n° 03544 | Fiche technique | 22227 caractères | 22227 3708 Temps de lecture estimé : 15 mn |
07/11/23 corrigé 07/11/23 |
Résumé: Un texte banal, prétexte pour placer 27 contrepétries | ||||
Critères: fh fellation pénétratio fsodo | ||||
Auteur : Nounours (Epicurien, 35 ans) |
Pour être très honnête, l’histoire ci-dessous n’est qu’un prétexte. En effet, je me suis amusé à glisser vingt-sept contrepèteries plus ou moins érotiques dans le texte. À vous, chers lecteurs, de les trouver.
Le même texte est retranscrit ci-dessous, avec les contrepèteries solutionnées.
Peut-être avec ce texte pourrais-je passer à la postérité (ou mieux, hériter à la poste) : je sens que mon Génie va percer !
Bonne lecture…
Je fus surpris : la comtesse de La Mite de Mésabit ne m’avait pas appelé depuis bien longtemps.
De fait, la comtesse était très jeune d’esprit ; jeune veuve, elle adorait les nuls !
Je lui répondis :
Elle poursuivit :
Étrangement, la comtesse adorait déménager. Que de gîtes cette femme habita !
Je lui répondis :
Cosette, c’était sa bonne.
Je me préparai et je partis très tôt. En fait, j’aimais bien ce boulevard ; on y trouvait des vendeuses pétillantes qui proposaient de superbes fripes ; moi qui étais un épicurien à la recherche des sources du bonheur, qu’est-ce que j’ai pu déceler comme jolies demoiselles dans ces boutiques !
Enfin, j’arrivai devant son immeuble. Je passai la loge du concierge qui me héla durement :
On reconnaît les concierges à leur avidité, aussi lui demandai-je l’étage de la comtesse en lui glissant quelques euros dans la main.
Après qu’il m’eût indiqué l’étage, je montai et sonnai à la porte du duplex de la comtesse. Cosette, la bonne vint m’ouvrir et m’amena dans le salon.
La comtesse me répondit :
De fait, Cosette nous apporta un énorme saladier de moules marinières qui sentait vraiment bon.
Bonne de la Comtesse, Cosette était une superbe jeune femme d’une trentaine d’années, avec des rondeurs placées où il fallait et que j’ai toujours regardée avec gourmandise, m’imaginant allongé contre son corps voluptueux. De manière amusante, elle portait des tresses comme une petite fille de bonne famille.
Elle annonça le plat :
D’où venait cette lueur égrillarde que j’ai cru lire dans ces yeux ?
Nous dégustions donc les moules avec la bonne qui s’était jointe à nous, puis arrivèrent les tomates farcies.
C’était vrai que la farce était excellente, et le petit vin aidant, je me laissai à imaginer la charmante bonne se levant et entamant un striptease rien que pour mes yeux. Dans quelle extase je serais… !
La comtesse me ramena à la réalité :
Je rétorquai :
Après ce dessert, Cosette nous offrit son jus, un café en provenance d’Afrique noire, au goût très corsé.
La comtesse :
Mon sexe se dressa dans mon pantalon rien qu’à ce souvenir.
Cosette, qui n’avait pas ses yeux dans sa poche, remarqua la bosse qui déformait mon pantalon et me fit un clin d’œil des plus vicieux. J’en restai comme deux ronds de flans.
Aurais-je une ouverture avec la charmante enfant ?
S’approchant de moi pour me resservir du café, elle en renversa malencontreusement sur mon pantalon.
Je regardai la comtesse pour quêter son approbation, mais je m’aperçus qu’avec la torpeur ambiante, elle s’était assoupie dans son fauteuil. Je pensai en moi-même : « À quoi bon me pousser pour que je vous trompe, Comtesse ! »
Je suivis donc Cosette. Elle monta à l’étage supérieur et, ouvrant une porte, elle entra dans la lingerie où j’entrai également. Elle referma la porte derrière moi et y mit un tour de clé.
Ceci fait, elle se retourna et, se collant à moi, elle m’embrassa à pleine bouche, promenant ses doigts sur ma verge qui continuait à tendre la toile de mon pantalon.
Je me retrouvai ainsi en caleçon et chemise devant la bonne qui s’empressait de laisser tomber à ses pieds sa robe de soubrette. Quelle surprise ! Sous cette robe qui remontait jusqu’au cou, elle ne portait pas de soutien-gorge.
Ses seins étaient magnifiques, en forme de poire, avec une large aréole plus foncée. Abaissant mon visage, j’aspirai entre mes lèvres la pointe des seins tout en les caressant de mes deux mains.
Cosette n’était plus vêtue que d’un mignon slip brésilien en satin blanc. Je le saisis des deux côtés et, au lieu de le faire descendre, je tirai dessus légèrement. De cette manière, l’étoffe du slip s’insinua entre les grandes lèvres du sexe de Cosette.
Elle se tourna et dévoila ses fesses largement exposées, le tissu de la culotte partageant nettement les deux globes bien fermes en s’enfonçant dans le sillon.
Je la débarrassai alors de son slip, le rejetant après en avoir humé le parfum. Elle fit de même avec mon caleçon.
De la main droite, je remontai le long de la jambe de Cosette puis, frôlant l’intérieur des cuisses, je ralentis mon parcours et continuai de monter jusqu’à toucher les poils de son sexe. Là, je glissai la main derrière les reins de la bonne pour redescendre jusqu’à la raie des fesses.
Lentement, très lentement, je passai mes doigts sur son anus.
Elle se déplaça légèrement pour me faciliter l’accès et j’en profitai pour écarter les grandes lèvres de son vagin, découvrant un clitoris déjà durci. J’introduisis alors un doigt et pénétrai une grotte douce, chaude, humide où mon index glissa facilement.
Maintenant, le doigt à l’intérieur de sa chatte, je fis glisser le pouce jusqu’à son anus où je m’arrêtai quelques instants. Cosette n’ayant aucune réaction négative, j’accentuai la pression de mon pouce qui doucement pénétra dans le cul ainsi offert. En gémissant, Cosette poussa ses fesses vers moi, secrète invite à la pénétrer plus en profondeur. J’alternai ainsi doucement la pression de mes deux doigts, les amenant à se toucher à travers les muqueuses qui les séparaient.
Se courbant en deux, Cosette prit alors ma verge et la glissa dans sa bouche.
Elle entama alors une superbe fellation, puis, se relevant, elle s’accouda sur la planche à repasser :
J’obtempérai et enfonçai la totalité de ma verge dans le vagin de Cosette qui se mit à gémir doucement.
Petit à petit, j’accélérai, la possédant à grands coups de reins. Je la possédai profondément, la consommai sans modération, son vagin ruisselant représentant l’Eden rêvé depuis si longtemps. Cosette m’aida en coulissant le long de mon sexe qui la labourait, appréciant visiblement ce déchaînement, cette possession sans merci de son intimité.
Je portai alors un doigt à ma bouche pour l’enduire de salive et le positionnai sur le petit œillet plissé de son anus. À ce contact, la seule réaction de Cosette fut de gémir un peu plus fort.
Encouragé, j’enfonçai lentement le doigt dans son anus et assouplis petit à petit le passage, le préparant pour assouvir un ultime fantasme entre ses fesses charnues.
La phrase de Cosette n’est pas tombée dans l’oreille d’un sourd.
Je saisis les globes de ses fesses à pleine main, les écartai et admirai le petit trou qui palpitait dans l’attente de ce qui allait suivre.
Je présentai alors mon sexe à l’entrée de l’étroit passage. Le gland entra aisément, et je n’eus plus qu’à pousser avec beaucoup de douceur. Cosette m’aida en écartant ses fesses avec les mains ; elle poussa même dans l’autre sens pour faciliter la pénétration. Petit à petit, l’anneau anal coulissa le long de ma verge et, enfin emmanché jusqu’au bout, mes testicules vinrent buter contre ses fesses.
Mais dites donc, Cosette se lâchait. Voilà qui n’était pas pour me déplaire.
Doucement, je ressortis ma verge, sans problème. Je poussai à nouveau et m’enfonçai aussi facilement. Je commençai alors un lent va-et-vient, appréciant la pression de l’anneau sur ma verge. Je ressortis intégralement et regardai cet anus qui pendant un instant resta béant, puis je replongeai dès qu’il commença à se refermer.
Sur le mur en face de nous se trouvait un miroir où je pouvais voir Cosette, les yeux fermés, totalement abandonnée à ce sexe qui lui fouaillait le fondement. Ses tresses s’agitaient dans le même rythme. J’aimais ce rythme fou de ses tresses. Elle gémit doucement, porta la main à son clitoris et se masturba d’abord lentement, puis de plus en plus frénétiquement.
Je sentais que le plaisir montait en moi, mais, gentleman, je désirais que la bonne jouisse en même temps que moi. Je sentis pourtant mon sexe se tendre : je n’allais pas pouvoir tenir plus longtemps, je devais éjaculer !
Je déversai alors de longs jets crémeux dans les entrailles de Cosette. Cette éjaculation provoqua l’orgasme immédiat de Cosette qui s’effondra sur la planche à repasser, anéantie par cette jouissance.
J’achevai de me vider et mon sexe ramollit petit à petit, serré de plus en plus fort par les muscles internes de Cosette. Je retirai enfin mon sexe, content de son sort, mais lessivé, la mine piteuse.
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La même histoire, avec en gras les syllabes à intervertir :
CONtent de son SORT
Je fus surpris : la comtesse de La Mite de MésaBit ne m’avait pas appelé depuis bien longtemps.
De fait, la comtesse était très jeune d’esprit ; jeune vEUve, elle adorait les nULs !
Je lui répondis :
Elle poursuivit :
Étrangement, la comtesse adorait déménager. Que de GÎtes cette femme haBIta !
Je lui répondis :
Cosette, c’était sa bonne.
Je me préparai et je partis très tôt. En fait, j’aimais bien ce boulevard ; on y trouvait des vendeuses Pétillantes qui proposaient de superbes FRipes ; moi qui étais un épicurien à la recherche des sources du bonheur, qu’est-ce que j’ai PU DEceler comme jolies demoiselles dans ces boutiques !
Enfin, j’arrivai devant son immeuble. Je passai la loge du concierge qui me héla durement :
On reconnaît les conCierges à leur aVidité, aussi lui demandai-je l’étage de la comtesse en lui glissant quelques euros dans la main.
Après qu’il m’eût indiqué l’étage, je montai et sonnai à la porte du duplex de la comtesse. Cosette, la bonne vint m’ouvrir et m’amena dans le salon.
La comtesse me répondit :
De fait, Cosette nous apporta un énorme saladier de moules marinières qui sentait vraiment bon.
Bonne de la Comtesse, Cosette était une superbe jeune femme d’une trentaine d’années, avec des rondeurs placées où il fallait et que j’ai toujours regardée avec gourmandise, m’imaginant allongé contre son corps voluptueux. De manière amusante, elle portait des tresses comme une petite fille de bonne famille.
Elle annonça le plat :
D’où venait cette lueur égrillarde que j’ai cru lire dans ces yeux ?
Nous dégustions donc les moules avec la bonne qui s’était jointe à nous, puis arrivèrent les tomates farcies.
C’était vrai que la farce était excellente, et le petit vin aidant, je me laissai à imaginer la charmante bonne se levant et entamant un striptease rien que pour mes yeux. Dans quelle extase je serais… !
La comtesse me ramena à la réalité :
Je rétorquai :
Après ce dessert, Cosette nous offrit son jus, un café en provenance d’Afrique noire, au goût très corsé.
La comtesse :
Mon sexe se dressa dans mon pantalon rien qu’à ce souvenir.
Cosette, qui n’avait pas ses yeux dans sa poche, remarqua la bosse qui déformait mon pantalon et me fit un clin d’œil des plus vicieux. J’en restai comme deux ronds de flans.
Aurais-je une ouverture avec la charmante enfant ?
S’approchant de moi pour me resservir du café, elle en renversa malencontreusement sur mon pantalon.
Je regardai la comtesse pour quêter son approbation, mais je m’aperçus qu’avec la torpeur ambiante, elle s’était assoupie dans son fauteuil. Je pensai en moi-même : « À quoi bon me Pousser pour que je vous TRompe, Comtesse ! »
Je suivis donc Cosette. Elle monta à l’étage supérieur et, ouvrant une porte, elle entra dans la lingerie où j’entrai également. Elle referma la porte derrière moi et y mit un tour de clé.
Ceci fait, elle se retourna et, se collant à moi, elle m’embrassa à pleine bouche, promenant ses doigts sur ma verge qui continuait à tendre la toile de mon pantalon.
Je me retrouvai ainsi en caleçon et chemise devant la bonne qui s’empressait de laisser tomber à ses pieds sa robe de soubrette. Quelle surprise ! Sous cette robe qui remontait jusqu’au cou, elle ne portait pas de soutien-gorge.
Ses seins étaient magnifiques, en forme de poire, avec une large aréole plus foncée. Abaissant mon visage, j’aspirai entre mes lèvres la pointe des seins tout en les caressant de mes deux mains.
Cosette n’était plus vêtue que d’un mignon slip brésilien en satin blanc. Je le saisis des deux côtés et, au lieu de le faire descendre, je tirai dessus légèrement. De cette manière, l’étoffe du slip s’insinua entre les grandes lèvres du sexe de Cosette.
Elle se tourna et dévoila ses fesses largement exposées, le tissu de la culotte partageant nettement les deux globes bien fermes en s’enfonçant dans le sillon.
Je la débarrassai alors de son slip, le rejetant après en avoir humé le parfum. Elle fit de même avec mon caleçon.
De la main droite, je remontai le long de la jambe de Cosette puis, frôlant l’intérieur des cuisses, je ralentis mon parcours et continuai de monter jusqu’à toucher les poils de son sexe. Là, je glissai la main derrière les reins de la bonne pour redescendre jusqu’à la raie des fesses.
Lentement, très lentement, je passai mes doigts sur son anus.
Elle se déplaça légèrement pour me faciliter l’accès et j’en profitai pour écarter les grandes lèvres de son vagin, découvrant un clitoris déjà durci. J’introduisis alors un doigt et pénétrai une grotte douce, chaude, humide où mon index glissa facilement.
Maintenant, le doigt à l’intérieur de sa chatte, je fis glisser le pouce jusqu’à son anus où je m’arrêtai quelques instants. Cosette n’ayant aucune réaction négative, j’accentuai la pression de mon pouce qui doucement pénétra dans le cul ainsi offert. En gémissant, Cosette poussa ses fesses vers moi, secrète invite à la pénétrer plus en profondeur. J’alternai ainsi doucement la pression de mes deux doigts, les amenant à se toucher à travers les muqueuses qui les séparaient.
Se courbant en deux, Cosette prit alors ma verge et la glissa dans sa bouche.
Elle entama alors une superbe fellation, puis, se relevant, elle s’accouda sur la planche à repasser :
J’obtempérai et enfonçai la totalité de ma verge dans le vagin de Cosette qui se mit à gémir doucement.
Petit à petit, j’accélérai, la possédant à grands coups de reins. Je la possédai profondément, la consommai sans modération, son vagin ruisselant représentant l’Eden rêvé depuis si longtemps. Cosette m’aida en coulissant le long de mon sexe qui la labourait, appréciant visiblement ce déchaînement, cette possession sans merci de son intimité.
Je portai alors un doigt à ma bouche pour l’enduire de salive et le positionnai sur le petit œillet plissé de son anus. À ce contact, la seule réaction de Cosette fut de gémir un peu plus fort.
Encouragé, j’enfonçai lentement le doigt dans son anus et assouplis petit à petit le passage, le préparant pour assouvir un ultime fantasme entre ses fesses charnues.
La phrase de Cosette n’est pas tombée dans l’oreille d’un sourd.
Je saisis les globes de ses fesses à pleine main, les écartai et admirai le petit trou qui palpitait dans l’attente de ce qui allait suivre.
Je présentai alors mon sexe à l’entrée de l’étroit passage. Le gland entra aisément, et je n’eus plus qu’à pousser avec beaucoup de douceur. Cosette m’aida en écartant ses fesses avec les mains ; elle poussa même dans l’autre sens pour faciliter la pénétration. Petit à petit, l’anneau anal coulissa le long de ma verge et, enfin emmanché jusqu’au bout, mes testicules vinrent buter contre ses fesses.
Mais dites donc, Cosette se lâchait. Voilà qui n’était pas pour me déplaire.
Doucement, je ressortis ma verge, sans problème. Je poussai à nouveau et m’enfonçai aussi facilement. Je commençai alors un lent va-et-vient, appréciant la pression de l’anneau sur ma verge. Je ressortis intégralement et regardai cet anus qui pendant un instant resta béant, puis je replongeai dès qu’il commença à se refermer.
Sur le mur en face de nous se trouvait un miroir où je pouvais voir Cosette, les yeux fermés, totalement abandonnée à ce sexe qui lui fouaillait le fondement. Ses tresses s’agitaient dans le même rythme. J’aimais ce rythme Fou de ses TResses. Elle gémit doucement, porta la main à son clitoris et se masturba d’abord lentement, puis de plus en plus frénétiquement.
Je sentais que le plaisir montait en moi, mais, gentleman, je désirais que la bonne jouisse en même temps que moi. Je sentis pourtant mon sexe se tendre : je n’allais pas pouvoir tenir plus longtemps, je devais éjaculer !
Je déversai alors de longs jets crémeux dans les entrailles de Cosette. Cette éjaculation provoqua l’orgasme immédiat de Cosette qui s’effondra sur la planche à repasser, anéantie par cette jouissance.
J’achevai de me vider et mon sexe ramollit petit à petit, serré de plus en plus fort par les muscles internes de Cosette. Je retirai enfin mon sexe, CONtent de son SORT, mais lessivé, la Mine Piteuse.