n° 03830 | Fiche technique | 9644 caractères | 9644 1673 Temps de lecture estimé : 7 mn |
26/05/24 corrigé 26/05/24 |
Résumé: Une rencontre à la terrasse d'un café avec une petite fée qui montrait sa tite culotte. | ||||
Critères: fh inconnu caférestau boitenuit intermast | ||||
Auteur : Marine et Thibault (Une aventure de Thibault) |
Moi, c’est Thibault. Qui suis-je ? Imaginez-moi comme vous le sentez ! Ni trop beau, ni trop moche, ni trop petit, ni trop grand, ni trop gros, ni trop maigre, ni trop jeune, ni trop vieux. Je travaille dans la publicité et j’étais ce mardi en congé. Quant à ma charmante et coquine épouse, elle était partie quinze jours aux Bahamas avec « sa sœur ». Donc ce jour-là, j’étais libre comme l’air, tout pouvait arriver, et donc…. Rideau, l’histoire peut commencer !
Je ne vais jamais au café, enfin presque jamais, je n’aime pas l’ambiance qui y règne… Quand je pense que certains y vivent presque ! Bon, chacun son truc, on n’est pas là pour juger les gens ! Mais j’étais crevé, je voulais absolument retrouver une édition du Manuel d’Érotologie Classique du sieur Forberg et je m’étais farci les deux rives des quais de la Seine, pour ne pas le trouver. J’avais par contre dégoté un petit opuscule illustré avec des jolis dessins très suggestifs et un texte pas trop scabreux, quoique fort coquin.
J’avais donc grand-soif, et faisant fi de mes habitudes, je m’assis à la terrasse d’un grand bistrot, sirotant lentement ma seconde grenadine après avoir avalé cul sec la première. (J’adore commander des grenadines, c’est mon côté gamin ! Si j’étais une femme, je crois que j’aimerais m’amuser à sucer des sucettes en pleine rue !)
Je tire quelques minutes de douce flemme, je feuillette mon petit opuscule, puis j’y renonce, je suis sûr que sa lecture va m’exciter comme un fou, je ne l’ouvrirais que chez moi et sa découverte s’accompagnera d’une joyeuse (j’espère) masturbation solitaire ! J’adore me masturber ! Ne croyez pas que je n’aime pas les femmes ! Car contrairement à ce que prétendent certaines andouilles, on peut parfaitement aimer les deux !
Je regarde autour de moi, j’observe, je vais pour partir quand voici un couple qui se lève, et conséquemment dégage une partie de mon champ de vision et là….
Et là…
Et là, d’où je suis placé, j’ai une vue imprenable sur deux cuisses entrouvertes sous une mini-jupe qui n’a d’autre rôle que de rendre excitante la fille qui la porte. Celle-là, une ravissante blonde à lunettes, ignore en ce moment précis que je suis en mesure de lui dire la couleur de sa petite culotte, et ignore aussi bien évidemment que j’ai une trique pas possible à la vue de ce qu’elle montre. J’ai déjà une main dans la poche et je caresse doucement mon sexe dur et tendu à l’extrême. Que faire ? Bouger de mon poste d’observation c’était me priver du plaisir de mater, mais ce n’est pas en restant sur place que je pourrais tenter ma chance. Je prends la décision de me lancer.
Je me mets en mouvement vers elle ne sachant comment nouer le contact. Mon imper sur mon bras cachait ma bandaison plus que voyante sous le tissu du pantalon. Arrivé devant elle, je l’interpelle le plus naturellement et le plus familièrement du monde :
Du coup, mon inconnue abandonne la lecture de son magazine et lève le regard vers moi avec un air étonné, les yeux ronds.
Piégé comme un con ! Je deviens rouge comme un kilo de tomates.
Ouf, l’espoir renaît !
Et patati et patata, toujours est-il que cette jeune personne qui répondait au doux prénom d’Amandine se fait d’abord payer un autre verre, puis nous discutons de choses et d’autres avant qu’elle ne me suggère de l’emmener au restaurant. Tout cela se passe bien, Elle a beaucoup d’esprit et répond de façon amusante à mes propos. Au cours du repas je réussis à obtenir un bref baiser sur la bouche pendant lesquelles nos langues se frôlent à peine, mais ce baiser contient une chose de très précieuse : l’espoir.
Je pense l’affaire empaquetée à la sortie du restaurant et alors que j’allais poser la traditionnelle question de savoir où prendrions-nous le dernier verre, elle me déclare :
Malédiction ! Ce truc ça veut dire trois heures de perdue ! Je lui dis que je ne suis pas chaud, elle insiste et aura cet argument définitif :
Je ne suis pas un très bon danseur, mais heureusement il a beaucoup de slows. Pour le reste, elle s’amuse avec un tas de gens, et j’ai de plus en plus l’impression qu’elle se fiche de moi et qu’elle va s’embarquer un mec, me plantant là comme une vieille chaussette. Une espèce de danse endiablée vient de se terminer. Amandine roule un patin à son cavalier et ils se dirigent tous les deux vers le bar. Dépité, dégoûté, humilié, je m’apprête à partir, je l’aurais sans doute fait immédiatement si une voluptueuse blonde en robe noire n’était pas passée près de moi. Son décolleté est si plongeant que l’on aperçoit l’aréole de ses seins Un mec la suit et lui pelote carrément le derrière. Ils se dirigent vers une des petites salles adjacentes ou le dragage intensif est autorisé. Un certain nombre de voyeurs les suivent, et je me serais volontiers joint à leur compagnie. Quand surprise, voici Amanda qui revient, je ne comprends pas trop, quelque chose n’aurait pas marché avec son zigoto ? Elle revient voir sa roue de secours ! Je décide de ne pas me montrer trop aimable :
Elle rit et se penchant vers moi, me prend la bouche en un baiser voluptueux. Puis elle s’excuse en se levant pour se rendre aux toilettes. Quand elle revient, elle place devant moi sur la table sa petite culotte, accompagnant son geste d’un sourire plus que prometteur. Je la prends et la respire avant de la mettre dans ma poche. À partir de là, je me sens autorisé à lui poser la question habituelle :
Elle me répond que son studio n’est pas loin et que si j’accepte de la suivre… Accepter de la suivre ? Mais c’est demander à un affamé s’il veut manger ! Le studio en question est une vraie bonbonnière dénotant un goût raffiné et un certain standing. Elle me sert un verre avant de disparaître. Quand elle revient, j’ai un coup au cœur : imaginez un canon en nuisette dont la transparence permet de constater qu’elle ne se rase pas le triangle qu’elle a très épais et très brun. Un régal pour mes yeux amateurs de la toison féminine, devenue chose rare, hélas.
Je bande comme un fou, et c’est plus que visible. Elle s’approche et, se mettant à genoux, elle pose sa joue sur la protubérance, preuve de mon désir. Puis, en un lent mouvement, sa main caresse ma virilité à travers le pantalon. Je lui prends le poignet pour arrêter son mouvement, je suis au bord de l’explosion, ce qu’elle comprend, car elle fait glisser le zip de ma braguette, plonge sa main dans mon slip et extirpe tant bien que mal ma verge tendue comme jamais. Elle entreprend alors de me déchausser, et… entreprend de m’enlever mes chaussettes. Je proteste :
Elle stoppe son geste et joueuse, me répond :
Elle le fait, puis, s’accroupissant, elle promène son sexe humide sur mes orteils tout en me masturbant en douceur. C’est fabuleux. Elle fait tant et si bien que l’un de mes gros orteils se trouve dans son intimité détrempée. Je sens sa sécrétion chaude couler le long de mon pied ; à nouveau, je dois arrêter le mouvement de sa main, ce qui provoque cette question
Je lui réponds que c’est trop bon et que d’ailleurs, je suis sur le point d’éjaculer.
À ma grande stupéfaction, elle me dit qu’elle souhaite me voir gicler tout en se masturbant avec mes orteils, mais en ajoutant que cela ne constituait qu’un début dont elle avait besoin pour débuter une nuit d’amour. Nous sommes nus, allongés sur un épais tapis devant un feu de cheminée. Sa vulve absorbe mon gros orteil tandis que sa main me branle merveilleusement. Je ne peux me retenir. Je jouis comme rarement, mes jets saccadés sont expulsés avec force, s’élevant très haut avant de retomber sur elle et sur moi. C’est alors que, continuant à me caresser la verge, elle émit des petits cris, puis un véritable feulement avant de s’écrouler sur le côté non sans m’avoir trempé le pied.
La suite vaut d’être narrée, car c’est une merveilleuse amante, mais ce sera pour une autre fois… De vous conter cela me fait bander. Il va falloir remédier à cela !