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n° 03566Fiche technique19734 caractères19734
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Temps de lecture estimé : 14 mn
08/11/23
corrigé 08/11/23
Résumé:  Satané téléphone ! Depuis cinq ou six jours il n'arrêtait pas de sonner. Et jamais personne au bout du fil. Sans doute encore ces affreux gamins !
Critères:  fh fagée collègues telnet fmast hmast cunnilingu
Auteur : Etranges Délires      Envoi mini-message
Voie de garage

Dring !!!!!


Allo ???? Allo… ?


Satané téléphone ! Depuis cinq ou six jours, ça n’arrêtait pas de sonner. Et jamais personne à l’autre bout du fil. Sans doute encore un de ces affreux gamins ! Graines de potence ! Leurs parents ne font jamais rien pour les contenir. On se demande pourquoi ils élèvent des mômes, si c’est pour les laisser ainsi à l’abandon.


Jocelyne était désœuvrée, cloîtrée dans sa maison depuis des semaines, elle se rongeait littéralement les sangs.


En temps normal, elle allait à l’usine. Depuis la mort de son mari, victime d’une apoplexie l’été dernier, il n’y avait d’ailleurs plus rien d’autre pour elle que l’usine. Elle s’enfermait dans son travail, quinze heures par jour minimum, non pas qu’elle eut véritablement besoin de travailler, la prime de l’assurance vie aurait sans doute suffi pour combler ses maigres besoins. Mais c’était ainsi, il fallait qu’elle s’occupe, elle avait besoin de se consacrer entièrement à quelque chose, besoin d’oublier cette vie terne, trop souvent sans attrait. Trouver un but pour continuer à vivre, cela avait été pendant longtemps une obsession pour elle…


Mais là, cet accident stupide, cette machine qui s’était décrochée et qui lui avait écrasé le pied. Et maintenant, la voici contrainte à rester chez elle, condamnée à se morfondre entre quatre murs durant de longs mois. Toute seule, juste son chien, quelques cigarettes et quelques verres de mauvais whisky pour oublier une mauvaise habitude qu’elle tenait de son homme.

L’après-midi, elle faisait la sieste, lorsqu’elle était bourrée. Mais, depuis quelque temps, systématiquement, et comme un fait exprès, presque tous les après-midi, le téléphone se mettait à sonner. Bon gré, mal gré, elle finissait par se lever et par décrocher, mais jamais personne ne répondait à ses injonctions.



Une fois de plus, elle se leva furibarde et faillit trébucher. Merde, cette maison était devenue une vraie porcherie ! Elle se laissait vraiment aller, et encore plus depuis qu’elle restait à résidence. Elle s’en foutait, jamais personne ne venait ici de toute façon. Elle balança un coup de savate rageur dans une canette de bière qui traînait sur le plancher… Et re-merde, son pied lui faisait encore mal. Elle était foutue, foutue, jamais elle ne s’en remettrait, saloperie d’existence…

Elle se dirigea à pas lents vers la cuisine, puisque c’était ainsi, elle allait s’en taper une autre, se rafraîchir le gosier, comme disait parfois son ex en rotant comme un porc. Mais « Dringgggg ! Dringgggg ! ». Et ça recommence de plus belle. Elle agrippe le combiné, elle a horreur de cette sonnerie, elle va le faire couper ce maudit téléphone, pour ce qu’il lui sert en plus !


Mais, pour la première fois depuis des semaines, elle entend enfin un souffle à l’autre bout du fil, une voix rauque et caverneuse qui lui crache dans l’oreille


J’ai envie de toi, vieille salope.


Non, ce n’est pas un gosse, ça, c’est certain, cette voix est beaucoup trop grave, beaucoup trop lubrique également. La voix débite sans discontinuer un flot d’obscénités, l’inconnu la traite comme la pire des putes, une grosse dépravée obscène qui ne pense qu’à se faire sauter par tous les trous.

Sentiment d’étrangeté, on ne lui a jamais parlé ainsi. D’ailleurs, jamais personne ne s’est intéressé à son cul. Son mari peut-être de temps à autre, il la prenait comme une bête, mais plus par mesure d’hygiène, pour dégorger le poireau, comme il disait. Il l’enfilait à la va-vite et toujours sans rien dire et sans se préoccuper outre mesure de son plaisir à elle. C’est bien simple, en presque vingt ans de mariage, elle avait peut-être joui dix fois, et encore, lorsqu’elle était bourrée !


Alors pourquoi, tout d’un coup, cet inconnu lubrique qui déversait son flot d’obscénités, honteusement tapi derrière son anonymat ? Maintenant qu’il était lancé, rien ne semblait plus pouvoir l’arrêter. Et elle, elle l’écoutait, sans rien dire, pourtant sans aucun sentiment de colère à son égard. Depuis que la parole avait succédé au silence, elle était comme rassurée, elle éprouvait presque de l’affection pour ce petit vicelard qui s’égosillait à l’autre bout du fil.

Elle s’était assise sur le canapé et écoutait cette voix religieusement. Elle était persuadée que ce ne pouvait être en aucun cas quelqu’un de connu, sinon jamais il n’aurait fait ça. Jamais il n’aurait dit tous ces mots s’il l’avait connue, jamais il n’aurait eu ne serait-ce que l’idée de lui téléphoner. Pour tous, elle n’était plus qu’une vieille femme revêche et sans attrait. Pour beaucoup, elle l’avait d’ailleurs toujours été.


Depuis un certain temps aussi elle l’entendait se masturber, sa grosse nouille faisait un bruit poisseux. Mais elle n’en était pas vraiment choquée, bien au contraire, complètement à l’écoute de ce sexe humide que l’on était en train de branler avec grand plaisir.


Il lui demandait si elle aussi était en train de se frotter, si elle aimait ça, cette salope. Cette pute lubrique qui sortait dans la rue sans culotte (une preuve de plus qu’il ne l’avait sans doute jamais rencontrée) !

Rassurée par cet anonymat, elle finit par se laisser aller à glisser ses mains dans son entrejambe. Des années qu’elle avait oublié ce geste… Et maintenant, elle se caressait, et de façon plutôt salace… frénétiquement, pilotée par les insanités que proférait ce lointain correspondant. Ce dernier ne tarda d’ailleurs pas à prendre conscience de ce qu’elle était en train de faire, ce qui l’encouragea encore plus et eut pour conséquence de faire redoubler son ardeur. Il lui suggéra qu’elle devait avoir bougrement envie de se faire bourrer et labourer… et pourquoi pas aussi passer pour la reine des putes auprès de tout son voisinage estomaqué.


Maintenant, il voulait qu’elle se mette à poil, qu’elle malaxe ses gros tétons (sur ce point au moins, il ne s’était pas trompé, ses tétons étaient énormes), qu’elle arrache sa grande culotte jaunasse, et qu’elle se branle avec tous ses doigts.

Malgré, ou à cause de toute cette vulgarité, elle était… de plus en plus excitée et se déchaînait peu à peu sur sa vieille chatte poilue. Elle retrouvait des sensations, des envies, des envies qu’elle avait crues pourtant à tout jamais perdues dans le sillage de son lent déclin.

Mais non, c’était bien elle, elle la vieille Jocelyne, sa culotte baissée aux chevilles, ses seins mous extraits du soutien-gorge sans grâce et elle était tout excitée… C’était elle également qui confirmait à cet inconnu qu’elle était en train de se masturber en pensant à sa grosse queue, elle aussi qui lui avouait qu’elle avait très envie d’être montée comme une chienne… Dire qu’elle avait attendu cinquante-huit balais pour être aussi cochonne !


Le pervers accéléra la cadence et lui demanda aussi d’être de plus en plus salace… jusqu’au moment où il lui dit :



C’est alors qu’il raccrocha, la laissant dans un état proche de la démence. Ce fut d’ailleurs si soudain que ça cassa toutes ses sensations. Et, alors que depuis un certain temps le plaisir était en train de monter en elle, soudain il s’arrêta net, ça la laissa complètement éberluée.


Elle raccrocha, furax. Ce petit saligaud avait dû jouir sans l’attendre, il avait dû cracher toute sa purée devant lui sans avoir la politesse de s’enquérir de son plaisir à elle, quelle ordure ! Ce sont bien tous les mêmes ces sales mecs, de vilains égoïstes, de fieffés salauds…


Du coup, aigrie par ce tour de con, elle alla directement se déboucher une nouvelle canette en marchant à petits pas, car sa culotte était restée sur ses chevilles.

Elle s’assit sur une chaise, fesses à l’air, et envoya valdinguer son cache-sexe à l’autre bout de la pièce, avec son pied valide…



Et qu’il ne lui prenne pas l’idée de continuer à appeler, elle finirait par le débrancher ce foutu téléphone ! Et comme ça elle ferait d’une pierre deux coups, sa fille non plus ne pourrait plus l’appeler, sa pétasse de fille, elle aussi s’en fichait du malheur de sa vieille mère. Tout ce qui l’intéressait c’était sans doute l’héritage. Puisque c’est ainsi, elle n’aurait rien, rien du tout, elle allait se dépêcher de tout dilapider avant de rendre son âme au diable. Oui, elle s’achèterait de la lingerie et des vêtements de salope, et elle irait draguer et se payer des gigolos avec ses petites économies. Et puis aussi plein de gros godes pour en profiter au maximum, pour s’éclater la moule comme la dernière des pétasses.


Les bites trottaient dans sa tête, ce coup de téléphone l’avait rendue complètement folle. Voilà qu’elle délirait, et qu’elle avait la fièvre. Elle rota un coup, de la façon la plus vulgaire qui soit…


J’ai envie de me faire baiser, j’ai envie de me faire mettre.


La voici qui parlait toute seule, qui beuglait dans la pièce ! Oui, c’est certain qu’elle avait envie et qu’elle allait mourir idiote, seule dans son coin comme une vieille fille aigrie…

Elle balança la canette méchamment sur l’évier, complètement beurrée… Et la bouftance éclata en mille éclats de verre qui se dispersèrent dans la pièce. Elle éclata de rire, elle n’en avait rien à foutre.


Jocelyne était prostrée sur la table de la cuisine depuis un bon moment. Elle avait les yeux dans le vague, mais ils se posaient de temps en temps négligemment sur la culotte blanche qui trônait au pied du frigo. Un immense sentiment de dégoût l’envahissait, dégoût teinté d’injustice.


Comment avait-elle pu se laisser aller ainsi ? Comment avait-elle pu accepter cette vie terne et sans attrait ? Comment pouvait-elle également en être arrivée à ce point de déchéance ? C’était une épave, elle le savait parfaitement. Sa vie ne tenait qu’à un fil : un boulot de secrétariat ingrat dans lequel elle avait tout investi. Vous lui ôtiez ce jouet et il ne restait plus rien. Sa vie tout entière avait été une succession d’échecs : une enfance malheureuse, des études ratées, un mari alcoolique et une fille intéressée… Elle n’avait eu droit qu’à ça, aucune relation sentimentale, aucun flirt… aucune passion n’était venue égayer sa triste réalité. Et maintenant, ce n’était plus qu’une épave avinée par l’ennui, un vieux débris !


Elle aurait voulu se relever pour reprendre une bière, mais elle n’en avait plus vraiment le courage. Et puis, à quoi bon ! Et elle avait déjà trop bu, de toute façon !


« Dring ! »


Prête à se jeter sur le téléphone, son premier réflexe… elle avait pourtant dit qu’elle ne répondrait plus, c’était bien mal parti pour les bonnes résolutions !


« Driiiiiinng !!! »


Elle mit un moment à comprendre qu’il ne s’agissait pas du téléphone, il lui fallut un moment pour émerger, elle se sentait épuisée. Elle se leva péniblement et s’en fut vers l’entrée. Mais qui diable cela pouvait-il être à cette heure ? Pas le fils du voisin, au moins ! Si ce petit voyou avait encore envoyé son ballon dans son potager, elle allait copieusement l’assaisonner !


« Driiiiiinnnnnnnng ! »



Elle ouvrit la porte, et là, surprise… ! Il s’agissait de Vivien, le petit coursier de sa boîte, 22-23 ans à tout casser. Du coup, elle eut presque honte d’ouvrir dans cette tenue, à moitié débraillée…

Mais qu’est-ce qu’il faisait là Vivien ? Et qu’est-ce qui s’était passé à la boîte de si grave pour qu’ils se souviennent enfin d’elle ?

Vivien n’était jamais venu auparavant chez elle. D’ailleurs, peu de ses collègues connaissaient son adresse, et encore moins nombreux étaient ceux qui s’étaient risqués jusque-là. Deux ou trois ivrognes, du temps de son mari, mais uniquement pour la bibine ou pour regarder la téloche, et depuis, niet ! Plus personne ne venait, plus personne excepté sa fille, une fois par an, pour toucher ses étrennes.


Elle ne reconnut pas la voix, pas tout de suite en tout cas… Il faut dire qu’il était beaucoup plus aimable et beaucoup plus coincé qu’il avait pu l’être au téléphone. Il pénétra néanmoins dans le salon sans y avoir été convié…



C’est cette petite remarque qui fit tilt dans la tête de Jocelyne, elle n’avait jusque-là pas vraiment fait le rapprochement entre ce maudit coup de fil et la venue de Vivien. Au pire trouvait-elle cette visite un peu étrange.

De son côté, Vivien le lubrique avait perdu de sa superbe, il était désormais face à la réalité, et ce n’était plus aussi évident que planqué et anonyme derrière son clavier… Il regarda Jocelyne… Ainsi c’était elle qu’il voulait se baiser, c’était elle le cœur de ses fantasmes, cette vieille peau flétrie et pleine de rides, ce vieux tableau en ruine. La simple évocation d’idées aussi scabreuses le fit bander. Oui, c’était évident, cette vieille salope avait besoin de sérieux coups de bite.

C’était ça qui l’excitait. Oui, c’était ça qui lui plaisait, elle le faisait bander au-delà du raisonnable. Déjà, pendant les quelques semaines où il avait travaillé avec elle, sans arrêt, il la matait. Et tous les soirs, dans sa piaule, il se branlait en pensant à elle, à elle et rien qu’à elle, à elle et à ses gros nichons mous, à elle et à sa vieille chatte poilue. Il fallait qu’il se la fasse, c’était pour lui une obsession.

Mais tout cela ne l’empêchait nullement de se sentir infiniment timide, nul et désarmé, avec l’effrayante certitude qu’il était en train de fantasmer très au-dessus de ses faibles capacités.


Le jeune homme, complètement ahuri, regardait dans son décolleté, elle n’avait pas pris la peine de bien se rafistoler… Oui, c’est certain, il y avait quelque chose de lubrique dans ce regard, c’est ça aussi qui lui mit la puce à l’oreille. Et cette voix, cette voix très grave à nulle autre pareille, désormais, elle la reconnaissait…

Les bras lui en tombaient, sur le cul, la mère ! Mais Vivien, Vivien, il était si jeune et si… Elle aurait peut-être compris ça de la part du gros Martial, mais Vivien, Vivien… Et ce regard lubrique qui plongeait entre ses miches, avide sans doute de voir ses gros seins mous… Elle s’est sentie rougir, cela faisait des lustres qu’une telle chose ne lui était pas arrivée.


Ils se regardaient en chiens de faïence, chacun plongé dans ses pensées. Plutôt timide, pour un vicelard, il faut dire qu’il avait bien mis une dizaine de jours avant de se décider enfin à parler. Et maintenant, il était là les bras ballants, n’osant rien faire et attendant…

Elle ne savait pas trop ce qu’il attendait au juste, mais elle se doutait bien qu’il n’allait pas lui sauter dessus ni la violer. C’était un bon petit gars, Vivien, oui, un bon petit gars, mais peut-être aussi un bon petit vicieux, ça n’empêche pas. Et dire que cela faisait presque deux mois qu’ils ne s’étaient pas vus et qu’il avait dû penser à elle pendant tout ce temps. En fait, il devait penser à elle depuis beaucoup plus longtemps que ça, peut-être depuis leur rencontre. Il n’en avait jamais rien laissé paraître, mais il devait pourtant fantasmer chaque fois qu’ils se voyaient, et peut-être même se mettre à bander.

Machinalement, elle porta son regard sur sa braguette. De là où il était, même s’il était un peu loin, elle crut pourtant deviner une proéminence sur son pantalon… Petit salopiaud, petit cochon, petit vicelard !



Et la voici partie en traînant la patte jusqu’au coin cuisine…


Dieu qu’il se sentait gauche et mal à l’aise ! Désormais, il regrettait vraiment d’être venu. Avant il pouvait toujours espérer être vaguement à la hauteur, mais maintenant il se dégonflait, sa démarche était vraiment très choquante en fin de compte… Qu’allait-elle penser de lui ? Son regard se posa machinalement sur un morceau de tissu blanc qui traînait près d’un pied de table. Une culotte ! SA culotte ! Putain, cette vieille cochonne laissait traîner ses culottes partout dans la pièce. Il bandait à en avoir mal.


Lorsqu’elle revint vers lui, dans son regard, il devina qu’elle avait tout compris. Dans ses yeux, aucune peur, et même aucun refus, simplement peut-être une pointe d’amusement, un zeste de défi : « Toi, mon gaillard, maintenant que tu t’es bien foutu dans la merde, je suis curieuse de savoir comment tu vas te dépatouiller ».

Et lui qui se dégonflait mollement, comme une larve, un petit lâche, quelle honte ! Il n’osait pas lui dire de se foutre à poil, à cette salope, il n’osait même pas lui demander d’exhiber ses grosses loches toutes flasques, à cette vicieuse, il oserait encore moins lui foutre la bite de force dans la bouche ou alors dans le cul… Et pourtant ce n’est pas l’envie qui lui manquait ! Il ne pensait qu’à ça. Mais qu’est-ce donc un fantasme qui ne peut se concrétiser ? À ne jamais rien oser, il finirait par mourir idiot.


Elle était à nouveau de retour, elle avait eu du mal pour trouver deux verres propres. Quant aux glaçons, il faudrait s’en passer. Elle lui en versa une rasade en tremblotant, elle avait pris l’habitude des doses massives, l’apéro, c’est sacré.



Elle s’était sagement assise face à lui, elle ne voulait quand même pas trop l’encourager.

Ils continuaient à discutailler, de tout, de rien, de la boîte, des collègues et du temps qu’il fait, et même de Charles Pasqua qui avait fait une intervention à la télé la veille au soir, c’est dire si cette conversation était intéressante…

Conversation anodine donc et qui semblait s’éterniser. Et même un second pastis ne semblait pas faire son effet. Elle commençait un peu à désespérer, Vivien ne semblait pas vouloir risquer la moindre approche à son encontre, il était désespérément coincé. Et pourtant, elle, elle n’attendait que ça : qu’il se lève, qu’il se jette sur elle et qu’il abuse de son corps… Car, après tout ce temps, sa chatte était en feu, poisseuse d’une envie folle et irrépressible.



Le mot avait été lâché, elle s’était lancée enfin, ils n’allaient quand même pas passer des heures à discuter de tout et de n’importe quoi ! Mais cela n’eut d’autre effet que de faire rougir son visiteur jusqu’aux oreilles. Il baissait la tête et regardait ses pieds. Pitoyable, mais malgré tout touchant !



Le jeune homme se décomposait à vue d’œil. Elle avait presque envie de répéter une troisième fois « salope » pour le torturer plus encore, mais elle eut pitié de lui. Le pauvre, il sirotait tristement son anis en regardant ailleurs. Elle ajouta alors simplement :



Alors, joignant les gestes à la parole, elle releva sa jupe en écartant largement les cuisses, lui dévoilant d’un coup sa grande chatte poilue au gros buisson ardent…

Il ne fallut alors qu’un quart de seconde au petit vicieux pour se retrouver entre les grosses cuisses de Jocelyne et lui bouffer la chatte.


Le reste, vous pouvez aisément l’imaginer…