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Temps de lecture estimé : 8 mn
05/03/02
Résumé:  Des difficultés d'érection m'empêchaient de conclure...
Critères:  fh fplusag intermast fellation
Auteur : Kyssmeagain  (Hédoniste)      

Série : Claire, mon initiatrice

Chapitre 01 / 02
Claire, mon initiatrice... 1 de 2


CLAIRE, mon initiatrice… 1 de 2.


Dix huit ans tout juste depuis le printemps. et un blocage sexuel affreux !


Une libido d’enfer, un sexe de dimension normale, des érections complètes lors de mes séances nombreuses de masturbation MAIS . rien. dès qu’une femme m’approche !


Au lycée, chacune de mes approches sensuelles avec une fille s’est soldée par un échec total .. et je ne vous dis pas ma réputation !!


La dernière, Lucie, avait tout pour me plaire, gentille, un peu potelée, une poitrine à faire rêver, une belle toison noire épaisse et une bouche douce ..douce. Je lui plaisais aussi et, un soir dans mon studio, après avoir révisé des cours ensemble, notre séance de pelotage habituel a vite dégénéré (si je puis dire !!) en bien plus et Lucie et moi avons compris que ce serait le « grand soir », celui où chacun acceptait d’aller plus loin. Sa bouche était soudée à la mienne et nerveusement et malhabilement nous nous déshabillions mutuellement. Mon sexe a bien réagit et lorsque la main de Lucie s’en est emparé, il était fièrement dressé. j’étais plein d’espoir !! Hélas, lorsque ma copine, les cuisses ouvertes sur mon canapé, attendait que je rentre en elle . patatras. dégringolade. je n’avais plus entre les jambes qu’un morceau de viande flasque ! Lucie, d’abord un peu troublée, s’est crue coupable et a voulu ranimer mon ardeur, mais en voyant que ses efforts manuels et buccaux étaient inutiles elle s’est fâchée et m’a dit


« Mon vieux, quand on ne sait pas bander mieux, on n’essaye pas de me sauter » Elle s’est rhabillée sans un mot et m’a quitté . le lendemain, au lycée, j’ai surpris des sourires discrets . elle avait parlé !!


Un médecin généraliste que j’avais consulté pour une petite angine et a qui j’ai osé en parler, n’avait rien trouvé de fonctionnel et évoquait un blocage psychologique, d’œdipe et autres choses auxquelles je n’ai rien compris. Pour lui, ce qui me fallait, c’est une femme qui me comprenne .. J’étais bien mal parti dans ma vie amoureuse et, ce qui me faisait rager c’est que mes masturbations étaient triomphantes.


J’habitais juste en face d’un complexe scolaire, c’est dire si je voyais passer des étudiantes, des professeurs, enseignants etc .. Mais sans en connaître aucun d’eux.


Ne voilà-t-il pas qu’un jour, une enseignante, sous une pluie battante, tentait devant chez moi, de mettre sa voiture en marche. Elle avait ouvert le capot et s’escrimait avec des fils tandis que l’eau dégoulinait sur elle. Je ne sais ce qui m’a pris, mais muni d’un parapluie j’ai proposé de l’aider. Elle était furax sur sa voiture et ma proposition fut accueillie sèchement par un « Vous y connaissez quelque chose ? »


Je lui ai répondu que non mais que mon parapluie serait peut-être une bonne protection pour elle. elle était trempée et l’eau dégoulinait sur son visage. Elle a apprécié mon humour et m’a remercié. Voyant que d’une part elle ne parvenait pas à déceler la panne et que d’autres part rester sous la pluie n’arrangerait rien, je lui ai proposé de rentrer chez moi pour se sécher et pour attendre la fin de la pluie.


Avec un bon coup de pied de rage sur le pneu de sa voiture, elle a accepté.


Ma mère ! . elle dégoulinait par terre et formait une mare sur mon parquet. Vite je lui ai donné des serviettes de bain et l’ai orientée vers la salle de bain. Elle faisait pitié et elle était tellement trempée que je ne savais même pas si elle était jeune, vieille, maigre ou grosse. Mon peignoir de bain pendait là et je lui ai proposé de le mettre pendant que ses vêtements sècheraient sur le radiateur. Elle était confuse, mais elle a accepté.


Par discrétion, je l’ai laissé seule. À près quelques minutes elle est ressortie de la salle de bain avec mon peignoir et un essuie noué sur ses cheveux.. ;


Elle m’a dit :


« Je ne sais comment vous remercier, j’étais trempée jusqu’aux os .. ; foutue bagnole, dès qu’il pleut, elle ne veut plus rien entendre !! Je ne vous dérange pas au moins. ? Je me suis permis de mettre ma robe et mes sous-vêtements sur le radiateur. ce sera vite sec. »


Comprenant qu’elle était nue sous mon peignoir, je ne savais plus où regarder et dans mon boxer short, mon sexe réagissait favorablement.


A mon avis, ma visiteuse inopinée devait avoir dans la quarantaine. De taille moyenne et semblait avoir une poitrine bien garnie, selon que la déformation du peignoir laissait supposer. Son visage nettoyé de tout maquillage par la pluie était sans caractéristiques mais deux yeux rieurs l’éclairait.


Je lui ai proposé un thé bien chaud et, pendant que je le préparais dans ma petite kitchenette elle s’était assise sur le canapé. Je l’observais de loin. Elle avait le genou nu qui dépassait du peignoir entrebâillé et je devinais sa poitrine ..


Elle me raconta qu’elle était enseignante de français en classe terminale au lycée en face et que généralement son mari venait la conduire et la reconduire. Cette fois, son mari était absent pour un séminaire résidentiel et elle avait du se débrouiller. Elle me remercia encore vivement de ma gentillesse et elle m’a interrogé sur mes études, mes projets etc..


Elle était très décontractée et me parlait comme si nous connaissions depuis longtemps. En lui servant son thé, je me suis penché et j’ai vu, dans l’échancrure de son peignoir, ses seins nus dont je devinais les mamelons. Mon regard ne lui a pas échappé mais elle n’a rien fait pour se cacher. Au contraire, je crois sans en être certain, que le pan du peignoir s’est abaissé un peu plus, permettant, en plus du genou, de voir la naissance de la cuisse. Mon érection était complète et j’ai crains qu’elle ne soit apparente car mon tee shirt et un boxer short étaient les seuls remparts.


Elle me dit s’appeler Claire et a proposé que l’on se tutoie. Assis en face d’elle, j’étais gêné dans mes mouvements par la trique dure que j’avais entre les jambes.. Claire avait un petit sourire amusé et, en buvant lentement son thé fumant m’a questionné sur ma vie familiale, mes petites amies etc.. tout comme une gentille tante le ferait pour son neveu..


Je lui ai raconté ma vie, mes espoirs et puis, aller savoir pourquoi, tout de go, je lui ai avoué ma difficulté sexuelle, en pleurant comme un gamin. Cela me faisait du bien d’en parler à cette quasi inconnue si gentille.


Elle n’a manifesté aucun étonnement et m’a fait signe de venir s’asseoir à côté d’elle sur le canapé. La, elle a entouré mes épaules de son bras (ouvrant encore plus son peignoir !!!!!) et a séché mes larmes. De son autre main, comme innocemment, elle est venue frôler mon entre-jambes comme pour tester la rigidité de ma verge.


Très calmement, à mi-voix, comme une chanson, elle m’a dit près de mon oreille :


« Tu sais, ton petit problème est fréquent et sans gravité. Les hommes ont quelque fois peur, au plus profond d’eux même, de ne pas être à la hauteur et ils craignent les sarcasmes de leur partenaire. Ils ont tort mais leur psychisme bloque l’érection comme une fuite devant l’échec, tu dois avoir confiance en toi et lorsque tu fais l’amour, oublie toutes autres pensées que la satisfaction du corps de la femme qui s’offre à toi. Tu verras que cela ira. »


En parlant, comme machinalement, elle s’était emparée de mon sexe et, avec une infinie douceur, en caressait les contours sous mon slip..


J’étais aux anges car j’avais bien compris le message transmis. J’étais blottis dans ses bras et j’avais sa main caressante sur moi mais je n’osais pas, moi-même allez plus loin.


Pourtant, maintenant j’avais contre moi sa cuisse nue et ma vision de ses seins était totale, le peignoir s’étant largement ouvert. Claire, habilement, avait sorti ma vergée dressée et s’attardait sur le gland bien découvert, me procurant un bien fou.


Elle a approché sa bouche de la mienne et avant, me dit presque à voix inaudible « caresse-moi s’il te plait.. »


Nous avons commencé un baiser profond et langoureux comme jamais je n’en avais eu avec mes petits flirts. Nos langues brassaient l’amour.


La main douce de Claire entourait toujours mon membre et entretenait cette érection dont je craignais malgré tout la disparition.


Comme elle me l’avait demandé, je me suis mis à caresser sa somptueuse poitrine. Elle avait des seins durs avec une aréole assez petite mais des boutons qui réagissent fort. Je n’osais pas descendre ..


Arrêtant notre baiser elle me dit « s’il te plait, caresse-moi partout . » Ma main est alors descendue vers son entre-jambes et la, j’ai trouvé un tapis soyeux dans lequel mes doigts se sont égarés.


J’étais crispé car, selon ma funeste habitude, je craignais que mon érection diminue et cesse. Claire me susurrait à l’oreille, s’occupant toujours de ma verge « Comme tu es fort. j’aime te sentir sous ma main.. . donne-moi aussi du plaisir . » Ces paroles calmantes empreintes de sensualité me faisaient du bien et c’est ainsi que je sentis que ma compagne, se courbant sur moi, avait pris ma verge dans sa bouche chaude et, quasi sans mouvement, la tenait mieux qu’avec sa main, celle me malaxant les bourses.


J’avais ses seins en mains et j’ai senti tout doucement ma jouissance arriver.. Je voulais qu’elle soit rapide pour ne pas avoir la honte de ma vie et de débander dans la bouche de cette femme mature qui me gâtait..


Claire devait bien sentir que je ne tiendrais plus longtemps et, d’elle-même elle a augmenté le rythme de ses caresses buccales, serrant la base de ma verge pour faire durer mon plaisir… Mon bassin s’est animé et j’ai caressé la tête de ma compagne comme pour lui demander de continuer.. Maintenant elle avait encore toute possibilité de retirer sa bouche et d’éviter mes jets.. Mais non, elle ne l’a pas fait !!


Toujours aussi douce, elle a lâché la base de ma verge et a ainsi laissé libre cours à mon éjaculation …


Pour les motifs que vous connaissez, c’était pour moi la première fois que je pouvais conclure AVEC une femme ..


Je me suis senti tout fier !!


Claire s’est redressée et a discrètement recraché mon sperme dans le peignoir, en s’essuyant les lèvres.


Je croyais qu’elle allait me dire quelque chose comme : tu vois que cela a été etc . Cela aurait eu pour effet de me vexer.. Elle n’a rien dit !!


Peu après, elle me dit :


« Ecoute-moi, on va faire un deal. Ma voiture est en panne, je t’invite à dîner et toi tu m’invites à rester cette nuit chez toi. Comme cela demain matin je serai au lycée sans problème et sans faire, je ne sais comment, les 20 km jusqu’à mon domicile. Tu veux bien ?? »


Bien sur que je voulais bien !!!!!!!!


A suivre.