirs, une longue jupe et un chemisier… lorsqu’elle a attrapé une jolie culotte dans son armoire, je lui ai dit que ça, elle n’en aurait sûrement pas besoin. Ignorant ses questions, je l’ai enlacée pour le plaisir de la caresser sans culotte, passant mes doigts dans sa raie : génial !



Nous sommes donc partis en voiture, je n’ai pas pu m’empêcher de lui caresser les cuisses et la chatte pendant le voyage. Puis nous sommes arrivés pas trop loin de la rue Saint-Denis.




3 – Cinoche



Je l’ai emmenée au restaurant japonais. On a bien mangé, on a parlé de tout et de rien, puis à la fin du repas, je lui ai proposé un ciné… Elle aime bien le cinéma, ma femme… alors je l’ai emmenée dans l’une des dernières salles qui passent encore des films cochons en boucle.


Nous nous sommes assis au fond de la salle, deux pervers se trituraient mutuellement le manche. Mon cœur qui ne s’attendait pas vraiment à ça avait l’air plutôt surprise et assez contente. Elle a posé la main sur ma braguette et m’a caressé la queue. J’ai placé ma main sur ses cuisses qu’elle a écartées en grand, puis j’ai remonté sa jupe. Ne pas avoir de culotte à dépasser, c’est vraiment un plaisir ! Elle ne quittait pas l’écran des yeux, mais je voyais bien qu’elle appréciait d’avoir ma main sur la motte et un doigt dans la chatte.


Quand elle a voulu sortir mon sexe de mon pantalon, j’ai refusé. D’après mon plan, ça n’était pas la dernière étape de la soirée, j’allais attendre un peu pour en profiter pleinement. Pour ne pas céder à la tentation, je suis passé entre ses jambes et j’ai collé ma bouche à sa chatte. Le goût de son excitation était meilleur que d’habitude, elle regardait le film, les mains dans mes cheveux, et souriait. Sur l’écran, une jolie blonde un peu rondelette se faisait prendre par le cul et suçait un black avec un braquemart géant. J’entendais les soupirs de ma femme se mêler aux cris étouffés de cette salope américaine, c’était très excitant… Ma langue a accéléré sur son clito, ses hanches se sont mises à onduler au rythme de la musique, de plus en plus vite, et Monique a fini par jouir en gémissant très fort. J’ai reçu un flot de mouille dans la bouche que je me suis empressé de savourer. Le black a éjaculé dans la bouche de la fille, les gémissements de tout ce monde m’ont donné une autre idée…


Nous nous sommes levés – de la mouille coulait le long des jambes de ma femme –, j’ai passé mes doigts pour ne rien perdre, je lui en ai même fait goûter un, elle l’a léché en me regardant d’un air pervers, je me suis dit que ce serait le moment ou jamais d’exécuter cette fameuse idée. Mais voilà que ma tendre me dit avoir une forte envie de pisser. Elle m’a demandé de l’accompagner aux toilettes du ciné, car elle n’avait pas trop confiance. On est entré, ça ne sentait pas très bon et un mec était en train d’en sucer un autre, tandis que trois autres types les regardaient en se masturbant. Deux d’entre eux se sont alors avancés vers Monique. Elle a pris peur et nous nous sommes enfuis.





4 – La boîte



Le cœur un peu accéléré, nous sommes sortis du ciné, et ne pouvant contenir son envie de pisser, elle s’est accroupie entre deux voitures en stationnement. Deux types s’arrêtèrent pour la mater.



Les deux hurluberlus un peu vexés s’en allèrent sans insister, je restai donc le seul mateur ! Voici un privilège intéressant ! Elle n’avait rien pour s’essuyer, pas grave ! Je l’ai emmenée ensuite dans une rue un peu plus loin (où j’étais déjà allé avant de la rencontrer). Un vieux rideau de velours rouge cachait l’entrée, je l’ai écarté et j’ai fait entrer ma femme. Elle a marqué un temps d’arrêt devant ce qu’elle découvrait : un escalier d’où venait de la musique et gardé par deux baraqués en costumes. Ils lui ont souri, m’ont fait un signe de tête, et nous sommes descendus.


En bas, en plus de la musique, nous entendions des cris de plaisir et de jouissance. Une belle Asiatique, nue, s’est approchée de ma femme, un polaroïd à la main, et lui a expliqué que le prix d’entrée était une photo de sa chatte. À mon grand étonnement, ma femme ne s’est pas démontée, elle s’est retournée, s’est penchée bien en avant, les jambes écartées, et a remonté sa jupe pour que la belle hôtesse puisse voir à la fois son cul et sa moule. L’Asiatique a fait sa photo et l’a épinglée au mur près d’une centaine d’autres…


La pièce suivante était très sombre, un bar occupait la partie gauche et le reste était meublé de divans rouge sombre sur lesquels des clients, nus ou habillés (ou un peu les deux), buvaient, parlaient ou baisaient… Ma femme s’est retournée vers moi, ses yeux pétillaient, sa langue est passée sur ses lèvres et elle m’a embrassé à pleine bouche comme elle ne l’avait jamais fait.



Nous avons alors pris un verre au bar avant d’aller nous asseoir sur un divan libre au fond de la pièce. Sur le divan le plus proche de nous, une jeune femme à quatre pattes se faisait prendre par-derrière et semblait aimer ça, une jolie femme, probablement antillaise, avec un visage très doux, des petites lunettes et des cheveux bouclés. Le visage figé d’étonnement, ma femme s’est mise à la fixer. J’allais lui faire une réflexion lorsque la jeune femme l’a vu et a pris le même regard éberlué. Elle s’est retournée vers le mec lui disant d’aller se finir avec quelqu’un d’autre et elle est venue s’asseoir près de Monique qui n’avait toujours pas bougé. Et là, elles se sont mises à parler en même temps. J’ai cru comprendre que c’était une amie d’enfance de ma femme. Des fois, le monde est petit ! Eh bien, elle pourrait m’en ramener tous les jours des amies de ce genre là… !


Je les ai laissées à leurs souvenirs pour aller faire le tour de la boîte. J’ai ainsi découvert qu’il y avait plusieurs pièces dans lesquelles l’activité principale était la même : le CUL ! J’ai même été entrepris par une femme assez mûre qui a sorti ma queue et s’est mise à la sucer. Je l’ai laissée faire un peu, puis je suis parti. Elle s’est retournée vers un autre et a recommencé à sucer…


J’ai été faire un tour aux toilettes, j’avais envie de pisser. Surprise, une belle femme complètement nue et aux formes sculpturales se faisait pisser dessus par deux mecs. Ça avait l’air de lui plaire, et comme je m’approchais de l’urinoir, elle m’a fait signe que je pouvais aussi l’asperger. Ce n’était pas très facile parce que j’étais assez excité par la chose, et que pisser en bandant ce n’est vraiment pas évident, mais je finis par y arriver. L’un des deux hommes lorgnait à fond ma bite, et à un moment sa main s’approcha impunément de mon organe. J’hésitais un peu sur la conduite à tenir, mais finalement je le laissais faire, il me branla quelques instants, mais je lui fis signe que je ne tenais pas à jouir si vite, ni dans de telles conditions.



Me voici en train de me faire tailler une pipe par un mec, on aura tout vu ! Et non seulement je n’ai pas honte, mais ça aurait plutôt tendance à m’exciter. Il va falloir que je consulte mon sexologue ! Ou plutôt non, je ne consulterais personne, je fais ce que je veux de mon corps, du moment que je n’emmerde pas le monde, et que l’on ne m’emmerde pas !


Lorsque je suis revenu dans la pièce centrale, je suis allé chercher un autre verre, Monique et sa copine étaient toujours en train de parler. Je suis retourné près d’elles, j’ai roulé une pelle à Marie-Laurence, la blackette, amie de ma femme, pour lui dire bonjour et je me suis installé derrière Monique. Elles étaient en train de se raconter ce qu’elles faisaient là. Marie-Laurence expliquait :



Pendant qu’elles parlaient, j’ai passé mes mains sur les seins de Monique qui m’a laissé faire, alors je lui ai enlevé son chemisier, son soutien-gorge et sa jupe. Elle s’est retrouvée en bas et escarpins. Elle racontait à son amie la séance de cinéma que nous venions de vivre. Je me suis levé et je me suis mis devant elles en disant que je m’ennuyais. Elles se sont regardées et excusées auprès de moi, puis, avec un sourire coquin, se sont occupées de me déshabiller. J’ai eu vite fait moi aussi de me retrouver à poil. Monique tenait ma bite dans sa main, a attrapé le cou de Marie-Laurence et l’a poussée vers moi. J’ai senti sa bouche glisser sur ma queue, sa langue sur mon gland, et je regardais ma femme qui, d’un air vraiment vicieux, me faisait sucer la bite par une amie d’enfance…


Là-dessus, un mec est arrivé en souriant, Marie-Laurence a arrêté de me sucer pour nous présenter :



Corentin est un petit moustachu très dégarni et au visage très jovial. Marie-Laurence lui a demandé d’aller chercher sa femme pour nous présenter. Elle s’est remise au travail avec l’aide de Monique jusqu’à ce qu’ils reviennent.


Florence était très bien faite aussi, une grande fille à la peau un peu pâle, les cheveux auburn assez courts et décolorés. Nous nous sommes embrassés (finalement, je crois que se faire une pelle pour se dire bonjour est une bonne idée), puis elle s’est assise à côté des deux autres pour les aider à me bouffer la queue. Je ne sais pas si ça vous est déjà arrivé de vous faire sucer par trois jolies filles, mais c’est une expérience à tenter et à retenter…


Corentin les a fait mettre à genoux sur le divan toutes les trois et pendant qu’elles essayaient d’emboucher ma bite, il s’amusait à rentrer dans l’une d’elles, puis ressortait, puis passait à l’autre, et ainsi de suite. Ce jeu-là nous amusait tous les cinq. Marie-Laurence s’est levée, puis avec un air coquin a installé la bite de Corentin dans la chatte de ma femme et la mienne dans celle de Florence. À genoux, l’une dans le sens contraire de l’autre, elles regardaient avec des yeux vagues leur mari baiser l’autre. Monique regardait à tour de rôle ma bite entrer entre les jambes de Florence et mon visage (je devais avoir l’air d’un gamin devant un tas de cadeaux à Noël). Marie-Laurence passait de l’une à l’autre, leur caressant les fesses, les seins ou les embrassant à pleine bouche. Monique n’a pas tardé à jouir, bientôt suivie de Florence. J’ai alors attrapé Marie-Laurence qui me plaisait bien et je l’ai allongée sur un divan à côté, puis je me suis allongé dessus et je l’ai pénétrée. Sa moule était accueillante et j’aimais bien le contraste entre l’intérieur de sa chatte rose et très mouillée et sa belle peau noire, couleur de chocolat à croquer.


À un moment de nos ébats, la bite de Corentin est passée près de mon visage, me provoquant un trouble bizarre. Je pensais qu’il s’agissait d’un hasard, mais sa bite restait là, à quelques centimètres de ma bouche.



Je me mis à le sucer un petit peu, puis Florence et Monique prirent le relais et sucèrent Corentin jusqu’à ce qu’il leur jouisse sur le visage, puis elles ont chacune léché les restes de foutre sur le visage de l’autre… Je n’aurai jamais imaginé ma femme capable de ça : de sucer un mec devant moi, d’avaler son sperme, de se faire baiser parmi tant de gens et de trouver ça bien… et encore moins d’embrasser une autre femme, de lui caresser les seins ou de lécher son visage à la recherche d’une dernière goutte de foutre. Elle s’est ensuite installée à califourchon sur le visage de Marie-Laurence pour se faire faire un nettoyage en règle. Corentin et Florence l’ont suivi et l’ont embrassée et caressée pendant ce temps. J’ai joui très vite sur le ventre de Marie-Laurence qui criait son plaisir, et les deux autres sont allées chercher mon foutre dans ses poils avant de le partager avec elle.


Devant ce tableau, Corentin a vite fait de retrouver une forme correcte et moi aussi. Nous nous sommes jetés sur les femmes et avons chacun pris la femme de l’autre. Cette fois-ci, Florence s’est mise au-dessus de moi, s’empalant sur ma queue. C’était un vrai plaisir de la voir vraiment, de lui embrasser les seins et le cou pendant qu’elle bougeait de plus en plus frénétiquement sur mon sexe. Corentin avait repris ma femme en levrette et je devinais à son visage qu’il y trouvait son compte, elle aussi d’ailleurs.


Marie-Laurence profita de ma position pour venir s’asseoir sur moi. J’écartais d’un doigt ses lèvres pour poser ma langue sur son clito. Les deux filles se sont mises à aller et venir de plus en plus vite, haletant de plus en plus fort, et nous avons joui tous les trois en même temps, je sentais la mouille de femme me couler en même temps sur le menton et sur les couilles.


Ensuite, elles ont échangé, Florence est venue m’embrasser et récupérer ce qu’elle pouvait de la mouille de Marie-Laurence et celle-ci est partie nettoyer ma queue de mon sperme et de la mouille de Florence. Je vis alors le visage de Monique curieusement déformé, Corentin la pilonnait toujours par-derrière et je devinais que cette fois-ci, il assaillait son petit trou. Curieusement, ça ne m’embêta pas qu’elle se fasse enculer pour la première fois par un autre, mais à partir de maintenant, elle ne pourrait plus me le refuser.


Avec Florence et Marie-Laurence, nous nous sommes approchés d’eux. Monique, dans un souffle, me dit qu’elle n’imaginait pas ça si bien. Je lui ai demandé de s’expliquer pour le plaisir de lui faire dire des mots cochons. Elle me dit qu’elle aimait se faire enculer et baiser par tous les trous. Je lui répondis que j’étais content que ça lui plaise, puis, encore pour le plaisir de faire un truc pervers, j’ai léché la pointe des seins de Florence en la regardant dans les yeux. Monique avait l’air de prendre du plaisir à me voir faire ça, j’étais content. Lorsque Corentin a joui dans son cul, Monique a poussé un énorme cri de jouissance et s’est affalée sur le divan. Nous sommes restés là, tous les cinq, pendant quelques minutes, les uns sur les autres avant d’avoir la force de bouger, comme si le cri de Monique nous avait tous vidés de notre énergie. Marie-Laurence n’avait même pas la force de se lever pour pisser et se pissait allégrement dessus. Du coup, Corentin sortit de sa torpeur et entreprit de lui lécher son ventre et ses cuisses trempées d’urine ! Quel cochon, ce Corentin ! Puis nous nous sommes rhabillés et nous sommes partis.


Dehors devant la boîte, nous avons échangé numéros de téléphone et adresse. J’ai embrassé Florence et Marie-Laurence pendant que Corentin prenait Monique dans ses bras. Sur le chemin du retour, nous n’avons pas dit grand-chose, mais nous savions tous les deux le plaisir qu’avait pris l’autre, du plaisir pour le plaisir.




5 – Chez Marie-Laurence



Le mercredi suivant, Marie-Laurence vint manger à la maison, nous avons passé une bonne soirée et elle nous a invités chez elle pour son anniversaire le samedi suivant. Elle précisa, le sourire aux lèvres, que Florence et Corentin seraient là…


Le samedi, avant d’aller chez Marie-Laurence, nous sommes repassés rue Saint-Denis. Effectivement, Monique avait une bonne idée de cadeau et a acheté à son ami d’enfance un double gode-ceinture, c’est-à-dire que de part et d’autre de la ceinture il y avait deux godes, dont l’un d’eux pour pénétrer dans la chatte de la fille qui mettrait la ceinture.


Lorsque nous sommes arrivés chez Marie-Laurence, Florence et Corentin étaient déjà là. Les filles avaient fait des efforts pour être sexy sans être vulgaires et étaient vraiment très belles. J’espérais que la soirée serait aussi sympa que la précédente. Nous avons pris l’apéro en discutant comme on le fait toujours dans ce genre de repas, rien ne laissait suggérer dans nos paroles ou dans nos gestes la séance de samedi dernier ou la partouze qui, je l’espérais, allait clôturer cette soirée-là. Ce n’est qu’au dessert, après avoir bien bu, que les allusions salaces et les promesses lubriques sont apparues. Nous sommes passés au salon et Marie-Laurence a déballé ses cadeaux, le gode-ceinture lui a manifestement fait plaisir, ainsi qu’à Florence qui voyait tout l’intérêt d’un ustensile de ce genre.


Corentin et sa femme avaient jeté leur dévolu sur une série de sous-vêtements très excitants. Une guêpière blanche tout en dentelle, un soutien-gorge tout petit et un slip encore plus minuscule et enfin un body noir en dentelle, fendu entre les jambes et ouvert au niveau des seins de manière à ce qu’on puisse les atteindre sans être gêné. Corentin eut alors une idée lumineuse, il me regarda et dit :



Marie-Laurence nous a suivis jusque dans sa chambre. Nous l’avons déshabillée et caressée partout. Une fois nue, nous l’avons allongée sur le lit et pendant que je lui pétrissais et embrassais les seins, Corentin lui léchait la chatte, Marie-Laurence haletait, ondulant des hanches sous les coups de langue. Lorsqu’il s’arrêta, elle en voulait encore, mais la suite serait beaucoup plus… « orgasmique ». Nous lui avons passé le body, puis avons posé la ceinture, faisant bien attention que le petit bout lui entre bien au fond du minou. Elle était magnifique, perchée sur des hauts talons, les seins sortant de la dentelle et une queue bien tendue entre les jambes.


Nous sommes retournés au salon, Florence et Monique attendaient sagement notre retour en discutant. Elles se sont tues et Marie-Laurence a pris le commandement des opérations. Elle a ordonné à nos épouses de nous mettre à poil lentement. Ce qui fut fait de manière très sensuelle, j’ai pu remarquer que nous étions tous les deux très excités. Ensuite, sur ordre de Marie-Laurence, elles nous ont sucés. Puis nous avons dû les déshabiller et les lécher. Marie-Laurence a ensuite voulu que les filles se mettent à quatre pattes sur le canapé et que nous les prenions lentement dans la chatte. J’ai enfilé ma queue dans le sexe de ma femme déjà tout chaud en regardant Florence sourire en sentant celle de son mari entrer en elle. Lentement, en suivant le même rythme, nous avons limé nos femmes, puis Marie-Laurence nous a ordonné de nous asseoir, elle s’est mise derrière Florence et a entré son sexe en elle. Florence grimaçait en sentant passer ce membre en plastique plus large et plus long qu’une queue humaine. Puis Marie-Laurence, en faisant une remarque sur l’utilité du gode lui rentrant dans la chatte pendant qu’elle baisait, a accéléré. Elle s’acharnait sur Florence de plus en plus vite en caressant le cul de ma femme. Elles gémissaient de plus en plus fort, Marie-Laurence enfourna un doigt dans la moule trempée de Monique qui semblait désirer aussi le gode. Un orgasme puissant arracha Florence à la queue de Marie-Laurence qui vint la planter dans Monique. Elles jouirent en même temps, s’affalant sur le canapé.


Florence a enlevé la ceinture de Marie-Laurence et je l’ai aidée à se l’installer, puis elle s’est assise sur le canapé et a demandé à Marie-Laurence de venir s’installer dessus. Elle ne s’est pas fait prier, bien que ses mouvements soient lents et lourds après son orgasme. Elle s’est empalée dessus, Florence lui léchait les seins. Monique s’est emparée de ma queue et m’a conduit vers le cul de Marie-Laurence, puis, plaçant mon gland sur son trou du cul serré, m’a ordonné de l’enculer. Son trou était étroit, mais en y allant doucement, j’ai réussi à tout lui entrer. Marie-Laurence, la tête dans le cou de Florence, étouffait des gémissements. Je sentais le gode dans sa chatte, à travers la fine paroi. Monique a ensuite attrapé Corentin et l’a conduit de l’autre côté du canapé, puis a obligé Marie-Laurence à emboucher sa queue bien tendue. Une bite dans chaque trou, cette dernière a commencé à s’agiter, elle gémissait de plus en plus fort. Soudain, tout son corps s’est tendu, elle s’est cabrée dans un cri et est retombée sur Florence sans pouvoir bouger. Je n’avais jamais vu quelqu’un perdre connaissance d’avoir trop joui.


Je l’ai portée sur un fauteuil à côté et j’ai fait signe à ma femme de s’installer. Elle ne s’est pas fait prier, mais j’ai eu du mal à lui entrer ma queue dans le cul tellement elle s’agitait sur le gode. Florence a posé ses mains sur ses fesses et les a écartées pour m’aider. Ma bite est entrée toute seule, d’un coup, Monique ne bougeait plus : elle semblait profiter de la situation. La bite de Corentin dans la bouche, la mienne dans le cul et un gode dans la chatte, elle gémissait et criait. Corentin a joui le premier, déversant tout son foutre dans la bouche de ma femme qui embrassa ensuite Florence pour partager avec elle la semence de son mari. J’ai ensuite inondé les intestins de ma femme avec mon sperme et les deux filles ont joui quelques instants plus tard.


Nous sommes restés longtemps sans bouger, puis Marie-Laurence s’est réveillée. Les filles l’ont emmenée dans la salle de bain. Corentin et moi nous nous doutions qu’elles allaient y faire des bêtises, Marie-Laurence pénétra la première dans la baignoire et resta debout, mais demanda aux deux autres filles de s’asseoir de part et d’autre d’elles. Puis elle se mit à pisser, aspergeant Monique et Florence d’une abondante douche dorée. Monique avait l’air très surprise, mais Florence en redemandait, recueillant même l’urine dans le creux de sa main pour la laper. Puis Marie-Laurence et Florence intervertirent leur position.


Corentin et moi bandions comme des cerfs, et je pensais à me jeter dans cette mêlée humide quand je sentis la main de Corentin se placer sur mon sexe chaud. Il m’invita à faire de même avec sa propre queue. Nous voici donc en train de nous branler mutuellement, moi qui traitais de pervers les deux mecs du cinéma qui faisait pareil l’autre jour ! Comme quoi, il ne faut jamais dire fontaine ! Corentin se mit ensuite à genoux devant moi et se mit à me sucer, je me laissais faire, mais je n’étais pas au bout de mes surprises :



Et sans attendre de réponse, il partit chercher un préservatif qu’il m’installa sur ma queue, il se pencha ensuite en avant et écarta ses fesses. Sans trop essayer de comprendre dans quoi je m’embarquais, je pénétrais assez facilement dans ce cul masculin que je labourais consciencieusement. C’est à ce moment-là que nos trois grâces (ou nos trois garces) sortirent de la douche et nous surprirent ! Monique faisait une drôle de bobine, mais Florence prenait cela du bon côté.



Quand même, Monique n’arrivait pas encore à s’y faire !



Excité par l’étrangeté de la scène et par les encouragements des filles, je me mis à décharger dans le cul de Corentin qui ânonnait de plaisir. C’est alors que je vis Marie-Laurence se harnacher à nouveau de son gode-ceinture et s’approcher subrepticement de moi !



Je vis alors débouler Florence – ce qui n’était pas une surprise – et aussi ma femme – ce qui en était une. Aidées par Corentin, elles m’immobilisèrent. Je ne luttai plus, puisqu’elles voulaient que je passe à la casserole, je me laissai faire et sentis bientôt le bout de caoutchouc du gode forcer mon petit trou, y pénétrer, et me limer.



Après tout cela, on a tous pris une douche (une vraie) et on s’est rhabillés. Nous sommes partis après avoir invité nos joyeux complices le mois suivant à la maison.




6 – Poses photos



Après ce jour-là, nos ébats ont été grandement stimulés, nous parlions beaucoup pendant l’amour, et nous étions plus pervers et plus directs. Mais ce qui m’a vraiment étonné, c’est quand, deux semaines après, Monique est rentrée un soir et m’a montré une annonce. Un photographe cherchait des modèles pour faire des photos pornos rémunérées. Un euro la photo, ce n’est pas beaucoup, mais les séances peuvent être amusantes. Monique, les yeux pleins d’envie, demanda à ce que l’on réponde à cette annonce.



Alors j’ai accepté à condition qu’elle s’occupe de tout. Elle s’est effectivement occupée de tout et le photographe vint trois jours plus tard. Vers vingt heures, j’allai ouvrir après son coup de sonnette et je découvris une assez jeune femme, dans les vingt ans, brune, typée et assez jolie avec un corps que je devinai parfait sous sa longue robe. Elle portait deux gros sacs de reporters et une valise en métal brillant.



Je la détaillai un peu plus précisément.



Je la fis entrer d’un geste.



Elle rit et posa son matériel dans le salon, découvrant la pièce d’un regard intéressé. Monique arriva, aussi étonnée que moi de découvrir le sexe du photographe. Rachida nous expliqua qu’elle prenait beaucoup de plaisir à faire des photos d’ébats amoureux et qu’elle se servait de son métier pour vivre ses fantasmes. Elle nous inspecta brièvement, puis nous trouvant manifestement à son goût, elle déballa son matériel. Cela fait, elle accepta un café que Monique venait de préparer et nous expliqua notre rôle. Je devais tout d’abord aller mettre un pantalon en toile, une chemise et une veste. Monique devait s’habiller sexy avec une longue jupe, un chemisier et des escarpins, et porter en dessous des sous-vêtements blancs ou bleus bien affriolants.


Le temps que nous allions nous changer, elle avait transformé le salon en studio. Elle expliqua ensuite le scénario, je devais jouer un représentant en sous-vêtements, arriver à la maison avec une valise dans laquelle j’aurais mis des sous-vêtements. J’allais les faire essayer à Monique, ma cliente, puis lorsqu’elle verrait mon excitation, elle devrait la soulager… Nous fîmes une photo de moi à l’entrée de la maison, ma valise à la main, puis une autre où je déballais des culottes et des soutiens-gorge à Monique qui devait rougir en les voyant.


Après cinq ou six photos d’approche, elle me fit signe de venir près d’elle. Tout en expliquant la prochaine photo, elle descendit ma braguette et sortit ma queue. Je voyais sa main caresser mon sexe et il ne mit pas beaucoup de temps à prendre une épaisseur très correcte. Elle le rangea dans mon pantalon avec un sourire et me dit de m’asseoir, les jambes un peu écartées de manière à ce que l’on voie ma bite sous le tissu fin du pantalon.


Monique dut ensuite poser sa main sur la bosse de mon pantalon. Clic.


Puis sortir ma bite par la braguette. Clic.


Puis la prendre dans sa bouche. Clic.


Passer sa langue sur la longueur. Clic. Clic.


Et ensuite enlever ma ceinture et baisser mon pantalon. Clic.


La pipe dura un bon moment, le temps que Rachida trouve chaque fois une bonne position pour prendre la photo. Pendant qu’elle se déplaçait, je la voyais souvent passer sa main sur son entrejambe. Lorsque je fus nu, elle nous fit prendre une pose, enlacés, Monique contre la table en chêne de la salle à manger.


Puis allongée, la jupe relevée jusqu’à la taille. Clic


Ma bouche sur le tissu blanc de son string. Clic


Le string enlevé dans la même position. Clic


Ma langue sur sa chatte. Clic.


Monique était très excitée. Je lui entrai un doigt tout en goûtant son clitoris. Clic. Clic.


Je la léchai avec le plat de la langue. Clic.


J’entrai le bout de ma langue dans sa chatte et commençai à espérer de pouvoir la baiser. Elle nous fit arrêter, Monique devait me pousser vers le canapé et se déshabiller complètement puis venir se fourrer ma queue dans la chatte. Clic. Clic. Clic.


Elle était accroupie sur ma queue, bougeant le cul pour bien se la mettre au fond. Clic. Clic.


Rachida était le plus près possible du cul de ma femme, je sentais sa présence entre mes jambes. Clic


J’ai pris les fesses de Monique et les ai écartées pour ne rien cacher à l’appareil. Clic


Elle m’a dit de lécher les seins de ma femme. Clic.


Puis elle a demandé à ma femme de se retourner. Clic.


Monique, empalée sur ma bite, me tournait le dos. Clic.


Gémissant, elle allait de plus en plus fort. Clic.


Rachida lui a demandé de se toucher la chatte pendant que ma queue la fouillait. Clic. Clic.


Puis elle a demandé à ma femme si elle voulait bien se faire enculer, cette dernière ne s’est pas fait prier. Elle s’est levée puis rassise lentement, je tenais ma queue pour qu’elle lui entre dans le cul. Clic


Les jambes bien relevées pour tout montrer à l’appareil, Monique était assise sur moi, ma bite au plus profond de son petit trou. Clic. Clic. Clic.


Voyant que je n’y tenais plus, Rachida m’a demandé d’éjaculer sur les seins de ma femme. Clic


Nous nous sommes mis en position. Clic



J’ai éjaculé. Clic.


Lui inondant la gorge. Clic.


La vallée entre ses mamelons tout durs. Clic.


Le bout des seins. Clic.


Rachida était maintenant tout près de nous, après un dernier clic, elle a étalé mon foutre sur la poitrine de ma femme, la caressant avec le sperme. Puis – se levant et nous tournant le dos –, je vis qu’elle léchait sa main comme une gourmande qui s’est mis du chocolat plein les doigts. Nous nous sommes rhabillés, elle semblait contente de la séance. Elle nous a remerciés chaleureusement, puis est partie en nous promettant de revenir la semaine suivante nous montrer les photos et nous payer.




7 – Séance de projection



Pour la séance de projection, nous avions invité Corentin, Florence et Marie-Laurence. Lorsque Rachida est arrivée, elle a eu l’air surprise de voir tant de monde et n’a pas osé nous parler des photos. Monique l’a emmenée à l’écart et lui a expliqué que nous n’avions plus rien à cacher à nos trois amis. Corentin avait emprunté un projecteur à un ami à lui, Rachida les a classés et nous avons éteint la lumière. Elle a passé les diapos très lentement, chacun faisait des commentaires. Marie-Laurence et Corentin ont fait les dialogues… Moi, j’étais assis à côté de Rachida qui tenait la télécommande du projecteur dans une main. À la photo où Monique me caresse la queue, je me suis penché vers Rachida et je lui ai susurré à l’oreille :



J’ai attrapé sa main et je l’ai glissé vers ma braguette qu’elle a ouverte. Tout en passant les photos, elle m’a branlé la queue. Vers la fin de la séance, j’allais bientôt jouir, elle s’est baissée et a reçu mon foutre dans la bouche… Ensuite, nous avons rallumé, Rachida arborait un grand sourire, et les autres filles, qui n’avaient pas manqué notre manège, avaient l’air contentes aussi. Elles se sont mises à questionner Rachida sur ses habitudes sexuelles. Les questions étaient si crues qu’elle rougissait, mais elle a tout de même répondu. Vers onze heures, Marie-Laurence lui a ordonné d’un ton très dur :



Rachida avait l’air très gênée, mais elle s’est exécutée. Les trois filles se sont prises au jeu.



Elles l’ont examiné comme du bétail.



Même Monique arrivait à garder son calme et à avoir l’air méchante. Corentin et moi nous sommes servis un verre et avons regardé le spectacle. Rachida, nue, devant trois femmes plus âgées de dix ou quinze ans, avait vraiment l’air d’une très jeune fille. Le visage rouge, mais les seins durcis, elle devait être excitée aussi. Elles recommencèrent les questions :



Rachida regardait ses pieds et répondait par l’affirmative.



Les filles étaient déchaînées, les questions fusaient, Rachida rougissait encore.



Elle s’est approchée de nous et nous a timidement demandé de l’enculer. Nous nous sommes regardés.



Rachida s’est mise à genoux.



Finalement, ce jeu m’amusait aussi…



Elle se prenait aussi au jeu. Les filles sont venues la relever, puis se sont déshabillées. Marie-Laurence a fait signe à Florence et Monique de s’asseoir près de nous et s’est elle-même assise sur le fauteuil en face du canapé. Elle a écarté les jambes et a tendu la main vers Rachida qui s’est approchée, s’est agenouillée entre ses jambes, puis a penché la tête vers la chatte offerte. De l’endroit où j’étais assis, je voyais la tête de Rachida bouger entre les jambes de Marie-Laurence et son cul bien fait.


Marie-Laurence a été longue à jouir, mais la jeune femme ne s’est pas plainte, elle a léché jusqu’à ce que Marie-Laurence explose sur sa langue. Puis Marie-Laurence s’est levée et Florence l’a remplacée. Rachida a continué à lécher jusqu’à ce qu’elle jouisse à son tour, et enfin, Monique est allée s’asseoir sur le fauteuil. Rachida l’a amenée à la jouissance avec sa langue et ses doigts. Elle a dû lécher sans s’arrêter pendant plus d’une heure ! Corentin l’a fait asseoir sur le fauteuil et l’a léché à son tour jusqu’à ce qu’elle jouisse, mais ça n’a pas été trop long. Ensuite, les filles l’ont emmenée prendre une douche, et comme la dernière fois Corentin et moi nous avons maté, nous régalant, la bite tendue, de la douche dorée que les trois filles infligèrent à la mignonne petite beurette. Cette fois-ci, c’est moi qui pris l’initiative de branler la belle queue de Corentin et de la prendre dans la bouche. J’aurais bien voulu qu’il m’encule, cette expérience me manquait, mais je suis timide, je n’ai pas osé le lui demander.




8 – Week-end en bord de la mer



Après cette soirée, nous n’avons pas revu nos amis pendant deux mois. Les impératifs de chacun nous ont empêchés de nous réunir. Mais nous nous appelions régulièrement et nous avons fini par combiner un week-end dans une maison au bord de la mer. Nous devions nous rejoindre là-bas le vendredi soir. Marie-Laurence qui s’était occupée de tout avait même réussi à joindre Rachida. C’était une belle maison des Côtes-d’Armor en Bretagne. Nous sommes arrivés juste après Marie-Laurence. Florence. Rachida et Corentin arriveraient un peu plus tard. Le temps n’était pas beau et la mer déchaînée, nous avons fait un feu dans la cheminée et préparé à manger.


Lorsque les trois derniers sont arrivés, Rachida avait l’air plus sûre d’elle, un peu comme si elle était maintenant intégrée dans le groupe. Il faut dire qu’après de coup de la dernière fois, il ne pouvait plus lui arriver grand-chose.


Après le repas, Corentin et moi avons fait la vaisselle. Les filles avaient exigé que nous la fassions déguisés en femmes. Elles nous ont alors maquillé le visage, rouge à lèvres et fard à paupières compris, puis elles nous ont fait nous mettre à poil, habillés d’un simple tablier. Cela les a distraites quelques minutes, puis elles nous laissèrent. On s’est alors amusés en se passant les plats à se frôler bite contre fesses et nous n’avons pas tardé à bander sérieusement. C’est Corentin qui craqua le premier, et jetant le tablier me tendit sa bite en me demandant de la sucer. Je pris son beau sexe dans ma bouche et lui suçais tout, le gland, les couilles, la verge, en me régalant de cette texture si douce. Comme il voulait me sucer aussi, on s’est étalé sur le carrelage un peu froid de la cuisine et nous avons fait un soixante-neuf. Je m’apprêtais à demander à Corentin de m’enculer, mais nous avons été interrompus par l’arrivée des femmes :



Les quatre femmes avaient décidé que nous dormirions tous dans le salon. Nous avons donc descendu tous les matelas de la maison après nous être assurés que nous serions récompensés de nos efforts. Puis Rachida a sorti deux grosses valises desquelles elle a sorti quatre caméras. Je crois qu’elle était de mèche avec Marie-Laurence pour préparer ce coup-là. Elle a embauché Corentin pour les installer chacune dans un coin de la pièce, et nous a expliqué qu’elle ferait un montage des meilleurs moments de ce séjour. Lorsqu’ils eurent fini, elle sortit encore une surprise de sa valise : ses meilleures photos…


Nous nous sommes installés confortablement, mais pendant la projection, personne n’a osé prendre l’initiative. Certaines de ses photos étaient très réussies. Toutes montraient un couple faisant l’amour, dans toutes les positions, sous toutes les coutures. À un euro la photo, il y en avait pour une petite fortune… Après ce hors-d’œuvre ma foi très appétissant, Corentin et moi avons proposé aux filles de faire un concours de strip-tease où nous ferions office de jurés.


Ces effeuillages nous ont tous excités et après que la dernière soit passée, elles se sont toutes jetées sur nous. Florence et Rachida se sont précipitées sur moi, laissant Corentin à Marie-Laurence et Monique. Elles m’ont allongé et Rachida s’est assise sur mon visage et avant que j’ai pu commencer quoique ce soit, elle s’est mise à me pisser abondamment dessus. Je fus d’abord surpris puis me laissais prendre au jeu en avalant de larges goulées de ce bien curieux breuvage. Une fois son pipi terminé, j’ai commencé à donner des coups de langues à sa chatte qu’elle tenait ouverte avec une main, et j’ai senti Florence enfourner ma queue. Rachida s’est penchée pour la rejoindre et elles se sont partagé mon bâton.


Le jus de Rachida me coulait dans la bouche, je caressais ses fesses dures et douces. À côté de moi, Marie-Laurence et Corentin se partageaient la moule de ma femme, donnant chacun son tour un coup de langue sur son petit bouton. Puis ils ont échangé, je regardais ma femme lécher une autre femme et j’ai failli avoir un orgasme juste en pensant à ce concept. Florence et Rachida avaient délaissé ma queue pour se fourrer la langue dans la bouche, je me suis dégagé et j’ai forcé Rachida à s’allonger. Puis, mettant un doigt dans son trou humide, j’ai fait signe à Florence de goûter ce nectar. Des halètements commençaient à se faire entendre. Du jus de femme me coulait sur la main, j’ai fait coulisser mon doigt dans son minou, puis je l’ai présenté devant les lèvres de Florence qui l’a enfourné en soupirant de plaisir. Rachida a attiré mon attention et m’a dit qu’elle voulait sentir ma bite. Je me suis installé entre ses jambes, Florence a attrapé mon sexe tendu et l’a posé à l’entrée de la chatte de Rachida, puis elle a imprimé un mouvement lent et ample à mes reins. Ma queue est entrée lentement et facilement dans ses chairs.


À côté, il se passait quelque chose de bizarre, Monique avait passé le gode-ceinture et baisait Marie-Laurence par-dessous pendant que Corentin lui bouffait le petit trou à grands coups de langue. J’ai eu envie d’enculer cette petite salope de Rachida, je me suis retiré d’elle et je lui ai dit de se retourner. Elle l’a fait, mais ses yeux montraient bien qu’elle n’était pas rassurée. Florence s’est allongée sous elle et s’est mise à lui parler pour la rassurer, puis elle a écarté ses fesses avec ses mains. Plongeant une dernière fois ma queue dans sa moule pour bien la lubrifier, j’ai posé mon gland sur la rosace de son petit trou. Lentement, très lentement, je l’ai pénétrée. Son trou du cul encore vierge m’opposait une certaine résistance, mais je savais que j’y arriverais. Deux ou trois fois, Rachida s’est raidie, mais j’ai continué, et lorsque tout mon sexe fut entré dans son rectum elle poussa un soupir de soulagement.


Les autres s’étaient arrêtés pour assister au spectacle. Les trois filles murmuraient des encouragements à Rachida. Je suis ressorti pour y retourner tout aussi lentement. C’est une baiseuse née, son cul s’est tout de suite habitué à ma queue et j’ai pu accélérer. Elle raidissait les cuisses pour que je puisse entrer le plus profond possible. Du coin de l’œil, j’ai vu ma femme la regarder avec envie. Marie-Laurence s’est mise à sucer Corentin qui l’a repoussée pour proposer sa bite à Rachida. Il se faisait sucer par Rachida, les yeux fermés, et Florence lui léchait les couilles. Monique s’est occupée de Marie-Laurence. J’ai continué à défoncer le cul de ma petite salope. Elle haletait, étouffée par le mandrin de Corentin, mais elle avait l’air d’aimer ça. J’ai encore accéléré, elle répondait maintenant à mes coups de boutoir en lançant son cul vers moi, en rythme. J’ai vu Corentin jouir, sûrement dans sa bouche, et elle a joui à son tour, poussant de grands cris. Je sentais son anus me serrer de plus en plus fort. J’ai joui aussi, je lui ai inondé l’intestin. Après moi, Marie-Laurence est arrivée aussi à l’orgasme sous la langue de ma femme. Je me suis allongé sur Rachida, la queue toujours à l’intérieur, et je me suis endormi.


Lorsque je me suis réveillé, j’étais toujours sur Rachida qui dormait, Marie-Laurence dormait dans les bras de Corentin, mais Monique et Florence n’étaient plus là. J’ai embrassé Rachida qui s’est réveillée. Elle s’est levée pour prendre une douche et je l’ai accompagnée. Nous avons passé tout le week-end à baiser comme des fous. Les quatre salopes en demandaient toujours plus. Rachida a pris beaucoup de photos. Je suis rentré très fatigué…




9 – Activités professionnelles




Ça s’est passé la semaine suivante, au boulot. Le Directeur n’étant pas là, je le remplaçais pour un entretien d’embauche avec un informaticien, je ne savais pas qu’il aurait de si jolies jambes cet informaticien… Cette très jolie jeune femme se prénommait Li-Anne. Elle était métissée asiatique avec les yeux en amande et un corps élancé. Elle portait un tailleur clair, un chemisier et des petites chaussures à talons. Elle était vraiment très bien faite et je dois dire que ses grands cheveux raides et ses lunettes m’attiraient encore plus. Nous avons discuté du poste et de son CV, mais au bout d’un moment, je me suis lancé :



Elle me regardait, un peu étonnée.



Elle rougit, j’enfonçais le clou :



Je laissais ma phrase se terminer en la fixant. Elle prit l’air de quelqu’un qui vient de faire un choix crucial et me répondit :



Ce que je fis me déplut, j’abusais de ma position et ma question l’assomma, elle venait de vraiment réaliser où je voulais en venir. Je faillis revenir en arrière, mais je ne fis pas et elle me balbutia un « oui » peu convaincu. Je ne pus m’empêcher de relancer :



Elle ne savait plus quoi répondre, et comme un salaud je profitais de la faiblesse de ma proie :



Elle pleurait presque.



Elle ne répondait pas, j’ai fait le tour du bureau et je me suis accroupi devant elle. Elle m’a regardé. J’ai posé mes mains sur ses genoux, que j’ai un peu écartés.



Elle ne répondit toujours pas, mais elle me fit un sourire que je pris pour un encouragement, et alors que je ne m’y attendais absolument pas, je reçus une superbe baffe en pleine poire. Avant que j’aie pu réagir, j’en reçus une deuxième. Alors elle se leva, et se dirigea vers la sortie !



Elle stoppa sa course :



De nouveau, je me suis accroupi devant elle. Elle m’a regardé. J’ai posé mes mains sur ses genoux, que j’ai un peu écartés. Et d’elle-même, elle les écarta un peu plus.



Nous nous sommes embrassés, mes mains sont passées dans la veste de son tailleur et je le lui ai enlevé. Elle s’est levée pour se coller contre moi. J’ai enlevé aussi sa jupe et son chemisier, il ne lui restait plus qu’un tout petit slip qui lui entrait dans la raie des fesses et un soutien-gorge qui maintenait ses petits seins en poire. Je l’ai écartée et j’ai ouvert mon pantalon, sortant ma queue. Puis, la tenant par les épaules, je l’ai forcée à plier les genoux.



Pour seule réponse, elle a englouti mon sexe, serrant bien ses lèvres sur le manche. Elle le prenait bien au fond, jusqu’à sa gorge, et de ses mains libres, enleva mon pantalon et mon caleçon. Elle me pompait le dard d’une manière très franche, caressant mes couilles d’une main et sa chatte de l’autre. Sa langue passait dessus, dessous, sur tout le long. Lorsque j’en ai eu assez, je l’ai relevée et elle s’est penchée sur mon bureau.



Je lui enfournai ma bite dans sa moule bien lubrifiée. Son minou était serré, mais habitué à se faire pilonner. Je l’ai attrapé par les hanches et j’ai accéléré. Ses halètements se mêlaient aux bruits de succion de sa chatte. Elle m’encourageait, me disait que ma bite lui faisait du bien et que finalement je ne devais pas être si méchant que ça, qu’elle était contente de son choix. De mes mains, j’ai écarté ses fesses et j’ai caressé son anus d’un doigt. Elle répondait maintenant par des coups de reins, engloutissant ma queue le plus possible. Je sentais qu’elle allait venir, son vagin se resserrait par à-coups sur ma bite. J’ai accéléré encore et, au moment de sa jouissance, j’ai enfoncé le majeur sans ménagement dans son cul, elle a crié encore plus fort. J’ai tout de suite giclé au fond de sa chatte, crispé contre le bureau.


Nous avons repris notre souffle et nous sommes rhabillés, puis nous avons rempli les formulaires d’embauche. Au moment de la raccompagner, nous nous sommes embrassés et je lui ai donné ma carte de visite. Elle m’a alors confirmé qu’elle était célibataire. Elle m’a expliqué qu’elle était dans un hôtel (elle vient de province) et je lui ai proposé de l’héberger jusqu’à ce qu’elle trouve un appartement.




10 – Hébergement



Li-Anne a accepté ma proposition et nous sommes partis tous les deux dans ma voiture vers son hôtel où nous avons refait l’amour, puis à la maison. En chemin, je lui dis que j’étais marié, elle m’a regardé comme si j’étais mutant et j’ai fini par lui dire qu’elle serait bien à la maison. Arrivés là-bas, Monique nous a ouvert avec un grand sourire.



Monique a continué à sourire, a salué Li-Anne, mais n’a rien répondu. Une fois installées au salon, je leur ai servi un verre. Puis, après un petit moment de silence, Monique a regardé Lydie dans les yeux et m’a demandé à brûle-pourpoint :



Li-Anne a rougi fortement, baissant les yeux. Voyant la lueur amusée dans les yeux de ma femme, j’ai répondu :



Elle m’a regardé, encore plus étonnée. Monique s’est levée et est venue me déboutonner le pantalon. Puis, une fois ma bite sortie, elle a regardé Li-Anne qui ne savait vraiment plus à quel saint se vouer. Finalement, elle s’est penchée vers ma queue et, sous le regard inquisiteur de ma femme, elle a embouché ma bite encore molle et l’a amenée à une fermeté plus convenable. Monique lui souriait et s’est mise à lui caresser les cheveux.



Li-Anne a relevé la tête, lui a souri et s’est remise à son noble ouvrage : me tailler une pipe. C’est alors que le téléphone s’est mis à sonner. J’ai répondu. Lorsque j’ai raccroché, j’ai expliqué à Monique :



Je me suis levé sans la laisser finir. J’ai vu dans les yeux de ma femme qu’elle prendrait bien ma place, mais je ne suis pas resté pour vérifier, j’ai sauté dans la voiture pour aller chercher Rachida. Celle-ci était en pleurs en bas de son immeuble, toutes ses affaires à côté d’elle. J’ai tout mis dans le coffre et je l’ai ramenée à la maison. Elle pleurait :



J’ai fait ce que j’ai pu pour la consoler. Lorsque nous sommes arrivés, elle était calmée et il faisait nuit. Li-Anne et Monique étaient devant la télé, pleurant comme des bêtasses devant un film triste… Je leur ai laissé Rachida et j’ai débarqué ses affaires directement dans la chambre qu’elle allait partager avec Li-Anne. Quand j’ai eu fini, ça allait mieux, Li-Anne et Rachida avaient fait connaissance. Monique était en train de leur raconter le jour où elle s’était fait virer de chez elle et où je l’avais recueillie.


Le lendemain, je travaillais et je ne les ai revues toutes les trois que dans la soirée. Elles avaient l’air de bien s’entendre et de s’amuser. Je les ai emmenées au cinéma et au restaurant. Arrivés à la maison, nous avons pris un thé et Li-Anne (qui n’avait peut être pas encore tout compris) a demandé ce qu’il avait de spécial ce week-end en Bretagne. Rachida a éclaté de rire et est montée dans sa chambre chercher le film. Nous nous sommes installés devant la télé. Le début de la cassette ressemblait à n’importe quel film souvenir, mais lorsque l’image est passée sur tout le monde en train de baiser, j’ai vu Li-Anne rougir, mais lorsqu’elle a vu à l’image Rachida brouter la chatte de Florence, j’ai cru qu’elle allait partir en courant. Les filles l’avaient vu aussi, Monique s’est levée et est venue derrière elle pour lui masser les épaules, Rachida qui était assise à côté d’elle a posé la main sur sa cuisse. Li-Anne avait l’air de ne pas arriver à détacher son regard de la télé où l’on voyait maintenant Monique sucer Corentin. J’ai accéléré la bande jusqu’à ce que la caméra revienne sur Rachida qui, cette fois, léchait Marie-Laurence en mettant un doigt dans sa chatte. La main de Rachida pelotait maintenant les seins de Li-Anne, se faufilant sous son tee-shirt. Monique lui caressait les épaules et le cou. Ses mains sont venues remplacer celles de Rachida qui sont descendues vers les cuisses de Li-Anne. Elles l’ont déshabillé et se sont déshabillées. Li-Anne ne réagissait pas, elle regardait le film que je veillais à laisser sur des scènes de sexe.


Monique m’a demandé d’éteindre la télé et elles ont fait allonger Li-Anne. Puis elles se sont penchées toutes les deux sur elle, dévorant son corps avec la langue. Je me suis mis nu aussi et j’ai commencé à me branler devant ce spectacle. Rachida est passée entre ses jambes et s’est penchée vers son sexe à peine velu. Lorsqu’elle a posé sa bouche dessus, Li-Anne a repris vie, lui a attrapé les cheveux et a essayé de l’en empêcher. Je me suis levé et j’ai pris ses mains dans les miennes. Rachida a repris son avance vers l’entrejambe de Li-Anne qui me souriait. Monique léchait ses seins, promenant ses mains sur tout son corps. Lorsque Rachida a posé le bout de sa langue sur le clitoris de Li-Anne, elle a cessé de se débattre et s’est mise à en demander plus. Elle voulait que Rachida la baise avec sa langue, que Monique lui titille encore le bout des seins et elle voulait ma queue. Je la lui ai présentée près de ses lèvres et elle l’a engloutie.


Monique et Rachida ont continué un peu, puis Rachida s’est allongée à côté et Monique a pris le bras de Li-Anne pour l’installer entre ses jambes. Elle s’est penchée vers le petit minou bien épilé de la beurette et regardait d’un air très intéressé les chairs roses et le trou béant et mouillé. Elle a posé un doigt et l’a fait entrer, Monique s’est installée à côté et a approché son visage du sien. Li-Anne n’osait plus bouger, Monique a passé sa langue sur ses lèvres qui se sont ouvertes et leurs langues se sont mélangées. Enfin, Li-Anne a posé timidement le bout de sa langue sur la chatte de Rachida, Monique la caressait.


Moi, voir cette jeune femme à genoux en train d’en lécher une autre, ça m’a donné une idée perverse. Je me suis installé derrière elle. Je lui ai écarté les fesses et j’ai posé ma langue sur son petit trou bien fermé. Monique est allée s’asseoir sur la bouche de Rachida que Li-Anne léchait avec entrain. Maintenant, les trois filles gémissaient, je me suis relevé et j’ai posé ma queue contre le trou de Li-Anne. Comme je l’avais fait pour Rachida quelques semaines avant, je l’ai enculée, doucement, lentement. Elle a été prise de panique, mais Rachida l’a tenue par les cheveux pour qu’elle continue à la lécher. Je n’ai pas mis longtemps à tout lui rentrer, elle avait l’air d’apprécier. J’ai commencé à lui ramoner le cul de plus en plus vite et j’ai joui assez rapidement. Li-Anne a eu juste après moi un orgasme ravageur, puis Rachida s’est mise à crier, et enfin Monique, sous la langue maintenant experte de la petite Bretonne.


Ce soir-là, nous nous sommes tous retrouvés dans le même lit et je me doutais que Li-Anne et Rachida allaient devenir un couple à part entière dans nos ébats en groupe.




11 – Une dernière pour la route



Deux semaines plus tard, nous avons présenté Li-Anne à Marie-Laurence, Florence et Corentin. Elle a découvert ce soir-là d’autres plaisirs qu’elle ne connaissait pas, deux queues en même temps dans différents trous. Corentin et moi nous sommes amusés à n’oublier aucune configuration possible. Mais aussi une langue de femme sur chaque trou et les seins. Elle a également goûté le sperme pour la première fois et a apprécié. Le dernier arrivant du groupe ainsi constitué a été David, Marie-Laurence l’a rencontré à son boulot. Sa première soirée a dû être mémorable, Marie-Laurence avait demandé à Li-Anne, Rachida, Florence et Monique de venir lui faire une petite fête. Marie-Laurence lui avait bandé les yeux, puis s’était déshabillée et lui avait demandé de la caresser. Puis elle est sortie de la pièce et l’une des filles est arrivée pour prendre sa place. Il s’est aperçu à la troisième que ce n’était pas Marie-Laurence et a enlevé son bandeau. Les filles rigolent encore de la tête qu’il a faite lorsqu’il s’est rendu compte qu’il tenait Rachida dans ses bras et que trois autres femmes qu’il ne connaissait pas gouinaient sa copine… Mais il a été très content de la surprise et en a bien profité.


La soirée d’après, nous étions là, Corentin et moi, et nous nous sommes bien amusés. Trois hommes et cinq femmes, ça permet certaines combinaisons inédites… Les vacances suivantes, nous sommes tous partis dans la maison de campagne de David. Nous avons passé les deux semaines presque tout le temps nu. C’est à la fin de ces vacances que Li-Anne et Rachida nous ont demandé de les accompagner en Hollande pour se marier. Ce que nous avons fait avec plaisir, puis elles ont proposé à ceux qui voulaient d’acheter une maison et d’y habiter tous… Avec Monique nous ne nous sommes pas joints à cette expérience… pas encore ! Un jour peut-être…


Nos amis vivent tous les six dans une belle maison de banlieue depuis maintenant trois ans. Le sexe fait partie de leur vie, chacun fait ce qu’il veut avec les autres, mais ils ont été obligés de limiter les pièces aux quatre chambres et au salon télé. Pour arrondir les fins de mois, ils ont créé un site Internet payant où ils fournissent photos et films de leurs ébats, et par lequel les filles se proposent comme modèles pour des séances photo porno (activité qui marche de plus en plus) et vendent leurs culottes propres ou portées, sèches ou mouillées (ça aussi ça marche bien !).




12 – Epilogue






– FIN –




Postface


J’aime bien Revebebe, mais la tendance critique actuelle m’énerve un petit peu. Que je me fasse bien comprendre : je n’ai rien contre les critiques, globalement leurs appréciations et leurs notes reflètent la réalité, et il n’est certainement pas évident de s’y retrouver parmi la masse d’histoires publiées.


N’empêche que certaines choses m’agacent, et que j’ai failli faire un éditorial contre le consensus mou qui semble être celui de la critique. Ne cherchant aucune polémique et estimant que chacun doit pouvoir s’exprimer dans le calme, j’ai préféré faire un récit pour montrer que (par ordre alphabétique) :


  • —  l’on peut remettre en cause certaines choses dans le plus grand calme ;
  • —  la contrainte ne doit pas être considérée comme tabou, pourvu que les auteurs ne soient pas neutres dans leur propos ;
  • —  la description sexuelle peut se suffire à elle-même ;
  • —  la recherche de prétexte à une histoire érotique n’a rien d’obligatoire ;
  • —  l’amour de groupe existe aussi ;
  • —  les relations bisexuelles ne sont pas limitées aux filles dans les orgies sexuelles ;
  • —  on peut faire long et décontracté ;
  • —  plusieurs styles peuvent coexister (très dialogué, peu dialogué…) ;
  • —  un récit peut être purement porno sans tomber dans le crade ;
  • —  une histoire n’a pas à être forcément crédible pour exister.