n° 03223 | Fiche technique | 28414 caractères | 28414 4971 Temps de lecture estimé : 20 mn |
03/10/23 corrigé 03/10/23 |
Résumé: A l'occasion d'un voyage d'affaire à Conakry, je cherche une rencontre exquise. | ||||
Critères: fh hplusag couleurs extracon inconnu ascenseur hotel voyage intermast fellation préservati pénétratio fdanus hdanus uro | ||||
Auteur : Elbe (Homme de 46 ans, séparé, qui voyage souvent pour affaires) |
Le Camayenne est le nom d’un hôtel situé à Conakry, capitale de la Guinée, et c’est là que je suis envoyé en mission pour trois jours. Notre groupe se compose de douze personnes, sept femmes et cinq hommes, mais je me sens un peu à l’écart ; je ne connais pas trop bien mes collègues et n’ai pas beaucoup d’affinités avec certains. Pour être franc, je n’avais pas vraiment envie de partir. Il fait chaud, très humide, et encore, on a de la chance, début mars c’est la fin de la belle saison ; après cela devient carrément invivable avec des averses quotidiennes, des routes impraticables, mais aussi des coupures d’eau, des pannes de courant fréquentes.
Premier soir.
Notre groupe arrive le soir après un vol sans histoires, sauf à la fin. Un orage sévit à proximité de l’aéroport et nous avons droit à une approche chahutée et un atterrissage un peu dur. Quelques passagers sont blêmes, d’autres franchement malades, mais malgré tout : chapeau aux pilotes, car les conditions étaient difficiles.
Collecte des bagages, passage des formalités d’entrée, traquenard habituel des petits mendiants locaux ou des porteurs et le bus de l’hôtel nous emmène à travers la ville. Il est 21 h, la pluie vient de cesser ; le trafic est dense, car Conakry est situé à la pointe d’une étroite péninsule et la ville est étirée tout en longueur. La population reprend possession des trottoirs dès qu’il ne pleut plus et allume des braseros pour cuire je ne sais quelles nourritures. Il fait étouffant avec une humidité proche des 100 %. D’après ce que l’on m’a dit, le pays est pauvre, avec peu de ressources minières, mais la pêche et l’agriculture fonctionnent bien. Les Guinéens sont réputés être doux et accueillants.
Arrivés à l’hôtel, la plupart décident d’aller dormir, prétextant la fatigue du voyage. Moi je craque pour le bar en plein air au bord de la piscine et descends quelques bières en compagnie des deux derniers courageux. À part un couple de Libanais qui a l’air de se disputer, nous sommes seuls à bavarder et à refaire le monde. J’aurais bien aimé la présence de l’une ou l’autre « étudiante » locale, mais je sais qu’elles ne rentrent pas facilement dans un hôtel de cette classe. Dommage, car j’ai vraiment envie d’une présence câline pour la nuit et les femmes de notre groupe ne m’attirent pas du tout. De plus, je fuis comme la peste les aventures furtives avec des collègues.
Deuxième soir
Après une journée sans trop d’intérêt, je propose à qui veut l’entendre d’aller manger à la Paillote ; bon restaurant, mais situé à l’autre bout de la ville. Mon idée est d’un peu décoincer cette triste bande et de terminer la soirée dans un bar ou une boîte du cru. Et peut-être qu’une rencontre d’agréable facture assouvira ma libido.
Arrivée à la fin du repas, la moitié (triste) décide de rentrer à l’hôtel pendant que les autres consentent à m’accompagner. On aboutit dans une boîte, mais il est encore trop tôt, nous sommes quasi seuls, de plus la sono va trop fort et est de piètre qualité. Quelques hôtesses locales dansent langoureusement, mais l’ambiance n’y est pas. Après quelques verres, nous quittons cet endroit misérable qui nous avait pourtant été chaudement recommandé. Et puis c’est la galère du retour ; pour retraverser la ville, nous avons droit à pas moins de cinq contrôles. Papiers, visa, autorisation de séjour, carnet de vaccination, tout y passe et en prime les militaires exigent un peu d’argent – la dîme, disent-ils – pour nous laisser passer. Du véritable racket !
Enfin arrivé à l’hôtel, je me laisse entraîner par deux habitués pour aller boire un dernier verre dans un petit bar très couleur locale, situé sur le trottoir d’en face. À peine arrivés, les filles se jettent sur nous ; j’ai des mains partout, sous ma chemise, dans mon pantalon et aussi une qui essaie de faucher mon pognon. En fin de compte, cet endroit est sordide et crasseux ; il y règne une odeur de corps qui n’ont plus vu une bonne douche depuis belle lurette.
On me murmure des mots salaces à l’oreille, on tente de me faire bander par des caresses sans équivoques, on me promet une nuit d’extase pour vingt dollars. Je finis par être dégoûté, ce n’est pas vraiment ce que je cherche ; ici, il n’y a que de pauvres putes de bas étage, même pas gentilles. J’ai connu des coins d’Afrique ou les filles avaient plus de classe, même si leur but est toujours de se faire inviter à passer la nuit dans un bon lit et glaner quelques billets. Finalement, je quitte ce trou ; je devrai me satisfaire d’une « veuve poignet »…
Dernier soir
Après le flop d’hier soir, je laisse le soin à quelqu’un d’autre d’organiser la soirée. Il prend contact avec le cuistot de l’hôtel (un Belge, Le Camayenne appartient à la – aujourd’hui défunte – Sabena) et opte pour un BBQ. C’est bon, même copieux. Tandis que je me réfugie dans mes pintes de bière, les conversations ternes, j’essaie une blague légère qui aussitôt tombe à plat. Je me serai vraiment fait chier pendant ces trois jours !
Le repas à peine terminé et les premiers (toujours les mêmes tristes) lèvent la séance pour déjà regagner leurs chambres.
Je décide d’aller boire l’avant-dernière au bar de la piscine. L’orchestre local continue de jouer sa musique énervante. Décidément, vulgairement dit, tout m’emmerde : ce pays avec son humidité, les militaires avec leurs contrôles absurdes, le groupe hétéroclite qui m’accompagne et mon envie de sexe qui n’est toujours pas satisfaite. Ce soir, je suis parti pour une bonne cuite…
À mon arrivée, une fille assise sur un tabouret est en train d’achever son assiette sur le comptoir. La fourchette dans une main, une cigarette dans l’autre, elle a l’air bien nerveuse. Je m’approche, elle tourne la tête et je découvre un magnifique visage, les traits fins et la peau assez claire. Elle est vêtue d’un top et d’un pantalon synthétique de couleur fauve. Un rapide échange de sourire et elle continue de chipoter avec sa nourriture. Je voudrais bien l’aborder, mais je ne suis pas seul, et surtout, je veux éviter les cancaneries ou une dénonciation anonyme à ma femme.
Les musiciens font une pose et elle se lève pour aller les rejoindre. Au passage, elle me décoche une œillade sans équivoque. Je la suis des yeux, je la vois enfin debout et de face ; elle est assez petite, pas plus d’1m60, très mince et plutôt taillée comme un garçon, des seins minuscules flottent librement et ses tétons pointent outrageusement à travers le tissu. J’essaie de contrôler un début d’érection et nos sourires se croisent à nouveau. J’ai envie d’elle, mais c’est probablement la groupie du chanteur ; pas de chance.
Les musiciens sont retournés à leurs instruments et ma belle panthère est revenue sur son tabouret. Elle fume cigarette sur cigarette et moi je descends mon jus de houblon. Je ne parviens pas à détacher mon regard d’elle, j’essaie d’élaborer un plan, mais je n’ose toujours pas bouger. Après toutes ces bières, ma vessie est pleine comme un ballon de football et je m’en vais me soulager. Les toilettes sont toutes proches. Arrivé devant les urinoirs, un collègue qui achevait de se laver les mains me dit :
J’ai envie de lui dire combien leur peau est douce, de lui expliquer leur gentillesse, leur amour du sexe, toutes ces choses que l’on ne peut pas comprendre tant que l’on n’a pas essayé. Mais égoïstement, je me garde cela.
Je suis en train d’uriner ; j’en ai au moins pour cinq minutes avec tout ce que j’ai ingurgité. Je secoue les dernières gouttes quand je sens une présence dans mon dos. Je tourne la tête et je l’aperçois entrer furtivement dans les toilettes Hommes.
Présenté comme cela, c’est sûr que je ne vais pas refuser.
Je retourne au bar, prétexte un problème intestinal soudain pour m’éclipser au plus vite. Ma Belle est déjà à l’intérieur ; je la prends par la main, file un pourboire au gardien qui lui demande ses papiers et nous voilà dans l’ascenseur. Je m’approche d’elle pour l’embrasser, ses mamelons pointent à travers son chemisier et je ne résiste pas à l’envie de les toucher. Elle a un mouvement de recul comme si une décharge électrique l’avait traversée.
Voilà qui promet… Elle se colle à moi, m’embrassant tendrement. J’ai une érection instantanée et j’espère ne rencontrer personne dans le couloir.
Enfin arrivé à mon étage, elle passe une main délicate dans mon dos, déclenchant un long frisson et contente du résultat, on marche vers la chambre.
La Nuit.
J’ouvre la porte et à peine à l’intérieur, elle me demande :
Je n’aime pas la cigarette ni cette impression d’embrasser un cendrier.
Je l’accompagne dehors pendant qu’elle tire quelques bouffées rapides. Je n’en peux plus d’attendre, je passe ma main sur ses seins que je sens fermes sous son chemisier. Je fais rouler ses mamelons sous mes doigts, ils sont tout dur et gros, presque disproportionnés par rapport à sa poitrine menue. Sa main s’attaque à mon entrejambe à travers mon pantalon et je ne reste pas insensible.
Je la déshabille, il n’y a pas grand-chose à enlever : un petit top, un pantalon qui glisse sur ses chevilles, un string blanc déjà légèrement humide sur le devant, et je découvre un corps parfait. Elle est plutôt petite par rapport à mon mètre quatre-vingt-dix. Son visage est souriant, des yeux marron en amandes, des lèvres pleines, mais pas à l’excès, et son nez petit et droit. Ses bras et ses jambes sont fins, les attaches délicates. Les hanches sont étroites et les fesses, fermes, gentiment rebondies. Ses seins sont tout petits, les aréoles, noires, forment un petit cône surmonté par un mamelon cylindrique, érigé en permanence. Rien à voir avec un 95C, mais elle me convient comme cela… Elle déboutonne ma chemise, excite mes mamelons du bout de ses doigts, les mordille un peu, ensuite c’est le tour de mon pantalon et de mes boxers. Le bout de sa langue court sur mon gland, titille la fente et le frein, puis elle m’engloutit pour me donner un avant-goût de ce qui m’attend.
Je l’emmène sur le lit et je commence à l’embrasser, mes mains parcourent son corps à la recherche des endroits sensibles. Je goûte à sa peau de velours et le contact de ses doigts m’électrise. J’adore cette peau africaine, son odeur, les sensations que tout cela me procure, cela m’excite au plus haut point. D’une main délicate, elle emprisonne ma verge et me masturbe lentement. Moi je tourne autour d’elle, je caresse ses seins, je suce ses tétons et elle réagit instantanément ; elle gémit et se tortille dans tous sens, une vraie pile électrique. Je veux la faire jouir sous mes caresses et ma main se pose sur sa toison. Elle est drue comme de bien entendu, mais elle l’a taillée et s’est épilée les lèvres si bien qu’il ne reste qu’un petit triangle. Je descends encore un peu et elle m’ouvre grand les jambes ; sa chatte est trempée de désir alors que je passe lentement à l’intérieur des grandes lèvres. Je glisse un, puis deux doigts dans son puits d’amour et sa respiration s’affole. Je fais quelques va-et-vient, je sors complètement mes doigts, puis les rentre profondément. Ensuite, je remonte pour toucher son clitoris. Je ne le trouve pas ! Je cherche un peu plus et elle perçoit mon trouble.
J’en ai la parole coupée, et même je débande. Merde ! C’est la première fois que je fais l’amour avec une femme excisée 3. Je croyais que cette barbarie n’avait cours qu’en Afrique de l’Est. Je suis sur le point de tout arrêter et de la chasser, mais dans le fond elle n’y peut rien.
Je reprends mes caresses comme si de rien n’était. Je m’applique pour oublier ma funeste découverte et bien vite son excitation revient. De petits râles s’échappent de sa gorge. Sa poitrine monte et descend de manière saccadée et ses mouvements sur ma verge sont désordonnés. Elle pousse son pubis pour faire entrer mes doigts au plus profond de sa fente. Je la sens toute proche et je continue mes caresses de plus belle. Je lèche ses seins, ma bouche s’arrondit autour d’un téton. Elle tremble de tout son être, des petits » oh ! » s’échappent du plus profond de sa gorge. Elle m’offre son premier orgasme. Son corps s’est complètement arqué et je sens les contractions rapides de son vagin ; sa chatte dégouline sur mes doigts. Elle crie son plaisir sans aucune retenue et puis referme ses jambes tremblantes sur ma main.
Nos bouches se rejoignent et sa langue fougueuse tourne autour de la mienne. Lentement, elle s’apaise, et d’une main, elle reprend possession de mon membre.
J’enfile un préservatif et je viens sur elle. Elle plie et relève ses jambes, les tenant de ses mains dans le creux du genou. Elle est complètement ouverte et m’offre une belle vue de sa vulve suintante d’envie. Je guide ma queue gainée de latex à l’entrée de sa chatte et d’une poussée, je la pénètre profondément, lui arrachant un petit cri. Je commence mes va-et-vient, ressortant presque ma verge, pour ensuite la repousser jusqu’au bout de son vagin. Cécilia me prend en ciseau avec ses jambes et ses mains passent sur ma nuque, mon dos, mes fesses. Ses doigts pétrissent ma peau, ses ongles me griffent au rythme de mes aller-retour. Au fur et à mesure que son plaisir monte, brutalement elle pousse son pubis contre le mien engloutissant tout mon sexe jusqu’à la garde. Nous bougeons à l’unisson, de plus en plus vite, sa chatte trempée fait des bruits de succion. Enfin, tout son corps se tend et un long feulement s’échappe de sa gorge, son vagin se contracte brutalement et je la laisse toute à sa jouissance. Je plaque mes lèvres sur les siennes pour arrêter ses cris et puis je reprends ma besogne…
Je lime, mais rien ne vient ; inconsciemment, je repense à sa mutilation, et puis aussi je commence à regretter d’avoir bu toutes ces bières. Je suis en nage et toujours rien. Compréhensive, elle me repousse, je me retrouve sur mon dos, à moitié débandé.
Elle commence d’abord à lécher le préservatif, goûtant à son propre jus ; ensuite, elle me l’enlève et me fait une des meilleures fellations que je n’ai jamais eues. D’une main Cécilia enserre la base de mon membre et, pompant doucement vers le haut, mon gland se retrouve bien vite turgescent et violacé. À petits coups de langue, elle en fait le pourtour, insistant sur le frein. Je la gratifie d’une belle érection soudainement revenue et elle me lèche sur toute la longueur, descendant jusqu’à mon anus qu’elle mouille et puis pénètre de sa langue. Elle alterne toute sa panoplie de caresses, me suçant, me léchant, me pompant. Sa langue, tantôt plate, tantôt pointue s’active sur mon gland. Parfois, elle m’aspire jusqu’au fond de sa gorge, mais la plupart du temps, elle ne garde en bouche que l’extrémité sensible. J’ai des frissons dans tout le bas ventre, je suis en train de jouir sans éjaculer, j’ai conscience qu’un fin filet doit perler de mon bout. Je me retiens pour prolonger mon plaisir à l’infini. J’ai une main sur sa nuque, accompagnant ses mouvements, l’autre caresse ses fesses charnues. Mon index glisse dans la raie, fait plusieurs aller-retour, je pousse un peu sur sa rosette et constate qu’elle a du offrir cette entrée-là plus d’une fois. J’ai une belle vue sur son intimité ; ses lèvres sont presque noires et en les écartant, je découvre sa conque toute rose et luisante. Le contraste violent des couleurs m’excite encore un peu plus. Je vais mouiller mes doigts dans sa chatte pour d’abord goûter son jus intime. Ensuite, je pousse avec mon majeur sur sa pastille, elle ouvre ses fesses, reculant son bassin et je glisse en elle. J’élargis progressivement son petit trou pour y introduire un deuxième doigt. Elle se laisse envahir par le plaisir que je lui offre et du coup me suce avec moins d’ardeur. Je lui donne des idées et après avoir mouillé un doigt, elle me l’enfonce d’un trait dans mon anus, m’arrachant un grognement de surprise. Son doigt est long et tout fin, de sa paume elle malaxe délicatement mes bijoux de famille, une sensation brûlante m’envahit. Pendant ce temps, je le lui mets mon pouce dans la chatte et je frotte entre mes doigts la membrane épaisse qui sépare ses deux orifices. Je sens son plaisir monter à grands pas. Je lui arrache un nouvel orgasme violent et un filet de cyprine s’écoule le long de mon poignet et de ses cuisses de velours. Je reste fichée en elle sans bouger, ses spasmes se calment progressivement. De mon côté, je me retrouve tendu et gonflé au maximum, Cécilia reprend sa fellation divine.
Elle continue de plus belle, ne gardant que mon gland. Sa main glissant rapidement sur la hampe, tandis que son doigt me sodomise de plus belle. Je tremble de partout, me tends, me contracte et puis explose. De longs jets de semence emplissent sa bouche pendant que je pousse un râle de bonheur. Elle caresse encore un peu mon membre endolori… .
Finalement, elle lâche mon sexe pour venir tout recracher sur ma poitrine ; à grands coups de langue, elle étale mon jus puis vient s’allonger sur moi. Sa bouche se colle sur la mienne et je goûte à ce qu’il reste de mes sécrétions. Les mouvements de son corps, collé au mien, finissent par former un mousse poisseuse entre nous. Nous restons ainsi un long moment à glisser l’un contre l’autre, vaincus par nos orgasmes respectifs…
On en reste là, je ne vais pas partir en croisade.
Je tire le rideau de la baignoire, je saisis le pommeau de la douche et je règle le jet à une température agréable. Je vois Cécilia s’accroupir, écarter les cuisses et un long filet doré abouti sur mes pieds. À cette vue, l’envie d’uriner à mon tour me prend et je dirige mon jet à côté d’elle, mais sa main prend mon sexe tout mou et le guide vers sa poitrine. Je l’inonde copieusement avant qu’elle ne se relève. Je ne sais pas ce qui m’a pris, je ne suis pas du tout « uro » (enfin, jamais eu l’occasion). Puis elle me dit :
De bonne grâce, je lui obéis pour ma première expérience du genre. Elle se place en équilibre au-dessus de moi et vide complètement sa vessie. D’accord, c’est spécial, mais je ne deviendrai pas un fanatique… .
Je rince nos deux corps et je lui tends une des savonnettes. Je ne dirai pas qu’un nettoyage systématique s’ensuivit ; c’est finalement plutôt un prétexte à des caresses de plus en plus intimes. En astiquant ma verge plus qu’il n’est nécessaire, Cécilia lui redonne forme et vigueur. J’ai une folle envie de la prendre, là tout de suite, debout. Mais j’ai peur de glisser dans la baignoire et nous sortons encore trempés et pleins de savon.
Je l’assieds sur le meuble du lavabo, ses fesses bien au bord. J’approche mon dard, elle remonte ses jambes et je passe mes bras en dessous de ses cuisses pour aller nouer mes mains dans son dos. D’une main, elle s’agrippe à mon cou et de l’autre, elle me guide d’abord dans sa chatte. Après quelques va-et-vient délicieux, elle ressort mon membre luisant de cyprine et le pose sur sa rosette. Je rentre mon gland, j’attends un peu que son sphincter se relâche et progressivement je m’enfonce dans sa caverne. Elle gémit.
J’y suis jusqu’à la garde. Commencent alors de longs et lents va-et-vient, puis elle me demande d’accélérer le rythme. Qu’est-ce que c’est bon ! Je suis bien enserré dans son petit trou. Je ne vais pas tarder à décharger ma semence, mais je veux qu’elle jouisse aussi. Je libère une main pour introduire deux doigts dans sa chatte. Ce n’est pas très pratique, mais j’y arrive et je vais ainsi toucher ma verge de l’autre côté de la paroi. Je continue de la manipuler et de la sodomiser en même temps, son plaisir est long à venir. J’embrasse sa bouche, je descends un peu pour attraper un mamelon entre mes lèvres, je pince un peu, je suce son petit bout tout dur et progressivement, je l’amène au bord de l’extase. Soudainement, elle s’agite et râle, des cris de plus en plus aigus sortent de ses lèvres. Je retire mes doigts de son puits d’amour pour les lui mettre en bouche. Deux Trois coups bien profonds dans son petit cul, je l’accompagne dans son orgasme, de longs jets brûlants sortants de mon membre maintenant douloureux. Je me retire lentement, les jambes tremblantes, comblé par ma belle panthère. Du sperme s’écoule de son petit trou dilaté, se mélangeant à sa cyprine, formant une coulée gluante le long de ses cuisses.
Cette fois-ci, la douche est plus rapide. Nous rejoignons le lit, un dernier câlin, je réalise un peu tard que j’ai oublié de me protéger. Me voilà mûr pour un test de dépistage dans six semaines. Je finis par m’endormir, à mon avis en ronflant bruyamment. Le soleil se lève toujours à la même heure en Afrique et il doit être 6 h 30 quand un rayon sauvage me frappe le visage.
Le réveil
J’ai le bois du matin, la trique et au lieu de l’empoigner comme je fais d’habitude, je me tourne vers la forme qui est allongée à côté de moi. Le drap a glissé, elle me tourne le dos, mais sa silhouette me fait toujours autant d’effet. Je me rapproche d’elle, pose une main délicate sur son épaule pendant que mon gland appuie légèrement sur le bas de son dos. Cécilia s’étire doucement comme la féline qu’elle est, lentement se réveille et réveille en moi le désir. Pour peu, je l’entendrais ronronner. Elle vient saisir le membre à pleine main et le frotte d’abord le long de sa raie, puis le guide vers son puits d’amour. Je la prive brièvement de son jouet pour vite enfiler un préservatif et je le lui rends. Elle arrondit ses fesses, me guide dans sa grotte déjà humide de désir. Je l’empale profondément, je veux la posséder pleinement, j’ai récupéré de ma nuit et me sens frais comme un jeune gardon.
Je la prends en levrette, je m’agrippe à ses hanches, je veux lui défoncer la chatte à grand coup de boutoir. Je ressors complètement ma verge, pour aussitôt la lui renfiler jusqu’à la garde. Je suis excité comme rarement et je me mets à ahaner de plus belle. Cécilia y prend du plaisir et me déferle une tirade d’encouragement on ne peut plus salace. Je veux profiter de sa porte arrière une dernière fois, je sors mon attribut pour poser le bout sur sa rosette et sans crier gare, je m’enfonce en elle. Je lui arrache un cri de surprise et un peu de douleur aussi. Égoïstement, ce matin je n’en veux que pour moi, presque brutalement je lui défonce son petit cul. Je finis par abandonner son fondement pour d’abord passer mon gland entre ses lèvres, puis je reprends possession de son intimité. J’accélère le rythme, je nage en elle tellement elle mouille. Sa tête enfoncée dans l’oreiller, elle finit par grogner, puis crier de plaisir. Je me lâche complètement, des frissons courent de mon gland aux testicules, je sens la sève qui monte brutalement et enfin j’explose dans un grand râle de bête sauvage.
Je me retire, elle s’effondre sur le lit et je m’en vais jeter le préservatif dans la cuvette.
Je passe la commande au service d’étage.
Son choix se porte rapidement sur mon polo Glenmuir jaune paille ; elle a du goût, la vache.
J’aurais mauvaise grâce à le lui refuser.
Vite, à la salle de bain, une douche bien sage et elle enfile mon polo deux fois trop grand qui lui descend jusqu’à mi-cuisse. Je passe des boxers au moment ou l’on frappe à la porte pour nous servir le petit-déj. La serveuse nous regarde l’un et l’autre d’un petit air entendu. Cécilia engage la conversation dans je ne sais quel dialecte, puis elle s’en va avec son pourboire.
On commence à manger et à bavarder. Elle me parle de son pays, de la guerre qu’elle a dû fuir, de son oncle qui l’héberge et qui lui a pris son pucelage il y a six mois, de ses vingt ans, de ses projets.
Pendant ce temps, elle s’est assise en tailleur sur sa chaise, a remonté un peu le polo et, impudique, me laisse voir sa chatte. Elle voit mon regard fixé sur son entrejambe, du coup, en me regardant droit dans les yeux, de ses doigts elle écarte ses lèvres me montrant son corail rose et luisant. Comme un diable surgi de sa boîte, ma verge fièrement dressée sort de l’entrebâillement de mes boxers. Contente d’elle, un sourire épanoui sur les lèvres, elle trifouille son intimité et me demande :
Et de refermer ses jambes et porter ses doigts luisants de mouille à sa bouche…
Il est temps que je la renvoie. Il faut réussir sa sortie ; je vais chercher cent dollars dans mon portefeuille (c’est loin au-dessus du tarif local, mais, bon, à nuit exceptionnelle…). Elle me remercie, me gratifie d’un long baiser, garde mon polo – trésor de guerre – et s’en va sans se retourner.
Si cela vous plaît, je raconterai d’autres rencontres exotiques…
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1. ↑ En fin de compte, son français se résume à quelques mots et toutes nos conversations se dérouleront dans la langue de Shakespeare, langue que je maîtrise assez bien tant qu’elle n’est pas parlée par des Anglais (vocabulaire impossible) ou des Américains (accent épouvantable) !
2. ↑ Son vocabulaire « sexe » vole au ras des pâquerettes : boobs, tits, fuck, ass, cunt, cock, cum, piss et d’autres encore. J’ai traduit en essayant de respecter sa vulgarité que je crois un peu forcée.
3. ↑ Pour ceux que le sujet intéresserait : www.arts.uwa.edu.au/AFLIT/MGF1.html.
4. ↑ Les Peuls sont une tribu nomade (aujourd’hui partiellement sédentarisée) originaire de l’Afrique de l’Ouest. On les rencontre dans toute la bande subsaharienne. Les Peuls sont en général de grande taille, aux traits et aux longs membres fins ; leur nez droit est caractéristique.