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n° 03321Fiche technique14211 caractères14211
Temps de lecture estimé : 9 mn
26/12/01
Résumé:  Histoire, en deux épisodes, de l'initiation par une prof.
Critères:  fh fplusag frousses profélève piscine voir exhib hmast intermast fellation uro init
Auteur : Kyssmeagain  (Ah! les bonnes choses. Saisissons-les.)      

Série : Tout ce que l'on apprend à l'école

Chapitre 01 / 02
Tout ce que l'on apprend à l'école !



Tout ce que l’on apprend à l’école !!!!


J’avais tout juste 18 ans et venait de rentrer en dernière année d’un nouveau lycée. À l’époque, cette année là s’appelait la rhétorique.

Mes parents, coloniaux (cela se disait encore !) m’avait confié à mes grands-parents pendant leur longue absence. Je m’ennuyais fort avec ces gens, charmants au demeurant, mais peu ouverts à la modernité et à l’éveil des jeunes. Ma scolarité se situait à 200 m de leur domicile, donc pas de sortie pré ou post heures de cours… vite à la maison, sans plus.


C’est comme cela qu’à l’approche de mes 18 ans j’étais encore puceau… eh ! oui. Juste quelques petites caresses et baisers anodins avec des copines de classe et le plaisir solitaire que j’avais découvert quasi par hasard. On était plus prude qu’aujourd’hui et sans Internet et K7, nous n’avions que Ciné-Revue pour fantasmer.


Mes parents revenus après ce que l’on a appelé les " évènements " m’ont évidemment repris avec eux, d’où mon changement d’école.


Mon lycée était un peu le pilote pédagogique de la ville et on y envoyait les meilleurs enseignants. Je m’y sentais à l’aise et enfin libéré d’une tutelle grand-parentale un peu contraignante.


Je sentais en moi un réel éveil et, c’est d’un autre regard que j’examinais les amies de ma mère, de passage à la maison. Mes yeux jaugeaient leur taille, leur poitrine et, furtivement, leurs jambes. Je me demandais tout ce qu’un homme pouvait faire avec un corps de femme.


C’est peu après que j’ai eu l’occasion de voir une femme intégralement nue. Un matin, ouvrant la salle de bain, j’ai aperçu ma mère qui sortait de son bain et s’essuyait. Vision rapide car j’ai immédiatement refermé la porte en m’excusant. J’avais cependant eu le temps d’apercevoir une toison abondante entre les cuisses et une poitrine dont je devinais la texture douce. Cela n’eut aucune conséquence sur ma libido mais, enfin, je savais comment une femme était faite. Lorsque je dis que cela n’a pas eu de conséquence, ce n’est pas tout à fait vrai. En effet, c’est à partir de là que les amies de ma mère, dans mon imagination, étaient surprises nues et peuplaient mes fantasmes masturbatoires. Loin de moi cependant, l’idée de les toucher et encore moins de les déshabiller !! Qui sait cependant, avec le recul des années, si l’une ou l’autre d’entre elles n’avait pas eu envie de me déniaiser. Trop tard….


Au lycée, nous avions une fois par semaine, une séance de piscine. À tour de rôle, un enseignant nous accompagnait. Bien souvent c’était notre prof de psychologie qui se déclarait volontaire car elle adorait nager.


Elle devait avoir quarante ans. Quasi toujours portant une jupe écossaise et un pull ou chemisier, elle avait des lunettes sur des yeux rieurs et une chevelure tirant vers le roux. Légèrement maquillée est n’était nullement sexy et mon inexpérience ne parvenait pas à deviner un corps sous ses vêtements. Son prénom est Véronique.


A la piscine, elle portait un chaste maillot une-pièce, noir et veillait toujours à être à l’eau avant nous. Elle faisait calmement ses longueurs sans trop se préoccuper de nous.


Une après-midi, j’étais le dos aux parois de la piscine, les jambes un peu repliées, et les pieds au sol, lorsque ma prof, un peu essoufflée par ses longueurs de nage, vient se mettre à mes côtés. Elle glissa cependant sur le fond et, en se rattrapant, elle se retrouva collé à moi, presque assise sur mes genoux. Tout cela était bien involontaire … Je lui ai pris la taille pour la remettre d’aplomb. Elle était tout sourire et me dit :


" Ah ! c’est vous, Albert…. Excusez-moi, j’ai perdu l’équilibre.. heureusement que vous étiez là !! "


C’est alors que je me suis aperçu que je n’avais pas lâché sa taille et que dans mon slip, mon sexe réagissait avec vigueur. Ma prof Véronique ne pouvait ignorer cette protubérance puisqu’elle était quasi assise dessus !!

Elle se détacha de moi, toujours souriante, mais avec dans le regard, une lueur que je ne connaissais pas encore et que j’ai eu tout loisir ultérieurement de découvrir auprès de toutes les femmes ayant un besoin d’amour.


Elle continua ensuite à nager comme si de rien n’était.


Revenu dans ma cabine, je n’ai pas pu résister à un long plaisir solitaire avec devant moi, en fantasme, ce corps de prof, évidemment inaccessible.


Pendant la semaine, j’ai regardé Véronique autrement.. mon plaisir était de me l’imaginer donnant son cours de psycho en maillot de bain !! Ah ! la jeunesse d’alors.


Elle était du type déambulant, c’est à dire qu’elle nous parlait en circulant dans la classe. Je n’en étais pas certains mais je crois bien qu’à chaque passage, ses regards s’égarent vers mon entre-jambe où j’entretenais furtivement une érection. Je ne savais même pas ce que c’était de draguer… alors, une prof en plus…je pouvais tout au plus rêver !!


A la séance de piscine suivante, je me suis dépêché de me déshabiller pour être à l’eau avant elle. Je l’ai vu arriver et, sans me gêner, je l’ai regardé ouvertement. Sa poitrine serrée dans ce maillot laissait présumer une certaine abondance de bon aloi. Mon regard descendit vers cette entre-cuisse objet de toutes mes curiosités et j’ai vu alors là un renflement pubien intrigant pour moi. Quelques poils folâtres dépassaient. Ses jambes étaient longues et fines. J’étais bouche-bée comme fasciné, mon émoi était visible, mon slip retenant difficilement ma queue bandée.


Arrivée à ma hauteur, Véronique, très sérieuse, me dit :

" Et bien, mon petit Albert.. qu’est ce qui vous arrive…. Vous n’allez pas nager ? "


Cela m’a fait sortir de mon état second où la vue de son corps m’avait plongé. J’ai rougit comme une gamine surprise en train de mouiller sa culotte et j’ai plongé pour cacher ma protubérance !!!


Après un quart d’heure de nage, je me reposais un peu, mains au bord de la piscine lorsque j’ai été rejoins par ma prof. Nous étions un peu éloignés des autres.


A ma surprise, elle posa la main sur mon entre-jambe et me dit :


" On dirait que cela va mieux, mon petit Albert.. " Mais, comme elle laissait sa main en place, cela n’alla pas mieux et une nouvelle vigueur anima ce que contenait mon slip ! Véronique ne me lâchait pas.


A nouveau, j’ai vu dans ses yeux cette lueur que j’ai vu ensuite souvent dans ma vie sexuelle, dans le regard des femmes en besoin d’amour.


Ma prof ne souriait plus et elle me glissa à l’oreille : " Vous savez, Albert, une enseignante est une femme comme les autres femmes " Ce disant, elle me palpait très doucement, ses yeux rivés dans les miens.


Puis, toujours sans sourire, elle a continué à nager.


J’ai manqué éjaculer.. c’était la première fois qu’une main de femme s’était posée sur mon sexe.


A la fin de la séance de natation, l’enseignant(e) présent donnait un signal. Nous pouvions alors soit nager un peu sans surveillance soit rejoindre les cabines et rentrer chez nous par nos propres moyens. D’habitude, la quasi-totalité des élèves quittaient.


Ce jour là, j’ai décidé de rester encore un peu, d’autant plus que la prof nageait encore aussi. Nous étions seuls dans la piscine. Le personnel commençait déjà les nettoyages des salles diverses.


Je me suis rapproché de Véronique et j’ai osé la prendre par la taille et la tirer vers moi. Comme nous nagions, j’avais mon ventre collé à son dos…. Je n’osais pas faire plus, ayant cependant une envie folle de caresser cette poitrine ou ces fesses à ma portée. Après quelques mètres de nage ensemble, elle se retourna et me dit simplement, dans un souffle : " Viens … "


Nous sommes sortis de l’eau ensemble. Je ne savais pas cacher l’énorme bosse que faisait ma verge dans mon slip. Le gland découvert était prêt à sortir du bord de la ceinture. Ma prof me prit la main et m’entraîna vers sa cabine. C’était une cabine assez grande, servant de vestiaire commun en cas de besoin.

A peine entrée, Véronique me prit le menton et mis ses lèvres sur les miennes pour un doux baiser rapide. J’étais transformé en statue !


Elle me dit : " Tu sais, j’ai envie de toi… je suis sans amour depuis que mon mari m’a quitté, mais maintenant je n’en peux plus. Tu es beau et jeune… je te veux.. "


Je n’ai pu que balbutier : " madame, c’est la première fois.. "


Elle sourit en me disant : " C’est merveilleux.. je serai ton initiatrice. Attention, ce que l’on va faire est grave si cela se sait., je perdrais ma place. Promet-moi de te taire ?"


Je lui fit signe qu’oui.


Elle me demanda si j’avais déjà vu au moins une femme nue. Je lui ai répondu par la négative, omettant l’épisode si bref où j’avais aperçu ma mère.


Véronique s’approcha de moi et fit glisser mon slip sur mes jambes, découvrant ma verge dressée. Elle a eut un cri d’admiration : " Oh ! Que c’est beau cela….c’est à moi maintenant. " Elle commença un long mouvement de va-et-vient qui, si c’était possible, augmenta encore la taille de mon sexe….


Elle s’arrêta et me dit : " Je suis égoïste, je ne pense qu’à moi ….Je vais te montrer ce qu’est une femme … "


Me regardant avec des yeux un peu fous, lentement, comme dans un strip-tease d’un érotisme total, elle a défait les bretelles de son maillot et à fait apparaître ses seins. Mes yeux me sortaient de la tête. Je voyais ainsi, à ma portée, une poitrine que mon inexpérience me faisait qualifier de belle. Effectivement elle avait les seins bien conservés, dans ce début d’abandon des chairs, avec des larges aréoles et au milieu un bouton dressé et dur.


J’ai osé y porter mes mains et, maladroit, j’ai pétrit ces chairs douces et soyeuses qui m’étaient offertes. Ma prof, la tête en arrière, poussait des petits couinements plaintifs qui me faisaient peur mais qui me ravissaient en même temps. Je me doutais bien que c’était mes mains sur son corps qui produisaient cet effet.


Elle continua fébrilement à descendre son maillot, me montrant un ventre rond et puis, suprême vision, cet endroit encore inconnu pour moi qui est le sexe de la femme. Une fois de plus, j’ai du me retenir pour ne pas lancer toute ma jouissance. Je me doutais bien que nous ne faisions que commencer…..


Elle avait une toison rousse très fournie (c’est par après, par comparaison, que j’ai pu m’en rendre compte) avec une pilosité qui remontait en fine mèche vers son nombril.


Nus tous les deux….. nous nous regardions.


Ma prof est venue se coller à moi… mettant sa bouche sur la mienne. Malhabile, j’ai laissé le passage de sa langue et puis, bien vite, notre baiser s’est transformé en un ballet de deux animaux mobiles. J’ai vite compris et nos salives se mélangeaient dans ce tournoiement de nos langues.


Ma main s’est hasardée vers son sexe et j’ai senti toute la douceur de cette toison, sans encore oser pénétré dans cet endroit secret. Mes mains parcouraient vivement tout son corps, ses fesses, ses seins, son dos, ses cuisses comme pour tout connaître bien vite…. Sa bouche restait collée à la mienne jusqu’au moment où Véronique me fit asseoir sur le banc et, à genoux devant moi, prit mon sexe en bouche. Dans mes rêves les plus fous, je n’avais jamais imaginé cela…. C’était doux et sensuel. Je sentais sa langue tournoyer autour de mon gland et puis parcourir la hampe. Lorsque sa bouche vorace s’empara de mes bourses, je n’ai plus pu me retenir et je lui ai lancé de longs jets en essayant d’éviter son visage. Elle ne se déroba pas et, au contraire, essaya que mes saccades aboutissent bien sur elle.


Elle me dit : " Je vais t’apprendre à gâter les femmes et à prendre ton plaisir après elle. Tu es jeune et beau… tu vas plaire…. "


Gamine, elle poussa la pointe d’un sein dans ma bouche et je me mis à le sucer comme si je n’avais fait que cela toute ma vie.


Nous avons encore eu quelques attouchements et baisers fougueux puis ma prof me proposa :


" Si tu as le temps avant de rentrer chez toi, viens prendre une douche chez moi à l’appartement. Ce sera plus confortable qu’ici….. tu veux bien ?? "


Evidemment que je voulais bien !!!! Je ne désirais que cela.


Comme elle voyait que je me trémoussais un peu sans oser rien dire, elle éclata de rire et dit : " Toi, tu dois faire pipi …et tu n’oses pas le dire !! allons, vas-y .. " Elle prit ma verge délicatement et m’engagea à pisser là, sur le sol de la cabine…. J’étais gêné mais j’avais un tel besoin que je me suis laissé aller !!! Ma prof guidait mon jet doré en s’amusant à faire des arabesques au sol. Cette main me fit légèrement bander et réduisit la puissance de mon jet… Il n’en dura que plus longtemps !!


Je n’étais pas à la fin de mes surprises car Véronique s’accroupit devant moi et, elle aussi, fit au sol un gros pipi sonore. J’étais subjugué par ce liquide plein de soleil qui sortait de son entre-jambes et surtout par l’absence de retenue de cette femme qui restait pour moi : ma prof !


Vite habillé l’un et l’autre, comme si nous étions pressé par d’autres plaisirs à venir, nous sommes partis dans la voiture de Véronique, vers son appartement.


Kyssmeagain.


Il s’agit d’une histoire en deux épisodes.