n° 03267 | Fiche technique | 17235 caractères | 17235 2988 Temps de lecture estimé : 12 mn |
14/09/23 corrigé 14/09/23 |
Résumé: Les discours trop pointus dépassent les bornes... | ||||
Critères: fh cérébral exhib fmast hmast intermast pénétratio fsodo | ||||
Auteur : Loco (40 ans, quelques trucs à écrire... Et beaucoup à faire!) |
Mon dernier texte ayant eu une note très moyenne, je tente de faire mieux. Ceci dit, je ne suis évidemment pas d’accord avec certaines notations plus flatteuses qui concernent des textes parfois trop longs où l’on se perd en conjectures ! Mais « droit au but » n’est pas non plus ma devise. J’attends vos avis.
Elle commençait sérieusement à me taper sur le système, ça oui : toujours en train d’essayer de décortiquer ce qui, selon moi, n’était qu’évidences flagrantes. À quoi bon se débattre ?
Mine de rien, la simple évocation de ces mots provoquait chez moi une excitation que j’avais du mal à dissimuler.
J’avais beau faire gaffe, je n’y pouvais rien, elle me plaisait et je ne cherchais plus à le lui cacher : en fait, je faisais semblant d’être blindé. Des années que je la connaissais, et elle n’était jamais tombée dans mes bras, ne m’avait pas accordé le moindre baiser « dérapé », ne m’avait même pas autorisé une fois à laisser ma tête reposer sur son ventre, les soirs de grande détresse, lorsque la solitude te laisse aux abois, lorsque tu n’espères même plus en tes amis, alors que tu n’entends plus d’écho à tes hurlements dans la nuit…. Et ne serait-ce que parce qu’elle ne s’habillait qu’en jean, pour commencer ? Le coup du jean, pour les filles, ça va : on me l’a déjà fait. En fait, pas grand-chose de plus sexy, si tu y regardes bien. Ça les moule devant, c’est taillé pour leurs fesses, c’est serré aux cuisses, ça fait les jambes longues… L’histoire de se déguiser en garçon pour être moins séduisante, donc moins séduite, on en avait déjà parlé, et même si elle n’était soi-disant pas d’accord avec moi, je la soupçonnais de cultiver cette forme de charme particulièrement pervers à mon sens. Surtout que j’en étais moi-même victime, et depuis longtemps.
Mais bon, elle faisait partie quand même des rares filles que j’acceptais encore dans mon entourage, elle était capable de faire autre chose que de caqueter, de jacasser sans fin au sujet des choses les plus insipides de l’existence, et je lui étais redevable de m’accorder son temps, à l’occasion, quand l’envie lui prenait. Mais de faille, d’abandon, d’envie de partager plus… jamais !
J’étais affalé sur le canapé et elle, sur le fauteuil… la discussion suivait le pseudotrain de la littérature. Je me resservis un verre et remplis le sien au passage. De toute façon, personne ne risquait plus rien, elle avait déjà dormi plusieurs fois sur le canapé en question, repoussant savamment mes avances éthyliques, et j’en avais pris mon parti depuis belle lurette : je partais me coucher après lui avoir déposé mes meilleurs draps, que je récupérais le lendemain pour changer les miens, en eussé-je mis des neufs la veille… on néglige trop l’élément olfactif dans la part du sommeil.
Elle insista :
Là, elle me les brisait sérieusement, tout en provoquant dans mon bas-ventre une montée de chaleur. Le mot « Chatte » a toujours été pour moi un élément érotique dans le texte, quel qu’il soit. Je la repris donc :
Elle eut l’air surprise, presque effarée.
J’insistai :
C’est vrai que sa fente était bien dessinée, étalée comme elle l’était. Je laissais mon regard traîner à l’occasion, mine de rien, et, si elle l’avait surpris par hasard, n’en avait manifesté aucune humeur : elle n’avait d’ailleurs jamais rien manifesté. Ce coup-ci, elle me surprit quand même en me regardant soudain d’un drôle d’air.
À y regarder de plus près, c’est vrai que mon imagination n’était peut-être pas étrangère à l’excitation qui prenait de plus en plus de place dans mon propre pantalon. Cependant, elle ne se rebiffa pas, et laissa mon regard effleurer son corps.
J’ai à peine eu le temps de finir ma phrase qu’elle se leva d’un bond, et vint vers moi, soudain colérique.
Ce disant, elle dégrafa son ceinturon, déboutonna son jean et baissa le tout, subitement : j’avais rarement assisté à un truc aussi rapide, j’en avais le souffle coupé. Elle souleva son sweat avec le pantalon aux genoux, et me laissa (ou me força ?) à admirer sa géométrie, laquelle était loin de me décevoir, surtout ainsi vêtue. De la dentelle noire pour le soutien-gorge et la, même en moulant-transparent pour le slip me permirent d’apprécier ses formes, surtout que j’étais toujours allongé et qu’elle me surplombait de ses un mètre soixante-quinze, l’air vaguement furibard et provocant à la fois avec ses deux mains sur les hanches. Je ne pus détacher mes yeux de son bas-ventre.
Je bandais carrément à ce moment-là, mais ne bougeai pas le petit doigt. Elle s’en aperçut d’ailleurs, je surpris son coup d’œil en direction de mon sexe. Elle essaya d’avancer encore vers moi, mais fut entravée par son pantalon, qu’elle finit par ôter complètement ainsi que son sweat : je ne perdis pas une miette de ses gestes. Elle finit par s’arrêter à mon niveau, les genoux à hauteur de mon visage. J’aurais pu embrasser son entrecuisse en levant la tête. J’étais maintenant très excité par la tournure inédite que prenaient les évènements. Elle ajusta son slip qui se mit à épouser ses formes intimes au plus près. Les jambes légèrement écartées, elle ondula légèrement au-dessus de moi en tirant sur le tissu, faisant claquer l’élastique. Je pouvais voir quelques poils dépasser par la dentelle, sa fente parfaitement moulée par la matière, les lèvres de son sexe dessinées à la perfection. J’avais une telle érection que je sentais mon membre sortir de mon propre slip et dépasser sous ma ceinture ; jetant un œil, j’en vis le gland brillant pointer entre mon ventre et mon jean.
Ça devenait indécent, mais j’en rajoutai une couche :
Et je dégrafai ma ceinture et défis ma braguette pour laisser enfin sortir ma queue, soulagé. J’envoyai la main sur sa cuisse, mais elle recula aussitôt, à mon grand étonnement.
Je n’en crus pas mes oreilles ! Je la regardai se passer les mains sur le devant de son slip, remonter jusqu’au ventre et redescendre jusqu’au haut des cuisses, laissant l’une d’elles traîner sur ses seins au passage, je n’en pouvais plus. J’ai commencé à attraper ma bite et à lui appliquer lentement ma caresse de solitaire, sauf que là, j’étais singulièrement excité ; elle me regarda me branler avec la bouche ouverte, se déplaça à nouveau légèrement vers moi, mais à hauteur de mon sexe, pour mieux l’observer. Ses mains appuyaient à présent leurs caresses sur son pubis, son slip disparaissant dans ses chairs ; elle écarta un peu les cuisses puis tira à nouveau sur l’élastique, le tissu pénétra dans ses profondeurs intimes pour réapparaître, légèrement humide. Elle ondulait du bassin en m’observant, et je décidai de lui en offrir plus. Ôtant ce qui me restait de frusques, je m’exposai devant elle complètement nu, toujours allongé, lui présentant ma verge tendue et mes couilles gonflées :
Ce disant, elle se rentra complètement le slip dans la chatte, me la dévoilant ainsi en grande partie. Elle écarta encore plus les cuisses et tendit son pubis en avant, se branlant devant moi de plus en plus fort, puis écarta enfin le mince voile, dégageant à ma vue son sexe trempé.
Elle était vraiment très très bandante, j’avais peur que ma bite n’explose tellement elle était tendue, turgescente, les veines saillaient, mon gland me faisait presque mal, il était violacé. Elle commença à passer ses doigts dans sa fente, les entrant puis les ressortant, elle butinait un peu son clitoris au passage, elle était trempée ; elle ne cessait pas de regarder mon membre que je caressais toujours, et dont la vue avait l’air de singulièrement l’exciter aussi.
Elle se pencha alors vers mon visage et, collant ses lèvres aux miennes, glissa subitement sa langue dans ma bouche. Je lui rendis son baiser en mélangeant avidement ma propre langue à la sienne pendant que nos mains cherchaient nos corps et nos sexes. Me caressant le visage et la poitrine d’une main, elle m’attrapa la verge de l’autre, pendant que je glissai mes doigts entre ses cuisses, caressant ses fesses avec mon autre main, les malaxant, avançant vers le bas et remontant en direction de l’anus. Tout en lui léchant carrément la bouche tout entière, je lui branlais le con, y introduisant plusieurs doigts à la fois, et le cul en même temps : à présent, tout était trempé chez elle.
Elle dégrafa son soutien-gorge et mit ses seins sur mon visage – dont je mordillai les bouts au passage – en commençant à m’escalader. S’enfilant sur ma queue, elle se pénétra d’un seul coup à mon grand plaisir, puis commença ses mouvements de va-et-vient, lentement d’abord, et de plus en plus vite, de plus en plus gémissante aussi :
Nos sexes gluaient de foutre, ça dégoulinait sur ses cuisses et sur mon ventre, il y avait un bruit de succion à chacun de ses mouvements. J’étais super excité, je lui malaxais les fesses et sentais de douces parois enfermer, enlacer ma hampe, tout ça glissait tout seul, je sentais le bout de mon gland sur le fond de son vagin lorsqu’elle descendait sur moi, branlant mon instrument, en criant à présent :
Je faillis exploser aussi, mais me retins juste à temps. J’en voulais plus, j’en voulais encore… Elle s’effondra doucement sur moi pendant que je caressais ses seins, l’embrassant à nouveau, lui léchant les joues, le nez, les lèvres, les dents, la langue, introduisant la mienne dans tous les orifices de son visage. Puis je me dégageai de sous elle et l’allongeai mollement sur le ventre, effondrée. Je me redressai et admirai son dos et ses fesses rondes, ses cuisses écartées, j’avais la bite vibrante, tendue de désir. J’envoyai les mains sur ses fesses, les massant, et redescendis vers l’entrecuisse trempé, écartant un peu les cuisses, puis de plus en plus. J’écartai ses fesses, regardai son cul et sa chatte pleine de foutre et posai mon visage entre ses deux globes. Je ne pus empêcher ma langue d’aller, seule, fouiller partout. Je lui léchai le foutre du con, lui léchai le cul, bavant dedans, y introduisant ma langue et revenant vers sa vulve. Elle se remit à onduler du croupion, soulevant son bassin pour mieux s’offrir à mes caresses.
Je bandais trop et ne pus plus tenir : je lui écartelai violemment les cuisses et sa chatte d’une main. J’approchai mon vit de sa vulve et passai le gland luisant sur ses lèvres ouvertes, remontant vers son petit trou plusieurs fois, y ramenant de la sève, le détrempant.
Elle gémit :
Ce disant elle se mit accroupie, tendant les fesses, m’offrant son anus inondé. Je posai le gland à l’entrée et commençai à m’introduire doucement, par petites touches, le bout d’abord, puis la moitié du gland, puis progressivement le tout, presque sans effort. Elle gémissait sous moi :
J’avais la queue à moitié entrée à présent, c’était une sensation délicieuse. J’enfonçai progressivement ma bite entière, jusqu’à ce qu’elle fut engloutie dans ses profondeurs. J’en gémissais moi aussi de plaisir :
Je sortais mon sexe et le réintroduisais.
Et je commençais à y aller de plus en plus fort, lui mettant des coups de boutoir pendant qu’elle criait en secouant la tête. Je lui attrapai les cheveux et les tirai en arrière.
Je ne pouvais plus tenir, je sentais sourdre de mes reins une énorme éjaculation. Je l’enculais tellement que j’avais les couilles contre ses cuisses, mon érection au fond de son sphincter. Je ressortis une dernière fois et la pénétrai enfin à fond d’un coup, sentant venir l’explosion. Des jets de sperme inondèrent son intérieur alors que nous jouissions de concert, mélangeant nos corps et nos mots les plus triviaux…
Nous avions fini par trouver un terrain d’entente : Selon le contexte, les mots n’ont finalement que la valeur qu’on veut bien leur accorder, nous étions à présent bien d’accord là-dessus !