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n° 03661Fiche technique12410 caractères12410
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Temps de lecture estimé : 9 mn
28/03/24
corrigé 28/03/24
Résumé:  Une jeune fille dans sa piscine se fait mater par son voisin de 40 ans.
Critères:  fh hplusag voisins grosseins piscine voir intermast entreseins facial fellation pénétratio
Auteur : Xavier999  (Mec de 23 ans, grand amoureux du sexe faible)      
Sophie et son voisin

Sophie réalisa soudain qu’il était déjà plus de quatorze heures. Cela faisait maintenant une heure qu’elle bronzait près de la piscine de ses parents. Elle décida d’aller se rafraîchir un moment, et prit la peine de remettre les bretelles de son maillot. Elle prenait toujours soin de les enlever pour bronzer sans marques. Même chez elle, elle évitait de se baigner topless, car elle connaissait le goût de son voisin de quarante ans pour les jeunes filles de vingt, d’autant que celui-ci avait une tendance certaine à la mater en se cachant tant bien que mal derrière les rideaux de sa fenêtre.


Il faut dire qu’il y avait de quoi mater ! Sans obéir aux canons actuels de la beauté, Sophie avait de quoi faire bander plus d’un homme. Brune, assez petite et plutôt rondelette, la fille était dotée de formes féminines mettant en émois n’importe quel mâle. Sa poitrine, sans être démesurée, était réellement bien fournie, et ce n’était pas son petit maillot de bain rouge qui pouvait cacher les globes de ses seins qui en débordaient largement. Les fines bretelles du maillot étaient tendues au maximum, et menaçaient réellement de craquer à chaque pas de la jeune fille. Même topo plus bas : la forme de ses hanches et sa croupe rebondie ne gâchaient rien au tableau.


Au bout de quelques brasses, Sophie se rendit compte, du coin de l’œil, qu’une fois de plus, il se tramait quelque chose derrière les rideaux de son voisin. Sans pouvoir distinguer quoi que ce soit, elle se sentait observée, et les mouvements perceptibles derrière la fenêtre de la maison voisine ne faisaient que la conforter dans son idée.

Mais cette fois-ci, cela ne se passerait pas comme ça. Elle allait le piéger, ce gros vicieux de voisin.


Sans réfléchir à ce qu’elle faisait, Sophie sortit de l’eau rapidement, et, sans se sécher, se dirigea en maillot vers la maison du voisin.


Qu’il se montre maintenant, le mateur ! pensa-t-elle.


Dégoulinante d’eau, sexy comme jamais, elle sonna plusieurs fois de suite au portail. Rien. Et pourtant, elle le savait, le père de famille de quarante ans était dans la maison, et elle était même sûre qu’il la regardait à cet instant précis. Dans un moment d’énervement, et folle d’envie de piéger le vicieux, elle entra dans la maison sans qu’on l’y invite.

La maison semblait vide.

Sans douter d’elle, Sophie commença à monter les marches de l’escalier, en direction de la chambre d’où elle supposait que le voisin l’épiait. Elle était encore bien mouillée, et ne se rendait pas compte de la puissance sexuelle qu’elle dégageait à ce moment. Son maillot rouge et légèrement transparent laissait deviner une toison bien fournie, et la poitrine proéminente, bien difficilement contenue par le petit haut tendu à son maximum, laissait voir par transparence ses larges aréoles brunes.

Arrivée au palier, elle fonça vers la chambre et entra sans se poser de question.

Elle avait vu juste. Assis sur le lit, elle trouva son voisin M. Lapierre, en caleçon et T-Shirt, et elle imagina ce qu’il avait pu faire en la regardant bronzer.



Sans paraître le moins du monde gêné ou surpris, Lapierre répondit calmement :



En disant cela, la fille s’était approchée, et continuait à dégouliner sur la moquette.

Sans paraître gêné, Lapierre se leva doucement en la regardant dans les yeux, et s’expliqua calmement.



Soudain, Sophie se rendit compte que le regard de son voisin avait glissé lentement vers ses seins et son décolleté et se sentit rougir de honte d’être ainsi déshabillée du regard.

Elle réalisait peu à peu le culot qu’elle avait eu pour arriver en maillot et dégoulinante devant son voisin en T-Shirt et caleçon !



À court d’arguments, la gêne de Sophie allait en s’amplifiant, d’autant que Lapierre la matait maintenant sans aucun scrupule avec un léger sourire en coin.

Sophie, dans un rapide coup d’œil circulaire sur Lapierre, se rendit compte avec surprise que son caleçon commençait à pointer vers l’avant, tendu par un engin dont elle pouvait imaginer à cet instant déjà des dimensions assez respectables. Relançant sur lui un regard discret, elle pouvait même suivre l’évolution de son érection, qui devait maintenant être bien développée.

Son voisin était en train de bander sans gêne à la mater en maillot de bain !


Sophie ressentait un mélange de honte et d’indignation. Elle avait cependant de plus en plus de mal à cacher son excitation à la vue de « l’émotion » apparente de cet homme qu’elle trouvait finalement assez à son goût malgré la différence d’âge, et l’humidité de son maillot de bain, elle devait l’admettre, n’était plus seulement due à la piscine :


Les hommes de quarante ans ont toujours fait mouiller les filles de vingt ! pensa-t-elle.


Après quelques instants de silence lourd en sous-entendus, ce fût Lapierre qui enchaîna de plus belle, en joignant cette fois-ci l’action à la parole.



À la prononciation de cette phrase, il caressa doucement le bas du sein gauche de Sophie à travers son maillot de bain, puis remonta sa main sur le bonnet et sourit en constatant que le téton commençait à pointer à travers le maillot.


Un frisson très agréable traversa le corps de Sophie, qui ne l’arrêta à aucun moment. Prise soudain de folie, elle décida de jouer le jeu.



Et de la même façon, dans sa lancée, elle effleura doucement la verge tendue de Lapierre à travers l’étoffe de son caleçon.

Il n’en fallait pas plus pour libérer complètement Lapierre. Visiblement ravi de la caresse de Sophie, il attrapa d’autorité sa main, elle la conduisit à nouveau vers la bosse impressionnante qui déformait son caleçon. Totalement libérée, Sophie commença un lent va-et-vient superficiel à travers le caleçon et Lapierre sentit ses jambes vaciller tant la jeune fille était experte dans ses caresses coquines.

Brusquement, elle arracha le caleçon devenu inutile et prit un peu de recul pour admirer le morceau qui se dressait, palpitant, devant ses yeux. Elle ne put s’empêcher de lâcher un petit cri de satisfaction à la vue de la bite de son voisin.


Un sacré monstre ! pensa-t-elle.


Épais, long, luisant, le long duquel une veine impressionnante palpitait, et surmonté d’un gland rouge à moitié décalotté, le tout flanqué de deux énormes couilles.


Lapierre ne se laissa pas impressionner par les avances de la gamine, et, après avoir soupesé de façons obscènes ses mamelles, il dégrafa d’une main son haut de maillot de bain, libérant deux beaux seins lourds et ronds, tandis que sa bouche s’emparait des tétons déjà fièrement dressés au milieu des globes.


Sophie se libéra rapidement de la bouche de son assaillant et se mit d’elle-même à genoux afin d’entamer une fellation. Sa bouche gourmande s’empara de la queue de Lapierre, qui disparut centimètre par centimètre dans la gorge de la petite, apparemment très à l’aise dans ce genre de pratique.

La jeune femme glissait de la langue le long de son sexe avec une science diabolique. Bientôt, elle effleura les testicules, descendit plus bas, remonta en l’inondant de salive. Lapierre, silencieux jusqu’alors, poussa des grognements rauques qui trahirent la venue imminente de son orgasme. Déchaînée Sophie accompagna sa pipe d’une masturbation experte, elle savait que cette queue ne lui résisterait pas longtemps.

Désireux de prolonger ces moments électriques, il repoussa la débutante et lui intima l’ordre d’ôter sa culotte, ce qu’elle fit sans broncher, et d’une façon qui mit Lapierre dans un état d’excitation encore plus grand.

Doucement, elle se mit debout et se retourna afin de se retrouver, le dos face à Lapierre. Lentement, elle attrapa sa culotte et la fit descendre le long de ses jambes, effleurant ainsi dans ce mouvement la queue dressée de son amant avec ses fesses. Totalement consciente des dégâts qu’elle était en train de faire, elle poursuivit le jeu en se frottant sensuellement contre le membre fièrement dressé du pauvre voisin. Lapierre résista un instant à l’envie de prendre cette effrontée d’un seul coup par-derrière, de labourer le cul de cette gamine qui venait lui donner la leçon. Non, il allait prendre le temps de la faire crier.

Sa voisine alors complètement nue, il pouvait prendre le temps de mater ce qu’il avait si souvent observé en cachette et en se masturbant depuis la fenêtre de sa chambre.

Machinalement, il se remit à se masturber en regardant la gosse nue devant lui.

D’abord surprise de cette attitude, Sophie l’arrêta et se coucha très explicitement sur le dos sur le lit deux places qui trônaient au milieu de la chambre.

Brusquement revenu à lui, Lapierre vint se positionner exactement au bord du lit, et rapprocha Sophie de lui, puis l’invita à relever les jambes, de façon à pouvoir la pilonner à fond. Il entra sans ménagement et sans effort dans son sexe inondé de la gamine, et entama des va-et-vient très rapides et de grande amplitude.

Littéralement en transe, Sophie releva ses jambes le plus haut qu’elle put et se stimula le clitoris en même tant que la queue de son voisin la défonçait sans ménagement. Ses gros seins ballottaient au rythme des coups de pilons de Lapierre, ce qui l’excita encore plus, elle le savait. Elle le sentit encore grossir en elle, malgré les dimensions déjà assez impressionnantes de son engin.



Visiblement, Lapierre avait une autre idée. Doucement, il se retira de la petite chatte serrée de Sophie et prit position au-dessus d’elle, les genoux de part et d’autre de ses seins. Il avait visiblement décidé d’entamer une branlette espagnole.

Sophie feignait de ne pas comprendre, mais elle savait très bien ce à quoi tous les hommes pensaient en la voyant arriver avec ses gros seins : depuis qu’elle avait quatorze ans, les mecs de tout âge se retournaient sur son passage, et elle avait rapidement compris que ce n’était pas son visage ou ses yeux qui les faisaient fantasmer, mais sa paire de seins, donnant les idées de jeux sexuels les plus fous à n’importe quel individu normalement constitué.

Lapierre, sûr de lui, glissa sa verge quelque peu ramollie entre les globes gonflés de sa jeune voisine.

Celle-ci entreprit de lui redonner un peu de vigueur en resserrant ses nichons autour de sa queue, ne laissant ainsi dépasser que le gland décalotté.

Lapierre commença doucement les va-et-vient, et sa bite reprit très rapidement des proportions impressionnantes.



Il accéléra le rythme et l’amplitude de ses mouvements entre les seins de Sophie. Dans son mouvement, sa bite venait toucher la bouche de Sophie qui en profitait pour l’astiquer davantage par ses coups de langue. En même temps, elle entreprit de se masturber à toute vitesse le clito, et sa main tout entière disparut par moment dans sa chatte. Le spectacle était obscène.


Brusquement, Lapierre cessa ses mouvements, attrapa sa verge, et décida de se terminer à la main à quelques centimètres du visage de Sophie, en accélérant encore sa branlette. Quelques secondes plus tard, son corps fut secoué de spasmes violents, et il lâcha une épaisse purée blanche qui se répandit sur le visage de Sophie.

Celle-ci se fit un plaisir de le nettoyer entièrement, en avalant goulûment sa queue redevenue molle.


Son travail terminé, elle s’essuya rapidement le visage avec son haut de maillot de bain, remit sa culotte et retourna tranquillement dans sa piscine comme si de rien n’était.

Comme si de rien n’était, Lapierre se remit à son poste d’observation quelques minutes après s’être remis de ses émotions, et sortit à nouveau sa queue pour se masturber. Rien n’avait changé.


Voilà un après-midi tel que Sophie les entendait, plein d’imprévus.