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n° 03261Fiche technique13098 caractères13098
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Temps de lecture estimé : 9 mn
14/09/23
corrigé 14/09/23
Résumé:  Pourquoi des escarpins rouges ?
Critères:  ffh oncletante grosseins voir exhib fetiche intermast fellation cunnilingu anulingus pénétratio
Auteur : Théo  (Un doux rêveur)      
Les escarpins rouges

Les escarpins rouges





J’aime me promener dans Paris. Ce jour de septembre, mes pas me conduisirent vers le célèbre café appelé le F. Je m’installai en terrasse et, après avoir passé commande, me plongeai dans la lecture de mon journal. Soudain, l’impression d’être observé me fit lever la tête. Une jeune femme était arrêtée sur le trottoir et me regardait. Cela devait être une erreur. Je me replongeai dans mon journal. Quand je relevai la tête, l’inconnue avait disparu. Puis l’impression d’être encore observé me fit lever la tête à nouveau. La jeune femme était maintenant assise à quelques mètres de moi. Elle se leva pour enlever l’imperméable qu’elle portait. Ce faisant, elle fit bomber sa poitrine et le pull collant qu’elle portait mit en valeur des seins lourds en forme de poire dont les pointes semblaient vouloir transpercer le tissu. Elle semblait sortir d’une autre époque. Une ceinture très large soulignait une taille extraordinairement fine qui contrastait avec l’ampleur des hanches.


Elle s’assit, croisant haut les jambes. La jupe était remontée très haut. Elle portait des bas légèrement fumés qui dévoilaient un morceau de cuisse bronzée. Je m’attardai un instant sur son visage qui était des plus agréables. Il était éclairé par deux grands yeux marron dans lesquels on aurait pu facilement se noyer. Des cheveux blonds coupés courts mettaient en valeur un bronzage qui semblait des plus naturels. Sans nul doute une professionnelle de haut vol, pensai-je en me replongeant dans ma lecture. J’oubliai la belle inconnue et terminai de lire mon journal. Je sortis du café et me dirigeai vers la rue de M. Il y avait beaucoup de monde, et soudain devant moi, semblant danser sur des chaussures à talons trop hauts, il me sembla apercevoir la belle inconnue. Elle apparut, disparut, réapparut dans la foule. Ce n’était plus le hasard.


Je me mis à la suivre quand elle s’engouffra dans une rue plus calme. Elle s’arrêta devant une boutique chic de chaussures. Je m’arrêtai près d’elle et elle entama la conversation d’une voix douce avec un drôle d’accent.



Et elle ajouta :



Le prix était aussi corsé que l’aventure que je présentai. J’acceptai et nous entrâmes dans la boutique. Quand elle les essaya pour voir ce qu’elles donnaient aux pieds, elle leva la jambe très haut, faisant remonter la jupe presque à la taille. Elle ne portait pas de slip, et comme j’étais assis en face d’elle, je vis distinctement les lèvres intimes de son sexe légèrement bâillant au milieu d’une forêt luxuriante de longs poils châtain très clair. Sur l’instant, je ne me fis qu’une seule réflexion : j’avais raison, ce n’était pas une vraie blonde.


Le jeune homme qui nous servait était devenu écarlate et la bosse très voyante au niveau de sa braguette montrait à quel point le spectacle offert le fascinait. J’étais dans le même état. Je réglai l’achat et nous sortîmes.


La belle inconnue me prit familièrement le bras et me proposa de prendre le thé chez elle. Comme j’acceptai, elle me conduisit vers un bel immeuble haussmannien. Pendant que nous montions les marches, elle me dit qu’elle habitait avec sa tante. Elle toqua à la porte qui s’ouvrit tout de suite. Sa tante nous fit entrer dans un grand appartement ensoleillé. Cette dernière portait une robe de chambre en soie, et bien qu’il soit très ample, le vêtement n’arrivait pas à camoufler des formes opulentes.


Les deux femmes avaient un air de famille très prononcé. La belle inconnue voulut tout de suite essayer les escarpins rouges. Elle disparut dans la pièce d’à côté pendant que sa tante servait le thé. Celle-ci, bien qu’ayant à mon avis dépassé la quarantaine, avait un joli visage éclairé par les mêmes grands yeux marron que sa nièce. Une différence toutefois : le regard était très mélancolique alors que celui de sa nièce affichait une insolence hardie.


Comme elle se penchait pour verser le liquide parfumé dans la tasse, sa robe de chambre s’ouvrit comme par magie. Elle fit semblant de ne pas s’en apercevoir, mais son visage à la peau blanche était devenu très rose. Elle était nue en dessous. Les seins volumineux étaient si lourds qu’ils tombaient sur la poitrine, mais on voyait bien que la chair était ferme. Une large auréole rose et légèrement granuleuse garnissait leur extrémité et la traditionnelle pointe était en fait un creux. Elle avait un large ventre bombé et la toison avait été soigneusement rasée. Je ne pus m’empêcher de bander, d’autant plus que son regard était braqué sur ma braguette dont le gonflement avait l’air de la fasciner, si bien qu’elle continua à me servir le thé même quand la tasse fut pleine. Celle-ci déborda et le liquide chaud coula sur mon pantalon. Elle devint écarlate, s’excusa et me proposa de l’enlever pour le faire sécher. Je l’ôtai et le lui tendis. Mon slip mettait malgré moi en valeur ma verge raide et tendue vers le ciel. Elle se sauva en s’excusant faussement désolée.


J’étais face à une grande glace murale et j’en profitai pour essayer de reloger dans mon slip le sexe récalcitrant. Je pensais y être arrivé quand l’élastique de la taille craqua d’un coup. Le slip tomba par terre et je me retrouvai nu, affichant une érection triomphante malgré mes efforts pour rester calme. Comme dans une pièce de théâtre de boulevard bien réglée, ma belle inconnue rentra nue dans la pièce. Elle eut un sourire narquois en voyant dans quel état j’étais et me demanda comment je les trouvais. J’eus un choc tant je la trouvai désirable. Ses seins étaient superbes et je ne trouve pas de mots pour les décrire. Si : ils étaient insolents, de véritables obus terminés par de longues pointes roses et dures. Son tour de taille très mince faisait encore plus ressortir ses hanches généreuses. Le bas-ventre était couvert d’une véritable fourrure soyeuse, couleur châtain clair (c’était bien une fausse blonde) dans laquelle on avait envie de fourrer les doigts rien que pour l’envie de la caresser. Un porte-jarretelles en dentelle noire retenait des bas accrochés très haut qui affinaient ses jambes rondes et il y avait les escarpins rouges qui donnaient à la silhouette un look extrêmement sexy. Elle se mit face à la glace et répéta :



La coquine faisait semblant de parler de ses chaussures, mais elle me présentait un cul certes un peu fort, mais admirablement galbé et fendu profondément. Une forêt de poils soyeux curieusement plus clairs que la toison pubienne dépassait de la raie culière. Mon sexe tendu à rompre s’était mis à tressauter : des mouvements convulsifs que je n’arrivai pas à maîtriser. Des idées de levrette somptueuses et de sodomies profondes dansaient dans ma tête une sarabande folle. Je m’approchai d’elle et elle se pencha légèrement en avant, dévoilant son gros abricot fendu niché en haut de ses cuisses. Je voulus la pénétrer par là, mais elle m’arrêta, et, saisissant mon dard turgescent, le glissa entre ses fesses.


La coquine avait abondamment huilé la raie séparant les belles fesses dodues. Je m’enfonçai dans sa rondelle élastique très facilement, et bien que je sois fortement membré, je me trouvai enfoncé jusqu’à la garde dans le fourreau soyeux. J’étais merveilleusement bien. Comme je commençai à bouger, je ne pus me retenir et j’éjaculai abondamment. Elle me regarda dans la glace, surprise. J’étais tellement excité que je ne débandai pas et continuai à la ramoner très vigoureusement. Elle se mit à quatre pattes devant la glace et, derrière elle, un peu au-dessus, je pratiquai une sodomie faite dans les règles de l’art comme me l’avaient appris certaines vieilles vicieuses de mon adolescence qui raffolaient de ce genre de pénétration. Elle me regardait dans la glace fixement, droit dans les yeux. Pendant que je l’enculais fermement, elle avait glissé une main entre ses cuisses et se masturbait sans retenue Soudain, son regard se troubla et devint comme voilé. Elle ferma les yeux et se laissa tomber sur le ventre, toute molle. Avait-elle joui par le cul, ou du fait qu’elle se masturbait, ou bien encore était-ce la conjugaison des deux ?


Planté profondément en elle et de par ma position, collé de toute ma longueur sur elle, je sentais l’odeur naturelle de son corps mélangé à celle de son parfum. Le mélange des deux, entêtant, m’enivrait comme un alcool trop fort. Je sentis que l’on m’écartait les fesses. Je tournai la tête. C’était la tante n’ayant pour vêtement que des escarpins rouges sûrement très anciens avec des talons aiguilles très hauts. Décidément, pensai-je, c’est de famille ! Ses formes plus qu’opulentes n’auraient sûrement pas plu aux jeunes hommes préférant les femmes minces, mais moi, elle me plaisait bien. Elle se pencha sur les fesses ouvertes et je sentis sa langue légèrement râpeuse me lécher le cul. Ce n’était pas la première fois qu’elle faisait une feuille de rose, car elle s’y connaissait, la vicieuse ! Sa langue virevoltait autour de ma rondelle et s’y enfonçait comme pour un baiser profond. Elle me fit ensuite m’allonger sur le dos et, s’accroupissant au-dessus de mon visage, ouvrit elle-même les lèvres gonflées de son sexe, dévoilant une chair rose et un clitoris de la taille d’un petit pois rouge sang que je m’empressai de sucer.

J’ai toujours aimé pratiquer le cunnilingus, mais uniquement sur des femmes qui mouillent beaucoup et dont j’aime le goût des sécrétions vaginales. C’était le cas et je ne me lassais pas de cette grosse fente très baveuse qui m’était offerte. Elle appréciait beaucoup comme le montraient ses gémissements. Je la fis jouir avec ma langue, mais elle en voulait plus. Elle resta immobile quelques instants pour récupérer, puis se leva et vint s’accroupir au-dessus de ma verge toujours dure. Elle s’empala littéralement dessus et me baisa très savamment. J’avais croisé mes mains sous ma tête et la laissai travailler.


Le téléphone sonna et la nièce décrocha. Je l’entendais parler sans comprendre ce qu’elle disait, mais le ton montait : c’était une langue étrangère aux consonances slaves. Elle revint vers nous et je vis qu’elle portait à la main les escarpins rouges qui devaient lui faire mal aux pieds. Elle s’adressa à sa tante dans le même langage. Celle-ci lui dit en français :



Elles me firent mettre debout et elles s’agenouillèrent devant moi pour me sucer. Ce n’était pas la première fois qu’elles se livraient ensemble à ce genre d’exercice, car elles étaient parfaitement coordonnées, un vrai numéro de duettiste bien au point : l’une prenait le gland dans sa bouche et le caressait avec la langue tandis que l’autre léchait le corps de la verge et les bourses. Comme un ballet bien réglé, elles échangeaient leur place régulièrement.

Sentant que j’allais bientôt jouir, leurs lèvres et leurs langues se mélangèrent autour de l’extrémité du sexe raide. Leur salive abondante coulait sur la tige jusqu’aux bourses gonflées. Le sperme jaillit soudain, inondant leurs visages. Les deux femmes se léchèrent mutuellement la face pour récupérer le foutre puis, pendant que la tante me pressait les couilles et aspirait les dernières gouttes de semence, la belle jeune femme se leva et posa ses lèvres couvertes de jus encore tiède sur les miennes. Elle m’embrassa voluptueusement, enfonçant profondément sa langue dans ma bouche. Ce baiser parfumé au jus d’homme dura longtemps et fut ma foi fort agréable. Je dois avouer que j’ai rarement eu l’occasion d’avoir en même temps deux « fellatrices » accomplies pour s’occuper de mon sexe.


La discussion entre les deux femmes reprit, particulièrement animée. La tante se tourna vers moi et demanda :



Je lui répondis que non et, devant son incrédulité, lui montrai une pièce d’identité. Abasourdies, les deux femmes se regardèrent et je compris tout de suite quand elles me montrèrent la photo d’un homme qui me ressemblait étrangement. Il y avait erreur sur la personne.


La belle inconnue n’avait pas pêché le bon poisson. Qui était cet homme qui aimait tant les escarpins rouges et pourquoi les aimait-il ? Je pense que je ne le saurai jamais, car, profitant du fait que les deux femmes se disputaient violemment, je tirai ma révérence après m’être rhabillé rapidement, sans oublier de prendre les escarpins rouges qui traînaient sur le sol. J’allai les offrir à J., ma secrétaire qui avait la même pointure et qui recherchait des chaussures assorties à la couleur des derniers dessous coquins qu’elle avait achetés, et notamment à son dernier porte-jarretelles qui me faisait beaucoup d’effet. Ce qui m’intrigua le plus, c’est qu’à une centaine de mètres de l’appartement que je venais de quitter je croisai un homme qui me ressemblait étrangement, et qui tenait par la taille une jeune femme blonde, de type slave, habillée d’un imperméable clair serré à la taille qui faisait ressortir une poitrine opulente et des hanches très galbées. Ce qui était le plus étonnant c’est qu’elle arborait fièrement des escarpins rouges visiblement tout neufs. Curieux, non ?