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n° 03130Fiche technique24419 caractères24419
Temps de lecture estimé : 13 mn
14/11/01
corrigé 22/09/22
Résumé:  Je prends goût aux salons de coiffure depuis que le coiffeur est une coiffeuse (jeune et pas coincée en plus).
Critères:  fh coiffure hotel douche fetiche intermast fellation cunnilingu pénétratio fsodo
Auteur : Marco  (Homme, 29 ans)      
Coupe à la garçonne

NDA : La 3e histoire de mes « passantes ».






Je suis employé de bureau dans une petite ville de province dans le nord de la France. Célibataire, la trentaine, je mène la vie normale d’un célibataire trentenaire, plutôt cool, quelques soirées avec les copains, quelques aventures, bref, une dolce vita qui me satisfait pour l’instant. Aucune de mes dernières conquêtes ne justifie que je prenne la plume, à part peut-être celle-ci.


Tous les deux mois, j’ai l’habitude de me faire couper les cheveux dans un salon de coiffure à proximité de mon lieu de travail. Max, mon coiffeur habituel, sait quelle corvée cela représente pour moi, il réalise sa tâche vite et bien.


Il y a six mois, alors que je me rendais à cette corvée bimensuelle, je fus pris en charge par une toute jeune femme, Céline. J’appris que Max s’était vu confier la charge d’un salon de la même chaîne à 50 kilomètres d’ici. Céline, déjà très professionnelle, me revêtit de la blouse.



Non, ça ne me dérangeait pas du tout. Bien qu’elle soit moins rapide que Max, je ne trouvais pas désagréable de confier ma tête à de charmantes mains féminines.


Je l’observais à la dérobée. Elle était blonde, les yeux verts, elle portait un pantalon noir tulipe et un ample chemisier blanc. Le buste et la taille fine s’élargissaient en hanches un peu plus larges. L’opération prit environ une demi-heure, soit le double du temps habituel, mais jamais une séance n’était passée aussi vite. Quittant à regret ses mains attentionnées, je partais en laissant un copieux pourboire, et je retournais à mes activités.


J’oubliais ma petite coiffeuse le temps que mes cheveux repoussent, mais deux mois plus tard j’appelais pour prendre rendez-vous.



Le rendez-vous fut pris et à l’heure dite je me rendis au salon.


Effectivement, Céline avait les cheveux d’un noir de jais coupés courts, à la garçonne. Je ne l’aurais pas reconnue.



Elle était décidément très désirable, pas une beauté canon, mais très attirante. Plusieurs fois son corps frôla le mien, je crus même sentir sa poitrine effleurer ma tête. Rien d’extraordinaire, mais ses contacts m’émouvaient autrement plus que lorsque c’était Max.


Elle avait un visage agréable, une bouche terriblement attirante, petite, les dents un peu avancées. Cela peut paraître curieux mais l’ensemble était pourtant très excitant, clairement, une invite à la fellation. Nous avons parlé vacances, voyages, puis de nos hobbys respectifs, etc. À nouveau, trente minutes de bonheur.


Je regagnais mon poste un peu rêveur.


Mes cheveux durent pousser plus vite ce mois-ci car je la revis à peine trente jours plus tard. Le salon était vide. Elle buvait un café et m’en proposa un, j’acceptai.



C’est fou comme on change devant une jolie fille, et j’ajoutais :



On discuta tranquillement pendant quelques minutes, elle était adossée à la table en face de moi. Avec ses cheveux courts, elle avait presque une silhouette d’adolescent, hormis ses jolies fesses rondes qui ne pouvaient appartenir qu’à une femme. Elle portait un pantalon noir très ajusté et un t-shirt blanc moulant qui me permit enfin d’évaluer sa poitrine. Elle avait des seins de taille moyenne, mais portés de manière arrogante et mis en valeur par son t-shirt. Son pantalon dessinait son entrejambe et la bosse de son pubis. Mon sexe commença à se gonfler, heureusement la blouse masquait mon émoi.


Céline s’attaqua à mes cheveux, il n’y avait pas beaucoup de travail, mais elle y mit beaucoup de soin. Notre conversation prit un tour plus intime, elle me raconta ses mésaventures avec son petit ami : peu prévenant, souvent absent et probablement infidèle. Elle se confiait à mon oreille attentive et Ô combien compatissante. Je savourais sa présence délicieuse, la déshabillant du regard à chaque fois que je le pouvais.


Elle fit tomber son peigne, et en se baissant pour le ramasser, elle me proposa une vue plongeante sur son cul tellement désirable. J’eus fort à faire pour ne pas tendre la main et le caresser.


Elle se plaignait de sa patronne (tyrannique), de ses collègues (des pimbêches).



Et zut, moi qui étais décidé à lui faire du rentre-dedans.



Je saisis la perche au vol, il y aurait donc des passe-droits pour les beaux jeunes hommes :



La jeune coiffeuse se tut et termina son travail.


Séché, laqué et épousseté, je la suivis pour récupérer ma veste.



Je mis quelques instants avant de comprendre qu’elle parlait de mes avances.



La cliente suivante patientait à l’autre bout de la pièce, Céline murmura :



Je quittais le salon plus excité que jamais, vivement ce soir ! La journée fut longue, à 18 heures moins 5 j’étais enfin devant la porte vitrée. Céline m’attendait.


Elle m’ouvrit :



Elle sourit :



Elle s’approcha de moi et, passant ses bras autour de mon cou, posa ses lèvres sur les miennes. Le baiser fut court et furtif, nos lèvres se séparèrent.



Je l’attirais à moi, nos lèvres s’unirent à nouveau.


Nous nous embrassâmes longuement. Nos corps étaient collés l’un à l’autre. Elle m’attira dans un recoin du salon où on ne pouvait pas nous apercevoir depuis l’extérieur. Je parcourais fébrilement son corps, le contact était facilité par ses vêtements moulants. Elle n’était pas en reste, ses mains se promenaient sur moi et s’attardaient sur mes fesses. J’atteins son entrecuisse et je caressai son sexe à travers la toile. Elle s’écarta de moi.



Elle se pencha et m’embrassa à pleine bouche, nos langues jouant à cache-cache pendant que ses mains s’attaquaient à ma braguette. Les boutons cédèrent rapidement, ses mains vinrent fourrager dans mon caleçon puis libérèrent ma queue. Elle la caressa, touchant mon gland, mes poils, ma bourse, empoignant mon sexe, sa main s’agita pendant que nous nous embrassions goulûment. Nos lèvres se dessoudèrent, elle regardait mon sexe en continuant de me branler. Puis elle se mit à genoux devant moi, sa bouche se rapprocha lentement de mon sexe tendu. Il fallut une éternité pour franchir les quelques centimètres qui séparaient ses lèvres de mon gland. Enfin, elle déposa un léger baiser sur la chair violacée, puis sans autres sommations, sa bouche m’accueillit.


Ma jolie coiffeuse, objet de mes fantasmes depuis quelques mois, me suçait le gland. Sa langue alternait superbement ses caresses tandis que sa main s’activait sur mes couilles. Elle tenait le haut de ma verge en bouche et me branlait d’un savant mouvement rotatif. Je n’en pouvais plus, quelques souffles, quelques gémissements annonciateurs, j’allais jouir. Ma fellatrice ne faiblit pas. J’éjaculai dans sa bouche, en jouissant comme un fou pendant qu’elle continuait de me sucer, avalant toute ma semence, absorbant jusqu’aux dernières gouttes. Elle me lécha ensuite délicatement tandis que mon sexe ramollissait entre ses lèvres, puis, ordonnée, rangea ma verge maintenant ramollie dans mon caleçon et referma les boutons de ma braguette. Elle me regardait, les yeux brillants :



J’aurais cru qu’une tornade très localisée s’était acharnée sur mon sexe, elle m’avait vidé en cinq minutes incroyables d’intensité.



Sacrée nana, cette coiffeuse, j’étais curieux de voir la suite.


J’attendis tranquillement, sirotant une pression dans le café d’en face. La patronne arriva enfin et ma petite bombe sexuelle fut enfin libre. J’entrais à nouveau dans le salon, les lumières étaient éteintes, seule la veilleuse baignait la pièce d’une pâle luminosité. À peine entrés, elle me sauta littéralement dessus, sa bouche dévora mes lèvres, sa langue se fraya un chemin pour venir jouer avec la mienne. Très vite, nous nous retrouvâmes dans l’alcôve réservée au champoinage, elle me déshabilla avec une frénésie qui fit croître mon désir. Passant la main sous son t-shirt, je libérais les seins de leur soutien-gorge. Elle dégagea à nouveau mon sexe de sa prison et l’empoigna pour me branler convulsivement. Je glissais une main dans son pantalon, et lui rendis la pareille en la caressant intimement. L’impatiente descendit elle-même son pantalon, emportant la culotte avec, pour se révéler nue sous la lumière blafarde de la veilleuse. Elle recula jusqu’à la tablette de travail et s’y adossa :



Je m’approchais, impudique, elle écarta les cuisses pour m’accueillir, mes deux mains sur ses hanches, je la pénétrais d’un coup. Je la pris complètement, m’enfonçant dans son intimité. On s’embrassa longuement pendant que je restais au plus profond de ses chairs, puis je commençais à aller et venir, avec les gestes courts que nous permettait notre position mi-debout, mi-assis. Je la baisais lentement, sa fellation me permettant de ne pas me trouver trop impatient. Je la pénétrais de bas en haut, mon sexe glissant dans sa chatte moite, les mains sur les fesses pour la maintenir près de moi. Ses seins frottaient mon torse, excitant encore davantage ses tétons. Ce traitement l’approcha du plaisir, je continuais et m’acharnais à lui ravager l’entrecuisse.



Je continuais.



Je la baisais, ses encouragements décuplaient mon plaisir. J’accélérais mes gestes les rendant plus intenses. Elle m’encouragea, en une succession de « ouiii » de plus en plus aigus, puis je la sentis jouir, ses cris se firent plus rauques tandis que je coulissais doucement dans ses chairs. Son corps se détendit complètement, ses bras se nouèrent autour de mon cou et elle m’embrassa. Le membre raide toujours au plus profond de son sexe, je revendiquais mon plaisir. Je la retournais, comprenant mon désir, la jeune coiffeuse s’inclina pour s’appuyer contre la tablette, offrant ses fesses rondes à mon désir. Je la pénétrais à nouveau, profondément, allant et venant rapidement avant de jouir à mon tour. Je lui donnais encore quelques coups de boutoir sporadiques avant de m’affaler, satisfait, sur le fauteuil.


Nous récupérions de nos galipettes, Céline était sur mes genoux, j’embrassais sa poitrine blanche, mes mains rendant hommage à ses cuisses.


Nous nous rhabillâmes. Avant d’aller dîner, on fit un croché à son appartement où elle désirait se changer.



Comme j’insistais, elle ne tarda pas à m’emmener par la main en direction de son appartement. Soudain, avisant une voiture sur le parking, la jeune femme s’arrêta net :



Elle ne voulait pas casser tout de suite avec son petit ami. Déçu par la fin prématurée de cette soirée qui commençait si bien, je la laissais filer après un dernier baiser et une petite tape possessive sur les fesses.


J’étais un brin jaloux, mais le rôle de l’amant caché ne me déplaisait pas. Nous avions convenu de nous revoir trois jours plus tard et cette fois nous aurions la nuit pour nous.



***********



Trois jours plus tard, je passais la prendre au salon. Ces collègues et sa patronne se jetèrent des regards entendus et m’adressèrent de larges sourires.



Céline sortit de la minuscule réserve, salua les filles en sortant du salon.



Je l’emmenais dans un restaurant chinois, situé à l’écart de la ville, au bord de l’eau. On commanda des spécialités à la vapeur. Le repas fut aussi chaud et épicé que le contenu de l’assiette. Assis presque côte à côte à une petite table ronde, nous laissions nos mains se promener. J’avais commencé les hostilités en caressant ses cuisses, elle avait répliqué en posant sa main sur mon sexe dans son style direct caractéristique. J’avais fini par glisser la main dans son pantalon pour atteindre l’étoffe de sa culotte. Je la masturbais à travers le fin tissu satiné pendant qu’elle avalait ses raviolis aux crevettes, en proie à un trouble certain. Plusieurs fois, Céline me demanda d’arrêter, me menaçant de me sauter dessus dans les toilettes, de me violer sur la table. Je ne fus pas très magnanime, j’ai continué de lui mettre les nerfs à vif tout au long du repas. Heureusement, la nappe longue cachait le spectacle.


On ne prit ni dessert ni café, je réglais l’addition au comptoir avant de nous diriger précipitamment vers la sortie. On se jeta dans la voiture, dans un délire frénétique, je parvins à démarrer tandis que ma braguette était déjà déboutonnée, mon sexe libéré. On n’alla pas bien loin, au premier motel je m’arrêtais, me garant en vrac sur le parking désert. Vite, ma carte dans le lecteur du guichet automatique. Et zut, comment ça marche ce truc ! Céline se frottait à moi d’une manière absolument obscène, son pubis allait et venait sur ma hanche, ses seins s’écrasaient sur mon bras tandis qu’elle me soufflait des « dépêche-toi, dépêche-toi » torrides. Enfin, l’écran m’indiqua la chambre et le code. Les marches furent avalées quatre à quatre, la porte s’ouvrit sur la chambrette, se referma et le verrou claqua.


Elle avait déjà retiré son chemisier, sa poitrine libre et arrogante me provoquait, mon t-shirt vola, elle se plaqua contre moi tandis que nos lèvres se joignirent. J’empoignais ses fesses à travers le pantalon pendant qu’elle faisait un sort à ma braguette. Bientôt complètement nus, plus aucun obstacle ne s’opposait à ce que je la prenne, quelques secondes seulement après être entré dans la chambre j’étais déjà sur son corps offert. Je la pénétrais immédiatement, m’enfonçant dans sa grotte humide. Elle gigotait, tendait son bassin pour que j’entre toujours plus profondément. Encore quelques gestes désordonnés et frénétiques, et nous avons joui ensemble, nos corps emmêlés l’un dans l’autre.


Nous ne sommes pas redescendus de notre nuage. Nous récupérions, essoufflés comme après avoir couru un 100 mètres. Cette escale imprévue à l’hôtel, motivée par l’urgence du désir, rendait la situation encore plus excitante.


J’admirais son corps, jeune, le ventre parfaitement plat, les hanches fortes comparées au reste. Sa poitrine était superbe, des petits seins fermes en forme de poire, parfaitement dessinés. Sa chatte était surmontée d’une toison brune, fine et taillée.


Mon amante était couchée en chien de fusil, s’exhibant sans pudeur à mon inspection. Je l’enjambais pour me placer derrière elle. Ses fesses cambrées étaient terriblement excitantes. De ce côté-là elle aurait pu être un jeune homme efféminé, ses cheveux courts lui donnaient juste assez de masculinité pour exciter un je ne sais quel fantasme homo que je ne me connaissais pas. Je me penchais pour apercevoir le début de sa vulve, encaissée au bas du canyon de ses fesses. Ses lèvres intimes luisaient encore de mon sperme et de sa mouille. J’embrassais doucement ses fesses, dardant sa raie, m’égarant innocemment sur sa rosette, elle frissonna. Ma langue poursuivit son chemin en remontant en spirale le long de sa colonne vertébrale.


Je bandais à nouveau. Je me plaquais derrière elle, glissant mon membre dans sa raie. Je me masturbais entre ses chairs, visitant ses lèvres, sa raie, étalant ce qui reste de notre orgasme précédent autour de son anus. J’embrassais son dos, son cou. Lui mordillait les oreilles pendant que mes mains caressaient alternativement ses seins, son ventre et son sexe. Elle ondulait, accentuant le frottement de mon gland sur ses parties intimes. La sensation était délicieuse, nous faisions durer le plaisir. De temps à autre, mon gland s’attardait à l’orée de son anus que mon travail de lubrification rendait de plus en plus glissant. Je manquais de m’engouffrer dans son antre étroit, elle n’y semblait pas opposée, mais ce n’était pas encore le moment. M’insérant un peu plus entre ses jambes, je profitais d’une faille pour pénétrer dans son vagin. Nos corps étaient soudés, elle bougeait les fesses d’une manière lancinante tandis que mes mains parcouraient fiévreusement son corps. Ce manège dura une éternité.


Je l’entendais gémir faiblement, mes réserves s’écroulaient les unes après les autres. Je me retirais. Barbouillant un peu sa raie du plaisir liquide qui maculait ses fesses et mon sexe, je la préparais. Mes doigts vinrent prendre les mesures de son petit orifice, l’un d’eux s’y insinua doucement, fureta, crocheta un peu l’étroit conduit. Je pris le temps de la doigter délicatement pendant que ma bouche dévorait son cou. Mon majeur éclaireur ressortit, libérant la place. Je pressais ma queue tendue sur son anneau, tâtonnant doucement à l’entrée. J’attendais quelques instants puis, d’une légère impulsion, je l’investis. Mon gland pénétra assez facilement dans l’étroit fourreau. Elle exhala un souffle.


Son anneau se contracta, serrant l’extrémité de mon sexe comme dans un étau, puis se relâcha à nouveau. J’en profitais pour la prendre complètement. Nous sommes restés un moment sans bouger, mon pieu au plus profond de ses fesses. Puis j’ai commencé à aller et venir, en tout petits gestes doux. Mes mains ont empoigné sa poitrine, je continuais à lui embrasser le dos. J’abandonnais un instant ses tétons pour insinuer un doigt dans sa bouche, elle le suça tandis que nos bassins continuaient leur danse suave. Elle avait glissé une main vers sa fente, je la sentais se caresser de plus en plus vite.


J’espérais qu’elle jouirait bientôt, car je n’en pouvais plus, je mordis l’oreiller pour ne pas exploser dans son anus. Enfin, je sentis qu’elle partait, elle m’encouragea à lui faire toutes sortes de choses, que je la prenne, que je la baise, profondément… Je détournais mon attention de ses mots brûlants… je me concentrais… dix secondes, pas une de plus. Ses cris me libérèrent enfin, je la pris une dernière fois complètement. Mon sexe enfoncé tout entier dans son puits, j’éjaculais en elle, doucement, résistant à la tentation de la bourrer sauvagement afin de ne pas venir gâcher ce moment de plaisir intense et partagé. Le plaisir qui s’écoulait de moi était inouï, presque douloureux, je m’accordais quelques contractions pour finir de m’épancher.


Je restais en elle le plus longtemps possible, ne la quittant que quand mon sexe rétréci glissa lentement de son fourreau.


Doublement satisfaits, on ne sortit du lit que pour prendre une douche. Serrés l’un contre l’autre dans la cabine étroite, on se lava mutuellement. Je n’avais pas encore repris mes forces, mais je ne manquais pas de remarquer son abricot délicat que, plus tard dans la nuit, je dégusterais pour mon plus grand plaisir… Et le sien.



***********



Note : Je recherche une collaboration féminine pour l’écriture d’une histoire. J’aimerais être confronté à une sensibilité plus féminine afin d’obtenir un texte en phase avec votre (oui vous, mesdames) manière de voir les choses. Que vous ayez déjà écrit ou pas, si cela vous intéresse, écrivez-moi.