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Temps de lecture estimé : 21 mn
21/02/02
Résumé:  Instants étranges dans la vie d'une quinquagénaire désirable.
Critères:  fplusag bizarre voir photofilm intermast fellation cunnilingu pénétratio fsodo gifle ecriv_f
Auteur : Sabine Delamontagne  (Sabine, j'ai la cinquantaine, divorcée, mais désirable !)      
Sexe, Photo et Vidéo



SEXE, PHOTO & VIDEO


Cela faisait trois nuits consécutive que mon esprit était accaparé par ce rêve étrange et très réaliste ; mon instinct l’interprétait comme un cauchemar, mais n’était-ce pas après étude, le témoignage d’autres choses, comme l’avait déjà bien mis en avant le docteur Freud ? Le scénario de ce fantasme (lapsus révélateur ?) se déroulait un après-midi dans une chambre en désordre, ce n’était pas la mienne, mais plutôt celle d’un adolescent. La porte s’ouvrait et révélait une quinquagénaire, élégante et un brin bourgeoise, elle était vêtue avec l’une de mes tenues préférées : une robe courte, fendue et épousant subtilement mes atouts : le rouge est ma couleur de séduction par excellence. Cette femme était accompagnée d’un jeune homme d’une trentaine d’année son cadet. Tous les deux avaient l’humeur joyeuse, ils se le témoignaient en s’embrassant juste devant le lit. À un instant, le jeune homme jetait un coup d’œil complice vers… ce qui semblait être moi et tout le temps, c’était à ce moment que je me réveillais.


Enfin, bref, ma vie était presque parfaite, les couleurs du printemps donnaient à mes traits des airs de jeunesse qui plaisaient bien à mes soupirants. Depuis quelque temps, j’entretenais une relation avec un jeune homme récemment marié.

C’est un dimanche après-midi que tout a commencé. Une impression bien nette que quelqu’un, qu’une personne, épiait tous mes faits et gestes. La certitude était tellement nette que j’avais renoncée à fermer les volets de ma chambre.


Au bout d’une semaine, après avoir consulté mon médecin sur le sujet, je rentrais chez moi rassurée par ces paroles de sage. Mais le soir même, revenant d’un dîner, j’arrivais devant le porche et j’entrais dans le corridor avec l’impatience que peut caractériser la fatigue. Immédiatement, les faits gambadèrent dans mon esprit : ma belle maison ne respirait plus comme avant et c’est l’idée d’un cambriolage qui me vint de suite à l’esprit. Je m’empressais d’inspecter les pièces du rez-de-chaussée, mais rien ne manquait, mis à part cette obsédante présence. Je montais au premier, je me dirigeais vers la chambre d’ami avec une certaine précaution, mais rien. Par contre, ces effluves étaient plus franches, et plus flagrantes dans la salle de bain. Dans ma chambre, j’avais la conviction d’avoir été visité, je regardais la moquette à la recherche d’indices, mais rien. Mes placards et ma commode demeuraient somptueusement ordonnés. Je prenais place sur la couette et même ma couche me semblait avoir été visité : énervée et bafouée, je mettais au sale les linges de mon lit changés la veille !


Deux jours s’étaient écoulés sans que rien ne se manifeste. Un après-midi, entre 15 et 17, mon petit ami passait exceptionnellement à la maison, nous nous câlinions dans mon lit, puis alors que sa bouche était en train de s’occuper de mon minou, je sentis l’attention d’un regard fixé sur moi : je dois avouer que ça m’excitait ! Mais qui est-ce que cela n’aurait pas excité ? Je regardais autour de moi, mais personne ! Les volets de la chambre ouverts, mais il était trop tôt pour voir quoi que ce soit de nos ébats. Je souriais à Pascal et il se hissait à ma hauteur pour s’introduire en moi dans une missionnaire qui ne durait pas loin de 30 minutes, me laissant le temps de perdre la tête par deux fois avant qu’il ne termine par s’abandonner très bruyamment !


Pendant trois jours, un semblant de calme meublait mes nuits et toute cette histoire n’aurait pu être qu’une réelle affabulation, si un matin au marché de Villefontaine, je n’avais pas ressenti de nouveau cette présence. J’étais suivie de plutôt près me semblait-il, j’essayais de faire comme si de rien était.

Armée de mon courage, brusquement, je décidais de faire demi-tour, revenir sur mes pas, afin de le croiser fatalement ou, le voir fuir cette énergumène qui faisait de mes jours et mes nuits un véritable cauchemar. Mais plus j’avançais dans cette foule d’anonymes, et moins les gens que je dévisageais me semblaient coupable, aucun d’entre eux ne m’inspirait la peur. Ridicule, je décidais de poursuivre mon marché, mais mon garde du corps avait décidé d’en faire tout autrement…


Eprouvée par cet épisode, je décidais de m’installer dans mon fauteuil devant l’écran noir de la télévision. J’ôtais mes bottines, puis je posais mes pieds sur la petite table du salon. L’air frais s’engouffrait sous ma jupe et venait délicieusement refroidir le haut de mes bas : pourquoi avais-je mis des bas ce matin ? Rien ne m’y obligeait, une simple envie subite assouvit. Je croisais mes mains sur ma poitrine, mon décolleté mettait bien en valeur mes gros seins encore fermes et bien au goût de Pascal qui les vénéraient. Sa fascination vis-à-vis de mon 95C donnait à ma vie sentimentale un sursis aux regards de l’inévitable déclin de ma jeunesse. Je remontais ma jupe et découvrais mes jambes : les heures de stepper n’auront pas servi à rien, la pratique intense du sport m’avait permis de retarder ma " déchéance ". Au regard de mon beau miroir, j’étais encore belle. Ma peau était douce et tout cela, je le devais qu’à moi et mon combat contre le temps. J’étais encore désirable, désirée et je pouvais le dire haut et fort. Je caressais le haut de mes cuisses puis las, mes doigts se prenaient dans l’élastique de ma petite culotte. Ils se plongèrent vers mon petit bourgeon où j’amorçais un petit travail du bout de l’index, les cuisses ouvertes et l’autre main dans mon soutien-gorge à deviner du bout de l’ongle un téton gonflé par des envies que je ne veux pas avouer. Je fermais les yeux pour savourer cet instant, je pensais à Pascal et à sa virilité, dressée toute entière pour moi ! Deux doigts avaient du mal à simuler son tuteur, l’une de mes gorges sèches et l’autres humides, je ne pensais qu’à son sexe allant et venant en moi. J’entendais ses râles à l’intonation servile, curieusement à peine distillée une octave plus haut lors d’un orgasme qui lui faisait ouvrir l’écluse de sa joie, pour inonder tout l’intérieur de mon ventre avec son sperme brûlant, acide et terriblement… juvénile.

Soudain, je me réveillais, assoupis dans le fauteuil, je lâchais à terre ma télécommande et regardais autour de moi. Le silence me guettait et avec lui, quelqu’un d’autres…


Quatre jours s’écoulèrent sans que quoi que ce soit se passe. Ma raison était encore présente et je savais que je n’étais pas folle. Sereinement, j’attendais le jour où j’allais le démasquer et peut-être même, le dénoncer aux flics. J’étais sous pression, je n’avais pas peur, mais ce jeu avait trop duré. Après insistance, le commissariat avait envoyé un policier pour ne rien constater et il m’avait demandé de l’aviser personnellement la prochaine fois que je constaterai quelques choses d’étrange. Mais un cinquième, puis un sixième jour s’écoulèrent sans que je puisse deviner mon visiteur.


Le week-end s’annonçait bien, je me disais que si mon voyeur ne se manifestait pas, c’était la fin de mes angoisses. Ce vendredi soir, je dînais chez ma voisine divorcée, puis samedi matin, je partais en direction de Besançon pour voir un ami.

La soirée était frisquette et à peine arrivée chez Mme V. , je me sentais en confiance et comme chez moi. Elle n’hésitait pas une minute, elle me faisait visiter tout son premier étage qu’elle avait fait refaire suite à un début d’incendie causé par sa fille. Pour avoir connu la maison, avant l’incendie, j’étais très surprise de découvrir le splendide travail des ouvriers. J’en venais même à souhaiter un bon petit incendie chez moi ! À l’occasion de la " visite ", je passais devant une porte où était placardé : " Do not Disturb ". Je sentais comme une connotation familière, quand Marion était toute jeune, elle préférait le sens interdit ! Catherine qui me voyait le regard lourd sur la porte de la chambre me ramenait au présent :



La seule chose que j’avais entendu sur lui, c’était qu’il avait dans les 18 ans, peut-être 20, je ne savais pas exactement, mais une seule chose était certaine, c’est que c’était bien lui mon visiteur secret : mon inconscient martelait mon conscient et il me disait que c’était une évidence !

Alors que nous nous dirigions vers l’escalier, j’interpellais Catherine et lui demandais les toilettes ; elle me laissait seule et regagnait ses fourneaux.


Seule, je décidais d’aller voir mon admirateur dans sa chambre, j’espérais simplement qu’il soit habillé ; j’allais prétexté m’être trompée de pièce et j’allais au moins mettre un visage sur mon fantôme! Mais j’ouvrais doucement et personne n’était dans ce lieu brouillon ! J’entrais sans gêne dans une chambre qui me semblait familière. Je cherchais une quelconque photographie ou quelques choses d’autres pour mettre un visage sur ce violeur d’intimité. Alors que je commençais à renoncer après le craquement de son armoire, mes yeux tombèrent sur un visage disgracieux, le pauvre chéri essuyait les affres de la puberté. Dommage de devoir en passer par là, il était certains qu’à la base, il avait les atouts pour être plutôt beau gosse. Il n’y avait plus aucun doute, c’était lui et face à ces multiples traces d’infections, c’est un sentiment de colère qui commençait à torturer mes nerfs. Ebranlée par l’émotion, je m’assaillais sur le lit en désordre, je croisais les jambes quand soudain la télé se mettait en route toute seule : le son était coupé, soulagement ! Paniquée, je me retournais, cherchais la télécommande, je m’empressais d’appuyer sur le bouton " Stop " pour ne pas voir évoluer cette femme tout de rouge vêtue qui n’avait pas peur de ce faire observer dans cette chambre ! Intriguée, j’appuyais à nouveau sur le bouton " Play " pour voir une fille en rouge entrer dans la chambre d’un jeune homme : Bon sang, cette femme : c’est moi !!! J’arrêtais directement poste et magnétoscope et sortais de la chambre en tremblant !!!


Au court de notre repas en tête-à-tête, je n’avais qu’une envie, c’était de récupérer cette cassette, avant d’aller porter plainte ! Pas la peine de visionner cette horreur, Luca n’avait été qu’un amant de passage dans ma vie, nous avions fait l’amour qu’une seule fois, mais je devrais plutôt dire baiser ? En matière de romantisme, il était très nul par rapport aux choses que nous avions faites ce jour-là! J’étais tombée dans un traquenard et je n’avais qu’une seule envie, c’était de partir avec cette preuve ! Mais y avait-il des photos ? D’autres choses pouvant me compromettre aux regards de ma vie privée ou ma carrière professionnelle ?


Je fus encore plus perturbée quand le fameux Christophe se présentait de retour de soirée chez des copains, nous tombions face à face, le voyeur et sa victime, chacun sachant tout sur l’autre et lui plus sur moi que mon ex-mari ! Il devint tout blême et les traits de mon visage devaient rimer avec colère, je ne voyais plus rien autour de nous que ce salaud. Entre deux envies de le tuer, je remarquais qu’il n’avait plus de traces d’acnés. Son regard fuyait mon verdict, mais ses yeux croisèrent une dernière fois les miens et je crois qu’il compris dans sa frayeur que je savais tout.

Sa mère lui mit un couvert et il prenait le dîner en cours. Je ne voulais pas faire de scandale devant sa maman ; je relativisais, il le comprenait, mais sa perversité ordonnait encore à ces sens de porter un regard interrogateur sur ma tenue et tout particulièrement sur ce que je pouvais bien porter ce soir sous ma jupe ? Il m’avait vu dans la tenue d’Eve, ce marmot de 19 ans !!! Salaud !!!


Plus tard dans la soirée…



Mon regard et le sien se croisèrent, il savait encore plus que tout à l’heure que je savais tout ! À la fin du repas, dans le salon pendant que sa mère me montrait des choses sans importance, il revint de sa chambre ; dans mon dos, je l’entendais dans les escaliers, puis le silence : je savais qu’il se rinçait l’œil sur moi, sur mes jambes et ma poitrine. Tout cela m’excitait et j’étais toute disposée à le faire payer pour cet affront. Son regard sur moi était pénible et immature, dense. Je n’étais (ne suis) pas repoussante et j’avais une grande habitude des regards posés sur moi, il y en avait de deux sortes : les hommes subtils et les regards embarrassants, mais lui ajoutaient une troisième catégorie : les regards lourds à la manière d’un… adolescents en pleine crise de puberté!

Sa mère fût intriguée par le soudain silence de son fils, nous nous retournions et nous le découvrions l’espace de deux secondes hypnotisées par ma jupe courte : Catherine lui demandait de remonter dans sa chambre, ce qu’il fit 10 minutes avant que je ne quitte la maison.


Malgré l’heure tardive et l’abondance d’émotion, je n’arrivais pas trouver le sommeil. Mes questions étaient synonyme de " dois-je voir la police ? " En parler avec sa mère ? Avec lui ? Finalement, je lui envoyais une lettre en lui demandant de venir me voir chez moi, un lundi après midi, un jour où je m’étais arrangée pour ne recevoir aucune visite.


Cet après-midi-là arrivait très vite, succédant à des jours sans manifestation de présence. Il venait sonner à ma porte avec la ponctualité d’un soupirant. Je le découvris grotesquement habillé : un pantalon à pinces et une chemise, cravate même pas assortie. Pensait-il devenir mon amant ? J’étais embarrassée pour lui ! Il était tout souriant et en surprise, il sortait de derrière son dos un bouquet de fleurs ! J’étais séduite par tant de naïveté et je le fis entrer chez moi. Je le sentais mal à l’aise et la première phrase - cliché qu’il décrochait fût :



Ce petit violeur commençait à prendre de l’assurance et je m’attendais à ce qu’il me fasse son numéro à la Clark Gable, afin de me séduire et réaliser ses fantasmes.



Nous passions au salon, j’improvisais un petit rafraîchissement, puis nous prenions place sur le canapé.



Je regagnais la cuisine en sachant bien que ces yeux fixaient mes fesses et mon déhanché !


En revenant, je le surprenais à cacher son érection :



Maintenant, il restait silencieux, bandant sûrement bas et mou. Il était très ému ! Il semblait chercher ses mots, il défaisait sa cravate et ce prenait le visage dans les mains.



Il redressait la tête, ses yeux se noyaient de quelques larmes qu’ils retenaient fièrement. Mais tout doucement, il commençait à perdre un peu la tête, ses émotions ne commandant plus sa raison en voyant que mes sentiments ne rencontraient pas les siens.



Il ne répondit rien et quittait ma maison. Il était pétrifié de peur, pâle comme la neige au point de me demander s’il aurait la force de tenir debout jusqu’à la porte !


Le lendemain, il était quatorze heures et personne ne se manifestait. J’attendais quinze heures avant d’appeler chez Catherine, au bout de la huitième sonnerie, c’est Christophe qui décrochait : il était malade et il n’avait pas pu venir. Il était seul chez lui ! Je décidais d’aller… chez lui !


Quand il m’entrouvrit sa porte, je le découvrais dans un vraiment sale état. Il était encore en pyjama, peignoir et comme un condamné, il me menait dans cette chambre où j’avais eu le choc de ma vie.



Il commençait par me remettre deux cassettes vidéos…



Je gardais les deux cassettes bien fermement prisonnières entre mes doigts, puis mon regard le sommait de passer à la suite, car je savais qu’il y avait une suite. D’une cachette derrière son lit, il sortait un lot de photos qu’il avait pris de moi, notamment dans la rue, de loin, mais aussi de près, très près : j’en étais surprise et je renonçais à en connaître le procédé ! Je terminais le lot par des photos de médiocre qualité, quand soudain, je tombais sur l’une d’entre elles, elle me représentait en forêt, en train de prodiguer une magistrale gâterie à un petit ami.



Je ne pus me retenir de le gifler ! Il accusait le coup et plutôt que de pleurer devant moi, il allait s’agenouiller près du lit pour sortir de sous sa couche, une grande boîte en carton peint où il avait placé en guise de butin de guerre : une écharpe en laine et un pull noir, tous les deux m’appartenant !



Il ne disait plus rien, le chagrin et la consternation étouffaient sa voix pour mieux annoncer une crise de larme.


J’étais de retour chez moi, remise de mes émotions et abandonnée par la peur qui me tenait au ventre. Je me sentais très bien, j’avais gagné sur toute la ligne et m’étais blanchie. J’avais hâte de voir la fameuse seconde cassette, je me servais un verre de " Martini ", puis je me dirigeais dans le salon.

J’introduisais la fameuse cassette : ce document 100% amateur montrait une personne entrain de circuler dans un appartement, ou plutôt une maison : la mienne ! Il visitait les pièces tour à tour le rez de chaussé puis le premier, avant de se glisser dans ma chambre où l’homme fouillait mes tiroirs, avant de sortir une petite culotte de ma panière à linge. L’homme s’allongeait sur le lit, puis se défroquant, il enveloppait sa pine avec ma culotte et commençait à se masturber frénétiquement allongé sur la couette. On pouvait entendre des gémissements et entre deux râles, percevoir un " Sabine " ou " Sabine, je t’aime fort ", puis le plan de la caméra nous montrait ce cher Christophe tout sourire aux lèvres, le visage marqué par un orgasme fort et abondant ? Un plan sur la culotte déposée négligemment sur le lit nous montre la souillure faite par Christophe.


Je passais une nuit très agréable, réparatrice et profonde. Au petit matin, je décidais de me remettre la vidéo d’hier soir. En peignoir dans mon fauteuil, je commençais à me caresser en contemplant sa pine qu’il astiquait aussi fort qu’il pensait à moi. Il m’aimait très fort à en voir l’éjaculation abondante ! Le fait que je pouvais détruire sa vie me donnait rapidement un orgasme !


Vers les une heure, mes émois oubliés, je recevais un coup de téléphone de sa part pour me demander s’il pouvait passer, afin d’exposer une paix.



Je raccrochais sévèrement et poursuivais ma journée.


Dix minutes plus tard, le carillon de la porte d’entrée résonnait et j’ouvrais sur Christophe qui affichait une mine franchement pitoyable. Il entrait dans le salon, silencieux comme un condamné à mort.



Soudain, il devint très pale, blanc et il s’écroulait à terre ! Je me ruais sur lui, je relevais ses jambes et le giflais. Rapidement, il revint à lui dans un état second. Il ne parlait plus, il se relevait doucement et arrivait à peine à bouger, je le sentais abattu, dépressif au bout du rouleau.

Je l’aidais à s’asseoir sur le canapé, puis j’attendais qu’il retrouve ses esprits. Ces yeux brillaient, il avait dû avoir un gros plan sur mon décolleté lorsque que j’étais penchée sur lui et dans son état second, il devait se repasser la scène en boucle au point que je constatais un début d’érection qui me rassurait sur son état général.

Il restait là quelques quarts d’heures avec son érection. Gagné par le sommeil, il s’allongeait sur le canapé et dormi une bonne partie de la soirée.

J’appelais Pascal pour lui dire que je n’étais pas libre pour ce soir et sans raison précise pour me justifier, je raccrochais.

Christophe se réveillait :



Il souriait, je lui répondais, puis l’esprit serein, il se blottissait à nouveau sous la couverture…


À deux heures du matin, sur un cauchemar, il se réveillait en même temps que moi, je descendais de ma chambre vers lui, il était toujours effrayé, alors je le câlinais comme je l’avais fait il y a de nombreuses années pour ma fille, puis il retrouvait le calme.

Je caressais ses joues, puis il ouvrit un œil et savourait mon acte. Il blottissait sa tête au creux de mon épaule et un soupir me témoignait qu’il aimait ces égards très maternels.


Nous étions là, dans mon canapé : je ne voulais pas me laisser aller à plus de tendresse ; après tous les heurts qui nous avaient opposés, si je ne me calmais pas, en réponse, il risquait de laisser réveiller ses sens et ainsi, rendre caduc mes multiples colères à son égard. Ses yeux croisaient les miens, je me noyais dans l’intensité débordante des sentiments qui n’étaient que pour moi. Je baissais les yeux, découvrais tour à tour sa poitrine qui se soulevait rapidement et son intimité qui répondait présente. Sans contrôle, je découvrais que ma main et plus particulièrement mes doigts s’étaient perdus dans ses cheveux et ma bouche ne pouvait s’empêcher de goutter à ses lèvres. Son regard m’exprimait la joie, celle de ce savoir considérer. J’enlevais mon peignoir pour découvrir ma petite nuisette, mes seins étaient libres sous le satin noir. Les mains de Christophe s’affairaient à découvrir la douceur du tissu, la chaleur de mes obus, mon cœur battant la chamade manquait à chaque instant de faire tomber les fines bretelles de ma nuisette. Je gouttais à nouveau à ces lèvres, nos bouches s’enflammaient activées par le désir et quand je reprenais mon souffle, je le découvrais décoiffée, tel un jeune lion, de nombreuses mèches frondant sur son front et marquant l’un des plus beaux regards amoureux que je n’avais jamais vu. Christophe baissait les bretelles de mon déshabillé et ses mains accueillerent mes seins. Ils étaient loin de tomber et même leurs poids n’avaient pas d’incidence sur la tenue de mes obus. À peine l’instant de constater que mes tétons prenaient vie, que sa bouche était sur eux à les sucer et les lécher pour les honorer à la limite de la folie. J’enlevais le pantalon de Christophe, puis il relevait ma nuisette ; il me découvrait sans culotte. L’érection qu’il arborait par rapport à ses allures juvéniles contrastait et le rendait encore plus sensuel. Ses yeux étaient fixés sur mon pubis que j’avais admirablement taillé. Il ne voulait pas le toucher ! Christophe se relevait et s’habillait de nudité, avant de se mettre à genoux sur le canapé, jambes bien écartées cambrant le cul pour me montrer son entière dévotion. Je passais mes doigts sur ses testicules, mes yeux parcouraient le sillon de ses fesses jusqu’à l’anus que je devinais… J’imaginais ma propre intimité interdite et cette pine de marbre me forçant : à cette idée, une abondante rosée vint noyée ma petite chatte !


Ma curiosité se posait sur ses bourses de puceau, mais qu’il avait dû purger bien des fois en pensant à moi ! J’avançais ma bouche vers ses escarcelles et ma langue jouait les exploratrices en dissociant bien la droite de la gauche, avant d’essayer de descendre vers son pieux qui pleurait de grosses larmes bien visqueuses.

Je reprenais mes distances pour reprendre mon souffle, son regard en dessous se remplissait de stupéfaction en découvrant un choc : je m’aperçus que mes grosses mamelles pendaient vulgairement déformant le tissu de ma nuisette… Les mains de Christophe ne purent s’empêcher de glisser dans mon décolleté et de prendre, sans quémander, ma masse aux teintes laiteuses : ils étaient lourds et fermes, sa bouche venait de se rappeler au souvenir de son enfance. Ma poitrine était très érogène, Christophe se retournait et se couchait sur le canapé en écartant mes cuisses. J’enlevais ma nuisette, alors que les doigts de Christophe s’affairaient sur ma petite chatte humide.

J’écartais mes cuisses et rapprochais mon intimité de sa bouche ; son sexe dressé pour moi me faisait salivé, il était très beau et je ne pus m’empêcher de le sentir et de le frotter contre mon visage. Il frottait sa langue et sa bouche contre les poils et mes grandes lèvres. Je ne pouvais rester là sans rien faire, ma langue parcourait le sommet de son gland, mes doigts le décalottait à fond pour me permettre de glisser une pointe humide sur son frein et jusqu’à ses balles.

Sa langue se frayait un chemin dans mon sexe et Christophe m’avalait les lèvres et violait ma chatte de toutes ses forces.

À un instant, il marquait un premier signe de fatigue, sa langue de débutant était en proie aux crampes, alors il s’asseyait dans le canapé pour reprendre son souffle. Moi à ces côtés, j’ouvrais ma bouche à proximité de sa pine qui a la vue de mes lèvres peintes de rouge lui fit fermer les yeux et j’avalais Christophe qui me fixait, mes doigts saisirent ses couilles, puis je le suçais à fond.

Christophe s’abandonnait dans le canapé, il ne suivait plu, il était épuisé… Il n’allait quand même pas me lâcher là !!! Je me mettais à quatre pattes sur la moquette, Christophe me regardait et question d’honneur, il se calait derrière moi pour me pénétrer par le minou. Il allait et venait délicatement en moi, il n’avait pas envie de violence, uniquement me faire gémir juste ce qu’il faut… À un instant, il m’écartait les fesses comme pour s’exposer mon anus à peine tendu, mais il n’avait pas envie de visiter cet orifice : Il m’aimait et pour lui, il était peut-être trop tôt pour m’aimer par là. Trop de possibilité lui offrait la possibilité de me faire jouir et mon anus ne devait être qu’un lieu de visite lors d’une panne de cerveau.

J’étais surprise de sa résistance à l’éjaculation, mais maintenant, les premiers signes d’une perte de contrôle se manifestaient. Christophe s’allongeait sur la moquette et je vins m’empaler sur son sexe. Je prenais le relais de ses précédents labeurs et c’était un plaisir de le voir épanouie, amoureux ( ?) sous moi. Ses yeux mi-clos, mi-ouvert exploraient mon âme et mon cœur, je commençais à tomber amoureuse, sévèrement, surtout quand son sourire se déclinait large. Je me penchais légèrement vers lui, mes cheveux se décoiffaient et devaient me donner un air de petite sauvage, mes mamelles allaient venaient sur Christophe, je me couchais sur lui, ma poitrine pressait contre lui, mes cheveux exaltaient leur senteur, il posait ses mains dans mon dos, puis mes fesses : Christophe arrêtait de bouger sous moi et je tentais quelques coups de boutoir, mais j’avais peu de marge, mais suffisamment pour sentir une violente douleur en moi, je l’épronais le plaquais très fort contre moi et il ne put retenir l’éjaculation de sa vie, il perdait et se vidait en moi sous mon regard de femme réellement amoureuse.


Nous recommencions presque immédiatement l’amour ; là, il me prenait en levrette et continuait de me pilonner par mon minou. Mais il était trop gourmand et la fatigue eut raison de lui. Je décidais de m’occuper de lui et de l’amener à sa deuxième éjaculation pour faire dégonfler une érection qui aurait rendu jalouse d’envie pas mal de me copine marié !


Il passait la nuit chez moi jusqu’au lendemain après-midi où après une explication, je décidais de garder ses cassettes en échange de son silence total sur cette relation.


FIN