n° 03588 | Fiche technique | 44438 caractères | 44438 7878 Temps de lecture estimé : 32 mn |
24/04/23 corrigé 24/04/23 |
Résumé: Homme marié souhaitant partager sa belle épouse. | ||||
Critères: fhh couplus extraoffre grossexe anniversai voiture voir exhib noculotte photofilm hmast intermast fellation pénétratio -humour -candaul | ||||
Auteur : Cédric (Homme marié, 33 ans) |
Bonjour,
Je me prénomme Cédric et je suis un lecteur assidu des histoires publiées sur ce site. Je ne sais pas si elles sont toutes vraies (je pense même qu’une bonne partie est inventée, mais quand c’est bien écrit… pourquoi pas !) ; quoi qu’il en soit, celle qui m’est arrivée il y a deux semaines est rigoureusement véridique, et a d’ailleurs presque conduit mon couple à la rupture.
Pour ne rien vous cacher, j’avais un fantasme depuis longtemps, fantasme après tout assez banal, mais qui me tenait à cœur : voir ma femme faire l’amour avec un – ou plusieurs – homme, et si possible devant moi.
Laissez-moi tout d’abord nous décrire. Sur moi, je passerai assez vite. Je suis avocat, j’ai trente-trois ans, mes cheveux sont châtains et mes yeux sont noisette (c’est plus chic que marron !), je mesure un mètre quatre-vingt-trois et pèse quatre-vingt-deux kilos dans les bons jours. Je ne suis ni très beau ni très laid, je suis un mec ordinaire, quoi ! Ordinaire et marié.
Ma femme a aussi trente-trois ans, elle est en revanche plus que jolie et je me suis toujours interrogé sur comment j’avais fait pour tomber sur une femme comme elle. Enfin bon, je suis surtout très heureux d’avoir eu cette chance. Elle n’est pas petite, elle mesure en effet un mètre soixante-sept et pèse cinquante-deux kilos. Ses seins ne sont pas énormes (désolés pour ceux qui fantasment sur les grosses poitrines), elle fait du 90 A, cela étant, s’ils ne sont pas gros, mais très fermes et se tiennent bien haut sur son buste. Pour tout vous dire, je m’amuse souvent et bien avec eux. De plus, ses tétons sont très sensibles et pour peu qu’on les agace un peu, ils se dressent comme deux petits bourgeons magnifiques. Ce qui est le plus beau chez ma femme, il faut avouer que ce sont ses fesses et ses jambes. Ses fesses d’abord : de belles petites fesses rebondies à souhait, bien musclées (elle a fait beaucoup de danse dans sa jeunesse), qu’il est bon de malaxer et leur donne un galbe parfait, ça lui crée une cambrure exceptionnelle. Ses jambes ensuite : elles sont longues et aussi très musclées, ce qui lui permet de me serrer bien fort entre ses cuisses quand nous faisons l’amour. D’ailleurs, ses années de danse lui ont donné une souplesse hors du commun et je peux vous assurer que ça lui autorise des choses que la décence m’interdit – pour le moment – de vous avouer…
Sur le plan vestimentaire, ma femme préfère les tenues très féminines, à savoir les jupes (assez courtes) et les vestes de tailleur. J’aime par-dessus tout qu’elle s’habille comme une vraie femme. Ses dessous sont toujours choisis avec soin, parfois par moi, parfois par elle. Elle met souvent des bas autofixants auxquels elle ajoute à l’occasion un porte-jarretelles pour donner l’impression qu’il s’agit de vrais bas. Je peux vous dire que l’illusion est quasi parfaite. J’aime aussi quand elle porte des pull-overs sans soutien-gorge, cela permet de voir ses deux tétons s’ériger sous le tissu quand elle est excitée. Depuis plusieurs années (nous sommes mariés depuis neuf ans), j’essaie de la faire sortir de temps en temps sans culotte, mais cela est très difficile, elle est un peu réticente à l’accepter. J’y suis néanmoins parvenu par-ci par-là, et chacune de nos sorties, elle ainsi vêtue, s’est soldée par des parties de jambes en l’air mémorables dans des lieux que là encore la décence m’interdit de nommer. Disons qu’il s’agissait de lieux publics ou semi-publics ! Bref, nous sommes un couple bourgeois normal, sans vices excessifs, mais plein d’idées… enfin, surtout moi ! Quand je dis sans vices excessifs, c’était jusqu’à il y a deux semaines.
Laissez-moi vous raconter comme nous en sommes arrivés là.
Quand je parlai pour la première fois de mon fantasme, il y a quelques années, c’était pendant que nous faisions l’amour. Ma femme était à quatre pattes sur le sol pendant que je la prenais par-derrière, en levrette. Je sortis de son sexe et lui demandai si elle souhaitait jouer à un petit jeu. Bien entendu, elle accepta immédiatement. J’ouvris le tiroir de la commode et en sortis le bandeau que j’avais acheté la veille pour elle. Je le lui mis sur les yeux, entrai mon sexe dans le sien et lui dis :
Elle commença à gigoter, puis à protester. Mon sexe, toujours dans le sien, je pris ses hanches à pleines mains afin qu’elle ne puisse pas se dégager de mon étreinte. Elle me répondit :
Je remarquai toutefois que ses fesses allèrent plus volontiers à la rencontre de mon bassin. Il faut dire que je ne la prenais pas comme d’habitude, mais plus fort, plus profondément. Je me laissai même aller à entrer le majeur dans son petit trou, préalablement lubrifié par ma salive, elle aurait presque pu imaginer que c’était un autre mec qui la besognait ainsi. De plus, elle me semblait légèrement plus humide que d’ordinaire, cela dit, il n’était pas impossible que je me fasse des idées. Peut-être m’en fis-je encore lorsque je l’entendis crier sa jouissance, après seulement quelques minutes de baise effrénée… Je ne sais pas ; en tout cas, je décidai de ne pas m’avouer vaincu. Même si, provisoirement, je l’étais.
La seconde fois où je lui en parlai, cela se passa dans un restaurant.
Ce soir-là, elle s’était habillée exactement comme j’aime, rien que pour me faire plaisir. En haut, elle portait une sorte de top entièrement en mailles, de grosses mailles, sans soutien-gorge. Je pouvais voir ses tétons passer de temps en temps à travers. En bas, je lui demandai de mettre, ce qu’elle accepta à contrecœur, des dim-up agrémentés de porte-jarretelles noirs. Exceptionnellement, s’étant rasé le sexe en triangle dans l’après-midi, elle ne mit pas de culotte (en effet, ma femme est très pointilleuse sur sa pilosité pubienne). Par-dessus tout ça, elle mit un tailleur tout simple, noir lui aussi, et dont la jupe était plutôt courte et près du corps.
Nous réservâmes dans un restaurant assez chic du 16e arrondissement de Paris. Je vis tout de suite, quand nous pénétrâmes dans le restaurant, que je lui avais choisi la bonne tenue. En effet, je remarquai immédiatement un groupe de trois quadragénaires assis à la table à côté de la nôtre et ne ratai pas leur regard envieux. Ils ne lâchèrent pas ma femme des yeux quand elle s’assit à sa place. Il est vrai que quand elle s’asseyait, on pouvait voir sans aucune hésitation qu’elle portait des bas, car sa jupe remontait haut sur ses cuisses. Elle était vraiment désirable. Ils ne la quittèrent littéralement pas des yeux pendant que les plats se succédèrent.
Je surpris même un sourire entre mon épouse et un des types qui, il faut l’avouer, était vraiment beau mec. Je lui en fis la remarque, mais elle se décria, me disant que je n’arrêtais pas d’imaginer un tas de choses. Je la vis quand même rougir quand le type croisa à nouveau son regard. Moi, pendant ce temps-là, je n’étais pas resté inactif. J’avais retiré une de mes chaussures, et avais glissé mon pied entre ses cuisses. Elle les avait légèrement écartées, et je faisais glisser mon pied haut sur ses cuisses, de plus en plus haut, jusqu’à ce que je parvienne à son petit minou. Elle était rouge comme une tomate, et jetait des regards inquiets vers nos voisins de table. À un moment, elle me demanda d’arrêter, me disant que si je continuais comme ça elle allait jouir en plein restaurant – je pense aussi qu’elle craignait que cela ne finisse par se remarquer. Je lui avouai que je n’en pouvais plus, et nous décidâmes de payer pour aller vite finir la soirée à la maison.
Je remarquai que les trois mecs s’étaient levés en même temps que nous pour quitter le restaurant. L’un des types, celui qui était le plus beau, me fit même un clin d’œil lourd de sous-entendus coquins.
À peine installé dans la voiture, je ne pus m’empêcher de continuer ce que j’avais commencé plus tôt. Je soulevai la jupe de ma femme très haut vers son ventre et me glissai entre ses cuisses pour lui lécher le sexe. Ma femme les écarta largement en me disant que j’étais fou, que l’on pouvait nous surprendre. Elle me prit toutefois la tête à l’aide de ses mains et me maintint le visage appuyé contre son sexe. Puis ses mains quittèrent ma tête et commencèrent à ouvrir le haut de son tailleur. Elle commença alors à se caresser la poitrine à travers son petit haut, je vis ses tétons se dresser dangereusement et sortir de leurs mailles. Puis je lui demandai de me faire une fellation (j’adore être sucé en voiture, que voulez-vous). Elle se pencha vers moi, les fesses collées à la portière, et commença à me sucer. Ce fut à cet instant-là que je vis nos trois gars de tout à l’heure à deux mètres de notre voiture. Ils se rinçaient l’œil abondamment. Ma femme ne pouvait pas les voir, car ils se tenaient juste derrière elle. Bien évidemment, je ne lui en dis rien et la laissai continuer ce qu’elle avait si bien commencé. Avec ma main droite, je soulevai sa jupe complètement, de sorte qu’elle se retrouva penchée sur mon sexe, les fesses bien relevées et la vulve apparente. Un des mecs me fit un clin d’œil puis un signe avec son pouce semblant vouloir dire OK. Je dis à ma femme :
Ça y était ! Elle reconnaissait qu’un petit piment ne gâcherait rien à notre relation à tous les deux ; j’avais enfin réussi à faire pénétrer dans son esprit l’idée d’une troisième personne dans nos ébats, même si ce n’était que passivement ! J’étais très satisfait de mon petit manège, il faut le reconnaître. Je lui demandai alors de se retourner quelques instants.
Quand elle vit que trois mecs nous observaient, je crus qu’elle allait avoir une attaque. Elle me demanda de démarrer immédiatement. Je lui rappelai ce qu’elle venait de m’avouer et lui demandai de continuer à me sucer. Ce qu’elle fit de mauvaise grâce, rabattant sa jupe sur ses jambes. Je lui remontai alors celle-ci, afin que nos spectateurs ne soient pas déçus de ce que nous leur offrions. Elle me laissa faire, assez curieusement, et me pompa comme rarement elle m’avait pompé. Je la sentais engloutir mon membre entièrement, pendant qu’elle me caressait les bourses avec rage. Pendant ce temps-là, je lui caressais le minou, passant mon doigt sur son petit trou, sur sa poitrine. Puis j’entrais deux doigts dans sa chatte, qui était littéralement trempée, et la masturbais comme ça. Je n’arrêtais pas de lui dire à quel point ce serait bon pour elle de se faire prendre dans la voiture par le plus beau des trois types, comme ce serait bon qu’il lui caresse les seins, le cul, les pieds, les jambes. Comme ce serait bon qu’il lui entre un doigt dans le cul pendant qu’elle le sucerait ! Je ne suis pas certain, mais je crois qu’elle a joui grâce à mes seuls doigts. Moi, de mon côté, j’ai longuement éjaculé sur son tailleur. J’avais rarement joui comme ça, je dois dire.
Je saluai les types et nous rentrâmes à la maison, où nous refîmes l’amour comme des bêtes, dans tous les sens et par tous les trous.
Nous ne reparlâmes plus jamais de cet épisode, mais je ne cessai de l’embêter avec mon fantasme, lui disant que si elle voulait vraiment me faire plaisir il faudrait qu’elle se fasse prendre par un type devant moi. Elle ne céda pas, à mon grand désespoir.
Un beau soir, alors que je ne m’y attendais pas le moins du monde, ce fut ma femme qui me reparla de ce fantasme. Elle était presque nue et me demanda de lui mettre le bandeau sur les yeux, ce que je fis bien volontiers, puis elle se mit à quatre pattes, comme lorsque je lui avais parlé de mon fantasme pour la première fois, et me demanda si je voulais jouer à un petit jeu. Vous pensez bien que je ne refusai pas ! Elle me demanda de faire comme si nous étions dans une chambre d’hôtel, que je sortais de notre chambre et qu’un type de l’hôtel entrait dans celle-ci et se faisait passer pour moi, profitant du fait qu’elle ne pouvait rien voir. De peur qu’elle ne change d’avis, je m’empressai de sortir de la chambre, puis frappai trois coups à la porte. Personne ne répondit. Je frappai à nouveau, puis, en l’absence de la moindre réponse, entrai. Quelle vision ! Je vis ma femme à quatre pattes, comme je l’avais laissée deux secondes auparavant, les fesses cambrées au maximum, avec ses bas et ses porte-jarretelles. Ses seins touchaient presque le sol. Elle demanda :
Je grommelai une réponse, et sans préambule aucun, sortis mon sexe du pantalon pour le mettre directement dans sa chatte trempée et ouverte. Je la besognai alors comme un fou, claquant ses fesses qui prirent une teinte rosée et la tenant fermement par les hanches. Je caressais son petit trou avec mes doigts enduits de salive, et en fis entrer un légèrement. Ma femme était comme folle, elle faisait aller son cul contre mon bassin de plus en plus fort, ce fut elle qui s’empala sur mon sexe plus que moi qui la pénétrai. Elle jouit très vite, et moi aussi, d’ailleurs… je lui éjaculai sur les fesses puis étalai le sperme sur son dos et son anus.
Quelques minutes plus tard, je lui demandai la raison pour laquelle elle avait fini par accepter l’idée qu’un autre mec la prenne. Elle me répondit tout d’abord que c’était surtout une vue de l’esprit et qu’il n’était pas question pour elle de passer à l’acte, mais après l’avoir un peu poussée dans ses retranchements, elle m’avoua qu’elle avait discuté avec un type au café, prénommé Jean, et qu’elle avait été plutôt séduite. C’était un type ayant la quarantaine, bien de sa personne, et PDG d’une start-up. Il lui avait offert le café et avait semblé vraiment déçu quand il avait appris qu’elle était mariée. Ce type n’habitait pas très loin de chez nous et elle m’avoua même qu’elle avait songé, « en pure vue de l’esprit » (je cite) monter chez lui pour reprendre un café. J’allai même jusqu’à lui faire reconnaître que si Jean lui avait proposé d’aller plus loin, elle n’était pas sûre qu’elle lui aurait dit non.
Ces paroles étaient pour moi comme du pain bénit. Je décidai d’en profiter.
Le soir même, lorsque nous fîmes l’amour, j’éteignis la lumière et demandai à mon épouse d’imaginer que c’était Jean qui la prenait. Elle se plaça d’emblée sur le dos, me serra le corps avec ses cuisses musclées et appuya elle-même sur mes fesses pour que je la pénètre. Je lui demandai alors de faire comme si j’étais Jean. Après quelques instants de flottement, elle commença à gémir en disant :
Moi, je la besognai de plus en plus fort, m’agrippant à ses seins, en pinçant les bouts, les lui mordillant. Puis je la retournai dans le noir et la pris en levrette, ma femme continua de prononcer le prénom de l’autre, elle bougeait son cul tellement fort que j’en avais mal aux couilles. Je lui donnai des claques sur les fesses. Puis je fus pris d’une soudaine inspiration. J’humectai son petit trou à l’aide de sa mouille et y entrai un doigt. Elle se dandina, mais ne se refusa pas à l’introduction de mon doigt. Vous imaginez bien que je ne comptais pas en rester là, aussi je sortis mon sexe de sa chatte et le positionnais juste à l’entrée de son anus. Elle ne protesta pas et je décidai donc de continuer mon petit jeu. Progressivement, à force de patience, je parvins à entrer mon sexe en entier dans son petit trou du cul. Ma femme ne bougea pratiquement plus, quand même un peu inquiète. Moi, de mon côté :
Elle recommença alors à remuer autour de mon sexe tendu comme rarement il l’avait été. J’y allai doucement au début, puis je me déchaînai, ma femme hurlant littéralement le prénom de Jean. Elle ne tarda pas à jouir dans cette position, et je ne tardai pas de mon côté à répandre ma semence dans son petit trou, désormais moins petit.
Nous discutâmes d’autres choses, puis nous nous endormîmes. Le lendemain, nous ne reparlâmes pas de cet « incident », et je sentis ma femme gênée quand j’essayai de le faire.
Jusqu’au jour de mon anniversaire, il y a un mois, où elle me fit le plus beau des cadeaux : elle me dit, dès le lever :
Plutôt deux fois qu’une que j’étais d’accord ! Je n’allais pas laisser passer une telle occasion, sauf que je n’avais que deux semaines pour trouver le candidat idéal.
Le lendemain, au boulot, je passai mon annonce sur plusieurs sites spécialisés, joignant une belle photo de mon épouse dans une position… non équivoque.
Autant vous dire que je reçus un nombre impressionnant de réponses. Certaines furent éliminées d’emblée, soit parce que les mecs semblaient trop cons ou directs, soit tout simplement parce que je savais que leur physique ne correspondait pas à celui que ma femme préférait. Je me retrouvai finalement avec cinq annonces valables, et les montrai enfin à mon épouse. Elle en élimina trois ; il n’en restait donc plus que deux, et je reconnais qu’elle semblait avoir fait de bons choix. L’un des mecs avait notamment un sexe impressionnant. Puis elle vit les deux types en réel… et ne fut pas satisfaite. J’étais désespéré, et il ne me restait plus qu’une semaine…
Ce fut alors que je reçus L’annonce. C’était celle d’un type qui faisait des pornos amateurs et qui avait été séduit par la photo : il recherchait en effet une femme de son âge qui n’avait pas une trop grosse poitrine. Je n’osai tout d’abord pas en parler à mon épouse, de peur qu’elle ne se mette à me battre ! Puis, à deux jours de l’échéance fatidique, je me décidai.
Contrairement à ce que j’avais craint, ma femme ne poussa pas de cris quand je lui en parlai. Elle me demanda simplement si le type avait envoyé des photos du mec qui la prendrait dans le film. Qu’à cela ne tienne, lui dis-je, je vais demander au type – il se prénommait Alain. Le soir même, nous reçûmes la photo de « l’acteur ». Il était vraiment bien foutu. Légèrement poilu, il était très musclé sans l’être trop. La quarantaine, pas bedonnant pour deux sous, son visage était sérieux. Cerise sur le gâteau, il avait un sexe de belle taille (en érection sur la photo), même si ce n’était pas Rocco Siffredi. Ma femme fut satisfaite, me mettant cependant en garde concernant les photos envoyées et la réalité. De plus, la taille du sexe du type (qui d’après la photo se prénommait Yann) était pour lui plaire ; en effet, elle n’aime pas que le sexe soit trop gros, car le sien est assez étroit.
Bref, nous prîmes rendez-vous pour le lendemain soir avec le réalisateur ainsi qu’avec l’acteur. Nous fûmes séduits tous les deux, il faut être franc. Les deux types avaient de la classe, et le porno qu’ils envisageaient de tourner n’avait pas l’air glauque comme c’était le cas la plupart du temps. Ma femme lui parla de notre petit jeu-pari, à savoir que le tournage (avec elle en tout cas) devrait être fait le lendemain ou pas du tout. Cela ne sembla pas déranger le réalisateur, qui nous donna rendez-vous le lendemain après-midi dans son appartement.
Pendant toute la soirée, ainsi que la matinée suivante, ma femme refusa d’aller plus loin avec moi que de simples petits pelotages sans conséquence. J’étais pourtant excité comme un âne. Elle aussi semblait très excitée, mais m’avoua qu’elle préférait garder la forme pour le tournage. Et c’est vrai que toute la soirée et le lendemain matin, je pus vérifier que son sexe était littéralement trempé. Elle accepta seulement de me sucer jusqu’à ce que je lui éjacule sur les seins (elle avait toujours refusé d’avaler ma semence). Je dus même me masturber plusieurs fois dans la soirée pour calmer un tant soit peu mon excitation grandissante.
Vers midi, elle s’habilla pour se rendre au rendez-vous chez Alain – il faut bien l’appeler par son prénom – dans le 11e arrondissement. Elle avait revêtu pour l’occasion une tenue très sexy, à la demande d’Alain qui n’était pas pourvu de « costumes de scène » très élaborés. Il faut dire qu’il s’agissait d’une production amateur. Elle portait une petite robe noire en cuir, boutonnée sur le devant, très courte, elle portait également un manteau en cuir. Elle ne me révéla toutefois pas ce qu’elle avait mis en dessous, me réservant la surprise pour plus tard. J’acceptai, même si j’étais un peu jaloux de ce manque de confiance.
Une fois arrivés à l’adresse indiquée par Alain, nous sonnâmes à l’interphone, et une voix de mec nous demanda de monter. Mon cœur battait la chamade, et je voyais bien qu’il en était de même pour mon épouse. Elle me demanda une dernière fois si j’étais bien sûr de vouloir aller jusqu’au bout, si je ne regretterais pas par la suite de l’avoir vue se faire baiser par un autre type. Je lui confirmai mon intention, bien que finalement, je n’en étais plus si certain que la veille.
Le type nous ouvrit au premier coup de sonnette, et nous fit entrer. L’appartement était assez grand : il y avait un grand salon, très classe, et aussi deux chambres. Il y avait dans la pièce principale le réalisateur, l’acteur que nous avions vu la veille, et aussi un autre mec, plus jeune (il devait avoir trente-cinq ans environ).
Alain fit les présentations :
Ma femme me glissa à l’oreille que ce n’était pas prévu et que ça la gênait quand même un peu qu’un troisième gars assiste au tournage. Je lui répondis que cela ne devait pas la gêner, qu’il devait en voir tous les jours et que de toute façon, il n’était certainement pas prévu qu’il participe. Mon épouse sembla un peu rassurée. Je pense que le fait qu’Éric était beau gosse lui aussi n’y était pas étranger.
Alain demanda :
C’était ma femme qui venait de prononcer ces paroles. J’étais un peu vexé quand même, et frustré aussi. Mais bon, elle avait fait des efforts surhumains pour moi, je ne pouvais pas me montrer plus exigeant quand même. Donc j’acceptai.
Ma femme me glissa à l’oreille :
Puis elle m’embrassa langoureusement sur la bouche, faisant tournoyer sa langue à l’intérieur de ma bouche. J’essayai rapidement de passer une main sous sa robe, mais n’eus pas le temps d’aller plus haut que les genoux. Je ne savais pas si elle portait des bas, mais bandais quand même déjà comme un taureau. J’eus simplement le temps de sentir qu’il s’agissait de résilles fines.
Alain me conduisit dans une petite pièce où se trouvaient un lit et, comme il me l’avait annoncé, un petit écran de télévision (un moniteur de contrôle). Je m’assis sur le lit et regardai ce qui se passait sur l’écran. Pour l’instant, il n’y avait personne dans le champ, juste un plan sur une table de salon. J’entendais discuter dans la pièce à côté, dont la porte était fermée. Probablement les derniers réglages et les dernières consignes qui durèrent environ un quart d’heure.
Soudain, je vis ma femme apparaître, faisant un grand sourire à la caméra, suivi d’un clin d’œil sans doute à mon attention. Toute peur semblait l’avoir fuie. Ensuite, je vis arriver Yann, encore habillé. Il s’approcha de ma femme, la prit dans ses bras et la serra contre lui ; je pense qu’il était censé y avoir de la musique, car on aurait dit qu’ils dansaient un slow. Yann ne cessait de glisser des mots à l’oreille de ma femme, qui devait trouver ça drôle, car elle n’arrêtait pas de rire à gorge déployée, la tête penchée en arrière.
Yann déposa alors un premier baiser dans le cou de ma femme. Elle sembla apprécier cette privauté, car l’instant d’après elle approcha sa bouche de celle de Yann et lui roula une pelle. Ce baiser était langoureux et dura près de deux minutes. Je voyais la langue de ma femme entrer et sortir de la bouche de Yann, elle lui léchait parfois l’extérieur des lèvres et prenait goût à la chose. Elle jouait le jeu à fond… à moins qu’elle ne joue pas du tout la comédie. Je ne pouvais empêcher une certaine jalousie de poindre en moi de voir ma femme embrasser et se faire embrasser par un mec, beau qui plus est. Le réalisateur fit même un gros plan de ce baiser loin d’être chaste.
Yann commença alors à faire aller ses mains sur le corps de ma femme, il lui caressa d’abord les fesses par-dessus la robe, puis la poitrine ; ma femme ne cessait de rire et de se laisser aller à ses caresses. Il la pelotait maintenant sans vergogne, appuyant ses caresses sur le postérieur de mon épouse, essayant de faire entrer la robe entre ses deux globes. Puis ma femme, d’elle-même, fit reculer Yann et commença à déboutonner sa chemise… Il était maintenant torse nu. Puis elle s’accroupit et entreprit de lui défaire son pantalon après lui avoir ôté ses chaussures. Le mec était debout et l’on voyait à travers son caleçon moulant que les efforts de ma femme n’avaient pas été vains, une belle bosse le déformait à présent. C’est ce moment que choisit Yann pour déshabiller mon épouse. Il défit les boutons de sa robe un à un, en commençant par le haut. Une fois tous les boutons défaits, il laissa tomber la robe au sol. J’en eus le souffle coupé.
Ma femme ne portait pas de soutien-gorge et je pus voir, grâce au gros plan réalisé par Alain, qu’elle était réellement excitée : ses deux tétons étaient fièrement dressés sur son buste. Je fus assez surpris aussi par ce que je découvris en bas.
Elle portait des porte-jarretelles et ce qui semblait être de vrais bas résille, avec une couture à l’arrière. Je ne l’avais jamais vue ainsi vêtue, elle avait dû acheter ces bas pour l’occasion. Elle ne portait également qu’un tout petit string ficelle noir, qui lui rentrait dans le cul… Quand je pense qu’elle m’avait toujours affirmé que les bas résille et les strings-ficelle étaient vulgaires ! Yann émit un sifflement que j’entendis à travers la porte. Elle était drôlement bandante, vêtue de cette façon avec ses talons hauts…
La bosse de Yann dans son caleçon prit immédiatement de l’ampleur. Ma femme s’accroupit alors à nouveau et dégagea le sexe de Yann de son habitacle ; sa bite jaillit comme un diable de sa boîte, dressée à la verticale. Ce fut au tour de ma femme d’émettre un sifflement. Alain fit un gros plan sur son visage et je pus la voir passer sa langue sur ses lèvres, très vicieusement. À cet instant, je faillis sortir de ma pièce et demander à ma femme de tout arrêter, car je savais ce qui allait arriver dans les secondes à venir. Je n’en fis rien. Je l’avais voulu, il fallait que j’aille jusqu’au bout.
Elle prit alors les bourses de Yann délicatement dans ses mains, comme si elle voulait les soupeser, et les lui caressa. Yann avait la tête en arrière, elle avança ses lèvres, et, tout doucement, prit sa bite dans sa bouche. Je la voyais en gros plan enfourner le sexe énorme de son partenaire entre ses lèvres appétissantes. Elle allait et venait, caressant ses couilles en même temps, mordillant le gland, le branlant, parcourant parfois avec sa langue le sexe de Yann sur toute sa longueur, léchant les couilles avec avidité. Le plan s’écarta et je vis avec stupéfaction que ma femme se caressait le sexe en même temps qu’elle suçait la queue de Yann. Elle frottait sa main sur ses grandes lèvres, et y entrait de temps en temps un doigt ou deux. Elle avait les yeux fermés et semblait apprécier la situation. C’est vrai qu’avec moi, il lui était impossible de me branler en même temps qu’elle me suçait, car mon sexe, s’il est épais, n’est pas assez long. Avec Yann, elle était servie et s’en donnait à cœur joie. Je ne l’avais jamais vue aussi déchaînée et j’en étais quand même un peu jaloux. Énormément jaloux, allez, avouons-le !
Yann lui demanda, semblait-il, d’arrêter, et ma femme se releva ; ils s’embrassèrent à nouveau à pleine bouche, mélangeant leur langue et leur salive. Ma femme léchait même le pourtour des lèvres de Yann. Elle agissait comme une vraie salope, ce que finalement je lui avais demandé.
Il porta ma femme dans ses bras et la posa sur la table de la salle à manger, sur le dos, les cuisses largement ouvertes. Il lui arracha littéralement son string et lui fit poser les pieds sur la table, ce qui eut pour effet de lui ouvrir davantage la chatte. Alain s’approcha alors avec sa caméra et se positionna juste sur la chatte de mon épouse. Celle-ci était ravissante, bien rose, bien ouverte, et épilée à la perfection. Je ne vois pas comment un mec normalement constitué pourrait résister à une beauté pareille. Et Yann devait être normalement constitué, car je vis sa bouche approcher et sa langue sortir à deux centimètres de la chatte de mon épouse. Il lécha d’abord autour, sur les grandes lèvres et un peu sur les poils ; cela donnait au sexe de ma femme un aspect lustré qui m’excitait au plus haut point. Puis il fit pénétrer sa langue à l’intérieur, entièrement. Ma femme se tortillait littéralement sur la table. Alain était accroupi entre ses cuisses, et le plan s’élargissant, je pus voir qu’il lui malaxait les seins en même temps qu’il la léchait. Les yeux de ma femme étaient révulsés et elle semblait pousser de petits gémissements.
Il lui prenait les tétons entre les doigts, ce qui ne semblait pas déplaire non plus à ma femme, car je voyais ses tétons rougis par l’excitation. Yann abandonna provisoirement le sexe de ma femme et commença à lui lécher les orteils, puis il se mit alors debout et entra un premier doigt dans son vagin, visiblement dilaté. Je crus qu’il allait la prendre comme ça, car il commença à se caresser la tige devant le sexe offert, mais il n’en fit rien. Il lui glissa quelques mots à l’oreille et je la vis alors sourire vers la caméra. J’eus même droit à un clin d’œil accompagné d’un mouvement obscène de sa langue. J’étais au comble de l’excitation. D’ailleurs, j’avais sorti mon sexe de mon pantalon et me branlais avec douceur, passant ma main le long de ma queue pour ne pas jouir trop vite.
Ma femme tourna le dos à Yann et se pencha sur la table, les seins écrasés sur la marqueterie. Il écarta ses lèvres avec ses doigts et positionna sa queue à l’entrée de son vagin. Je voyais, grâce à un nouveau gros plan, sa chatte béante et humide, écartée par les doigts savants de Yann. Sa queue semblait dure comme l’acier et il me semblait également qu’elle avait encore grossi par rapport à tout à l’heure. Puis il s’enfonça peu à peu dans ma femme. Je l’entendis pousser un cri à travers la porte. Il appuya le torse de mon épouse sur la table et entreprit de la besogner tout d’abord lentement, puis de plus en plus vite ; je n’avais jamais baisé ma femme à cette allure-là. Je voyais les fesses de ma femme écrasées par les coups de boutoir de Yann. Il lui donnait des petites claques dessus. Ma femme allait à la rencontre de la bite de Yann, une vraie vorace, faisant aller et venir son cul à la rencontre de son bassin. Je l’entendais pousser de petits cris et je voyais le visage de ma femme comme je ne l’avais jamais vu : le visage d’une chatte en chaleur qui se fait prendre comme une bête.
Puis je vis Yann s’arrêter aussi brusquement qu’il avait commencé et glisser à nouveau quelques mots à ma femme. Celle-ci se redressa, puis ce fut Yann qui s’allongea sur le dos sur la table. Ma femme grimpa tant bien que mal et se plaça au-dessus de sa queue, face à lui. Elle s’empala dessus, lentement, doucement. Yann était sagement posé sur la table, la queue dressée comme un « i » et c’est ma femme qui imprimait ses mouvements à leurs ébats. Elle montait et descendait sur sa bite à une vitesse vertigineuse, je ne l’avais jamais vue comme ça. Elle avait posé ses mains sur le torse de Yann pour s’en servir comme appui. Yann avait l’air ravi d’être tombé sur une femme pareille… il avait l’air aussi endurant, car à ce rythme j’aurais joui depuis longtemps déjà.
Qu’elle était bandante, montée sur la queue d’un mec aussi bien membré, avec juste ses bas résille, ses porte-jarretelles et ses chaussures à hauts talons ! Quel mec n’aurait pas bandé ?
Brusquement, alors que leur partie de jambes en l’air battait son plein, je vis débarquer dans le champ de la caméra l’autre type, Éric, je crois, complètement à poil. Si la queue de Yann était déjà impressionnante, celle d’Éric était réellement énorme. Sa tige était très longue et surtout très épaisse. Il s’approchait dangereusement du couple que formaient ma femme et Yann. À ce moment-là, je ne pus tenir et me précipitai dans la pièce où avait lieu le tournage, la bite sortie du pantalon, pendante entre mes cuisses. Il y avait une odeur de sexe dans la pièce, une odeur de stupre. Tout le monde s’arrêta de bouger quand j’entrai.
À ma grande stupéfaction, j’entendis alors la voix de ma femme, douce, mais ferme :
Je n’en revenais pas ; elle qui refusait il y a trois mois encore la simple idée qu’un autre que moi la baise, la voilà maintenant qui accepte l’idée de baiser avec deux mecs en même temps, et qui plus est devant une caméra, pour un film qui sera sûrement visionné par plein d’autres types ! J’acceptai, mais à la condition sine qua non de ne pas retourner dans ma petite pièce et de tout voir en direct. Ma femme me demanda :
Voilà, les dés étaient jetés, rien n’allait plus. Il me fallait aller jusqu’au bout et accepter que ma femme soit devenue plus vicieuse encore que moi (ce qui me paraissait impossible il y a trois jours encore).
Je m’assis donc dans un petit coin de la pièce et attendis la suite des événements. Les événements ne se firent pas attendre d’ailleurs.
Éric (le plus jeune) s’approcha du couple. Ma femme et Yann étaient debout, face à face. Il lui caressait les fesses et les écartait afin qu’Éric puisse en profiter mieux. Éric se colla alors à mon épouse, la queue tendue, et frotta le corps de ma femme avec son gland. Ma femme se retrouvait serrée entre les deux hommes, au comble du ravissement. Deux hommes pour elle toute seule ! Ils se tripotèrent comme ça pendant dix bonnes minutes. À un moment, ma femme passa sa main derrière elle et empoigna la queue d’Éric. Elle poussa un cri de surprise.
En réponse à cette supplique, Éric lui embrassa le cou, puis, une fois que ma femme tourna la tête, lui roula une longue pelle. Elle était plus vicieuse que jamais. Pendant ce temps-là, Yann lui suçotait les bouts-de-sein qui étaient tellement gros et rouges qu’on aurait dit deux cerises.
Yann – le plus expérimenté – prit les choses en main. Il demanda à ma femme de se pencher en avant vers lui pour lui tailler une pipe (en fait, ils ne se disaient rien, car il semblait que ma femme comprenait instinctivement ce qu’on lui demandait). Elle fit donc ce qu’on attendait d’elle et se courba en avant pour finalement prendre la queue de Yann dans sa bouche, après s’être consciencieusement pourléché les babines. Éric lui appuya sur le dos afin qu’elle soit cambrée au maximum, puis lui lécha la chatte quelques instants. C’était inutile tellement celle-ci était mouillée ! Il plaça son énorme queue à l’entrée de sa chatte et poussa. Ma femme ne put retenir un hoquet de surprise et je crois même qu’elle mordit légèrement Yann, qui lui aussi poussa un petit gémissement. Sa queue entra petit à petit, sous les gémissements de mon épouse, puis finalement entra tout à fait. Je m’étais levé pour voir ça de près, c’était assez impressionnant, je dois dire, de constater que tout était entré. Je pense que c’est parce que ma femme était vraiment très excitée, car d’habitude il est difficile d’entrer de trop gros objets. Il la pilonna ensuite comme un damné, claquant ses fesses, la tenant par les hanches, entrant totalement puis sortant complètement sa bite. Il frottait parfois sa queue contre les lèvres de ma femme. Chaque fois qu’il se retirait, je voyais sa chatte un peu plus élargie et béante, une vraie grotte. Ses lèvres étaient distendues par la pénétration, c’était magnifique. Et Alain filmait tout cela consciencieusement, avec application, sans bander et sans se toucher. Comment faisait-il, nom de nom ?
Au bout d’un quart d’heure, Yann dit à ma femme qu’il ne pourrait se retenir très longtemps dans sa bouche et que si elle souhaitait qu’il lui éjacule sur les seins, il n’y avait pas de problème. Elle fit non avec sa tête et le pompa à qui mieux mieux. Ce qui devait arriver arriva, Yann se crispa, tenant le visage de ma femme avec ses mains, et s’arcbouta dans un premier spasme. Il éjacula dans sa bouche de longs jets filandreux dont je voyais une partie ressortir et couler sur son menton. Elle se lécha les babines puis le gland de Yann pour boire le reste de sperme qui s’y trouvait encore. Elle murmura un « mmmmmmh » à me rendre fou, moi à qui elle n’avait jamais accordé ce privilège suprême. Yann se retira et Éric, qui pilonnait toujours ma femme, la força à se mettre les genoux à terre pour la prendre en levrette. Ma femme s’exécuta sans problème et se retrouva donc à quatre pattes à nouveau. Éric la prit comme une chienne, sa queue entrant et sortant, jusqu’à ce que mon épouse prévienne qu’elle allait jouir… Elle poussa d’abord de petits gémissements, disant que ça venait, puis elle poussa carrément des cris de sauvage, des « oui », des « vas-y », des « bourre-moi », des « tu me fais jouir », Éric sortit alors son sexe de la chatte de ma femme et éjacula de longs jets sur son dos et dans son trou de balle, étalant le sperme sur son corps. Ma femme se retourna alors et entreprit de faire ce qu’elle avait fait à Yann, c’est-à-dire de lécher le gland du mec qui l’avait si bien fait jouir, afin d’en nettoyer le sperme.
De mon côté, je ne pus me retenir plus longtemps et éjaculai aussi sur son corps. Elle ne me lécha pas la queue, en revanche.
Elle avait l’air fatiguée et s’allongea par terre, les pattes écartées, sans aucune pudeur devant les quatre mecs (dont moi) qui pouvaient la voir. Je n’avais jamais soupçonné qu’elle puisse se laisser aller ainsi, elle qui était d’habitude si réservée. Elle s’alluma une clope, ses deux baiseurs également, et ils discutèrent de ce qui venait de se passer, du tournage, exactement comme si je n’étais pas là. J’étais vraiment très jaloux à ce moment-là, car il semblait exister entre eux une grande complicité. Il est vrai qu’ils avaient tout de même partagé un certain nombre de choses ensemble ! À un moment, mon épouse se leva et chuchota quelques mots aux oreilles d’Éric et de Yann. Les deux hommes sourirent et acquiescèrent de la tête.
Alors ma femme se leva, nous tourna le dos et appuya à nouveau ses mains sur la table. Elle se cambra comme une reine et tendit son joli petit cul taché de sperme vers Yann et Éric ; ils s’en approchèrent, leur queue déjà en érection… mais elle leur dit alors (je pense que tout cela était prévu) :
J’en étais vraiment baba.
Éric se plaça donc dans la position que ma femme lui avait demandé d’adopter, la queue dressée et énorme. Ma femme l’enjamba rapidement, puis s’empala d’un seul coup sur lui. Elle eut l’air d’apprécier cette pénétration, car elle ferma les yeux en souriant en sentant le membre d’Éric lui fouiller le corps. Éric lui donna quelques coups de queue bien appuyés, pendant que Yann caressait le petit trou déjà bien ouvert de mon épouse. Je pouvais voir les lèvres de son vagin complètement distendues s’ouvrir et se refermer au rythme des coups de bite d’Éric. Puis Yann prit sa queue dans sa main et la plaça juste à l’entrée du trou de balle de mon épouse. Elle gigotait comme une damnée, plantée sur la queue du plus jeune de ses amants. Yann poussa, poussa, poussa encore, jusqu’à ce que son sexe soit entièrement entré dans le cul de ma femme. Ils la prirent comme ça pendant un bon quart d’heure. De temps en temps, ma femme se tournait vers moi, souriant et hurlant des :
Elle passait vicieusement sa langue tout autour de sa bouche pendant qu’Éric lui écrasait les seins. Yann, de son côté, appuyait fortement sur le creux des reins de ma femme afin qu’elle soit cambrée au maximum. J’étais au comble de l’excitation, une excitation bien perverse. Il était manifeste que mon épouse prenait plus de plaisir à la chose que je ne m’y étais préparé. Cela me rendait fou de rage et de bonheur. Après un quart d’heure de cette double pénétration, les deux mecs prévinrent ma femme et le réalisateur qu’ils allaient jouir à nouveau. Ma femme leur demanda de jouir dans son corps, et les deux mecs, presque simultanément, se crispèrent et déchargèrent leur foutre dans ses deux orifices. Je pus voir le sperme couler de ses deux béances, pendant qu’elle, de son côté, hurlait son orgasme.
Complètement dépenaillée, la chatte et le cul gluants, ma femme se tourna alors vers moi et me dit simplement, d’un air épuisé et ravi :
Nous n’avons jamais reparlé de ce tournage, pas même quand Alain, le réalisateur, nous adressa gentiment une cassette des exploits de ma femme. Je dois vous avouer que j’ai regardé cette cassette un milliard de fois, et chaque fois ce fut la même explosion de rage et de bonheur.