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n° 03358Fiche technique7991 caractères7991
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Temps de lecture estimé : 6 mn
28/10/23
corrigé 28/10/23
Résumé:  Les préliminaires après l'amour.
Critères:  fh intermast cunnilingu anulingus pénétratio fdanus tutu
Auteur : Olivia  (Jeune femme métisse recherchant une correspondance érotique)      
Etoile mauve

Hum ! Tu m’as bien léchée.

Décidément, aujourd’hui, tu as fait tout à l’envers.

Tout à l’heure, à peine rentré de ton jogging, tu m’as prise debout, dans l’entrée. Tu m’as plaquée, le ventre contre la cloison. Tu as soulevé ma robe, écarté ma culotte, et tu es venu d’une seule poussée. J’ai protesté, tu ne m’as pas écouté. Tu m’as baisée tout habillée. Tu tenais mes mains ensemble au-dessus de ma tête. Ton autre bras passé sous mon ventre me forçait à tendre ma croupe pour favoriser ton intrusion. Tes cuisses nues frappaient les miennes. Mes seins s’écrasaient sur le bois qui revêt le mur. J’ai joui, à peine avant toi. Tu t’es répandu en moi en criant ton plaisir.

Comme mes jambes cédaient sous moi, tu m’as prise dans tes bras et déposée dans le canapé. En t-shirt et en chaussettes, je t’adore. Tu m’excites, comme ça, tu le sais. Tu t’es pavané ainsi, allant jusqu’à la salle de bain, pour revenir avec une serviette mouillée d’eau tiède. Tu t’es agenouillé devant moi. Tirant sur ma culotte, tu as délicatement tamponné ma chatte, trempée de ma mouille et de ton foutre. Tu glissais entre mes lèvres, t’appliquant à être aussi doux que tu avais été sauvage dans notre coït.


Tu as introduit tes doigts dans mon vagin, l’ouvrant pour qu’il libère ton foutre. Tu l’as consciencieusement épongé. Tu as terminé ma petite toilette en t’attardant sur mon clitoris gonflé. Puis tu as déposé un baiser sur ma vulve. J’ai abdiqué. Je suis encore troublée par l’orgasme qui m’a chaviré, sous les coups de boutoir de ton ardeur. Mange-moi, mon chéri. Je me sens toute molle. Je veux simplement jouir, d’un doux plaisir qui se formera au creux de mes reins pour exploser comme une bulle sur tes lèvres. Fais-moi reluire, bébé. Suce-moi la moule. Bouffe-moi l’abricot. Déguste-moi la figue. Je me sens toute molle. Je me sens toute liquide, toute crémeuse. Mets ton nez entre mes lèvres. Agace-moi le clitoris. Tu aimes le goût de mon miel ? C’est sucré ou c’est salé ? C’est de la vanille, je suis une Africaine. Mets ta langue dans mon gouffre, je te jute dessus ! Oh…

J’ai joui comme une folle sous ta langue. Tu sais comme j’aime ça. J’ai fermé un instant mes cuisses sur ton visage, presque à t’étouffer, me liquéfiant dans une contraction sur tes lèvres. Pour un peu, je pisserais (et tu sais que je peux le faire).

Puis j’ai échappé à ton étreinte, me tournant sur le ventre, comme épuisée.


Mais si tu me connais bien maintenant, tu sais ce que j’espère.

Tu attrapes un oreiller et le glisses sous mon ventre. Ainsi, mes fesses se soulèvent et s’ouvrent. Tu repousses ma robe sur mes reins. Tu ne vas même pas me déshabiller. Au creux de la vallée qui sépare mes fesses brunes, les poils de ma toison s’estompent. Ma mouille et ta salive mêlées ont trempé le duvet noir qui cerne mon étoile mauve.

Viens conquérir cet astre sombre, si discret, si serré, si étroit pour l’instant. Viens lui apprendre à se détendre, à s’assouplir, à livrer la douceur de sa soie.

Tes mains se posent sur mes fesses rebondies. Tu aimes mes fesses d’Africaine ? Je suis métisse, mais mon derrière est bien de cette moitié éthiopienne dont je suis faite. Elles sont souples, assez fermes, mais tendres sous la main, dociles. Tu peux les écarter sans difficulté. Elles s’ouvrent sur mon secret. Tu pétris un instant leur chair. Tu joues avec leur masse. Tu les rapproches, tu les éloignes. Ces mouvements font naître en moi des vagues de désir. Je miaule un peu.

Alors, je sens la caresse de ton souffle se rapprocher de sa destination. L’air que ta bouche exhale est frais, en comparaison de la chaleur qui règne ici. Tu la sens cette chaleur ? Et mon odeur ? Elle t’excite mon odeur. Je le sais, tu le dis. Je sens la chienne en chaleur !


Mais il faut que tu sois attentif à m’éveiller doucement, à ne pas être trop rapide. Tu repousses la fine bande de ma culotte sur une fesse. Du plat de ta langue, tu me lèches, depuis ma vulve trempée, jusqu’en haut de ma raie. Tu fais cela plusieurs fois. À chaque fois, tu t’attardes un peu plus sur le plissé de mon œillet. Tu formes à cet endroit des bulles de salive. Tu prépares ton exploration. Je miaule un peu plus fort. Tu me demandes si j’aime ça. Je miaule encore. Tu me dis que je suis une cochonne. Tu me dis que tu vas t’occuper de mon gros cul. J’aime bien quand tu dis ça, ça veut dire que tu es diablement excité. Parce que je n’ai pas un gros cul.


Ta langue se fait plus pointue maintenant. Plus dure. Elle remonte une fois encore jusqu’entre mes reins. Tes mains serrent un peu plus fort mes chairs. Tu écartes un peu plus mes fesses. Et tu plonges ta langue entre elles. Tu atteins ton objectif avec précision, dardant une pointe vigoureuse à l’orée de mon anus. Je crie, surprise par cette intrusion subite. Je crie et je t’encourage. Tu me réponds que je suis une salope, que mon cul est un volcan. Oui, viens brûler ta langue dans mon cratère !

Goûte le suc un peu âpre de mon anus ! Tu aimes sa saveur poivrée ? Tu aimes son parfum de cannelle. C’est un peu plus sauvage que la vanille de ma mouille ?

J’ai pris appui sur mes genoux, pour remonter mes fesses, m’ouvrir un peu plus. Les reins cambrés, j’ai tout d’un animal. Je suis une bête avide de plaisir. Mes reins entament la danse de l’amour, celle qui appelle mille caresses audacieuses. Je glisse ma main sur ma chatte trempée, attrape entre le majeur et l’index mon clitoris gonflé, énorme.

Tu es une bête, toi aussi, tu me lèches, tu m’inondes de salive, tu grognes entre mes fesses. Ta bouche fait des bruits obscènes. Oh ! Je suis si excitée ! Tu me manges l’anus, tu me dévastes. Entre mes cuisses, c’est un marécage. Ma main pétrit ma vulve, mes doigts rencontrent ta bouche dévoreuse. Tes mains remontent le long de mes flancs, sous ma robe. Tu viens chercher mes seins, que j’avais habilement oublié d’emballer dans un soutien-gorge. Tu aimes mes gros seins ? Masse, malaxe mes nichons. Triture-moi les pointes.

Ta langue pistonne mon rectum, qui se fait docile maintenant. Mon cul a cessé toute forme de résistance. Je suis une femelle soumise, mets-moi un doigt… S’il te plaît !


J’attrape une de tes mains, je lèche tes doigts, je les enduis de salive.

Tu aimes que je te supplie d’être plus audacieux. Mais tu ne te fais pas prier. Sans cesser de me lécher, tu glisses une phalange mouillée dans mon anneau attendri. Tu la pousses en une seule fois, puis tu la ressors. C’est de la soie, là-dedans, n’est-ce pas ?

Je sais qu’à ce moment-là, tu contemples ton travail. Mon anus reste ouvert un instant. Lorsqu’il fait mine de se refermer, tu reviens plonger ton index… ou ton majeur ? Je ne sais pas, mais comme je ne veux pas de jaloux, je te réclame plus d’ardeur. Tu comprends ?

Pour me calmer, tu n’as pas d’autres alternatives que de m’envahir encore plus. Et tu plonges deux doigts joints dans mon anus, parfaitement huilé par ta salive. Tu les plonges et les tournes dans tous les sens, brisant les dernières rébellions de mes sphincters. Je crie, tu me fais mal.


Tu as bien compris. Et j’ai à nouveau droit à un compliment : je suis une sacrée cochonne, me dis-tu, pour oser réclamer qu’on m’explose le cul. Oui, je veux que tu te fasses plus sauvage, maintenant. Ne vois-tu pas comme mes reins dansent ?

Je me branle, t’espérant plus audacieux encore. Tu es un aventurier, je suis ton terrain inexploré. D’autres sont venus bien sûr, mais toi, tu ne connais pas encore. Lance-toi, je n’ai peur de rien !

Il faut que tu me domptes, il te faut faire preuve d’autorité. Je suis ta pute, tu me le dis. Je suis la meilleure des putes ! Je suis la sœur de toutes les putes que l’on paie pour les défoncer.

Lèche-moi le cul, éclate-le avec tes doigts, tu ne le regretteras pas. Ah ! Oui ! Comme ça, ta langue, tes doigts ! Tu peux tous les mettre, je suis une gourmande !

Ah ! je suis comblée. Je presse ma vulve dans ma main, et je jouis ! Je jouis !

Peut-on jouir ainsi ? Ta main dans mon cul…


Épuisée, je suis épuisée, je m’effondre, je m’écroule, je suis béante, dégoulinante de plaisir.

Salaud !