n° 03612 | Fiche technique | 8903 caractères | 8903 1599 Temps de lecture estimé : 7 mn |
19/11/23 corrigé 19/11/23 |
Résumé: Deux soeurs découvrent leur amour pour l'autre et se le disent par cris de jouissance. | ||||
Critères: ff freresoeur photofilm fmast intermast cunnilingu fgode bougie | ||||
Auteur : Julm24 (Amateur d'amour lesbien) Envoi mini-message |
Je suis la dernière d’une famille de trois enfants. J’ai un frère de 22 ans qui s’appelle Romain et une sœur de 24 qui s’appelle Sonia. Moi, je m’appelle Élise et j’ai aujourd’hui 20 ans. L’aventure que je vais vous raconter s’est déroulée l’année dernière, à l’occasion d’un week-end en famille.
Je m’entends très bien avec ma sœur Sonia avec qui je peux discuter de tout et confier tous mes sentiments. Ce samedi-là, mes parents et mon frère étaient sortis et je me retrouvais toute seule avec elle. Nous parlions des films que nous aimions, de ceux que nous aimerions voir quand nous décidâmes de regarder « les bronzés », histoire de rigoler un peu.
C’est parti, nous nous installons et lançons la cassette. Jugnot et sa bande s’engueulent ou s’amusent durant une dizaine de minutes et tout à coup, l’image se dégrade et le générique d’un film porno se déroule. Quelle rigolade, c’est sûrement notre frère qui s’est trompé de cassette en l’enregistrant. J’attrape la télécommande et éteins le magnétoscope. Ma sœur réagit aussitôt :
Nous rigolons.
Là, je peux maintenant me lâcher et avouer mon goût pour ce style de film.
Je reprends la télécommande et relance la cassette. La scène se passe dans une prison féminine dans laquelle les gardiennes et les détenues sont plutôt sexy. Aie aie aie, je les vois venir, un film avec des lesbiennes. Non loin de me dégoûter, ce genre d’amour entre filles m’a toujours fasciné sans que je ne sois jamais passée à l’acte. Pourtant, je le prévois un jour. Je veux continuer à voir ce film, mais ma sœur approuvera-t-elle ?
Elle ne dit rien et la cassette continue de se dérouler dans le silence quand la première scène hard débute. Deux détenues qui se font du bien dans leur cellule. Pour faire bien, je dis :
Cette situation commence vraiment à m’exciter alors qu’au même moment, les deux belles créatures à la télé se frottent leur chatte l’une à l’autre, quand ma sœur reprend :
Cette phrase terminée, que son pantalon et son pull sont déjà retirés. Elle est maintenant en petite culotte et soutien-gorge.
Sur ce, je me déshabille et enlève même ma culotte pour lui montrer que je ne suis pas aussi prude qu’elle le croit.
Nous sommes maintenant nues et nous nous branlons devant ces magnifiques lesbiennes. Je jette de temps en temps un œil sur Sonia qui prend vraiment son pied. Elle a une façon exquise de se masturber et je ne peux m’empêcher de la regarder, de regarder cette superbe chatte qui n’est pas la mienne. Elle s’en rend compte, se tourne d’un quart de tour pour m’en montrer un peu plus. À cette vue, mes propres mouvements s’accélèrent et je pousse des petits cris de jouissance qui n’échappent pas à ma sœur. De son côté, elle est en train de jouir, de prendre son pied comme jamais je n’ai vu une femme le faire. Ces cris sont si beaux, son sexe si intéressant que je ne me contrôle plus. Je suis en transe, ma main droite s’active sur mon clitoris comme jamais elle ne l’a fait et ma main gauche me triture les seins à m’en faire mal… Que j’aime ça ! Je n’ai plus aucun contrôle et de voir ma sœur me regarder droit dans les yeux alors qu’elle jouit ne m’aide pas à me calmer. Sans que je ne m’en rende compte, ma main gauche vient se coller sur la chatte de ma sœur qui ne s’en émeut pas et qui retire même la sienne pour lui laisser plus de place.
Je suis en train de branler ma sœur et elle apprécie. Sans un mot, sans une explication, elle me retire la main, se relève doucement, approche son visage du mien, sa bouche de ma bouche, et pose doucement ses lèvres sur les miennes. Elle sort sa langue et la fait pénétrer dans ma bouche. À cet instant, j’embrasse ma sœur comme je n’ai jamais embrassé quelqu’un, nos langues se tordent dans tous les sens, notre salive se mélange. Sans m’arrêter, je sens sa main venir se coller sur mon sexe en feu, puis un doigt vient s’y insinuer. Je ne peux plus respirer, je suis en train de jouir sous la main de ma sœur. Sa langue se retire de la mienne et descend sur mes seins, elle mordille mes tétons, elle les lèche, elle les embrasse. Elle continue à descendre jusqu’à ma chatte, retire son doigt pour y glisser sa langue qu’elle tourne dans tous les sens, me mordille le clitoris, me lèche les petites lèvres. Je n’en peux plus, je jouis comme jamais aucun homme ne m’a fait jouir, j’ai des spasmes dans tout le corps quand, tout à coup j’ai une éjaculation comme très peu de femmes la connaissent.
Le visage de ma sœur est tout mouillé, comme le canapé d’ailleurs. Sans s’essuyer, elle revient coller ses lèvres sur les miennes. Je suis en train de me goûter, de goûter à ma mouille et la salive de ma sœur. Mes muscles se relâchent et je tombe à bout de force sur le canapé en criant MERCI. Sonia me sourit et vient se coller à moi, me prenant dans ses bras en continuant à le lécher le visage à m’ôter toute la sueur qu’elle m’a provoquée.
Nous nous reposons quelques minutes dans les bras l’une de l’autre jusqu’à ce que je lui dise « je t’aime » et qu’elle me réponde la même chose. Nous comprenons que cette complicité que nous avons depuis toute petite n’est en fait que de l’amour. À ce moment, nous nous sentons fortes, prêtes à tout vaincre sur notre passage. Je la remercie pour cette jouissance et lui propose de lui en donner autant.
Sonia se couche sur le canapé, les jambes écartées tout en me regardant amoureusement. J’approche mon visage de son sexe. Il sent bon, il est beau. Je lui donne quelques coups de langue pour le goûter et pour faire connaissance avec lui. Elle apprécie ces caresses. J’introduis un doigt dans sa fente, ce qui la fait sursauter, puis deux doigts, elle en redemande. La voyant se cambrer, je vois que je suis dans la bonne direction, ma sœur se donne à moi. Ma langue tournoie dans son con, son clitoris se gonfle de plaisir, prêt à exploser. Je m’arrête et descends dans la cuisine. Elle ne comprend pas jusqu’à ce que je revienne avec une bougie d’à peu près cinquante centimètres sur quatre de diamètre. Je commence par frotter le bout de la bougie sur sa chatte, sans trop l’appuyer. Elle devient folle, elle en veut plus et me le fait comprendre. Je l’introduis alors violemment sans qu’elle s’y attende. Elle pousse un cri de douleur, mais revient rapidement dans un état de jouissance alors que je commence mes va-et-vient dans sa fente. Du jus coule le long de la bougie que je ramasse avec ma langue. Je veux moi aussi reprendre mon pied et je me mets face à elle. Nos chattes se touchent presque. Je prends la bougie pour la réintroduire en elle, je m’approche et enfile l’autre bout dans mon con. Nous commençant lentement des mouvements de va-et-vient puis, petit à petit, l’action se précipite, nos gestes deviennent incontrôlables. Nous poussons des cris de plaisir dans toute la maison, nous jouissons toutes les deux de la même manière. La jouissance de l’une provoque le plaisir de l’autre. Au bout de dix millimètres, n’en pouvant plus, nous nous arrêtons pour nous reposer. Le canapé est souillé par nos mouilles. Je m’allonge sur elle, la tête sur son mont de Vénus, et m’endors avec son odeur.
Aujourd’hui, nous vivons toutes les deux dans le même appartement à Bordeaux et nous affichons à tout le monde notre amour de lesbienne. Les gens ne savent pas que nous sommes sœurs, à part quelques amies aussi cochonnes que nous qui partagent nos ébats amoureux.