(petit aparté avant le texte : Si tu corresponds au physique de Sonia, n’hésite pas à m’écrire)

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Devant se rendre dans l’Hérault pour le travail, Sonia décide de passer un coup de fil à son ancienne copine de fac, Brigitte, qu’elle n’a pas revue depuis des années. Bien entendu, Brigitte accepte et lui propose de passer chez elle dès qu’elle en aurait fini avec son rendez-vous. Ce faisant, Sonia arrive en bas de l’appartement de Brigitte en début d’après-midi. Cette dernière est vraiment vernie, non seulement elle habite dans le sud, mais en plus son immeuble n’est qu’à quelques centaines de mètres de la mer. Sonia serait bien heureuse de quitter son appartement lyonnais pour le soleil enchanteur du midi, mais bon, il faut bien gagner sa vie : elle a un emploi stable et son appartement à payer.

Sonia sonne, Brigitte lui ouvre.

• —  Bonjour, Brigitte. Tu n’as pas changé.
• —  Toi non plus, Sonia. Entre, que je te voie mieux.

En effet, elles n’ont pas changé, mais ce n’est pas quatre années qui auraient pu avoir beaucoup de prise sur ces deux jeunes filles encore toutes fraîches. Depuis qu’elles se sont rencontrées, elles ont toujours été de super copines l’une pour l’autre. Si elles ont de nombreux points communs, elles ne se ressemblent pas tellement au niveau physique. Sonia est une petite brunette, les cheveux coupés au carré, elle a tellement peu de poitrine que rien ne vient déformer l’étoffe de son chemisier. En revanche, Brigitte est un peu plus grande que Sonia et a des cheveux châtains mi-longs, mais ce qui fait surtout leur différence, c’est qu’elle dispose d’une poitrine assez généreuse. Sous son t-shirt se dessinent deux importantes collines qui bougent agréablement avec les mouvements de Brigitte.

• —  Je te sers un verre ?
• —  Je veux bien. Je suis vannée avec cette chaleur.

Brigitte lui sert une boisson alcoolisée et rafraîchissante qui a vite fait de détendre l’atmosphère.

• —  On s’y fait. Je m’habille toujours assez léger.
• —  Tu es toujours habillée comme ça ?
• —  Non, quand même pas, mais je profite d’être dans mon appart pour me mettre à l’aise. Il fait trop chaud ici. Je ne porte même pas de soutif tellement ça tient chaud, pourtant, avec ce que j’ai, ce n’est pas très pratique.
• —  Ben, tu vois, je préférerais être à ta place. J’envie ta poitrine.
• —  Arrête, elle n’a rien d’extraordinaire.
• —  Par rapport à la mienne : si. Tu ne l’as jamais vue, c’est pour ça.
• —  Ah oui ? Qu’est-ce qu’elle a de si spécial ?
• —  Ben, je n’ai pas de poitrine.
• —  Oui, j’avais déjà remarqué que tu n’en avais pas beaucoup.
• —  Non, je n’en ai pas du tout.
• —  C’est pas vrai ?
• —  Si. Tiens, regarde !

Sonia déboutonne son chemisier puis en écarte les pans de façon à bien montrer son buste à Brigitte, surprise. Sonia n’a absolument pas de seins, son torse est semblable à celui d’un homme. Seuls les deux tétons, de taille imposante, rappellent qu’il s’agit bien d’un corps féminin.

• —  Il faut le voir pour le croire. Évidemment, tu ne portes jamais de soutien-gorge ?
• —  Même les brassières d’ados sont trop amples pour moi.
• —  Comme ça, tu fais des économies. Moi qui fais du 95C, je dépense un max en sous-vêtements. Tiens, je vais quand même te monter la mienne.

Brigitte retire son t-shirt, dévoilant sa poitrine imposante au regard admiratif de Sonia.

• —  J’ai toujours rêvé d’en avoir une comme la tienne.
• —  Elle est belle, hein ?
• —  Si, j’osais…
• —  Tu veux voir comment c’est ? Pas de problème, je n’ai pas de tabou.

Sonia s’approche de Brigitte et touche, soupèse, palpe et caresse la poitrine de Brigitte.

• —  C’est chouette.

Brigitte veut faire profiter à sa copine de cette unique journée dans le midi. Vu le soleil et la chaleur, elle lui fait une proposition.

• —  Il fait beau et chaud aujourd’hui. Ça te dirait de profiter de l’occasion pour aller à la plage ? Tu ne dois pas souvent en avoir l’occasion sur Lyon ?
• —  C’est que je n’ai pas pris de maillot de bain.
• —  On peut aller sur la plage naturiste.
• —  Arrête, je fais déjà un max de complexes à cause de ma poitrine, alors ce n’est pas pour aller me mettre toute nue sur la plage.
• —  Ne t’inquiète pas, je connais des coins tranquilles où il n’y a personne. En plus, je suis sûre que de faire du naturisme te débarrasserait de tous tes complexes.
• —  Oui, bon, mais il y a autre chose.
• —  Quoi ? Je t’écoute ?
• —  J’ai le sexe épilé.
• —  Moi aussi, je me rase le sexe. La plupart des femmes le font, y compris sur les plages naturistes. Il y a même des mecs qui le font.
• —  Oui, mais moi, je suis complètement épilée.
• —  Petite perverse… Tu soignes ton look lolita. Allez, je te propose un marché, je me rase complètement le sexe et tu viens avec moi à la plage.

L’alcool ayant déjà monté à la tête de Sonia, elle ne discute pas plus.

• —  Bon, pourquoi pas ?
• —  Alors, je vais aller me raser le sexe, j’en ai pour cinq minutes.

Brigitte va alors dans la salle de bain. Elle fait couler une douche et continue à parler en même temps à Brigitte. Évidemment, Brigitte entend mal ce que Sonia lui dit à cause du bruit de l’eau. Brigitte interrompt la douche.

• —  Viens ici, nous pourrons continuer à discuter.
• —  Dans la salle de bains ?
• —  Pas de problème. De toute façon, nous nous verrons toutes nues tout à l’heure sur la plage.

Sonia entre dans la salle de bains alors que Brigitte est sous la douche.

• —  En fait, tu tombes bien, j’ai oublié de prendre la mousse à raser et un rasoir, tu peux me les passer ? Dans le tiroir du milieu.

Sonia ouvre le tiroir et passe le rasoir et la mousse à raser à Brigitte. Celle-ci s’étend de la mousse à raser sur le triangle de poils qu’elle avait conservé puis les rase sous les yeux de Sonia.

• —  Tu le fais toujours au rasoir ?
• —  Ben oui.
• —  Moi, j’ai une épilation définitive. C’est mieux.
• —  Oui, il faudrait que je m’en fasse faire une.

Brigitte se sèche et se passe une crème adoucissante sur la peau fraîchement rasée. Elle sort de la douche et va déambuler nue dans son appartement sous les yeux de Sonia pour prendre un sac de plage et y mettre deux serviettes de plage, de la crème solaire et divers trucs. Elle enfile ensuite un short, sans mettre de culotte, et un t-shirt sans prendre de soutien-gorge. Sa poitrine généreuse se balance librement sous le vêtement.

• —  La plage est à deux pas, pas la peine de trop s’habiller pour se déshabiller tout de suite. Tu viens, on y va ?

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Sonia et Brigitte arrivent à la plage. Comme l’avait prévu Brigitte, il n’y a quasiment personne aux alentours. Brigitte sort les serviettes de plage et se déshabille tout de suite pour mettre Sonia à l’aise. Sonia n’a pas encore commencé à retirer ses vêtements alors que Brigitte est déjà allongée nue sur sa serviette.

• —  Allez, vas-y, qu’est-ce que tu attends ?
• —  Je suis gênée.
• —  Tu m’as bien montré ta poitrine tout à l’heure sans être gênée. Retire au moins ton chemisier.

Sonia retire son t-shirt. Brigitte continue d’encourager sa copine.

• —  Allonge-toi, je vais te passer de la crème solaire, ça ira mieux.

Sonia s’allonge. Brigitte lui verse de la crème solaire sur le ventre, elle l’étale, passe sur les seins, les caresse de la paume.

• —  C’est troublant, j’ai presque l’impression de caresser un homme.
• —  Sauf que les hommes n’ont pas de tétons de cette taille.

Brigitte prend un des tétons de Sonia entre le pouce et l’index. Elle joue à le faire tourner. Il grossit encore plus.

• —  Mais tu as des tétons magnifiques.
• —  Juste l’inverse de mes seins.

Brigitte reprend ses caresses. Elle parcourt les deux seins, tourne autour des tétons, joue avec. Sonia se cabre et ondule de plaisir sous le contact des caresses de Brigitte. Là, sur la plage, une femme entièrement nue en caresse une autre qui porte encore son pantalon et ses chaussures, mais est complètement dénudée du haut.

Brigitte sentant que Sonia est maintenant détendue déboutonne son pantalon et le lui retire. Sonia se laisse faire, grisée par le plaisir. Brigitte retire aussi cette culotte, dernier rempart avant la nudité absolue. Le sexe parfaitement épilé de Sonia et celui fraîchement rasé de Brigitte ne peuvent rien cacher de leur intimité. Brigitte regarde ce corps, détendu, offert à son regard. Avec sa petite taille, son absence de poitrine et son sexe lisse, Sonia semble n’être qu’une fillette. Brigitte reprend de la crème solaire et l’étale sur les pieds, puis les jambes de Sonia. Elle remonte le long des cuisses. Ses jambes ne sont pas écartées et seule la fente de son sexe est visible. Brigitte l’effleure subrepticement, elle remonte plus haut et caresse le bas ventre, puis redescend sur le pubis, le caresse aussi. Elle repasse à nouveau sur la fente, appuyant cette fois-ci bien plus sa caresse, sa main se place entre les cuisses. Sonia, prise de désir, les écarte pour permettre à Brigitte l’accès à son jardin secret. Brigitte ramène ses doigts sur la fente de sa copine, elle y introduit le bout de son majeur, fouillant l’entrée de la grotte, titillant le clitoris. Une délicate liqueur se répand sur ses doigts, elle n’attendait que cela pour entrer un doigt, puis deux, dans le vagin de Sonia qui ondule de plaisir. Brigitte se met alors à masturber sans retenue son amie tout en lui caressant les seins et en jouant avec les tétons fièrement dressés. Ce traitement a rapidement raison de Sonia, qui sans plus attendre jouit sous les caresses des mains agiles de Brigitte.

Brigitte est fort heureuse d’avoir pu faire oublier à sa copine le fait qu’elle se donnait sans retenue sur la plage. Elle lui laissa le temps de récupérer avant de demander la pareille.

• —  Tu veux bien me passer de la crème solaire ?
• —  Avec plaisir.

Sonia étale la crème solaire sur le ventre et les seins de Brigitte. Elle en profite pour les malaxer, les pétrir, les caresser. Elle prend réellement beaucoup de plaisir à disposer pour un instant de cette poitrine qui n’est pas comme la sienne. Elle passe ensuite de la crème sur les jambes et les cuisses de Brigitte pour arriver finalement au sexe. À son tour, elle le caresse, le parcourt de ses doigts, le visite, titille le clitoris, puis finit par y mettre deux doigts pour la masturber. Brigitte jouit déjà sous ces caresses. N’y tenant plus, Sonia approche son visage des seins de Brigitte tout en continuant à la masturber. Elle prend un téton dans sa bouche, le suce, le mordille et l’aspire. Elle en fait le tour avec sa langue, tire dessus en le pinçant avec ses lèvres. Puis elle change de téton, elle peut ainsi en caresser un de la main tout en suçant l’autre et en masturbant le sexe de Brigitte avec son autre main. Brigitte, réjouie de ce traitement, masturbe Sonia en même temps. Elles finissent par jouir toutes les deux. Exténuées de plaisir, elles restent allongées sur leurs serviettes à prendre le soleil. Les cuisses légèrement écartées, le soleil et le vent viennent caresser leur sexe nu et brillant d’humidité, les lèvres encore légèrement entrouvertes.

Quelque temps a passé. Le téléphone portable de Brigitte sonne dans son sac de plage. Brigitte le prend et le décroche.

Allô… Ah, salut Jérôme. Tu vas bien ? … Oui, merci… Je suis déjà à la plage… Attends un instant, je suis avec une copine.

Brigitte se tourne vers Sonia.

• —  J’ai un copain au téléphone, Jérôme, il va à la plage et me demande si je voulais y aller. Ça tombe bien, on y est déjà. Ça ne te gêne pas ?
• —  Ben…
• —  Tu verras, il est super sympa. Il n’y aura pas de problème.
• —  Bon, d’accord.

Brigitte reprend son téléphone.

C’est d’accord… On est vers le milieu de la plage… Non, il n’y a pas grand monde, tu nous trouveras facilement… Voyons…

Brigitte regarde Sonia, le sexe de Sonia, puis son propre sexe. Elle sourit.

Tu n’auras qu’à chercher deux filles qui ont le sexe complètement rasé… Facile… Allez, à toute…

• —  Tu y vas fort toi.
• —  Faut ce qu’il faut. Tiens, à propos, si je me souviens bien, Jérôme fait un fantasme sur les petites poitrines, tu vas peut-être lui plaire.
• —  Tu sais, je ne fais que passer dans la région.
• —  Moi, je dis ça comme ça. Il fait beau et chaud, Jérôme est plutôt mignon… et bien monté… j’en sais quelque chose !

Un quart d’heure plus tard, Jérôme arrive sur la plage, il commence à longer le littoral à la recherche de Sonia et Brigitte. Observant les femmes allongées, et en particulier leur sexe, il passe certainement pour un voyeur aux yeux de certains. En fait, il ne fait que rechercher celles avec qui il a rendez-vous en se basant sur l’indice que Brigitte lui a fourni. Il marche comme cela pendant quelque temps, jusqu’à enfin voir deux filles au sexe rasé. Il va vers elles, il s’agit bien de Sonia et Brigitte. Cette dernière l’a reconnu alors qu’il s’approche.

• —  Le voilà !

D’un seul coup, la pudeur de Sonia reprend le dessus. Jérôme est habillé alors qu’elle est nue. Elle cherche à cacher son sexe et ses seins. Brigitte voit cela.

• —  Calme-toi, dans un instant il sera aussi nu que toi et moi.
• —  Ça me gêne.
• —  Force-toi et tu ressentiras du plaisir à t’exhiber ainsi.
• —  Vraiment ?
• —  Fais-moi confiance.

Brigitte caresse doucement le bras de Sonia. Finalement, cette dernière retire ses mains de son corps, le dévoilant à nouveau à Jérôme qui arrive à leurs pieds. Cet homme habillé, debout devant elle, nue, allongée et le sexe rasé. La gêne de Sonia se transforme en plaisir, elle n’aurait jamais pu croire que s’exhiber d’une façon aussi impudique puisse procurer un tel plaisir. S’il y en a bien un qui est gêné parmi les trois, c’est Jérôme, car son sexe commence à vouloir prendre trop d’ampleur dans son jean trop serré et cela commence à être douloureux. Brigitte s’en est bien rendu compte et, tout en se redressant, écarte les jambes pour se placer en tailleur, offrant ainsi une vue imprenable sur son sexe. Jérôme a déjà eu l’occasion de faire l’amour avec Brigitte, il la connaît bien, mais son visage s’empourpre malgré tout. Satisfaite de l’effet qu’elle a fait, mais demeurant malgré tout impassible, elle fait les présentations.

• —  Je te présente Sonia, une vieille copine de fac. Jérôme, un copain, et des fois un peu plus.

Jérôme fait la bise à Brigitte et Sonia, puis il se déshabille. Les deux jeunes filles allongées, leur sexe nu, cette poitrine plate dont il rêve depuis longtemps. C’est trop pour lui et il se retourne pour baisser son pantalon. Brigitte se manifeste alors.

• —  Pas de manières, tu peux te tourner vers nous.
• —  Sûre ? Je ne voudrais pas vous choquer.
• —  On en a vu d’autres. Et je voudrais bien voir dans quel état tu es.

Jérôme se retourne et baisse son slip. Il dégage alors son sexe en érection qui bondit vers le haut. Brigitte est satisfaite de voir Jérôme dans cet état, elle se retourne sur le ventre.

• —  Tu peux me passer de la crème sur le dos ?
• —  Avec plaisir.

Jérôme étale de la crème solaire sur le dos de Brigitte, sur ses flancs, passant près des seins, puis il en étale sur les pieds, les jambes, les cuisses et finit par l’entrejambe et les fesses, qu’il pétrit avec plaisir. Il demeure en érection et commence à parcourir le haut des cuisses à la recherche des lèvres de Brigitte, mais celle-ci a d’autres idées en tête.

• —  Merci, Jérôme… Tiens, Sonia, mets-toi sur le ventre, Jérôme va te passer de la crème.

Sonia est un peu surprise de cette proposition, mais se dit que Brigitte a probablement raison et elle se met sur le ventre. Jérôme s’approche, lui verse de la crème. Il l’étale sur le dos, puis sur les flancs. Jérôme voudrait bien pouvoir toucher les seins de Sonia, cette poitrine plate qui l’excite tant, il passe le plus près possible, mais Sonia est allongée sur la serviette et ce n’est pas avec une telle poitrine qu’il risque de l’atteindre si elle reste ainsi. Sonia se demande que faire, elle se tourne vers Brigitte qui lui adresse un clin d’œil encourageant. Alors Sonia décide de se laisser faire, elle se met sur les coudes, Jérôme enjambe Sonia, il peut ainsi lui caresser les deux seins à la fois, jouer avec ces tétons si durs, si gros. La caresse de cette poitrine plate l’excite complètement, le maintenant en érection permanente, à la limite d’une éjaculation spontanée. Ne voulant pas courir ce risque, il descend le long du corps de Sonia, lui étale la crème sur les fesses puis les jambes et enfin les pieds. Puis, Jérôme s’allonge sur le dos, le sexe toujours au garde-à-vous.

Brigitte, qui n’a rien raté de l’action, se doute bien de ce que Jérôme espère sans oser le dire.

• —  Je vais te passer de la crème, Sonia, tu me passes le tube ?

Sonia tend le tube de crème à Brigitte, mais celle-ci ne le prend pas dans ses mains.

• —  Vas-y, verse-la toi-même.

Sonia verse de la crème sur le ventre de Jérôme, puis descend et en fait couler aussi sur le sexe toujours en érection. Le liquide froid n’a aucun effet sur le membre, toujours aussi gonflé. Brigitte commence à l’étaler, Sonia la regarde faire. Brigitte prend la main de Sonia et la porte sur le corps de Jérôme. Toutes deux caressent son torse, puis soudain Brigitte entraîne la main de Sonia droit sur le sexe raide et la lui fait masturber. Libérant la main de Sonia qui continue sa masturbation, Brigitte retourne caresser le torse de Jérôme. Elle passe ses doigts dans son intimité mouillée et les lui donne à sucer, de son autre main, elle va récupérer la liqueur d’amour de sa copine pour à nouveau l’offrir en dégustation à Jérôme. Celui-ci s’est mis sur les coudes pour pouvoir caresser cette poitrine inexistante qui l’excite tant. C’était trop pour lui, à peine a-t-il commencé avec ces tétons, fruit de sa convoitise, qu’il jouit brutalement. L’espace de plusieurs spasmes, il s’éjacule longuement dessus. Il a du sperme partout sur le torse, le bas ventre et le sexe. Sonia verse à nouveau de la crème solaire sur ce corps recouvert de sa propre jouissance, les deux filles mélangent le sperme et la crème solaire et le lui étalent partout tout en se masturbant d’une main. Elles finissent par jouir toutes les deux, le sexe maculé de crème solaire, de sperme et de cyprine, le corps de Jérôme enduit du même mélange. Sur ce, tout le monde s’allonge, Sonia et Brigitte sur le ventre, Jérôme sur le dos, et tous profitent du soleil.

Deux heures ont passé. Tous sont restés à somnoler tranquillement, l’esprit bercé par le souvenir de cet instant d’extase intense. Brigitte se redresse.

• —  Si on allait prendre un verre à la maison ?

Sonia et Jérôme acceptent. Tous les trois se rhabillent et retournent vers l’appartement de Brigitte. Une fois entrées, les deux jeunes femmes vont s’écrouler dans le canapé du salon, mais Jérôme voudrait se nettoyer.

• —  Dis-moi, Brigitte, tu permets que je prenne une douche ? Je me sens tout poisseux.
• —  Il y a de quoi ! Vas-y, tu sais où elle est.

Jérôme quitte la pièce. Quelques instants après, on entend le bruit du jet d’eau. Brigitte a à nouveau une idée.

• —  Tu viens avec moi ?

Sonia la suit, elle se doute bien de ce qui va arriver. Elles entrent toutes les deux dans la salle de bains alors que Jérôme commence à se savonner. Brigitte ouvre la porte de la douche.

• —  Nous aussi on vient se laver.

Brigitte et Sonia entrent. Après l’importante éjaculation de Jérôme tout à l’heure, Sonia a bien compris l’effet dévastateur qu’avait sa poitrine d’enfant sur ce grand garçon qu’est Jérôme, elle décide donc de se placer devant lui, et Brigitte se met derrière. Sonia prend le flacon de gel douche, elle le laisse couler sur ses seins, pendant ce temps-là Brigitte commence à masturber Jérôme. Sonia repose le flacon et tend son torse vers Jérôme. Le gel douche coule doucement sur sa peau, s’arrêtant sur les tétons, les contournant. Elle le regarde droit dans les yeux et lui dit.

• —  Lave-moi.

Brigitte constate l’effet de cette phase sur Jérôme, son sexe s’est redressé en un instant. Il ne se fait pas prier et nettoie cette poitrine si menue avec un soin et une attention toute particulière. Ses mains ne lui suffisent plus, sa bouche aussi s’active maintenant avec frénésie sur le corps de Sonia. Elle se retourne pour qu’il lui lave le dos, mais c’est plus fort que lui, ses mains font le tour de son corps et se retrouvent à nouveau sur la poitrine. Ses deux mains à plat, il se plaît à faire aller et venir les tétons entre ses doigts. Collé à elle, son sexe est maintenant plaqué contre ses fesses. Il lui parcourt les seins avec une main et lui pénètre le sexe de l’autre. Brigitte quitte la douche, ouvre un des tiroirs du meuble de salle de bain et en sort un préservatif. Jérôme sent le désir l’envahir complètement. Sonia se laisse faire, seulement portée par sa jouissance. Jérôme n’en peut plus.

• —  Retourne toi, que je puisse admirer ta poitrine de rêve pendant que je suis en toi.

Sonia aussi n’en peut plus et se laisse aller.

• —  Oui, je veux sentir ton sexe en moi. Pénètre-moi maintenant.

Brigitte profite de ce retournement de Sonia pour enfiler le préservatif sur le sexe en érection de Jérôme. Sonia, relève une jambe et s’appuie contre le mur opposé de la cabine de couche, c’est alors que Jérôme introduit son membre dans le sexe de la partenaire, lui pénétrant profondément le vagin. Sonia ne peut s’empêcher de laisser s’échapper un cri de plaisir. Jérôme commence alors ses mouvements de va-et-vient, Sonia ondule du bassin, amplifiant ces mouvements, lui de ses deux mains parcourt sans relâche cette poitrine qui lui plaît tant. Sonia n’arrête pas de gémir à chaque aller-retour. Brigitte s’est assise sur le cabinet et toilette, à côté de la vasque, les jambes grand ouvertes et se masturbe en regardant ce spectacle. Après quelques minutes ainsi, Sonia jouit dans un grand cri pendant que Jérôme tire sur ses tétons. Il est près de venir lui aussi, il se retire de Sonia, enlève le préservatif et lui demande de se baisser un peu. Jérôme parcourt à nouveau la poitrine de Sonia non plus avec ses mains, mais avec son sexe. Sans se masturber, juste en effleurant les tétons de Sonia, il se vide sur elle dans un grand râle rauque. Sa poitrine est couverte de sperme, elle se relève, Jérôme le lui étale partout, visiblement heureux. C’est ce moment que choisit Brigitte pour jouir à son tour. Jérôme a repris le gel douche et entreprend cette fois-ci de laver pour de bon ce corps tant à son goût, non sans y appliquer toutes les caresses qu’il peut. Sonia est trop excitée et elle jouit encore une fois. Sur ce, Brigitte sort des serviettes et tout le monde s’essuie.

De retour au salon. Tous les trois s’affalent nus sur le canapé. Dégustant de grands verres de jus de fruits frais apportés par Brigitte. Sonia prend la parole dans un soupir.

• —  C’est la première fois que je rencontre un mec qui apprécie ma poitrine. Dommage que je reparte ce soir.

Jérôme s’inquiète.

• —  Pourquoi, tu n’es pas du coin ?
• —  Non, je suis sur Lyon.
• —  Tu sais, je ne travaille pas en ce moment. Si ça te tente, je peux passer te voir de temps en temps.

Sonia est ravie et heureuse.

• —  Tu pourras même rester aussi longtemps que tu voudras.
• —  Si tu veux, je peux partir avec toi dès ce soir.

Et pendant que Sonia et Jérôme semblent tomber amoureux l’un de l’autre, Brigitte conclut.

• —  Et moi, je reste seule ! Bon sang, les gars qui aiment les poitrines imposantes, c’est quand même pas ce qui manque !