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n° 03507Fiche technique20228 caractères20228
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Temps de lecture estimé : 14 mn
02/11/23
corrigé 02/11/23
Résumé:  Metz... le vieux centre ville, près de la place St Louis. C'est là que je me suis assis un petit moment, à l'abri d'une arcade de pierre.
Critères:  fh magasin voir exhib lingerie intermast facial fellation cunnilingu pénétratio essayage
Auteur : Rune33      
La lingerie de Metz

Metz… Le vieux centre-ville, près de la place Saint-Louis. C’est là que je me suis assis un petit moment, à l’abri d’une arcade de pierre. Les passants, les oiseaux, les voitures qui vont et viennent, le soleil, le vent… tout est spectacle pour mes yeux d’enfant.


Je me laisse bercer par cette ambiance simple qui me pénètre doucement, me rappelant des souvenirs enfouis, des images que j’avais crues perdues. Je les laisse se frayer un chemin à travers les méandres, l’écorce de mon esprit.


Ainsi, il y a un an, j’étais en ce lieu. Je ne m’étais pas attardé sur cette place. C’est à peine si je l’avais remarquée… pourtant elle aurait mérité toute mon attention. C’était l’hiver, un jour de janvier, et il pleuvait.


J’étais venu retrouver une femme… une femme que je n’avais jamais vue. Une femme qui était avant tout pour moi une voix d’enfant, des mots… une voix et des mots qui dessinent une personnalité, une histoire… des sentiments. Tout cela avait suffi à m’envoûter, à m’émouvoir, et je n’avais qu’une envie : la retrouver.


Nous nous étions rencontrés sur un chat sur le net, puis nos voix se sont rencontrées au téléphone et la magie de nos conversations confondait mon cœur, mon corps et mon esprit. Puis j’avais pris le train pour Metz et nous nous étions retrouvés.



***



Dans la rue de La Goutte d’Or, je passe devant une charmante boutique de lingerie féminine et je reste admiratif quelques minutes, comme un enfant ébahi devant les lumières colorées d’un sapin de Noël.


Continuant mon chemin à travers les rues piétonnes, j’arrive enfin devant un grand magasin, le but de ma pérégrination. Je traverse le rayon des parfums. Des senteurs musquées pénètrent mes narines, m’enivrent… chavirent déjà mes sens.


Au premier étage, le rayon lingerie. Pas grand monde, et pourtant ce sont les soldes. J’erre à travers les rayons, comme un enfant dans un magasin de jouets. Tant de parures charmantes, soyeuses, colorées. De la dentelle… les doigts qui courent à travers les motifs et les tatouages des soutiens-gorge, des strings… des porte-jarretelles et des bas résille. Tout le mystère de la femme… tout le paradis de l’homme se déploie devant mes yeux émerveillés.



Je me retourne. Ses cheveux blonds garnis de mèches sont coupés court. Ils garnissent son visage tel un écrin, avec pour trésor des yeux magnifiques à la couleur insaisissable… bleus, gris ou bien peut-être verts : un mystère qui me laisse béat et presque rougissant. Un petit nez. Des lèvres sensuelles, pulpeuses, voraces… une bouche qui vous absorbe, qui vous mord. Joli visage, maquillé, un rouge à lèvres cerise… le visage d’une femme, avec une voix d’enfant… mais où suis-je déjà ?


Elle est grande. Son corps respire la féminité… le corps plein de santé d’une femelle énergique et insatiable. Sa poitrine est magnifique, de vrais obus de chair pointés telles des armes vers mon torse… l’ouverture de son décolleté me laisse apercevoir leur forme généreuse, pleine… une irrésistible tentation… une incroyable envie de toucher, de lécher, de mordiller et de se perdre.


Ses formes sont pleines, charnues, incroyablement sensuelles. Une peau blanche, laiteuse et parfumée. Elle dégage une sexualité appétissante, passionnante et je sens mon corps trembler et se tendre de désir.


Revenant doucement à moi, je relève mon regard vers le sien. Elle semble n’avoir rien perdu de mon observation minutieuse de son anatomie et me sourit adorablement. Je parviens à bredouiller non sans peine :



Mes yeux ne peuvent s’empêcher de parcourir les courbes enivrantes de son corps. Ses seins majestueux… la courbure de ses hanches… ses jambes. Je me force à la regarder de nouveau dans les yeux. Ces yeux magnifiques de caméléon… aux couleurs changeantes. Elle me sourit.



Me prenant par le bras, elle m’entraîne à travers le rayon, sélectionnant au passage quelques parures, toutes les plus affolantes les unes que les autres… une nuisette de soie rouge… pour m’amener devant une porte qu’elle ouvre avec une clé. Nous entrons… elle referme derrière elle… à clé.


Drôle de salle d’essayage…



Mon dieu… j’ai dû mal entendre… cette superbe créature me propose d’essayer des modèles de lingerie pour moi. Soit, je suis en train de rêver… soit, j’ai une vraie veine de cocu.



Elle s’avance jusqu’à une armoire et en sort un verre et une bouteille. Sa robe courte dévoile ses jambes gainées de bas résille noirs… ses pieds chaussés de hauts talons noirs… je suis aux anges.


Elle revient vers moi, un air amusé dans le regard. Elle me tend le verre et se penche vers moi pour me servir. My god… quelle vision ! Deux globes de chair crémeux s’offrent à mon regard… un sillon étroit… un décolleté à faire bander un eunuque ! Je suis raide comme une barre d’acier… ma queue me fait mal tellement elle se sent à l’étroit dans mon pantalon.


Je la regarde. Ses yeux restent longuement rivés sur la bosse qui déforme mon froc. Elle se lèche les lèvres, puis me regarde en souriant. Si ça continue, je ne réponds plus de rien…



Elle se dirige derrière un paravent, alors que je goûte mon Bourbon et essaye vainement de débander. J’entends le froissement de ses vêtements et l’imagine nue derrière le paravent. Puis, je vois sa main poser sa robe noire tandis qu’elle attrape la nuisette rouge.


Mais, qu’est-ce que je fais là, déjà… ? Est-ce que je rêve ? Je me pince le bras, mais rien n’y fait… je ne me réveille pas.


Et puis voilà qu’elle réapparaît, sortant de derrière le paravent et marchant vers moi…


HAOUU ! Quelle vision sublime ! Elle marche doucement jusqu’au centre de la pièce. La nuisette en soie rouge, presque transparente, flotte gracieusement autour de ses hanches. Ses seins généreux, libres d’entraves, gonflent le tissu soyeux… ses tétons durs bien visibles à travers la fine étoffe. Mes yeux s’aventurent plus bas vers ses hanches que la nuisette recouvre à peine. Ses jambes sont nues… délicieuses. Elle effectue une pirouette et je peux apercevoir un string de dentelle blanche qui dessine magnifiquement ses fesses.



Mes yeux restent fixés sur elle tandis qu’elle marche autour de la table pour venir se tenir juste en face de moi. Je la regarde avec un énorme sourire… complètement captivé.



Elle se baisse vers moi, prend ma main et la place sur le bord de la nuisette… la soie glisse sur mes doigts… c’est grisant !



Et, tandis qu’elle prononce ces mots, elle s’assied soudain sur mes genoux. Ma main vient soutenir son dos.



Elle glousse en ramenant ses fesses sur mon membre dur qu’elle frotte à travers l’étoffe du pantalon. Il n’y a plus de doute possible sur mon excitation… elle sait que je la veux et elle sourit.


Elle se relève prestement et se dirige vers le paravent.



Et sur ces mots, elle disparaît derrière le paravent me laissant à mon Bourbon et à ma queue dure comme du bois, que je sens palpiter dans mon froc.


Agité comme un lion, je bouge dans le fauteuil et essaye d’atteindre ma queue pour ajuster sa position dans mon pantalon. Inutile, semble-t-il… si c’est encore possible, je sens ma bite se raidir encore davantage entre mes doigts et, juste à ce moment-là, elle surgit à nouveau de derrière le paravent. J’essaye d’enlever rapidement ma main de mon froc, mais pas avant qu’elle ne se rende compte de mon manège.



Oh bon Dieu. Elle porte un bustier blanc sans bretelles avec des jarretières blanches, des bas transparents écrus et un string blanc. Et elle m’invite à lui montrer ma queue !


Complètement hypnotisé, je me lève comme dans un rêve et enlève mon pantalon et mon slip, les arrachant presque de moi. Ses yeux se posent sur mon membre, dur, palpitant, roide et gluant de liquide séminal. Elle lèche consciencieusement ses lèvres en ne quittant pas ma bite du regard.



Rougissant, je ne peux détacher mes yeux de son corps superbe, inondé de lumière blanche, qui s’avance lentement vers moi. Instinctivement, ma main descend vers ma queue que je commence à branler en la regardant s’approcher. Elle effectue une nouvelle pirouette, posant pour moi… me faisant admirer ses formes tandis que je continue à me caresser et que le liquide cristallin continue à sourdre de mon gland violacé.



Ses magnifiques yeux me regardent, puis, lentement, délibérément, elle porte son regard vers mon érection.



Regardant fixement ma queue, elle se laisse glisser à genoux entre mes jambes. Je continue à faire coulisser ma main de haut en bas sur toute longueur de ma tige… elle devient de plus en plus dure, grosse et fière tandis que je regarde cette femme magnifique agenouillée devant moi.


Son visage à quelques centimètres de mon membre gonflé. Je peux sentir son souffle sur mon gland tandis que le liquide séminal continue à couler sur mon membre.



Je ne pense plus vraiment à rien en ce moment et certainement pas à mon amie. Je pense juste à la chance fantastique que j’ai de me trouver là avec cette déesse.


Elle tend sa main droite vers moi… son index touche doucement mes couilles, remonte le long de ma tige… pour finir sur le gland, qu’elle entreprend de caresser… juste la pulpe du doigt… Elle retire son doigt trempé de mouille masculine… le regarde longuement… avant de me regarder à nouveau. Ses yeux bleu-vert… une lueur perverse y brille, tandis qu’elle ramène son doigt à ses lèvres et promène le bout de son doigt autour de ses lèvres… les faisant luire sous la lumière… les faisant mouiller de moi. Sa langue s’insinue entre ses lèvres pour lécher son doigt. Puis elle entrouvre ses lèvres… suce son doigt… pour ne pas en laisser une goutte.


Je la regarde, béat d’admiration, ma queue tremblante d’émotions devant cette superbe femme qui se délecte de ma mouille.



Lentement, elle se relève.



Je soupire profondément, tandis qu’elle s’en retourne derrière le paravent. Je bois un peu de Bourbon, me demandant combien de temps je pourrais encore résister à cette affolante donzelle. Après quelques minutes, elle dit :



Pour être prêt, je le suis. Et je manque de jouir en la voyant sortir à nouveau de derrière le paravent… de hauts talons noirs avec des lanières enserrant ses chevilles, des bas noirs remontant le long de ses délicieuses jambes, un porte-jarretelles noir, un magnifique slip brésilien ouvert laissant deviner les plis charmants de ses lèvres roses duvetées de poils blonds et un soutien-gorge noir, transparent, au moins deux tailles trop petit pour sa magnifique et plantureuse poitrine.


Elle s’arrête à quelques pas de moi.



Le souffle coupé, je parviens néanmoins à bredouiller :



Ma main fébrile continue à courir le long de mon manche surchauffé.


Me faisant face à nouveau, elle caresse ses seins opulents, les soulève en me regardant, les serre dans ses mains. Une main descend vers son entrecuisse, caresse son coquillage et, en un rien de temps, je la vois se tordre et jouir en gémissant doucement.


Franchissant le pas qui nous sépare, elle s’accroupit au-dessus de mes cuisses, son minou bien visible et humide à quelques centimètres de ma pauvre queue folle de désir. Ses seins volumineux au niveau de mon visage… Incapable de résister, je les saisis dans mes mains, les caresse doucement, les pétris avec plus de force en agaçant les pointes dures… puis descends le soutien-gorge en dessous de ces magnifiques obus de chair. Mes bras l’enveloppent tandis que mon visage vient s’enfouir entre ses seins. Doucement, les lèvres de son minou, luisantes de mouille, frottent mon gland huileux… Elle descend vers moi… m’accueille inexorablement dans sa douce et infernale fournaise… si lentement… Sa chatte me serre… Elle m’avale petit à petit… si doucement… jusqu’à ce que son con mouillé, brûlant, serré, m’absorbe totalement.


Elle se met aussitôt à gémir… son corps saisi de convulsion… la tête renversée en arrière… ses seins majestueux étouffant mon visage. Sa chatte serrée autour de mon membre comme un poing ne me laisse pas bouger, me garde au plus profond d’elle.


Mes mains sur ses hanches, je la laisse lentement monter et descendre… monter et descendre sur ma grosse queue roide.



Encore et encore, je l’enfourne vigoureusement, profitant de chacun de ses mouvements pour mieux l’empaler sur mon membre dur. Ses fesses battent contre mes cuisses, poussant fermement contre moi, à la rencontre de ma bite en feu. Je suce, lèche ses gros seins tandis qu’elle me baise. Ma queue bande, vibre dans sa conque humide, huileuse, chaude, incroyablement douce et soyeuse.



J’empoigne ses seins, ma tête enfouie dans leur magnifique opulence… Ma verge la fourre comme un bélier de guerre… Elle jouit sur moi en gémissant… gardant ma bite au tréfonds d’elle, dans l’étau brûlant de son intimité.


Je la relève, la plaque, le ventre contre la table. Mon mandrin se promène sur ses fesses, le gland caresse ses grosses lèvres humides comme un pinceau, avant de pousser le gland à l’orée de sa chatte trempée. Je pousse mon gland violacé à l’intérieur, puis me retire.



J’avance de nouveau mon gland près de son ouverture suintante… et cette fois, d’une poussée vigoureuse, je m’introduis entièrement en elle. Les lèvres de sa chatte m’agrippent. Je commence à la limer doucement, entrant à fond, puis ressortant presque complètement avant de replonger au fond d’elle.



C’est exactement ce que je fais. J’enfonce ma queue encore et encore dans sa chatte… Elle jouit… et jouit autour de moi… serrant ma queue comme un écrou autour d’une visse.



Je continue à la pilonner rudement, jusqu’à sentir à nouveau sa vulve se contracter convulsivement autour de ma verge… son corps entier tremblant de plaisir. Je sens mon propre orgasme venir et le lui dis.



Elle retire la soie rouge et rapproche son visage de ma queue. Entrouvrant ses lèvres, elle engloutit mon gland dans sa bouche nappée de salive chaude et continue à m’aspirer. À m’aspirer goulûment… centimètre par centimètre… dans sa gorge brûlante.



Elle continue à m’avaler, à me prendre au fond de sa gorge jusqu’à ce que ses lèvres touchent finalement mon pubis.



Elle fait doucement glisser ses lèvres et sa langue sur mon frein, puis redescend rapidement pour m’engouffrer de nouveau en entier. Mes mains serrant ses cheveux, j’entreprends de baiser sa bouche avec ma queue… m’enfonçant dans sa gorge encore et encore… jusqu’à ce que je me sente prêt à exploser.



Elle se retire rapidement, tandis que je continue à éjaculer.



Ma queue crache des jets de sperme sirupeux qui atteignent son visage, ses lèvres, ses seins… je n’en finis pas de jouir sur elle, tandis qu’elle caresse son clitoris et se met à jouir simultanément en me regardant.


Agenouillée devant moi, elle engouffre de nouveau mon sexe dans sa bouche et aspire les dernières giclées de mon foutre au fond de sa gorge. Elle continue de me sucer… déterminée à ne pas perdre une goutte de moi. Finalement, elle laisse ma queue, à présent ramollie, sortir de sa délicieuse bouche.


Se penchant en arrière, elle prend le bustier et s’en sert pour essuyer le sperme qui recouvre ses seins. Elle me regarde en souriant… puis elle rapproche le bustier de ses lèvres et se met à lécher le foutre qui le recouvre.



Affalé dans mon fauteuil, je reste bouche bée devant cette superbe et chaude femelle.



Cessant de me regarder, elle laisse lentement ses yeux glisser vers le bas pour voir la queue toujours dure que je caresse entre mes doigts.



Je souris en pensant à cette femme à moitié nue, couverte de sperme, sur le point de surgir dans le rayon lingerie d’un grand magasin plein de monde et… je suis impatient qu’elle revienne pour voir ce que peuvent offrir les nouveaux modèles.