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n° 03558Fiche technique11336 caractères11336
1943
Temps de lecture estimé : 8 mn
05/11/23
corrigé 05/11/23
Résumé:  Un service bien récompensé...
Critères:  fh extracon collègues toilettes pénétratio -occasion -extraconj
Auteur : Louis  (Jeune homme aimant les plaisirs de la chair)            Envoi mini-message
Tendre secrétaire

Ce jour-là, ma libido me travaillait depuis tôt le matin. Tiré du sommeil en plein rêve érotique, avec une gaule de tous les diables, je n’avais pas pu assouvir mon désir avec ma femme. Comme à son habitude, elle avait protesté :



… Décision sans appel ! J’étais donc parti, après le petit-déj’, avec « la trique » comme on dit chez nous. Même les tristes informations captées sur mon autoradio ne m’avaient pas distrait de mon désir et j’avais parcouru les trente kilomètres qui me séparaient de mon lieu de travail avec cette sensation un peu douloureuse de bite coincée dans le jean. Traversant la campagne brumeuse, j’avais la tête ailleurs. Je pensais à ces plages lointaines, je me voyais enduisant de monoï les fesses d’une belle métisse…


Arrivé au boulot, il fallut bien revenir à la dure réalité. En fait de belle métisse, je me trouvai face à une pile de dossiers en attente, sans compter le répondeur, plein à craquer de messages. À 29 ans, on a de la peine à imaginer qu’il nous reste encore autant d’années à bosser, pour une hypothétique retraite. Sur ces considérations, je me plongeai avec acharnement dans les maudits dossiers : un travail de fourmi, mais qui avait l’avantage de m’accaparer l’esprit. C’est tout juste si, ce matin-là, j’envisageai curieusement la femme de ménage, croisée par hasard en allant aux w-c. Penchée en avant pour laver les carreaux-bas d’une porte vitrée, elle tendait son moulon vers le couloir, ce qui ressuscita mon érection.


Putain, Michel, faut que tu te soignes ! pensai-je en essayant furieusement de débander pour enfin pouvoir pisser. Ce petit incident fut le seul à troubler la matinée.


Aussi, lorsqu’un voisin de bureau vint me chercher pour prendre le repas ensemble, je lui emboîtai gaiement le pas.


L’immeuble dans lequel je travaille accueille plusieurs sociétés : micro-informatique, conseil, immobilier… En l’absence de restaurant d’entreprise, quelques salariés se retrouvent entre midi et deux dans la salle de pause commune pour un casse-croûte sorti du sac. C’est surtout l’occasion de discuter de choses et d’autres, de commenter l’actualité ou le dernier reportage télévisé que tout le monde a vu la veille. Les éléments féminins ne manquent pas parmi le personnel de ce bâtiment, mais il s’agit essentiellement de secrétaires aigries, travaillées par leur ménopause. Ces mégères à forte odeur passent le plus clair de leur temps à médire et à ressasser de vieilles rancœurs. Comme dans la fable, leur ramage désagréable se rapporte bien à leur plumage de mauvais goût. Parmi elles, Patricia fait un peu figure d’exception, comme une pierre précieuse parmi des verroteries bon marché. Blonde, un mètre soixante-dix, elle approche la quarantaine. Les traits un peu marqués par ses deux grossesses, de beaux yeux bleus. Toujours élégante, elle met en valeur ses attributs naturels : une magnifique paire de seins pointant tels deux obus, de belles jambes fines et un superbe fessier.


Comme nous sommes mercredi, il n’y a pas grand monde dans les bureaux, 35 h obligent. Je suis en train de me servir un petit café, quand je l’entends s’escrimer après la photocopieuse, dans la pièce à côté. Deux minutes plus tard, elle pointe son nez pour demander :



En quelques secondes, je me suis remis à bander. Serviable, je lance un « On va voir ce qu’on peut faire ! » et je la suis. Elle ondule la croupe dans une jupe longue qui la serre à point. Je repère les lignes de sa culotte… hmmm. Après un premier essai infructueux de mettre la machine hors tension, je tente le tout pour le tout et j’ouvre en grand le panneau latéral qui donne accès aux rouages secrets. Patricia s’accroupit à côté de moi pour suivre les opérations.



Je déchiffre péniblement les instructions sibyllines inscrites à l’intérieur du panneau, troublé par la proximité de cette charmante secrétaire. Je sais que je ne lui déplais pas, j’ai eu l’occasion de le lire plusieurs fois dans son regard, et elle a dû lire la même chose dans mes yeux… Elle me fait toujours la bise de manière un peu appuyée, mais mariée à un artisan jaloux, oserait-elle plus ? Ces pensées traversent mon esprit à toute vitesse pendant que je hume ses délicats effluves. Mes mains s’affairent à débloquer les éléments, ça y est, j’ai localisé la feuille récalcitrante !



Je vais tenter le tout pour le tout. Je respire un grand coup, je lui prends la main pour la conduire doucement vers la bosse qui déforme mon pantalon :



Un peu étonnée, me fixant des yeux, elle commence à me caresser doucement à travers mon pantalon. Dans ma tête, c’est le feu d’artifice. Je n’arrive pas à réaliser qu’elle ait accepté si facilement. Mon cœur bat la chamade et je sens deux filets de sueur descendre le long de mes côtes… Je savoure ces délicieux instants avant de lui chuchoter :



Puis à haute voix, en me relevant :



Elle se relève à son tour, et me glisse « Attends… » en respirant un peu fort. Je claque le panneau et – miracle ! – le message d’erreur a disparu.



Elle fait sa photocopie en mode manuel, pendant que je bois doucement mon café en la couvant d’un regard mouillé de désir.


D’un bref coup de tête, elle m’invite à la suivre, avec un petit sourire coquin. J’embrase sa silhouette du regard, à quelques pas derrière elle. Soudain, je comprends, elle m’entraîne vers les toilettes pour handicapés ! Pas bête, la Patricia ! elle sait pertinemment qu’il n’y a pas de handicapés dans l’immeuble, et que ces w.c. rendent service aussi bien aux hommes qu’aux femmes. De plus, ils sont beaucoup plus spacieux que des toilettes ordinaires. Moins souvent utilisés, ils sont aussi plus propres. Je suis terriblement excité et en même temps un peu affolé par la tournure que prennent les évènements. En quatre ans de mariage, je n’ai jamais eu de maîtresse, me contentant d’éviter les occasions, tant que j’avais « ce qu’il faut à la maison ». Mais comme on dit chez nous « la faim fait sortir le loup du bois », alors je me jette à l’eau.

Sitôt pénétré dans les toilettes, je pousse le verrou et me retourne vers elle pour la prendre dans mes bras. Pendant un long moment, nous ne faisons que nous serrer mutuellement l’un contre l’autre. J’ai le visage dans ses cheveux blonds et je la respire à pleins poumons. Ses seins pressés contre mon torse, elle passe une main sur mon cou, ce qui me fait frissonner, et tourne mon visage vers le sien. C’est le signal d’un baiser fougueux, un baiser de désir puissant. Nos langues se mêlent, se repoussent, nos lèvres se sucent… Je lui pétris amoureusement les fesses en la pressant contre mon sexe. C’est bon. Je suis avide de sa chair, j’ai envie de la dévorer. J’embrasse le creux de son cou, la peau fine de sa gorge, elle ferme les yeux, frémit…


Je pousse l’avantage pour défaire les boutons de son chemisier blanc et dégager ses épaules. Je lutte un peu contre la fermeture de son soutien-gorge avant de parvenir à mes fins. Deux globes laiteux couronnés de tétons érigés, couleur framboise jaillissent. Je plonge la tête dans son sillon parcouru de fines ridules et reste blotti là quelques secondes avant de m’emparer de ses pointes. De son côté, elle fait des efforts louables pour dégager ma verge à l’aveugle. Ses mains fébriles tâtonnent et s’activent entre la boucle de la ceinture, la braguette et le slip, c’est terriblement excitant. Je suis dans un état second, au-delà du temps, j’ai l’impression qu’une partie de moi est en train de regarder cette scène au ralenti. J’ai pris un de ses mamelons en bouche et je le suce délicatement, tandis que je cherche à venir à bout de la fermeture de sa jupe. Je m’écarte un peu d’elle, la fais pivoter lentement de sorte à être derrière elle. Là, je lui enlève son chemisier, me perds encore dans ses boucles blondes. Puis ma bouche descend le long de son dos. J’achève de la libérer de cette jupe qui fait désormais un tas à ses pieds. Je renifle discrètement ses fesses, avant de les mordiller à travers sa culotte de coton blanc.


Depuis que nous sommes entrés, nous n’avons pas prononcé un mot, seulement quelques soupirs. Mes mains passent de ses seins à son ventre, à ses hanches. Elle se tortille un peu pour m’aider à lui descendre la culotte jusqu’aux genoux. J’appuie ma virilité contre ses fesses et je la pousse vers le mur. Ma main s’active sur sa vulve trempée. Les poils de sa chatte sont courts et denses. Je fais aller et venir mon majeur entre ses lèvres, ce qui provoque quelques clapotis. Elle se penche en avant, je vais l’enfourner par-derrière ! Cette position, que ma femme trouve dégradante, m’a toujours excité. Apparemment, Patricia n’a rien contre, elle cambre le bassin pour me donner accès à sa chatte et je la doigte par-derrière.


Hélas, je ne suis pas aussi doué que les acteurs de films X et mes tentatives pour la pénétrer ainsi restent lettre morte. Une question d’angle peut-être ? Après quelques essais infructueux, elle me jette un regard et voit ma mine déconfite.



Elle fait une sorte de tapis avec sa jupe pliée, qu’elle glisse sous ses genoux et se met à quatre pattes. Je m’agenouille derrière elle et lui mets quelques coups de langue bien placés pour la récompenser de cette sollicitude. Sa chatte, comme souvent celles des blondes, est curieusement fade. Enfin, je guide mon gland jusqu’à elle… Je m’y enfonce doucement. C’est chaud, c’est doux, c’est bon. J’empoigne ses hanches et commence à la besogner. Elle mouille abondamment et j’ai bientôt les couilles ruisselantes de sa mouille : elle est assez large et j’ai l’impression de faire des éclaboussures. Je n’avais jamais connu ça auparavant. La vue de ses fesses, marbrées de veines bleues, m’excite de plus en plus. J’ai envie de lui doigter le cul, mais je n’ose pas. Si elle le prenait mal ? Cette idée décuple pourtant mon plaisir, alors qu’elle commence à gémir et que son sexe se contracte spasmodiquement sur le mien. Je jouis en quelques saccades avant de m’affaler sur son dos et de couvrir ses épaules de petites bises.


Je lui chuchote dans l’oreille :



Elle me sourit d’un air gêné.



Je me dégage lentement et l’aide à se relever. Puis je la serre encore une fois dans mes bras, mais il est tard et nous devons regagner nos bureaux respectifs, en toute discrétion. Heureusement, sa jupe n’a pas trop souffert de nos épanchements.


Depuis cet épisode, une semaine s’est écoulée, et nous avons gardé tous les deux nos distances, nous arrangeant pour ne pas nous trouver seuls ensemble. Le temps peut-être de faire chacun de notre côté le point avant de décider de poursuivre ou non. L’avenir nous réserve-t-il quelques bonnes surprises ?