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n° 03200Fiche technique26057 caractères26057
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Temps de lecture estimé : 18 mn
19/03/24
corrigé 19/03/24
Résumé:  Le professeur Martinov recherche un produit permettant de rentabiliser la production de lapin. Surbooké, le pauvre homme est obligé de s'adjoindre les services d'une assistante. Houlala !
Critères:  bizarre fellation préservati pénétratio uro sf
Auteur : Maud-Anne Amaro  (Maud-Anne passionnée d'érotisme insolite)      
Professeur Martinov et le lapin dur

Cette nouvelle a participé au concours des lapins sur Vassilia, pourquoi ne participerait-elle pas au concours "intrigant" de Revebebe ?



Histoire de lapins ? Histoire de lapins ? Il veut que je lui écrive une histoire de lapin ? Et une histoire érotique en plus ! Comme si c’était évident ! À moins que je vous raconte l’histoire du Professeur Andrej Martinov ? Vous voulez bien ? On y va :


Nous sommes dans la rue principale d’une petite commune bourgeoise des Yvelines. Au 21 bis, très exactement. C’est ici qu’habite Alain Martin. Intelligent et cultivé, il a néanmoins échoué à tous ses diplômes. Cela ne l’a pas empêché de fixer une plaque près de sa porte d’entrée où il est indiqué Professeur Andrej Martinov.


Il se qualifie lui-même de chercheur, mais le qualificatif de savant fou lui irait aussi bien. Un prototype en voie de disparition. Un Tournesol égaré au 21e siècle.


Regardez sa dégaine savamment calculée lorsque Monsieur va faire un tour en ville, un costume un peu étriqué, la chemise blanche aux poignets élimés et au col lustré, et son éternel nœud papillon, son image de marque ! La barbichette grisonnante, les cheveux poivre et sel et la paire de lorgnons lui donnent un look à la Pasteur. Il approche bientôt de la soixantaine notre professeur, mais il affiche une belle prestance. Un beau vieux, quoi !


Il vit de ses inventions, du moins, il essaie, il s’est fait gruger bien des fois, des brevets achetés, puis plus ou moins copiés par des filous qui firent fortune à sa place. Il s’est vite aperçu que le temps des chercheurs isolés était révolu, du moins pour ce qui concernait les grandes découvertes. Ce que d’aucuns ont appelé le syndrome de Moreno (l’inventeur de la carte à puce) !


Restaient donc les inventions pour bonimenteurs de foires. Les petits articles tape-à-l’œil, qui vous faisaient briller un vieux machin en cuivre en trente-huit secondes et quatre dixièmes. Et tant pis si le produit une fois ouvert ne se conservait pas !


Il avait malgré tout à son actif quelques belles réussites, notamment une poudre détergente, et un spray pour teinter les pétales des fleurs. Tout cela trouvé par hasard, en cherchant autre chose. Mais après tout, pourquoi pas, l’histoire de la recherche est parsemée de ce genre d’anecdotes. Timonier n’inventa-t-il pas la machine à coudre en cherchant le mouvement perpétuel ?


On lui faisait parfois des commandes. Les fonctionnaires de Bruxelles n’arrêtaient pas de déclarer que tels ou tels produits ne remplissaient pas telles et telles normes ! Il fallait donc les reprendre. Il travaillait donc actuellement à modifier la composition d’un mélange pour vélomoteur, ainsi qu’à un produit guérissant verrues et corps au pied.


Mais il y avait aussi un troisième « chantier » plus compliqué, on lui avait demandé d’essayer de trouver une « vitamine » permettant d’optimiser la croissance et la reproduction des lapins…


Tout cela débordait notre professeur qui n’y arrivait plus…


Ah ! Oui ! Vous auriez voulu que nous parlions un peu de la sexualité du bonhomme, obsédés que vous êtes ?


Martinov est célibataire ! Qui irait partager la vie de cet homme sans horaires ? Mais ne croyez pas que les choses du sexe l’indifférent ! Non, il serait même un peu obsédé ! Quand il ne peut plus tenir, il se masturbe vaillamment, et puis il y a la Marianne, la veuve du grainetier. Elle est restée plantureuse, mais surtout disponible. Alors parfois notre professeur passe un coup de fil.



Il est rare qu’elle refuse, elle lui mijote un bon petit plat, ils boivent le vin qu’il a apporté et tout cela se termine dans le plumard.


Son grand regret c’est le viagra, il se disait capable d’en inventer l’équivalent ! Peut-être qu’un jour trouverait-il un produit qui le concurrencerait…


Mais pas maintenant, car comme on vous l’a dit, notre homme était débordé. Débordé et fatigué, et puis avec l’âge il commençait à avoir des douleurs. Il ne faudrait jamais vieillir ! Il fallut bien qu’un jour il fasse le constat, il ne pourrait pas y arriver seul. Il songea d’abord à prendre les services d’une femme de ménage qui l’allégerait des taches ménagères, mais cela choquait son sens de la tranquillité. Non ce qu’il lui fallait c’est un assistant de laboratoire !


Il passa donc quelques annonces, en retint cinq, quatre jeunes gens et une jeune fille, tous fraîchement et brillamment sortis de leurs écoles de chimie.


Il convoqua donc ses messieurs-dames, il n’avait jamais réalisé d’entretien d’embauche, il improvisa, rejeta un dossier au prétexte que le postulant manquait décidément d’humour, et n’arriva pas à se décider entre les quatre autres, ce ne serait sûrement pas cette jeune fille ! Une femme dans son esprit ne pouvait être qu’une emmerdeuse et refuserait probablement de se plier aux horaires fantaisistes de ses expériences. Restaient les trois garçons, le choix serait donc physique, il trouva que l’un de ses candidats était très mignon. Voilà qui réveillait la polymorphie sexuelle de notre chercheur fou ! Oui, ce serait celui-là. Il se dirigea vers la salle à manger qui avait fait office de salle d’attente pendant les entretiens.



Il s’interrompit, se racla la gorge. La fille le regardait avec des yeux de biche égarée, elle souriait, mon Dieu, quel sourire. Il se reprit.



Et oui, la chair est faible ! Et parfois, un sourire peut être le prélude à de forts étranges événements.


Béatrice est plutôt grande, fausse blonde, les cheveux tirés en arrière, un beau visage, un petit piercing brillant sur la narine, des yeux bleus, et un sourire… un sourire… Quant aux formes, elles sont bien là, sans exagération, mais elles sont bien là !


Le lendemain, elle avait revêtu une blouse blanche et était déjà au travail.



Eh voilà ! se dit Martinov. Elle commence à discutailler, j’aurais dû choisir le biquet !


Béatrice se révéla d’une efficacité redoutable, la première journée lui suffit pour trouver comment remplacer le produit non conforme par un qu’il l’était. Le dossier « corps aux pieds » qui traînait depuis de nombreuses semaines était donc clôturé. Ah ! Les yeux neufs de la jeunesse. Il lui refila donc le dossier du mélange pour vélomoteur, c’était certes plus difficile ! N’empêche qu’elle le résolut au bout d’une semaine.


Du coup, il ne savait plus trop comment l’occuper, n’ayant plus de commandes en cours, ils travaillèrent donc ensemble sur les lapins.


Le courant passait bien entre Martinov et Béatrice. Les rapports étaient devenus très simples. Il l’aurait bien sautée, mais ce sont des choses qui ne se font pas, il l’aurait bien draguée, mais il était tout de même assez lucide pour se rendre compte que le pari était insensé, près de quarante ans les séparaient !


Nous voici trois semaines plus tard, le lundi matin. Béatrice revient de week-end et entame sa journée de travail :



Elle s’embarqua ensuite dans des détails techniques tels que notre professeur avait du mal à suivre. Vers midi, le mélange était prêt, ils en incorporèrent quelques gouttes dans la nourriture et dans l’eau des lapins de la première cage puis partirent déjeuner.


À leur retour, ils jetèrent un coup d’œil vers la cage, les lapins avaient l’air mal en point !



Béatrice prit l’écuelle de la première cage et l’emplit d’eau. Les lapins s’y précipitèrent, du moins autant que l’état d’épuisement le leur permettait. Ils burent tout, on dut remplir à nouveau le récipient !



Les lapins allaient mieux, maintenant !



Il ne se passa rien pendant près d’une heure, quand soudain l’un des mâles se mit à besogner une femelle. Rien d’exceptionnel, me direz-vous ! Sauf que quelques instants plus tard, la seconde femelle relevait son cul invitant à la saillie. Le premier mâle ayant fini de travailler la première s’en fut pénétrer la seconde, tandis que le second mâle se mettait à son tour en action et pointait vers la première femelle. Ça n’arrêtait pas. Les lapins étaient pris d’une frénésie sexuelle époustouflante. Ça leur donnait soif et entre deux coïts ils se ruaient vers l’écuelle. Il fallut la renouveler à plusieurs reprises. Au bout d’une heure, ils se calmèrent un petit peu, puis tout redevint normal.



Ils refirent d’autres expériences en variant les dosages, le comportement des lapins ne laissait percevoir aucun effet secondaire sauf cette curieuse déshydratation.

Martinov était excité par la situation, concurrencer le viagra, c’était la fortune assurée, mais les choses ne se passent pas comme ça, s’il faisait déposer son produit, il serait obligé préalablement de respecter un long protocole expérimental, ce ne serait qu’ensuite qu’interviendraient les premières expériences humaines. Il savait aussi d’autres grands laboratoires sur les rangs. De la part de ces milieux-là, il n’attendrait aucun cadeau. Pour imposer le produit, il fallait une voie détournée, présenter cela comme un simple stimulant à base de plantes, rajouter quelques inoffensifs extraits de salsepareilles ou de gingembre et le tour serait joué.



Restait le problème de l’expérimentation humaine, la tentation de le faire sur lui-même était forte, mais Martinov n’était pas un impulsif. S’il ne se contrôlait plus et se jetait sur Béatrice, la suite devenait carrément ingérable ! Le mieux était encore d’en parler ensemble.



Croyant pressentir sa réponse, il l’anticipa :



Martinov devient blême, jamais il n’aurait osé lui demander une chose pareille !



Et déjà, Béatrice empoignait le flacon, y introduisit le compte goutte, puis se saisit d’un verre :



Il était trop tard pour dire quoi que ce soit, la chose était bue !

Martinov rongeait son frein pendant son absence. Il imaginait le pire, une furie sexuelle qui allait le violer, la bave écumant au coin de lèvres. Par précaution, il s’en alla chercher un maillet en caoutchouc, cela servirait à l’assommer si vraiment elle devenait trop furieuse.


Une demi-heure après Béatrice revint, ses yeux brillaient d’excitation !



Martinov se tourna, retourna alors, et entreprit après avoir sorti son engin de sa braguette de se l’encapuchonner.



Ainsi la déshydratation constatée chez les lapins existait aussi chez les humains, c’était embêtant, il leur faudrait essayer de régler ce problème. Ce petit répit lui fit du bien, mais il était bien court. Il s’attendait à ce qu’elle lui saute carrément dessus à son retour.


Elle s’était entièrement déshabillée, elle transpirait à grosses gouttes.



Choqué ? Non ! Béatrice était belle dans sa nudité, les gouttes de transpiration qui perlaient sur sa peau la rendaient luisante. Le petit bout rose de ses seins était incroyablement érigé. Et ses cuisses étaient trempées, mais ce n’était pas à cet endroit, de la transpiration !

Elle attrapa la bouteille, la déboucha rapidement, s’aspergea le visage d’eau, en but une bonne lampée, puis sans aucune transition se la fourra dans le vagin, où elle la fit aller et revenir avec une incroyable frénésie. Elle émettait des espèces de grognements rauques entremêlés de soupirs. Puis soudain, elle cria, elle jouissait, le sang affluait à la surface de sa peau, son corps se mit en arc de cercle, la quantité de mouille inondant ses cuisses devenait phénoménale. Elle se reposa pantelante. Martinov crut la crise terminée. Il avait donc échappé à la furie.



Il n’avait apporté que deux bouteilles, ce serait insuffisant.



Cette fois, ça y est, il allait passer à la casserole. Il n’avait aucune envie de résister et il se déshabilla devant ses yeux, son sexe bandait un peu mou dans le préservatif, elle l’enleva.



Elle engloutit le membre du professeur et se mit à le faire coulisser dans sa bouche avec une incroyable énergie. C’était un déluge de sensations, jamais il n’avait connu quelqu’un qui se servait à la fois de ses lèvres et de sa langue à une telle cadence. Il finit par éjaculer. Mais la gourmande en voulait encore, après avoir avalé le sperme, elle se rua sur ses lèvres et l’embrasa d’un baiser fougueux ou le goût de foutre dominait encore.

Déjà, sa main tentait de faire rebander la bite d’Andrej Martinov.



Il la conduisit à sa chambre, le lit n’était pas fait, il était rarement fait, un bordel inimaginable y régnait !



Il ramena cette fois quatre bouteilles, il se demanda comment elle régirait s’il prenait l’initiative. Alors doucement il lui caressa le corps, lui embrassa les tétons. Elle se laissait faire, il se rendit compte que la moindre caresse exacerbait son désir, elle roucoulait carrément sous les frôlements de la main de Martinov. L’humidité de ses cuisses restait étonnante. Les draps seraient bons à changer, pour cette nuit, à moins que, se dit le professeur, à moins qu’un véritable amour naisse de cette liaison purement charnelle et qu’elle accepte de dormir avec lui. Mais il savait que là, il rêvait ! Plaçant sa tête sur son sexe, il entreprit de la sucer, lapant la mouille qui ne cessait de couler, il finit par donner quelques coups de langue sur son clito tout gonflé de plaisir, juste quelques coups parce que cela suffit à la faire de nouveau éclater de plaisir.


Après s’être de nouveau désaltérée, elle revint vers sa bite, la recouvrit d’un condom, elle rebandait bien cette fois, elle s’empala sur elle et telle une cavalière en délire, elle le chevaucha. Le spectacle était fascinant, sa bite disparaissait et réapparaissait tandis que la mouille s’échappait toujours de cette source décidément intarissable. Il lui dit qu’il allait jouir. Alors elle accéléra encore la cadence, et rapidement leurs cris de jouissances se mêlèrent. Elle reprenait son souffle quand elle se tint soudain le ventre, en faisant une drôle de grimace ! Andrej eut un instant de panique. Un effet secondaire imprévu ? Mais ce qui se passa ensuite le rassura, malgré l’insolite de la chose : une partie de toute cette eau ingurgitée pesait sur la vessie de Béatrice qui, momentanément incapable de se déplacer, inondait d’urine la literie du professeur.

Après tout, cela n’était guère grave et Martinov prit le parti d’en rire !



Martinov se posait plein de questions ! Comment devait-il réagir à présent ? Il avait soudain envie d’être sentimental, romantique, de l’emmener au restaurant dîner aux chandelles en écoutant de la musique classique. Mais elle ? Il regagna son laboratoire, se rhabilla et l’attendit.

Elle ne tarda pas, elle s’était emmitouflée dans un peignoir. Elle avait le sourire !



Elle but !



Elle le vouvoyait à nouveau, et lui demandait de se tourner après ce qu’ils avaient fait, il ne comprenait plus, il se tourna néanmoins. Ses pauvres illusions s’envolaient donc déjà !



Elle n’avait manifestement pas tout remis mais sa blouse blanche cachait ses trésors.



Le lendemain matin, elle le salua gentiment comme à son habitude, mais sans plus, pas même le petit grain de complicité qu’on serait en droit d’attendre après ces moments de folie.



Ils dosèrent malgré tout quelques gouttes de moins, emportèrent six bouteilles dans la salle de bain et remplirent la baignoire d’eau tiède. Ils se déshabillèrent chacun de leur côté en évitant de se regarder, puis cachèrent leur nudité, Béatrice dans sa blouse et Martinov dans sa robe de chambre.



Ils discutèrent de choses et d’autres mais le sujet revint vite sur le tapis.



Et ce disant, elle ouvrit sa blouse dégageant son corps et s’approcha du professeur lui offrant ses deux globes laiteux !



L’érection du professeur fut fulgurante, à son tour il fut nu, il se déchaîna sur les seins ainsi offerts, les suçant, les palpant, les pelotant, les mordillant, les léchant, puis n’en pouvant plus, il fit signe à son assistante de se baisser, plaça sa bite entre ses seins et y jouit rapidement.



Martinov s’étonna que son sexe rebandât aussitôt, mais après tout c’était bien là le but de ce produit, le lapin dur ! Ils pénétrèrent dans la baignoire, non sans auparavant avoir éclusé un grand coup de flotte.


Voilà qui n’est pas d’une évidence folle, la position qui vient tout de suite à l’esprit dans ce genre d’endroit c’est l’homme face à la femme, les jambes emmêlées. Chacun put y aller de son mouvement. C’est donc ce qu’ils firent mais avec une telle fougue que l’eau éclaboussait de partout. Notre professeur éjacula trois fois de suite avant que l’effet lapin dur ne se calme ! Puis, comme la veille, ils ne purent combattre la fulgurante envie d’uriner et pissèrent de conserve dans l’eau de la baignoire s’accompagnant d’une crise de fou rire. Ils passèrent ensuite un bon moment à éponger cette pauvre salle de bain qui n’avait jamais été aussi mouillée !



Et ce disant, elle lui fit un petit bisou sur le bout du nez qui le rendit tout chose. Il s’en alla donc faire une petite sieste. Dont il ne se réveilla qu’à 18 heures !



Non, elle travaillait encore !



Vous pensez bien qu’il fut d’accord ! N’ayant pas tout ce qu’il fallait sous la main pour concocter un petit repas de fête, et ayant la flemme de faire les courses, il commanda un repas chinois chez le traiteur, en espérant qu’elle aimait cela. Elle le rassura. Les mets étaient délicieux et le vin gouleyant, ils mélangèrent quelques gouttes de lapin dur à leur boisson juste après le plat principal et tandis qu’ils dégustaient leur dessert, elle se fit coquine :



Et joignant le geste à la parole, elle exposa une nouvelle fois ses seins de déesse.



Elle avait dégoté une grande bâche en plastique, ils l’installèrent sur le sol. Puis elle sortit une bouteille remplie d’un liquide jaune paille.



Les deux complices se répandirent l’huile préparée par Béatrice sur le corps puis s’installèrent sur la bâche ! La bite de Martinov était déjà dressée comme un obélisque et après avoir fait jouir notre chimiste en lui suçant son clitounet, il la pénétra carrément. L’affaire tourna vite en partie de rigolade, l’huile faisait glisser tout leur membre, et rien ne leur permettait de s’accrocher sinon à le faire ensemble. Comme ce matin, le professeur eut plusieurs orgasmes de suite ! Mais l’homme était gourmand, et depuis quelques minutes il louchait vers l’anus de la donzelle, qui ne demanda pas mieux que de l’accueillir en cet endroit. Ce fut le bouquet final, il explosa en elle tandis qu’elle jouissait du cul en hululant de plaisir !



C’est ainsi que quelques mois plus tard, on put voir sur les affiches cette étrange publicité :




Fin !



… et bientôt d’autres aventures du Professeur Martinov et de sa troublante assistante