n° 03243 | Fiche technique | 16620 caractères | 16620 2960 Temps de lecture estimé : 12 mn |
30/04/23 corrigé 30/04/23 |
Résumé: Relation intense au travail. | ||||
Critères: fh extracon collègues nympho travail toilettes voir exhib noculotte fetiche intermast fellation cunnilingu | ||||
Auteur : James (Jeune cadre a la recherche de relations intenses.) |
Je vis depuis un an une relation très intense avec une de mes collègues féminines sur mon lieu de travail. Je travaille dans Paris près du forum des Halles et j’assume des fonctions technico-commerciales dans une entreprise de services. Cette histoire est vraie, hormis quelques détails qui pourraient permettre mon identification et que j’ai modifiés.
Nelly avait été embauchée pour travailler au service relation clientèle et recevoir donc les appels de nos clients pour les renseigner sur nos produits. Elle devait avoir été recrutée sur la douceur de sa voix et ses capacités pédagogiques, car tout était parfait en elle pour assurer ce job. Je parie quand même que le recruteur avait dû être troublé également par son physique de femme enfant. Élancée, cheveux bruns longs jusqu’au milieu du dos, petites fesses toujours bien moulées dans de jolies jupes courtes ou plus rarement dans des pantalons très serrés, elle possède aussi deux pieds très mignons souvent mis en valeur dans des escarpins vernis à talons ou des bottes noires en cuir très fines.
Lorsque Nelly entre dans la salle du restaurant d’entreprise, beaucoup d’hommes se retournent pour la regarder passer. Sa démarche très sûre, ses jolies jambes qui bougent en rythme jusqu’à ce qu’elle trouve une place où s’asseoir, et l’opportunité peut-être d’en voir un peu plus lorsqu’elle s’assoit de travers sur sa chaise mobilise tous les midis le regard de nombre de mes collègues. Le mien aussi ! Plusieurs fois, j’ai accroché son regard une fraction de seconde et je lui ai fait un léger sourire. Après quelques tentatives identiques, elle a commencé à me rendre un petit sourire. Puis un jour, nous nous retrouvons ensemble dans l’ascenseur le matin, et elle me gratifie d’un « bonjour » avec une voie très chaude qui me retourne complètement. Le midi, je la suis à la sortie du restaurant jusque dans la rue et je l’aborde :
Le lendemain, je la vois arriver avec une petite jupe plissée grise très courte et un chandail noir moulant dans lequel ses seins peuvent gigoter en toute liberté. De petits escarpins noirs pas trop hauts mettent en valeur ses jolis mollets. Son sourire met le feu aux poudres et je dois faire un effort surhumain pour ne pas la plaquer tout de suite contre le mur et lui avouer que je rêve d’elle depuis quelques semaines déjà. Je me demande même si elle n’a pas inventé cette histoire de course hier pour choisir une tenue plus provocante…
Nous buvons le café en faisant connaissance. Ses jambes croisées me laissent voir ses collants fins très haut sur ses jolies cuisses, et me mettent très mal à l’aise. Les mouvements de sa bouche que j’imagine dans d’autres circonstances provoquent une érection continue qui finit par me faire mal. Son attitude très frivole ajoute beaucoup de piment à cette discussion, et ses petits seins dont je peux voir les pointes qui se dressent sous le fin chandail appellent irrésistiblement des caresses que j’ai eu envie de lui prodiguer. Jamais je n’avais ressenti pareille émotion. Je suis en train de vivre un embrasement complet de mon corps et de mon esprit. Je me fixe comme objectif de ne pas céder à cette fille qui rassemble tous les atouts que j’aime trouver chez une femme.
Deux jours après, je termine l’élaboration d’un cours technique pour des clients. Après avoir imprimé un exemplaire du support de cours, je me dirige vers la salle des photocopies pour reproduire et relier les quinze exemplaires nécessaires. Nelly me voit passer devant son bureau, et me rejoint sans prévenir dans la salle des photocopies. J’ai commencé à copier le cours. Aujourd’hui, elle porte un jean bleu avec une large ceinture et des bottes de cuir noir avec un petit talon de cinq centimètres. Au-dessus, comme à son habitude, elle porte un léger pull blanc à même la peau. Le pull est enfilé dans le jean pour laisser bien en vue sa jolie ceinture. La vue de sa tenue très sexy me met déjà dans un état second. Elle me dit bonjour, puis se met à me regarder fixement en posant les deux mains sur la table qui se trouvait là. Lentement, elle se rapproche de la table et se met à frotter son entrejambe sur le coin de la table. Je n’en reviens pas : son regard fixé sur moi, le joli sourire de sa bouche gourmande qui se dessine, et la vision de cette fille qui se masturbe littéralement sur la table et en quelques secondes je suis sur le point d’éjaculer dans mon pantalon. La salle de photocopies est au milieu d’un plateau où travaillent une trentaine de personnes. Les cloisons sont opaques jusqu’à la moitié, puis faites de vitres au-dessus. Nelly se branle donc en me parlant au milieu de trente personnes qui peuvent nous voir dans la moitié haute de nos corps. La scène dure bien depuis dix minutes. De temps à autre, elle ondule des hanches pour mieux sentir le coin de la table contre son entrejambe. Cette femme avec son corps gracile d’enfant est en train de se comporter comme la pire des salopes que je n’ai jamais rencontrée !
Elle me demande :
Je réponds :
Elle peut voir mon sexe déformer largement mon pantalon. Elle quitte le bord de la table et passe devant moi, faisant semblant de déplacer un bloc de feuilles. En fait, elle vint frotter largement ses fesses sur ma bite en passant pour mieux sentir l’effet qu’elle me fait. Cela lui plaît autant qu’à moi. Je n’avais jamais ressenti une émotion aussi forte de toute ma vie. Être dragué aussi ouvertement sur mon lieu de travail devant quelques dizaines de personnes décuple l’effet de ses charmes sur moi. Elle me quitte simplement en me disant :
Et elle sort de la salle en remuant de droite à gauche ses jolies fesses, sachant très bien que j’ai mes yeux braqués sur son sublime petit cul.
Le lendemain, je suis au restaurant d’entreprise en train de déjeuner avec mon patron et les autres membres de mon équipe. Nous sommes sept à table, et il reste une place à côté de mon voisin d’en face. Elle arrive avec son plateau, vêtue d’une petite jupe noire qui moule son cul à la perfection jusqu’au milieu des cuisses et d’une paire de bottes noires en agneau très fines et galbant bien ses mollets. Elle s’assoit avec nous et commence à discuter avec mes collègues qui sont ravis d’avoir à leur table une aussi jolie fille. Pendant ce temps, elle glisse sa jambe sous la table dans ma direction et pose le talon de sa botte sur mon sexe. Le bout pointu dépasse de la table et je dois poser une serviette entre mes jambes pour que personne ne voie ce qui se passe. Elle me masturbe doucement pendant qu’elle mange avec une lenteur très excitante. Ses coups d’œil fréquents lui permettent de vérifier l’état dans lequel je me trouve. Elle parle à mon patron et à mes collègues comme si de rien n’était. Le déjeuner dure une demi-heure pendant laquelle je ne débande quasiment pas. En sortant, nous décidons d’aller faire un tour dehors. Nous allons dans les jardins du forum des halles et nous nous asseyons sur un banc tranquille. Nous sommes inclinés l’un vers l’autre et nous discutons avec à peine dix centimètres entre nos visages. À un moment, je laisse ma main descendre derrière elle et je commence à caresser ses fesses doucement. Elle se presse contre moi et pose sa main sur ma cuisse pour commencer à la bouger lentement. Je lui dis :
Je glisse ma main sous son pull, puis sous la ceinture de sa jupe, et je trouve le string. Je tire fort dessus vers le haut pour faire entrer plus profondément la lanière entre ses jambes. Elle commence alors un mouvement d’ondulation de son bassin d’avant en arrière pour frotter son clitoris contre le devant du string. Elle est très excitée et sa main glisse maintenant entre mes cuisses pour sentir mon sexe à travers mon pantalon. Elle continue ainsi un bon moment. Son souffle augmente peu à peu, ses yeux ont maintenant un regard intense qui me dit tout le bien qu’elle ressent de cette masturbation. J’ai posé ma main sur son sein droit et je branle son petit bout de poitrine en faisant bouger son pull d’un côté à l’autre. Au bout d’un moment, elle est tellement excitée qu’elle veut en finir. Difficile pourtant de faire cela au milieu du jardin. Quelques arbres à peine et des gens qui passent de temps en temps devant nous. Cela devient franchement visible que nous nous livrons à des jeux parfaitement interdits sur la voie publique… Elle s’assoit sur mes genoux en travers en remontant un peu plus sa jupe noire, écarte les cuisses et je glisse ma main sous sa jupe. Mon manteau cache un peu notre manège, et je peux maintenant la branler véritablement.
Son sexe est tellement mouillé que je peux glisser deux doigts tout de suite. Je bouge doucement le bras pour entrer et sortir de son sexe régulièrement.
J’obéis et pose mon pouce sur son clitoris tandis que je continue les va-et-vient dans son vagin qui dégouline véritablement. Sa bouche cherche la mienne et nos langues commencent à se battre dans sa bouche et dans la mienne. Ses dents se cognent parfois sur les miennes tellement son excitation est forte. Sa petite langue est dure et pointue, et elle bouge de plus en plus vite au fur et à mesure que son plaisir monte. Maintenant, ses fesses bougent latéralement sur mes genoux au rythme de son plaisir. Je sens que la vague du plaisir monte en elle et qu’elle ne va pas tarder à jouir. Tout d’un coup, l’orgasme arrive, elle se crispe, me mords les lèvres et tente de retenir ses cris pendant que son ventre se secoue de plaisir sur ma main. Elle reste un long moment sur moi, comme endormie, pour récupérer de sa jouissance. J’essuie ma main trempée sur sa langue qui n’en laisse pas une goutte et nous échangeons un long baiser très tendre. Nous nous rajustons ensuite et nous retournons au bureau.
Le matin suivant, j’arrive au bureau, et je ferme la porte avant de l’appeler :
Elle raccroche. Je me demande si elle a vraiment pensé à ce qu’elle me demande. Les toilettes sont proches du bureau du directeur, et cela me paraît très risqué de la rejoindre là. Cependant, je descends au premier étage, et je me dirige vers les toilettes. Par chance, le directeur est en entretien et la porte est fermée. Il ne me voit pas passer et je rentre rapidement dans les toilettes. Une fois la porte fermée, je tends l’oreille. De faibles gémissements attirent mon attention. La salope est là, en train de se toucher derrière une porte. La porte est ouverte, et je rentre vite dans les WC. Je referme, et je la regarde maintenant : elle est assise sur les toilettes, la jupe remontée sur le ventre et deux doigts de la main droite complètement enfilés dans sa chatte. Elle me regarde et me dit :
Je n’étais pas sûre que tu viendrais, et je ne pouvais plus attendre. Elle soulève son pull plus haut pour que je puisse mieux voir ses jolis seins. Deux aréoles très sombres se dressent devant moi. Mes doigts jouent avec ses pointes dures ; je m’abaisse pour sucer ses tétons qui ont presque la grosseur de deux noix dans lesquelles je plante doucement les dents. Elle gémit. Mes mains descendent le long de ses flancs, j’arrive aux hanches pendant que je lui dévore les seins. Elle se fâche :
Masturbe-moi maintenant ! Je veux sentir ta langue sur mon clitoris, dans mon sexe : dépêche-toi ! Mets-toi à genoux, et lèche-moi.
Je m’agenouille, pas très à l’aise, vu la taille de l’endroit, et je pose mes mains sur ses hanches : ma langue trouve vite le chemin qu’elle m’a indiqué, et je commence à la lécher goulûment. Elle est vraiment très excitée, car l’intérieur de ses cuisses est déjà tout mouillé. Je suce son bouton d’amour, lèche ses lèvres intimes et joue avec ma langue à l’entrée de son vagin. Elle fait beaucoup de bruit et j’ai peur qu’on nous entende. Je fais glisser un de ses bas jusqu’au pied et je lui enlève. Tout en continuant de lui prodiguer les caresses avec la bouche, je comprime son bas et je le lui mets dans la bouche pour lui éviter d’être trop bruyante. Il était temps, elle commence à se secouer violemment, plaque ses mains sur ma tête et enfonce le plus possible ma tête entre ses jambes. D’un seul coup, elle se soulève du siège et se tend entre ses pieds par terre et sa tête contre le mur. Elle jouit longuement, en étouffant ses cris dans le bas, puis retombe doucement. Je la laisse récupérer, puis je commence à toucher ses seins qui me font tant envie. Elle comprend l’état d’excitation dans lequel je suis, et commence à s’occuper de moi.
Elle me regarde en se léchant les lèvres avec la langue. Pendant ce temps, elle défait les boutons de mon pantalon et va chercher mon sexe tendu à craquer sous mon caleçon. Elle a vite fait de le sortir de sa prison et commence à me branler doucement avec la main. Elle est fascinée par ma bite et sa dureté. Rapidement, elle se penche en avant et me prend dans sa bouche. OHHHHH, j’ai l’impression de ne jamais avoir été sucé tellement sa bouche est douce et accueillante. Elle commence à bouger très lentement et se met de profil pour que je puisse voir ma bite entrer et sortir de sa bouche en même temps. La scène est très obscène et me fait bander encore plus. Je n’en peux plus, ce visage sur ma bite, ses longs cheveux qui me caressent le bas du ventre pendant ses mouvements de tête et ses ongles qui pincent gentiment mes couilles font monter le plaisir très vite. De temps en temps, elle ouvre les yeux en grand et me regarde pour s’assurer de l’effet qu’elle produit. À chaque fois que ma bite entre dans sa bouche, sa langue court autour de mon gland pour l’exciter encore davantage. C’est merveilleux. Je lui dis :
J’éjacule plusieurs jets de sperme dans sa bouche. Elle continue de sucer très doucement le temps de tout avaler. Elle se redresse, je la prends dans mes bras et la remercie de cette magnifique pipe qu’elle vient de me faire.
Demain est une autre histoire…