n° 03265 | Fiche technique | 12465 caractères | 12465 2157 Temps de lecture estimé : 9 mn |
14/09/23 corrigé 14/09/23 |
Résumé: Quand je sonnai, ce fut la mère de ma fiancée qui vint ouvrir... | ||||
Critères: fh fplusag extracon alliance fmast hmast intermast | ||||
Auteur : Gérard 2 (Gérard) |
Je connaissais Berthe depuis deux ans lorsqu’il m’arriva cette aventure. Elle était très gentille, Berthe, et d’une fréquentation très agréable. Une fille charmante, aux yeux langoureux et de magnifiques cheveux blonds. Elle était forte, sans trop, juste ce qu’il fallait. Enfin, pour autant que je pouvais en juger, car Berthe était très sérieuse. C’était tout juste si dans l’obscurité du cinéma je pouvais lui tâter la poitrine ou coller ma cuisse contre la sienne.
Évidemment, cela me mettait dans un certain état, très embêtant. Et pourtant elle avait des manières de chatte et embrassait très bien. Au bois, je ne pouvais la serrer de prés, ni lui caresser la jambe. Cette pruderie me désolait, mais d’un autre côté, c’était une garantie pour l’avenir.
Un samedi après-midi, aux environs de trois heures, je me rendis chez ma fiancée. Nous avions convenu de nous rendre à la fête du village. Il faisait très chaud, le soleil tapait dur. Quand j’arrivais à la maison où demeurait Berthe, j’étais en nage.
Quand je sonnai, ce fut la mère de ma fiancée qui vint ouvrir. Elle me fit entrer dans le salon dont les volets étaient fermés. Lorsque mes yeux s’habituèrent à cette obscurité, je constatai que Berthe n’était pas dans la pièce.
Au bout d’un moment, je me demandai ce qu’elle fabriquait. Je trouvais cela bizarre. Je n’entendais aucun bruit venant de la chambre.
Elle remplit deux verres, et avant que je n’aie pu porter le mien à mes lèvres elle avait déjà avalé le sien. Elle remit une autre tournée.
L’alcool commença à faire son effet. Je décidai d’aller rejoindre Berthe dans sa chambre et alors que je me dirigeai vers celle-ci, ma future belle-mère s’interposa et je me cognai sur son opulente poitrine.
Je restai les bras ballants devant elle. Je la regardai et vis son corsage déboutonné, la ligne creusée entre ses seins. Elle était mieux en chair que Berthe. Elle avait un beau visage, un peu sévère, des yeux en amandes soulignés d’une estompe noire, à moins que ce ne fût un cerne. Elle avait ma taille. On se regarda droit dans les yeux.
Elle me servit un autre cognac.
Pendant que je buvais, ma belle-mère avait poussé sa chaise près de la mienne. Je vis aussi qu’un autre bouton de son corsage était défait. Baissant les yeux, je vis qu’elle avait posé un pied sur un des barreaux et de ce fait sa jupe se soulevait légèrement. Je pus entrevoir un genou bien rond et la lisière de son bas de soie.
J’eus tout à coup très chaud. J’avais beau essayer de penser à autre chose, je ramenais instinctivement mon regard vers son genou qui brillait dans la pénombre. Nous taisions, mais j’entendais la respiration saccadée de la femme. Je rompis ce pesant silence.
Elle entrebâilla le volet et un mince rayon doré entra dans la pièce. Ma future belle-mère changea sa chaise légèrement de place. Le rayon de soleil tomba en plein sur son genou, s’infiltra sous sa jupe tendue et illumina un bout de cuisse.
Je pensais de moins en moins à Berthe.
L’alcool aidant, j’eus l’audace de rajouter :
Elle se mit à rire, ce qui fit danser son opulente poitrine. Elle devenait de plus en plus belle, ma belle-mère. Sa jambe, toujours posée sur le barreau, allait et venait, sa jupe s’écartait, se relevait.
Puis, baissant la voix :
J’approuvai de la tête et sa cuisse s’offrit davantage. Chair tendre et rose qui me faisait totalement oublier Berthe.
Elle posa une main sur son genou qu’elle caressa lentement, glissant le long de la cuisse, revenant encore vers le genou et remontant à nouveau. Elle se tenait très mal, mais se doutait-elle de ce que je voyais ? Il n’y paraissait pas.
Brusquement, elle se leva et marcha vers la fenêtre et l’œil collé à la fente, elle regarda la rue inondée de soleil.
Je me levai à mon tour, me plaçai à côté d’elle. Je reniflai avec délices l’odeur de sa sueur et vis les deux cercles sombres qui s’arrondissaient sous ses aisselles.
Je retournai m’asseoir. Elle prit la bouteille, se courba au-dessus de moi, sa chair odorante sous mon nez. Elle se redressa et resta debout près de ma chaise. Sans mot dire, elle avança le bras. Sa main se posa sur ma braguette, l’ouvrit et sortit mon sexe. D’un mouvement souple et très décontracté, elle caressa ma virilité qui prit rapidement du volume. La tête penchée, elle regardait son geste, la bouche fermée, les lèvres humides. De son autre main, elle défit l’agrafe de sa jupe, fit tomber sa culotte bleu pastel. Je reniflai l’odeur de son sexe lorsqu’elle écarta les cuisses.
Maintenant, je savais ce que je devais faire. Je pris sa motte à pleine main. Il était dodu et chaud comme la braise. Ses poils collaient et je sentais ses lèvres gonflées.
Elle n’eut pas un soupir quand mon doigt la pénétra. Sa main me procurait une sensation terrible. Il me semblait que j’allais éclater… Je glissai sur mon siège, me livrai mieux à sa main. De son côté, elle me tendit son ventre. Sa vulve bâillait largement tandis que mon doigt s’agitait.
Elle me jeta un coup d’œil, me sourit, me fit comprendre de regarder ce qu’elle me faisait. Elle-même regarda entre ses cuisses…
Sans aucun trouble, elle continuait ses mouvements, sans se presser, mais son ventre ondulait sous ma caresse, se laissait aller entièrement au plaisir que je lui dispensais. Mes doigts nageaient dans une mousse onctueuse.
Naquit enfin la première goutte de sperme. Je n’étais pas loin de la jouissance. Sa main s’immobilisa, m’abandonna. Elle me saisit au poignet, me força à cesser.
Elle s’éloigna, se mit dans le rayon de soleil. La lumière faisait scintiller l’humidité de son sexe. Elle fit le tour de la table, se plaça face à moi, le triangle poilu à hauteur de mes yeux. Je me levai aussi, le sexe cambré au-dessus de cette table qui nous séparait. Elle tira la chaise vers elle et posa un de ses pieds dessus. Elle sourit et ouvrit le compas de ses cuisses, me montrant son volumineux clitoris érigé. Je vins près d’elle, plaçai également un pied sur la chaise. À présent, nos deux sexes se trouvaient en pleine lumière tandis que nos visages restaient plongés dans l’ombre. Nos mains s’aventurèrent.
Finalement, on se branla avec une espèce de férocité. Son visage prit une expression bestiale. Elle écarta encore plus les jambes dans une invite obscène, repoussa ma main et s’installa sur le coin de la table, écartelée.
Sa main ne m’avait pas abandonné. Elle m’obligea à me mettre devant elle et, agitant mon sexe comme elle l’aurait fait avec un pinceau, elle se caressa la fente avec mon gland. Quelques instants plus tard, elle alla s’étendre sur le sol et je lui introduisis ma queue, bien à fond. Je sentis monter ma jouissance. Devinant à quel point j’en étais, elle me serra contre elle et remua plus rapidement son bassin. Elle me donna alors sa bouche et nous eûmes un formidable orgasme qui nous laissa comme des loques, vidés.
Nous restâmes un moment immobiles, puis elle me dit :
Je me rendis à ses raisons et m’en allai.
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Le vendredi suivant, j’eus congé. Je me suis mis à penser à ma future belle-mère avec une étrange ardeur. Malgré ce qui s’était passé entre nous, je ne croyais pas encore à ma chance. Pourquoi avait-elle agi de la sorte ? Pourquoi n’avait-elle pas voulu que je voie Berthe, et pourquoi avait-elle utilisé ce moyen pour m’en empêcher ?
Questions sans réponse aussi longtemps que je ne me rendrai pas, de nouveau, au domicile de ma fiancée. Après avoir hésité, je frappai tout de même à sa porte. Ma future belle-mère ouvrit.
Je redoutais d’être mal reçu, mais non, elle était d’une humeur plutôt gaie. Elle avait une robe noire si moulante qu’elle semblait être nue. Je la trouvais très désirable. De plus, elle avait l’attrait du péché. J’avais envie de la saisir à bras le corps, de la serrer contre moi avec violence, de l’embrasser.
Cette fois, la pièce était claire.
Penché, je mis ma main sous son menton, lui relevai le visage. Deux larmes coulaient sur ses joues. Je l’embrassai et brusquement elle m’enlaça, répondit à mon baiser. Je glissai un bras sous ses cuisses, la soulevai. Je poussai la porte de la chambre du pied, la refermai de la même façon, puis l’étendis sur le lit et la dépouillai de sa robe. Elle n’avait plus que son soutien-gorge et sa culotte si minuscule que je voyais ses poils luisants.
Elle défit elle-même son soutien-gorge, libérant ses seins. Puis sa main glissa sous l’élastique de sa culotte. Je vis qu’elle empaumait son sexe et se mit à le caresser.
Elle n’avait plus que ses bas. Des bas noirs qui tranchaient sur le rose de sa peau. Elle me fixait et sa main s’activait.
Je me débarrassai de mes vêtements. Nu, je m’approchai du lit et sa main se mit à me caresser.
Je m’allongeai à côté d’elle.
J’avais moi aussi saisi ma queue et la branlais. Nos mains allèrent en cadence.
Elle tourna son visage vers moi. Je vis dans ses yeux les signes précurseurs de l’orgasme.
À ces cris de jouissance, je n’ai pu tenir longtemps et de grandes giclées de sperme aspergèrent ma poitrine.
J’ai continué à entretenir une relation avec ma future belle-mère jusqu’à mon mariage avec Berthe qui se révéla une merveilleuse amante. Ce n’est que quelques mois plus tard que j’appris de sa bouche que c’est elle qui avait suggéré à sa mère de me séduire afin de tempérer mes ardeurs. Elle s’était fait le serment d’arriver vierge au mariage et avait trouvé cette solution pour ne pas succomber à mes assauts, car elle en avait très envie, elle aussi. Elle ne m’a pas caché, non plus, que durant toute cette période de fiançailles elle avait eu recours à la masturbation pour ne pas me céder.