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n° 03626Fiche technique9196 caractères9196
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Temps de lecture estimé : 7 mn
19/11/23
corrigé 19/11/23
Résumé:  Je vous ai déjà parlé de Pascale, ma voisine, institutrice, et gouine. Un soir récent, je ramène du restaurant, après l'heure de fermeture, un peu de tarte tatin, et j'ai envie de lui en faire profiter...
Critères:  ff couleurs intermast cunnilingu fdanus
Auteur : Olivia  (Jeune femme métisse, exhibitionniste par les mots)      
Un soir de gouines

Je vous ai déjà parlé de Pascale, ma voisine, institutrice et gouine. Enfin, pas essentiellement gouine, parce que quand même, lorsque certains samedis soirs on drague ensemble un garçon, elle ne laisse pas sa part…

Un soir récent, je ramène du restaurant, après l’heure de fermeture, un peu de tarte Tatin, et j’ai envie de lui en faire profiter. Je me présente à sa porte et, comme à mon habitude, j’entre sans frapper. La maison est calme. Quelques lampes ci et là créent une atmosphère douce.

Je pose le plat sur la table en bois et monte à l’étage en appelant mon amie. Quelques bruits de voix, des murmures plutôt, me mettent la puce à l’oreille. Je la retrouve, effectivement pas seule, dans son lit. Elle est bien trop occupée pour m’entendre arriver. Voilà la scène : je vois d’abord un cul, un joli cul, bien rond. Deux mains, celles de Pascale, sont plaquées sur chaque globe. Son visage est enfoui entre eux et, vu son agitation, elle ne fait pas que regarder. Pascale est blonde, je ne vois d’elle que ses cheveux blonds, défaits. La fille dont elle s’occupe est brune. Je le vois tout de suite parce qu’entre ses fesses il y a un duvet brun tout luisant de la salive de Pascale.


Mon amie m’invite du regard. La fille avec elle, c’est Djamila, qui sert au restaurant avec moi. Je ne suis pas très étonnée. J’avais remarqué leur manège, ce soir. Et puis son ami était passé, peu avant la fermeture pour la chercher, mais elle était déjà partie.


Djamila est toute jeune, très belle, très brune en effet. Pas très grande, elle a un corps parfait, des gros seins, des petites fesses bien cambrées. Djamila a gardé ses bottes en cuir noir, son t-shirt et même sa culotte. En fait, elle n’a enlevé que sa jupe longue. Pascale s’est contentée de l’écarter pour pouvoir la déguster. Djamila, elle aussi, savoure à cet instant la chatte de Pascale, une chatte toute rose sous ses grandes lèvres bien ourlées et qu’aucun poil ne couvre. Une chatte que je ne vois pas sous la masse de cheveux noirs, mais que je connais bien. Pascale est la plus âgée de nous trois, la quarantaine lui va bien. Elle est très sensuelle, toute en rondeur, les seins énormes, les fesses épanouies, splendides !


Je jurerais que la fille ne m’a pas entendue arriver. Je me déshabille en silence : j’enlève mon jean, mon t-shirt. J’enlève aussi mon soutien-gorge bleu. Je n’ai pas de culotte. Pascale ne me quitte pas des yeux, tout en dardant sa langue entre les fesses de son amante.

Hmm ! Je veux aussi venir goûter ce délice. Je m’accroupis près du visage de mon amie, me penche vers ses lèvres et viens y cueillir un baiser très épicé, à la saveur marquée de Djamila. Me voilà comme enivrée. Je me joins à mon amie, je lèche la raie duveteuse, couverte de salive. Notre jeune compagne laisse échapper un grand soupir, mais ne commente pas ma présence qu’elle ne peut plus ignorer. Pascale et moi, nous nous disputons son sexe et ses fesses, livrés à notre audace. La première, je force l’anus brun, le mouillant abondamment. Je joins mes doigts, j’enfonce mon pouce. Djamila se montre rebelle. J’insiste, je pousse, l’œillet cède, s’ouvre, et je me glisse dans une douce cavité de soie. Djamila crie : une succession de petits cris… d’abord une plainte, ensuite une demande. Pour la première fois, je lui fais entendre ma voix :



Pascale glisse ses doigts dans la chatte ruisselante. Djamila se fait accueillante, docile. Je sens la présence des phalanges de mon amie. Nous nous caressons à travers la fine paroi qui nous sépare. Nous manquons de douceur, mais Djamila part soudain dans un orgasme qui nous broie, secouant son bassin d’un surprenant soubresaut.



Pascale resserre ses cuisses sur la tête de sa jeune amante, comme si elle craignait sa fuite. Elle s’agite, comme si elle se branlait toute seule.

Alors, je me décide à devenir la maîtresse du jeu. Je sépare les deux femmes. Djamila semble seulement réaliser que c’est moi qui suis là. Elle me regarde, étonnée, n’ose pas dire un mot. Pascale et moi, nous nous enlaçons, seins contre seins, bouche contre bouche, mais nous prenons garde à bien écarter nos cuisses. Djamila comprend notre attente et vient nous lécher tour à tour, la chatte rasée et pulpeuse, la chatte brune, gonflée de désir.



La fille s’applique, et se montre même talentueuse, débusquant mon gros clitoris, le suçant comme un petit sexe d’homme. Je vois sa main s’activer entre les cuisses de mon amie. Et puis sa main est sur moi lorsqu’elle va s’occuper à son tour de mon amie. Ses doigts me fouillent, trouvent tous mes chemins, ne laissent aucune voie inexplorée, et m’abandonnent que pour mieux m’envahir avec sa langue. Mon entrecuisse est trempé de salive et de mouille mélangées. Je jouis rapidement, fort, mes mains serrées sur les seins volumineux et laiteux de Pascale. Pascale qui me rend la pareille, elle râle, étouffée par notre baiser, ses mains crispées sur mes seins. Quand elle s’effondre, submergée par la jouissance, elle roule sur le côté. Djamila revient vers moi. Je la saisis par les cheveux et la force à me lécher :



Les filles, on croit que c’est tout doux, mais par moment elles peuvent être encore plus crues et violentes que les mecs en matière de sexe. Elles font preuve d’énergie pour faire venir leurs copines. Djamila pourra en témoigner.


Après un orgasme qui me chavire, la bouche de ma serveuse plaquée contre ma vulve, forcée de recevoir mon plaisir, je m’effondre contre Pascale, qui m’accueille dans ses bras ronds contre son énorme poitrine.

Djamila réclame sa part de câlins et nos baisers deviennent à nouveau brûlants. Nos mains s’égarent, mes doigts s’engouffrant dans la chatte de Djamila, inondée. J’organise la suite du jeu. Je veux que Pascale se mette à genoux, sa tête sur l’oreiller, ses fesses rondes bien en l’air, cuisses écartées. Je veux que Djamila lui lèche le cul, comme une chienne attirée par une autre chienne. Je veux que ce soit animal. Je veux m’exciter à les regarder faire. Je suis récompensée. La fille brune se montre très douée, toute langue dehors, léchant de haut en bas toute la raie de Pascale, laissant des traînées de salive à chaque passage. Pascale roucoule de plaisir.

Mais je finis quand même par trouver que notre jeune amante manque d’ardeur. Je sais que Pascale peut hurler sa jouissance quand c’est fort. J’ai pu le constater dans d’autres circonstances. Alors, je saisis sans douceur Djamila par les cheveux, la tirant en arrière. Tout en la maintenant fermement, je la gifle, une fois sur chaque joue, sans douceur. Elle reste stupéfaite. Puis je lui crache sur la bouche, abondamment, trois fois, et plaque à nouveau son visage entre les fesses de Pascale, poussant sa bouche contre son anus. Je m’excite comme une folle, en pensant que nos salives se mélangent sur l’œillet de mon amie.



Puis je tire à nouveau la tête de Djamila en arrière. Je la gifle une autre fois. Je crache sur sa bouche encore une fois, beaucoup de salive. Djamila ne fait même pas mine de m’éviter. Elle plonge docilement le visage entre les globes volumineux de Pascale.



Pascale commence à crier maintenant. Je ramène encore une fois le visage de Djamila vers moi. Je lèche à grands coups de langue son visage rougi, trempé, luisant. La saveur est épicée, écœurante. Je laisse couler entre mes lèvres, sur sa bouche et sur son nez, un flot de salive. Djamila me regarde soumise. Elle attend que je la force à nouveau à venir se frotter sur le cul de mon amie. Cette fois, enfin, Pascale jouit très fort, très bruyamment. Je suis contente !



Djamila s’effondre sur le lit.



Je suis un peu prise de remords d’avoir usé de violence sur elle. Elle me rassure, me disant qu’elle a eu sa part de plaisir. Elle écarte cependant ses cuisses, et je me glisse entre elles. Elle se laisse caresser par ma langue et mes lèvres. J’ai enlevé sa culotte, sa chatte se livre entièrement à moi. Elle a un parfum fort, sa mouille est suave. Ses lèvres un peu longues et son clitoris tout dur et tout petit forment une crête rose, au goût de mangue. Je glisse mes doigts dans sa chatte, sauf le pouce, avec lequel je force, mais si peu, son anus. Elle jouit, c’est comme si elle fondait. Je passe mes doigts dans sa touffe brune. Pascale lui masse le ventre. Elle lui susurre des mots près de son oreille. La bouche plaquée contre sa chatte, je la regarde, la mettant en confiance. Elle se libère soudainement, me surprenant un peu. Je dois presser un peu plus mes lèvres sur sa vulve pour la boire. Son urine est salée, chaude…