n° 03804 | Fiche technique | 13764 caractères | 13764 2427 Temps de lecture estimé : 10 mn |
02/04/24 corrigé 02/04/24 |
Résumé: Une rencontre dans un restaurant fera ressurgir de vieux désirs enfouis... | ||||
Critères: hh facial fellation hsodo yeuxbandés | ||||
Auteur : Wonderboy (Epicurien decouvrant les plaisirs de la vie.) |
Par une belle journée ensoleillée, je décide d’aller manger un petit bout sur une terrasse du centre-ville. Je commande mon lunch, et déguste un vin blanc en attendant la suite. Le restaurant se remplit peu à peu, jusqu’à l’arrivée de deux mecs, la trentaine, pas mal physiquement, bien fringués, mais sans aucun snobisme dans leur regard.
Ils s’installent à la table à côté de moi et, de bonne humeur, démarrent leur bavardage en riant. Apparemment, ils ont l’air de deux bons copains. Seul à ma table, je ne peux m’empêcher de tendre l’oreille, puisque de toute façon, à part lire mon journal, je n’ai rien d’autre à faire.
L’un des deux est plutôt comique, et à l’une de ses blagues, je ne peux m’empêcher d’émettre un petit rire discret, mais qui s’entend depuis l’autre table. Les deux mecs se retournent vers moi, et je m’excuse d’avoir écouté leur conversation.
L’un d’eux me demande si je suis seul à table, et si oui, pourquoi je ne les rejoins pas, je pourrais ainsi rire de bon cœur, sans jouer les indiscrets. Petite vanne lancée, toutefois sympathique. J’accepte et me voilà avec eux autour de la table.
On se présente, Alain est le comique, beau gosse, bien bâti, épaules larges, belle gueule, et Michel son copain, un peu plus monsieur tout le monde, avec une bonne tête sympa. Notre conversation va bon train, et on arrive au café et digestif. Pendant le repas, pas un geste, pas une parole ne pouvait faire croire que ce soit deux homos, mais avec le petit digestif, Alain boit une gorgée, garde l’alcool dans sa bouche pendant trente secondes, avale, et nous dit, tout simplement :
Mon regard ne cache pas mon étonnement, les deux hommes me regardent en souriant, et moi, un peu gêné, je souris bêtement. Je ne suis pas choqué par ses paroles, car j’ai déjà eu deux ou trois aventures dans un sauna Gay, mais c’était il y a longtemps, je vis en couple hétéro, et mes aventures du passé faisaient partie d’une expérience vécue des années auparavant. Ma mémoire travaille à toute vitesse, et ma libido se rappelle maintenant le bonheur et la jouissance tirée de mes expériences. Je me mets à bander et deviens volontaire pour recommencer.
Je n’ai pas encore compris si c’était de la provocation ou une invitation de leur part, question que je leur pose franchement. La réponse est plutôt positive dans le sens ou Michel me répond que si j’ai le temps, on peut digérer le repas dans son jardin, pas très loin d’ici, au soleil.
J’accepte la proposition. Je suis un peu troublé par ma réponse, et une petite peur s’installe. Est-ce que j’ai bien fait ? Je ne suis pourtant pas homo. C’est arrivé, oui, mais je n’avais pas vingt ans, c’était une expérience, oui, mais maintenant c’est du passé. Toutes ces questions me laissent silencieux et pensif dans la voiture qui nous mène à la maison.
On arrive chez Michel. Petite maison sympa, avec dans le fond un petit jardin de ville protégé des voisins par des hauts buissons. Le jardin est meublé d’une table, de chaises, et de quatre transats. Il nous offre à boire et la discussion démarre.
Tout en parlant de choses et d’autres, Alain caresse la cuisse de Michel. Sa main se rapproche de son sexe qui, vu la bosse dans le pantalon, a l’air d’apprécier. On est tous les trois installés sur les transats, ce qui permet de tout voir et d’être à l’aise dans nos mouvements. Les deux hommes s’embrassent, leurs lèvres et langues ne font plus qu’un. Je suis un spectateur tendu, à la fois nerveusement, mais aussi dans mon caleçon. Les deux se déshabillent, Alain s’agenouille et sort du slip de Michel une bite majestueuse. Elle est belle, bien droite, épaisse, longue, terminée par un gros gland de couleur pourpre, veinée sur toute la longueur. Honnêtement, elle est digne des acteurs du porno, ou mieux, digne d’être copiée en latex pour un superbe godemiché.
Alain se passe cette queue sur les joues, sur les lèvres, l’embrasse doucement et l’ingurgite au fond de sa gorge, en la suçant lentement, mais profondément. Il va doucement, agite bien sa langue autour de ce vit, le sort de sa bouche pour mieux le sucer à nouveau.
Je regarde cette scène avec intérêt, mon côté voyeur est bien présent. Cette scène m’excite, je suis à l’étroit dans mon pantalon, et mes doutes ou inquiétudes sont totalement dissipés.
Alain le suceur bande majestueusement, il a retiré son slip. Comme il n’y a plus que moi encore habillé, je retire toutes mes fringues afin de faire partie du décor, et me touche doucement la queue en regardant cette superbe fellation. Michel soupire, sa respiration devient saccadée, Alain calme le jeu, et se contente de caresser de sa langue cette verge prête à éclater.
Je m’approche du couple avec l’envie de participer à leur jeu. Je caresse les deux corps de ma main et approche doucement ma bouche de la queue de Alain. Je la prends en main et me rappelle cette impression superbe de tenir le sexe d’un homme, des années auparavant. Ma bouche n’attend plus et englobe son dard au plus profond de ma gorge pour ensuite le sucer, le pomper même, tant je suis excité. Je me place de façon à ce que Michel puisse aussi me sucer, et nous voilà en triangle, chacun suçant l’autre. Rien de tel qu’un homme pour les pipes, cette manière d’être pris et titillé par la langue d’un autre me fait monter au ciel.
Je sens un doigt s’aventurer dans mon entrejambe, et venir titiller mon anus, plus vierge, mais refermé depuis un bail. Il tourne autour de ma rosace en petit cercle, se rapprochant en insistant en douceur toutefois, sur mon trou. Un doigt pénètre, ressort, et revient enrobé de salive, me pénètre à nouveau, entre et sort, et me voilà gémissant à cette pénétration.
Pour rappel, je suis toujours en train de sucer et donc ne vois pas ce qui se passe, mais tous mes sens sont en alerte, et savourent cette sodomie digitale.
Tous les trois sommes prêts à venir, les gémissements de chacun parlent pour eux-mêmes. Je sens ma sève monter, la queue que je suce perle abondamment, les mouvements de bassin montrent que la jouissance est proche. Michel nous dit qu’il ne va pas tenir plus longtemps, et lâche la sauce dans la bouche d’Alain qui n’en perd pas une goutte. Je lève la tête afin de savourer le spectacle, le sperme sort de la commissure de ses lèvres et continue jusqu’à la dernière goutte. Il garde la bite dans sa bouche, continuant à la lécher et à la nettoyer jusqu’à ce qu’elle ramollisse.
Il a eu son compte, mais nous sommes toujours deux, bandants sec et prêts à exploser. Michel nous demande de nous mettre l’un à côté de l’autre afin de prendre ces deux queues en même temps dans sa bouche.
Il prend celle d’Alain dans sa bouche, ses lèvres vont et viennent autour de cette verge, ses mains caressent les bourses tout en allant vers l’anus. Je le soupçonne de caresser le périnée, entre les couilles et l’anus. Alain bouge du bassin en lui disant crûment qu’il aime bien bouffer de la bite. La main de Michel vient vers moi, tout en suçant l’autre queue, et commence à me branler. Il arrête de sucer Alain pour venir chez moi, me l’engouffre baveusement, et s’active en titillant rapidement mon frein du bout de sa langue, pour ensuite l’avaler de plus belle.
À ce rythme, je ne vais pas tenir non plus et le mouvement de mon corps trahit ma faiblesse à me contenir. Il branle les deux queues en même temps, ouvrant bien la bouche, sortant la langue afin de toucher une queue, et puis l’autre. Il engouffre rapidement chaque verge chacune leur tour, tout en branlant continuellement. J’annonce que je vais lâcher, Alain aussi, et d’un coup mon sperme jaillit sur la figure de Michel en longs jets prolongés. Bon Dieu, quelle jouissance ! Tout mon corps se tend vers cette bouche qui tente d’avaler tout ce qu’elle peut. Je suis encore branlé d’une main quand Alain éjacule aussi sur le visage puis dans la bouche de Michel qui s’empresse de prendre un maximum. Une quantité de sperme impressionnante jaillit de cette bite, tellement superbe, qu’en le regardant, j’ai des envies de sodomie. Au cinquième ou sixième jet de sperme, Michel est recouvert du front au menton, et prend nos deux queues à moitié bandantes dans sa bouche en faisant des succions afin d’égoutter le tout.
Nous voilà rassasiés pour le premier round. Nous restons nus, assis autour de la table afin de nous rafraîchir d’un superbe cocktail préparé avec soin par Michel. Notre discussion se porte sur le sexe et nos expériences respectives. J’en arrive donc à dire que l’un de mes meilleurs souvenirs de mes relations entre hommes était une superbe sodomie sans fin ou le gars, après avoir éjaculé dans mon fondement, était resté bandé, avait continué sa pénétration pendant longtemps et m’avait fait jouir comme jamais.
Le deuxième round est lancé… Les voilà, voulant me faire plaisir et me sodomiser l’un après l’autre « jusqu’à sans fin », suivant les dires de Michel.
Il nous propose d’entrer dans la maison et de nous installer dans sa chambre. Grande pièce, vide de meubles, uniquement un grand lit et des miroirs sur chaque mur, plafond compris. Cette chambre, il faut le dire, a tout d’un baisodrome. On voudrait l’imaginer qu’on ne pourrait pas.
Nous nous installons sur le lit, Alain commence à me caresser les fesses et approche sa langue pour me faire une feuille de rose. J’écarte bien les jambes, Michel ouvre mes fesses, et me voilà à lécher du bout d’une langue experte sur mon fondement, qui s’attendrit de seconde en seconde. La pointe de la langue pénètre ma rosace, les doigts de Michel massent les alentours, des gémissements sortent de ma bouche, un doigt entre dans mon cul.
Ils me proposent de me bander les yeux afin d’avoir mes sens encore plus exacerbés, comme s’ils ne l’étaient pas déjà.
J’accepte la proposition, et me voilà dans le noir, un ruban autour du visage, en position de levrette, fessier tendu un maximum vers le haut. Une bouche s’empare de mon sexe, un gel froid se pose sur mon anus, des doigts l’étalent et me pénètrent par la même occasion. Un doigt, puis deux doigts entrent dans mon cul, sans aucune résistance. Deux mains prennent mes hanches, une bouche toujours sur mon sexe bandé, je sens le gland de je ne sais qui se positionner et tenter une pénétration en douceur.
La pointe entre, un peu de douleur m’envahit, je me tends, je reçois une claque sur les fesses et me sens d’un coup envahir le fondement jusqu’à l’intérieur de mon ventre. Une grosse bouffée de chaleur se fait sentir, ma respiration se coupe, et cette bite monstrueuse, d’un point de vue sensoriel, me pénètre jusqu’à la garde. Je sens les couilles rebondir sur les miennes, puis il reste en moi sans bouger. Alain me demande si ça va, j’en déduis que c’est lui qui me pénètre puisque je suis toujours sucé par une bouche tendre. Je lui réponds d’un oui langoureux, et il commence son mouvement doucement. La tension s’en va et le plaisir prend le relais. Sa queue me bourre de plus en plus vite, de plus en plus profond. Je commence à émettre des sons dignes d’une femme, je pousse un cri à chaque poussée, ce plaisir oublié des années auparavant me fait regretter de ne pas avoir continué ma sexualité dans ce sens. Je suis pris d’un spasme à chaque pénétration, quand il sort de mon cul et écarte mes fesses pour mieux me pénétrer à nouveau, me remplir d’une satisfaction incontrôlable.
Enfin je la revis, cette jouissance ! Et cette bouche qui continue à me sucer tendrement et qui me prend au plus profond à chaque poussée de mon envahisseur-enculeur ! C’est bizarre, mais autant c’est bon, autant je ne veux pas éjaculer, cette bite dans mon cul me bouche la montée de sève, et n’est que meilleur, car j’ai les bonnes sensations en longueur, sans jeu de mots. Alain par contre se sent venir, il accélère le mouvement, me serre les fesses, me les claques même en me traitant de bonne pute, sort complètement de mon cul pour me pénétrer profondément et sortir un cri rauque de jouissance. Il est en train d’inonder mon intimité de puissants jets de sperme. Je crie aussi dû à la puissance de son action, et je tends mes fesses un maximum pour qu’il continue de me remplir à fond. Il sort de là en me disant que je suis un bon coup, mais que ce n’est pas fini pour moi.
Puisque j’avais aimé me faire sodomiser après éjaculation il y a quelques années, Michel doit maintenant prendre la relève afin de m’épuiser totalement. Aussitôt dit, je sens sa queue tendue devant mon orifice grand ouvert, gluant de sperme, et d’un coup elle entre jusqu’au bout. Le plaisir me revient rapidement, surtout qu’il est mieux monté que le premier, et mon sphincter est tout prêt à accepter ce genre d’introduction. Il va vite et fort, mon ventre brûle, mon cul se fait sensible, je me considère comme une belle salope qui se fait mettre tant l’image des miroirs imaginés, puisque j’ai un bandeau, est forte, et que ma sensation d’être enculé ou en tout cas d’être pris et d’être soumis à une queue est grande. Il coulisse parfaitement vu les quantités de gel naturel reçu, et j’arrive doucement à un orgasme destructeur.
Je jouis littéralement du cul, je m’accroche aux draps, bouge mon bassin à la rencontre de ce vit, crie de bonheur. Mon corps est trempé de sueur, et Michel se tend et éjacule tout ce qu’il peut dans mon intérieur. Il continue ses mouvements en lenteur jusqu’à ce que son pénis mollisse. Il sort de moi avec un bruit révélateur de succion et s’affale sur le lit.
Je me relève, retire mon bandeau des yeux, et les remercie de cette jouissance sans fin que j’ai reçue.
On s’est revu plusieurs fois, et mon expérience homo ne s’est qu’affinée. Mes relations sexuelles avec ma femme se sont dévoilées puisque je lui ai tout raconté, et elle m’a promis une séance à quatre, que pour mon plaisir, dit-elle…