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n° 03499Fiche technique12219 caractères12219
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Temps de lecture estimé : 9 mn
29/10/23
corrigé 29/10/23
Résumé:  Une histoire simple entre Alexandra la stagiaire et moi, racontée, en toute révérence, à la manière de Frédéric Dard
Critères:  fh collègues travail pénétratio fsodo humour
Auteur : Nounours  (Epicurien, 35 ans)      
La stagiaire, à la manière de...



J’avais eu tort de parler à Patrick de l’effet que me faisait Alexandra, la stagiaire du service depuis trois mois.


Patrick, pourtant pas le dernier à me narrer ses moult conquêtes féminines, voulait me persuader que le sexe dans l’entreprise, c’était rarement bon pour l’évolution des carrières.

Pour ça, il venait de dénicher sur l’intranet de SCMC (Super Consolidated Mega Corporation) le règlement intérieur de l’entreprise et son fameux article 17.


Le pire, c’est que j’étais d’accord avec lui : l’omnipotente radio-moquette est toujours immédiatement au courant de la moindre tentative d’ébauche de début de commencement de relation extra-professionnelle ou amicale entre deux salariés de sexes opposés.

Il faut dire que sur l’alias interne des assistantes, ça y va à tout va : j’en connais qui ont des bases de données comme ça ! Y en a même une qu’on appelle « database », c’est vous dire.


Mais bon, Alexandra, avec son air de pas y toucher, d’innocente vierge (pléonasme), elle me mettait au bord de l’éruption, la stagiaire… Et si ça continuait, j’allai devenir le « Krakatoa » de SCMC, moi, qu’à côté de ça, la tempête de décembre 1999, c’était un doux zéphyr !


Que je vous la décrive, Alexandra : la première fois que je l’ai vu, je suis resté comme une vache admirant son premier TGV. Tout ce que je pouvais faire c’était rester la mâchoire pendante, les mirettes paralysées et popaul dansant la samba dans son caleçon.

En fait, elle était tellement belle que j’en avais mal partout. Alors, allons-y, sortons la machine à adjectif, l’imprimeuse à superlatifs : elle avait tout, mais en mieux !

Une paire de seins taillés en poire et sculptés par un pull col-roulé qu’on aurait dit moulé sur elle avec une vertigineuse décroissance des mensurations entre les 95 bien sonnés du haut et les 60 maxi du milieu. Et des jambes… Ah là, là, ces jambes ! Qui c’est Mary Quant ? Parce que la mini-jupe, y a qu’Alexandra qui pouvait l’avoir inventé, tellement ça semblait immédiatement évident que ce bout de tissu soit fait pour révéler de telles jambes, allongées, soyeuses, fines.

Elle est châtain clair, à reflets un peu cuivrés, et ses cheveux tombent loin dans son dos, révélant les formes délicieusement rebondies, véritable appel au crime de Sodome, de ses fesses.

Mais, le plus mieux, l’extratop, c’est son regard. Bleu puis vert ou alors gris, toutes les couleurs de la mer y passent dans ses yeux délicatement ourlés de longs cils.


Mais je digresse, là.


Je lui ai dit à Patrick :



Le lendemain, je me suis offert un ravalement de façade : rasé de près, liquette ultra clean parfumée à l’eau de toilette, dents blanchies au polissoir et haleine de conquérant, j’attends la venue de ma déesse.

Et là, re-coup en plein bide.

Il fait beau (on est fin juin) et la donzelle a sorti l’artillerie lourde. Elle porte un bustier blanc qui la dégage à partir de l’estomac. Au milieu de son ventre plat, son nombril brille de mille feux : la demoiselle est piercée, et un diamant s’expose au milieu de ce puits de velours. En dessous, la mini-jupe coordonnée semble peinte sur son corps, tellement elle est ajustée.

Dans mon dockers trop serré, un missile de croisière vient de se placer sur sa rampe de lancement.


Toute la journée, je sais pas comment oser l’aborder. Enfin, vers les cinq heures, juste avant qu’elle parte en week-end, idée de génie (sans bouillir) :



Au moins, c’est un avantage des stagiaires, normalement, ils répondent jamais non.


Ça marche :



J’en profite pour la faire marner, attendant que petit à petit le service se vide pour qu’on se retrouve en tête-à-tête.

Je l’observe en douce. Elle est devant son PC et visiblement elle a trouvé des trucs marrants sur Internet, vu les bruits qui sortent des enceintes.


Enfin, seuls !

Je lance l’impression du PowerPoint et je m’approche d’elle. Absorbée, elle m’a pas vu arriver. Elle est sur un jeu ou avec la souris, on doit lancer des tartes à la crème sur Guillaume Portes, le patron de la « Univers Warner Fox ».



Nous voilà rendus dans la salle de repro. Les machines ont dû tourner toute la journée, il fait une chaleur d’enfer dans la pièce.



Je rêve ou y a comme un sous-entendu dans sa remarque ? Allez, vas-y, Antoine, embraye ! (Au fait, je vous avais pas dit : je m’appelle Antoine.)


Depuis qu’on est entré dans la salle, Alex me considère à la dérobée, mais avec intérêt. Je tente de lui sortir mon sourire primé au concours du plus beau bébé de Gonfreville-les-Gonesse, mais mes yeux se portent toujours, comme aimantés, sur le diamant de son nombril.

Pas bête, elle suit mon regard et me lance :



Gentille, avec ça !



Ça y est, je me suis lâché. Espérons qu’elle ne connaisse pas l’article 17…



Mais elle m’aguiche la mignonnette…

J’obtempère illico et me retrouve accroupi devant la demoiselle qui s’appuie nonchalamment sur l’une des photocopieuses.

Il est vraiment gros, son diamant, il a dû coûter bonbon.



C’est étrange, tout à coup, un baobab vient de pousser dans mon pantalon.


Après avoir fermé la porte, elle est revenue vers moi, et voilà-t-il pas qu’elle se colle à moi, noue ses bras à mon cou et se met à m’humecter sauvagement les amygdales.

Si je m’attendais à ça ! J’en reste tout ébaubi.


Ne voulant pas être en reste, j’envoie ma main en éclaireuse vers sa mini-jupe et passe dessous : mince ! Elle a pas de culotte ! Elle avait donc tout prémédité.



Et elle en profite pour se décoller de moi, et se débarrasser en deux temps, trois mouvements du bustier et de la mini-jupe qui volent sur les imprimantes. Nue ! Elle est complètement nue, voire même absolument nue, car la donzelle est intégralement épilée. Entre son diamant ombilical et le renflement de ses grandes lèvres où se niche son clitoris, la peau est totalement glabre et, comme je le vérifie immédiatement avec ma main, particulièrement soyeuse. Par contre, un peu plus bas, c’est une véritable fontaine.


Je me désape aussi vite que possible (mais les fringues de mec, c’est pas aussi facile à enlever, y a des tas de boutons) et je me retrouve à poil également.

Un doute m’étreint :



Me voilà soulagé, au moins, je suis sûr de pas être passé après Patrick, le Don Juan de service…



Docile, je m’assieds et elle entreprend une fellation qui m’en dit long sur l’étendue de son expérience.

Elle a à peine commencé que déjà, je suis satellisé et, ébullition oblige, je lui dis :



Elle s’allonge alors sur la Kodak 680, un monstre de la reprographie qui fait bien trois mètres de long, le dos sur la vitre, elle a les fesses sur le rebord de la machine et elle écarte les jambes, totalement impudique.



Je m’exécute.

Elle a un abricot juteux à souhait, d’un goût suave.

De ma langue je lui turlupine le bouton d’amour pendant que j’insère mes doigts dans sa grotte mystérieuse, couleur corail.

Elle geint d’une manière ensorcelante. Encouragé, je lui vrille le clitoris avec la langue pendant qu’ayant soigneusement lubrifié mon index, je le lui enfonce doucement dans l’anus. J’alterne les mouvements tournants autour du clito avec les grands coups de langues voraces s’enfonçant de plus en plus loin dans son vagin. Mon index est vite rejoint par le majeur et ils entament une danse endiablée dans son fondement.

C’est plus des plaintes qu’elle exhale, mais des cris qu’elle pousse !


N’en pouvant plus, je me redresse et d’un long mouvement, je lui enfonce toute la longueur de mon mat dans la chatte.


J’entreprends alors les travaux d’Hercule. Chacun de mes coups de reins la déplace de dix centimètres sur le photocopieur qui, avec nos mouvements, se met en marche et photocopie les fesses de ma belle en rafale.



Complètement emmanchés, nous sommes soudés l’un à l’autre et je rythme mes coups de mandrins sur la cadence ultrarapide du monstre de plastique qui abrite nos amours.


Soulevant complètement le capot, je retourne Alex qui s’allonge, ses seins venant s’écraser sur la vitre et immédiatement photocopiés par la machine en folie. Ses jambes sont splendidement écartées et dans cette nouvelle position, sa croupe est encore plus belle, avec son abricot de velours surmonté de cet irrésistible œillet plissé, véritable pousse-au-crime pour mes mœurs sodomites.



Ahhh, la brave petite !

Aimable jusqu’au bout, j’insère doucement la tête de ma bite dans son anus et voyant que la résistance y est très faible, je m’y enfonce irrémédiablement jusqu’à la garde.

Alexandra lance des feulements d’une sauvagerie extrême.

Notre séance de photocopiage se poursuit pendant de longues minutes indicibles.


Enfin, c’est l’explosion ! Le volcan éructe, le geyser explose, toute ma sauce tapisse le fond de son anus pendant que je m’affale sur son dos, mort d’épuisement.

Elle geint faiblement, tellement sa pâmoison a été intense.

Je lui susurre de langoureux et peu vigoureux merci, auxquels elle ne répond que par d’autres gémissements.

Parcourue de grands frissons, elle n’en reste pas moins continuellement photocopiée, format A3. Penchant la tête, je peux apercevoir la pile de photocopies, images sans mouvement de notre rut en photocopieuse majeure.


Prestement, nous nous rhabillons, et nous mettons à faire ce que nous étions venus faire ici : des photocopies de ma présentation.

Pendant que je suis occupé avec la machine qui assemble et agrafe les feuilles, Alexandra lit un document affiché au mur, dans le panneau réservé aux syndicats.