n° 03610 | Fiche technique | 9147 caractères | 9147Temps de lecture estimé : 6 mn | 16/02/02 corrigé 25/04/22 |
Résumé: La mère de mon meilleur ami s'abandonne à une pulsion. | ||||
Critères: fh fplusag voiture intermast anniversai | ||||
Auteur : Prado |
Cette histoire est véridique, elle s’est déroulée il y a près de 12 ans. J’avais 18 ans et me trouvais avec un ami à une soirée anniversaire. La soirée rassemblait plusieurs camarades de classe et l’ambiance était plutôt ennuyeuse, les filles trop jeunes à mon goût.
Vers 23 h, les parents de mon ami avaient convenu de nous ramener en auto. Nous étions en effet à près d’une heure de route de nos domiciles respectifs.
La nuit était froide et humide, un orage crachait une pluie grasse sur toute la région. Les parents débarquèrent enfin dans une grosse berline. Le père, un type peu bavard à la mine austère, ne lâchait pas son volant. La mère, une grande brune plutôt jolie, vint à notre rencontre. L’alcool m’avait émoustillé et je fus saisi à la vue de ses hanches larges et de ses seins lourds qui se balançaient dans sa robe de soirée. Je cachai mon émotion et suivis mon ami vers la voiture.
Mon ami grimpa sur le siège avant et sa mère vint s’asseoir près de moi, sur la banquette arrière, tandis que le père manœuvrait déjà, pressé de rentrer chez lui.
Dans la voiture, nous étions tous silencieux, à la fois fatigués par notre soirée et fascinés par l’orage qui frappait les vitres. Un tonnerre effrayant suivait chaque éclair. Je vis rapidement mon ami s’assoupir, tandis qu’au volant, le père faisait tous les efforts possibles pour fixer la route.
Je jetais un coup d’œil vers la mère. Elle tremblait un peu sous l’effet d’un courant d’air froid qui soulevait sa robe. Elle tournait la tête vers la fenêtre. J’en profitai pour reluquer sa poitrine. Sa robe de soirée laissait apparaître par intermittence ses seins, solidement tenus par un bustier blanc. Je sentis monter une douce érection.
Sa main était posée au creux de ses cuisses, tirant le tissu à l’intérieur de ses jambes et laissant surgir sa jambe nue. Rouge de honte, je détournai le regard et essayai de contenir mon érection. Le tapage des gouttes sur le toit de la voiture et la chaleur des radiateurs commençaient à m’engourdir. Je jetai à nouveau un regard appuyé. Sa tête se tourna vers moi et elle me sourit.
Un peu gêné, j’opinai de la tête, l’œil attiré vers son buste. Elle sourit à nouveau.
Un regard à l’avant de la voiture, aucun mouvement, et elle vint d’un coup de reins blottir ses hanches contre moi. Je sentis au travers de la toile de mon pantalon la peau froide de sa jambe.
Tirant son long manteau de la plage arrière de l’auto, elle l’étendit comme une couverture sur nous deux.
Il n’y avait rien d’ambigu dans son geste, elle se souciait simplement de moi, comme une mère, mais je n’en menais pas large avec mon érection qui tendait douloureusement mon pantalon. Je ne dis rien. Sous le manteau, sa main se reposa sur la mienne. Surprise par le contact de la peau, elle la retira brusquement, prenant peut-être conscience de la situation.
Ensuite, il ne se passa plus rien pendant une quinzaine de minutes. Nos corps appuyés l’un contre l’autre s’échauffaient mutuellement. Je faisais semblant de dormir, la tête contre la vitre. Pour se mettre à l’aise, elle s’affaissa un peu, posant sa tête au creux de mon épaule, une main sur mon torse. Elle cherchait à s’assoupir. Mon bras gauche se retrouva presque libre autour de ses épaules. Petit à petit, je le libérai complètement. Aïe ! ma main se posa naturellement à la naissance de son sein gauche, pile dans l’échancrure de sa robe. Je ne bougeais plus, rouge d’audace, je gardais les yeux fermés.
Elle ne réagissait pas. Des images passaient dans ma tête. La mère de mon meilleur ami près de moi. Cette femme à l’allure bourgeoise m’avait toujours attiré avec ses formes généreuses, mais la force de l’interdit avait toujours pris le dessus et je n’avais jamais vraiment osé fantasmer sur elle.
Un soupir, elle somnolait. Je sentis sa main qui glissa du torse vers ma ceinture. Deux de ses doigts se heurtèrent à la bosse de mon pantalon. Je ne bougeais pas. Cinq minutes se passèrent. Je bougeai un doigt qui caressa son sein d’un geste naturel. Elle sursauta. Je m’immobilisai et soupirai, feignant de dormir. Sous mes paupières, je vis que ses yeux étaient ouverts. Elle était surprise de la situation mais n’osait pas bouger. Devant, rien, mon ami dormait, le père fixait la route. L’orage se déchaînait, couvrant les bruits dans la voiture.
Au bout de quelques minutes, j’eus la surprise de sentir sa main effleurer et couvrir complètement la bosse formée par mon sexe. Elle hésitait, c’était le moment crucial, elle pouvait encore changer de position et sauver la face. Ni vu ni connu, cela resterait un souvenir.
Je n’en revins pas ! je sentis sa tête glisser lentement sur mon torse et s’immobiliser à mi-hauteur. Le manteau nous couvrait toujours et s’arrêtait au niveau de son nez. Sa main s’agita et je sentis ses doigts me déboutonner, lentement. Elle était fébrile, mais insista… un, deux, trois boutons.
Délicatement, elle fit surgir mon sexe du caleçon. Je la sentis tâter du bout des doigts pour en évaluer la consistance et la taille, à l’aveugle. Mon sexe était assez gros, justement, pas très long mais assez épais. Elle lâcha un curieux petit grognement de surprise avant de commencer à me caresser doucement.
Je bandais dur mais j’étais complètement terrifié : que se passerait-il si le père ou mon ami se retournait ? J’imaginais tous les scénarios, mais les mouvements de sa main m’empêchèrent de débander. Elle empoigna doucement mon sexe pour le presser. Sa tête glissa lentement, sans bruit, et disparut sous le manteau. Seuls ses cheveux dépassaient et reposaient sur ma poitrine.
Le mouvement l’obligea à allonger ses jambes vers l’autre cote de la banquette arrière et à s’allonger, ce qui acheva de libérer ma main que je n’osai bouger. Du coup, celle-ci glissa naturellement sur sa poitrine, épousant un sein.
J’étais tétanisé.
Je sentis ses lèvres effleurer mon gland. Elle prit mon sexe dans sa bouche… un peu. La chaleur de sa bouche se transmit à ma chair. Sa main me caressa toujours puis vint serrer la base de mon sexe, comme un anneau, ce qui acheva de le tendre et le grossir. Je sentis sa langue se glisser et ses lèvres avancer… centimètre après centimètre. Mon sexe était presque entièrement dans sa bouche, ouverte au maximum. Je sentis qu’il était trop gros pour elle et elle commença à pousser de petits gémissements étouffés. Elle frissonnait de plaisir à sentir mon sexe qui emplissait sa bouche. Son corps commençait à remuer doucement.
Je ne bougeai toujours pas.
Je sentais qu’elle s’abandonnait tout en s’interdisant de faire le moindre bruit. Sa tête se releva brusquement et j’entendis un bruit de ventouse au moment où ma verge sortit d’entre ses lèvres. Par-dessus le manteau, elle jeta un coup d’œil devant.
Les autres n’avaient rien entendu, le grondement de l’orage masquait toujours les bruits. Sans attendre, elle replongea sur mon sexe et, cette fois-ci, entama une longue succion de haut en bas. Elle pressait ses lèvres pour sentir chaque parcelle de ma queue.
Je n’y tins plus et décidai de bouger ma main pour la plaquer brutalement sur sa tête. C’était la surprise. Elle s’immobilisa un instant mais resta en place. Je décidai de presser sa tête sur mon sexe pour qu’elle reprenne son mouvement. Je sentis que j’allai éclater. Elle le comprit et accéléra son mouvement alors que je caressais ses cheveux. Elle engloutit mon sexe tout en faisant pivoter sa tête. Sans un bruit, je lâchai tout d’un coup plusieurs longs jets de semence dans sa bouche. Elle cessa ses mouvements et je sentis qu’elle jouissait de chaque trait.
Quand elle réalisa que je ne bougeais plus, elle passa sa langue le long de ma verge, comme pour une ultime toilette. Enfin, elle leva sa tête et tendit son visage vers moi. Je sentis son haleine chaude, mais surtout, je vis son regard, presque fou, halluciné de notre audace. Son cœur battait à tout rompre.
Je me reboutonnai prestement pendant qu’elle se détournait. Elle s’allongea de l’autre côté et ne bougea plus jusqu’à la fin du voyage. Nous n’avions échangé aucun mot.
Il n’y eut jamais de suite à cette aventure. Après mes études, je quittai la région et ne revis plus mon ami.
Je garde le souvenir de ce voyage pour toujours.