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n° 03867Fiche technique68745 caractères68745
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Temps de lecture estimé : 48 mn
12/11/24
corrigé 12/11/24
Résumé:  Après quelques essais peu réussis, Clitorine découvre vraîment le sexe...
Critères:  fh hplusag extracon voisins exhib strip fmast hmast rasage fellation cunnilingu anulingus 69 fgode fdanus hdanus aliments
Auteur : Jack      
Les aventures érotiques de Clitorine

Avant propos



Bonjour, je suis une jeune fille de dix-neuf ans, mes parents sont divorcés et j’habite seule avec ma mère depuis trois semaines. En effet, auparavant, je vivais avec mon père (pour des raisons de facilité, lui n’a pas déménagé à plus de cent kilomètres comme ma mère et je voulais terminer mes études secondaires – ce qui est fait, j’entame à la prochaine rentrée scolaire des études de Philologie romane à l’université de Bruxelles, je veux effectivement devenir prof de français – dans l’école que j’avais jusqu’alors fréquentée !). Mais maintenant, mon père vient d’obtenir une promotion qui implique de très nombreux voyages à l’étranger, d’où ce changement de domicile. Ma mère – gérante d’une grande surface commerciale – et moi habitons donc dans un coquet pavillon de la banlieue bruxelloise. Le quartier est résidentiel et je dois dire que, jusqu’à présent je n’ai pas encore pu y prendre mes marques, en effet, pour le peu que j’ai pu y voir, peu de jeunes de mon âge y habitent.


Voilà pour l’entrée en matière. Maintenant, pourquoi ce pseudo (Vous n’y avez pas cru ? Non, ce n’est pas mon vrai prénom !) ? Parce que, tout simplement, je viens de découvrir le sexe, le beau, le magnifique sexe il y a à peine trois mois (la première fois pas très folichon : dans une voiture de dimensions relativement réduites), mais ne voulant pas rester sur un (semi) échec, j’ai recommencé à plusieurs reprises (la sagesse populaire ne dit-elle pas qu’après une chute à vélo, il faut réenfourcher immédiatement sa bicyclette ou alors on risque de ne plus jamais remonter dessus ? Non, je ne voulais pas rester la fille d’une seule expérience !), et là, je dois dire que les choses se sont mieux passées. Bref, depuis mon dépucelage, je n’ai pas perdu de temps et je me suis envoyée en l’air avec quatre gars différents (non, pas en même temps !), j’aime ça et mon petit clito est particulièrement sensible. Physiquement, je mesure un mètre soixante-huit, je suis blonde aux yeux bleus et j’ai des seins que je trouve trop gros (95 d), mais ce n’est apparemment pas l’avis des mecs qui semblent comme hypnotisés par ceux-ci.




CHAPITRE I – La rencontre.



Ce jeudi, alors que je revenais de la piscine, ma mère m’annonça tout de go : ce soir, nous sommes invitées à un barbecue chez les voisins, tu sais, Giacomo et Francine, lui reçoit un collègue et, pour ne pas être seule, sa femme Francine a pensé à nous.



Chouette encore une bonne soirée en perspective ! Ils n’ont pas l’air méchants Giacomo et Francine, lui trente-six ou trente-sept ans, petit, trapu, brun et, bien qu’il semble tous les jours rasé, son visage est bleu tant sa pilosité est importante. Quant à elle, elle est un peu plus âgée, blonde aux formes généreuses, mais enfin, c’est pas la joie de se taper un BBQ chez des presque inconnus et où il n’y aura pas de jeunes. Enfin ! Je subirai.

C’est ainsi qu’à l’heure dite, nous avons traversé la rue et nous nous sommes retrouvés à cinq dans le jardin des voisins. Pour l’occasion, je m’étais habillée sagement : jean et tee-shirt. Première surprise : le copain de Giacomo – qui se prénomme Henri – connaissait ma mère du temps de leurs études, bref, pas besoin pour elle de sympathiser, c’était un homme grand, élancé, la quarantaine, déjà grisonnant, quelqu’un de très distingué. Quel contraste avec Giacomo ! Après l’apéritif, nous commençâmes à manger les viandes grillées, c’était bon, mais moi, c’est pas mon truc. Quant à la conversation : il faut que je vous dise, ma mère a lu tous les bouquins de Christian Jacq, et elle se prend pour une égyptologue avertie. Elle a fait de Francine une adepte de cet auteur, quant à Henri, lui est épris d’ésotérisme, donc toute la soirée a tourné autour du thème du prétendu mystère des grandes pyramides, de la pseudo-malédiction de Toutankhamon, etc.

Pénible ! Je m’ennuyais ferme et je vis bien aux regards compatissants que Giacomo me lançait, qu’il avait compris et que lui aussi ne s’amusait guère. Puis je fus prise d’un besoin pressant ; je demandai où se trouvaient les toilettes, Giacomo me dit :



Nous nous rendîmes dans la maison et il m’indiqua l’endroit. Je me soulageai, et au moment où je sortis des toilettes, je le vis devant la porte, il tenait dans sa main son sexe en le masturbant lentement. Jamais de ma vie je n’avais vu un membre d’aussi grandes dimensions, il devait bien faire vingt-cinq à vingt-six centimètres de long et son diamètre devait être celui d’une bouteille de coca (non, pas d’un litre, de vingt-cinq centilitres !).



À ce moment, la voix de Francine retentit :



Le charme était rompu et je sortis rejoindre les autres pendant que je l’imaginais remettre prestement son outil en place (mais comment donc cela pouvait-il tenir en place dans son pantalon ?). Il ne se passa plus rien cette soirée, sinon que je sentais constamment le regard de Giacomo peser sur moi.


Le soir, dans mon lit, je ne pouvais m’empêcher de repenser à la scène dont j’avais été témoin : rien dans l’attitude de mon voisin ne laissait présager un tel dénouement à ce repas. Giacomo était-il simplement un exhibitionniste ? Était-ce une invitation ? Dans un tel cas, je ne me voyais pas accepter ses avances. C’est quand même un homme marié. Je ne pouvais m’empêcher de penser à ce sexe, et si je m’interdisais de convoiter l’homme, aux fourmillements que je ressentais dans le bas-ventre, je dus bien m’avouer que j’avais envie de ce sexe. Oh oui, j’en avais envie ! Je décidai de remonter ma nuisette. Ma main gauche descendit sur ma poitrine et caressa mes seins, mes tétons pointèrent immédiatement. Ma main droite trouva son chemin sous l’élastique de ma culotte, je me mis à caresser mon clitoris, comme je vous l’ai dit, mon petit bouton est très sensible et, bien vite, je gémis sous la caresse. J’enlevai complètement ma culotte et ma main gauche alla rejoindre la droite, l’une caressant mon clitoris, l’autre pénétrant dans ma caverne humide. D’abord, je m’enfonçai un doigt, puis un deuxième, et un autre encore… Mmmmhhhhh, c’était bon, j’imaginai la bite de Giacomo dans mon sexe en feu et, rapidement, je me mis à jouir comme rarement j’avais joui.




CHAPITRE II – L’atelier.



L’envie de ce sexe m’a encore obsédée quelques jours, puis je me suis fait une raison : Giacomo devait être exhibitionniste et puis il était marié. Près d’une semaine plus tard, alors que j’étais en train de lire un bon bouquin (Trilogie new-yorkaise de Paul Auster, ceux qui ne connaissent pas doivent le lire, c’est super), allongée sur mon transat, ma mère m’appela :



Je pris l’électroménager et m’exécutai. Je fus accueillie par Francine.



Je pénétrai dans le séjour, il était assis dans un fauteuil regardant la télévision. Je m’approchai de lui et lui tendis la main.



Je l’accompagnai donc au sous-sol dans son atelier qui était en même temps son garage. Il alluma la lumière et démonta la prise, la réparation dura en tout cinq minutes, au début de la réparation, il ne dit rien, je dirai même que le silence était pesant, puis il me dit :



Je dus piquer un fard.



Il déposa la prise réparée et défit sa ceinture et sa braguette, exhibant à nouveau son engin déjà à moitié bandé.



Il prit ma main et la posa sur son membre, sa queue tressauta dans ma paume, je voulus la lâcher, mais je n’y parvenais pas.



Je continuai de tenir sa queue qui grossissait lentement sous l’effet de la masturbation que, presque inconsciemment, j’avais entamée. Ses mains se posèrent sur mes seins, puis elles s’infiltrèrent sous mon tee-shirt, mes tétons pointaient, il caressait bien. Il me poussa sur le capot de sa voiture, leva mon tee-shirt et fit saillir mes seins par-dessus mon soutien-gorge. Il s’en empara et commença de les lécher et les sucer. C’était bon ! J’avais une jupe et ses mains remontèrent le long de mes jambes, elles atteignirent ma culotte, il commença à me caresser à travers l’étoffe, j’étais trempée.



Il se releva et m’enleva ma culotte.



Ce faisant, il commença de caresser ma toison, je ressentis un premier orgasme lorsqu’il effleura mon clitoris, deux de ses doigts pénétrèrent dans ma chatte. De sa bouche, il continuait d’agacer mes tétons, les mordillant, les suçotant. Quand je fus prête, il se releva, ses mains se posèrent sur mes fesses, il me souleva et m’attira à lui, puis il me fit descendre. De mes jambes, je m’unis à lui, enlaçant ses reins. Je sentis son sexe buter contre mes grandes lèvres, il commença à s’insinuer, petit à petit d’abord, puis d’un coup, il me laissa retomber et son sexe s’engouffra tout entier dans ma chatte, épousant parfaitement mes parois vaginales. Une plainte voulut s’échapper de mes lèvres, mais, comme s’il l’avait compris, il l’étouffa en commençant à m’embrasser. Sa langue était à l’unisson de son sexe, ses coups de boutoirs étaient en rythme de ses tourniquets, jamais je n’avais été embrassée de la sorte. Puis il me reposa sur le capot de sa voiture et se coucha sur moi, sa bouche s’empara à nouveau de mes seins pendant qu’il me bourrait la chatte en de violents coups de reins. Je gémis sous ses assauts, puis je jouis, une fois, puis une autre, et encore une autre. Tout d’un coup, je le sentis se raidir plus encore et, presque aussitôt, de longs jets de spermes brûlants jaillirent dans ma chatte. Il se retira prestement.



Je remis mes seins dans mon soutien-gorge, rabaissai mon tee-shirt et remis ma culotte que je trouvai roulée en boule sur le sol à côté de la voiture. Tout en m’exécutant, ignorant ce que faisait Giacomo, je réfléchissais à la manière dont m’accueillerait Francine dans le séjour. Certes, je pensai ne pas avoir crié, mais mes gémissements, ne les avait-elle pas entendus ? Et mon attitude, ne me trahirait-elle pas ? Plus que mon attitude, mon teint ? J’en étais là de mes réflexions lorsque je poussai la porte séparant le living de l’escalier menant à l’atelier. Francine était là, assise dans le fauteuil auparavant déserté par Giacomo.



Sur ce, il entra.



Je m’en saisis.



En moi-même, je me dis : « tu ne crois pas si bien dire ! », puis, poursuivant :



Francine revint avec trois verres remplis. Je vidai le mien d’un trait. C’était bon et délicieusement glacé.



Je m’avançai vers Francine en lui tendant la main.



Puis m’avançant vers Giacomo, je lui tendis la main aussi.



J’embrassai donc furtivement Giacomo sur la joue et m’en retournai chez moi.



Je retournai dans le jardin et m’installai dans mon transat que j’avais abandonné moins d’une heure auparavant et je me replongeai dans ma lecture. Mais ma tête n’y était plus. Je me rendais compte que j’avais enfin fait l’amour à un mâle, un vrai. Je restai sur ma faim, car ce rapport avait été ultrarapide, mais, en même temps, j’avais joui comme jamais encore je ne l’avais fait, il me fallait recommencer et le plus vite possible. Mais comment ?




CHAPITRE III – Pour qu’il y ait une suite.



Ainsi donc, ma mère avait perçu un changement dans mon attitude… Francine n’avait-elle pas aussi senti quelque chose ? Apparemment non… Quoique ? C’est elle qui avait insisté pour que j’accompagne son mari dans l’atelier, et, avant de partir c’est elle qui m’avait invité à lui faire la bise pour prendre congé de lui. J’avais entendu qu’existaient sur terre des gens aux mœurs qualifiées de bizarres qui précipitaient leur conjoint dans les bras d’autres partenaires et s’en délectaient. Était-ce le cas de Francine ? Je ne pensai pas, mais sait-on jamais ! Une autre question me taraudait l’esprit : comment faire pour à nouveau profiter de la grosse queue de Giacomo ? Je ressassai constamment cette interrogation. J’échafaudai différents scénarii (me glisser chez les voisins et attendre la nuit dans la voiture, sortir le matin avant le départ de Giacomo et attendre qu’il passe en voiture, etc.), mais à l’analyse, ils s’avéraient impraticables, car trop abracadabrants. Le lendemain, ayant enfin terminé mon Paul Auster, je sortis de la maison pour aller à la bibliothèque et me changer les idées. Il devait être près de seize heures. J’enfourchai mon vélo et commençai de pédaler lorsque je fus interpellée :



C’était Francine qui était devant sa maison.



Je traversai et vins faire la bise à Francine.



À ce moment arriva la voiture de Giacomo.



En cheminant à vélo, je fis le point : ainsi donc, il a fini de travailler à quatorze heures, et elle, à ce moment, elle sera chez ses amies. Quant à moi, je serai à la piscine communale (contrairement à la piscine privée, celle-ci n’est pas en plein air et est donc nettement moins fréquentée, je n’aime pas m’interrompre trois ou quatre fois sur une longueur pour laisser passer d’autres nageurs) et lui, il le sait. Donc, il peut venir me rejoindre. Dernière baise avant quinze jours, je pouvais bien me tracasser et échafauder toutes ces histoires ! En fin de compte, rien de plus facile !




CHAPITRE IV – Heurts.



Le lendemain, vers treize heures, je commençai à me préparer, je mis dans mon sac mon nouveau mini-bikini rose et un drap. J’arrivai à la piscine vers treize heures trente, plongeai tout de suite dans l’eau et fis quelques longueurs en attendant quatorze heures quinze, car, en effet, s’il veut me revoir, Giacomo sortira de l’usine à l’heure ! Je sortis donc de l’eau et allai m’asseoir sur mon drap de bain tout en guettant l’entrée du bassin. Il allait arriver, ça ne pouvait pas manquer.

À quinze heures, ma belle assurance commençait à s’effriter et, à quinze heures trente, elle s’était tout à fait envolée. Ah le goujat ! Me poser un lapin ! À moi ! Jamais je n’ai connu pareille humiliation. Vivement, je me lève, reprends mes effets et me dirige vers les cabines. Je suis tellement furax que je ne prends même pas la peine d’aller prendre une consommation à la cafétéria et m’en retourne chez moi. Bien entendu, sa voiture est garée là, devant chez lui ! Je rentre chez moi et monte directement dans ma chambre, je me couche sur mon lit toute habillée. Il me le payera, mais comment ? Tout d’un coup, j’y pense. J’allume ma chaîne hi-fi et pousse le volume à fond, vu que sa maison est en face, il ne peut que regarder vers chez moi, et effectivement, je le vois risquer un œil par la porte-fenêtre.


Alors je commence, je vais lui montrer ce qu’il a raté : très lentement, je déboutonne mon chemisier, je le regarde droit dans les yeux, lui aussi il me mate, moi j’en ai fini avec les boutons et j’enlève très lentement mon chemisier. Je lui fais face et déplace la bride de mon soutien-gorge sur mon épaule, je me mets un doigt dans la bouche et le regarde pensivement, puis je replace la bride et déambule devant la fenêtre afin qu’il puisse me voir de profil.. Je m’arrête et lui fais à nouveau face, je baisse de nouveau la bride et fais saillir un sein hors du balconnet, je relève le téton et approche ma bouche, je le lèche tout en le regardant ! À ce moment, il se déboutonne et sort son sexe à nouveau bandé, il commence à se masturber. Je m’abaisse, je sors de la sorte de son champ de vision. J’enlève ma culotte, me relève et la lui montre, je m’en sers pour caresser mon sein, il se masturbe de plus en plus vite. Je passe alors derrière le mur et enlève tout mon soutien-gorge, il peut maintenant voir mes seins se dresser, je me les caresse le plus sensuellement possible, les yeux mi-clos, une de mes mains soulève ma jupe, et va fouiller ma toison humide. Il peut deviner ce que je suis en train de faire, mais ne peux voir mon bas, seuls mes seins s’offrent à son regard lubrique. Tout d’un coup, j’arrête tout ce cinéma, je le regarde droit dans les yeux, referme la fenêtre et les rideaux et vais m’étendre à moitié nue sur mon lit. Pour terminer sa masturbation, il n’a qu’à m’imaginer, il n’a plus à me voir. Quant à moi, émoustillée comme je le suis, je suis bien obligée aussi de me satisfaire seule, ce que je ne manque pas de faire !


La jouissance arrivée, je m’assoupis, je me réveillai vers vingt heures, intriguée par un bruit que je ne connaissais pas. Je me levai, me rhabillai et descendis, c’était Francine et ma mère qui parlaient, ou plutôt ma mère qui tentait de consoler Francine, celle-ci pleurait en effet comme une madeleine.



S’ensuivit un silence gêné, rompu par ma mère :



Je suis surprise (et… embarrassée) de la question de ma mère, mais plus encore par la réponse de Francine qui fuse directement.



Quelle naïveté ! me dis-je. Outre moi, je crois que ma mère avait mis en plein dans le mille, en effet, Giacomo doit forcément avoir une ou des maîtresses : primo, membré comme il est, il doit attirer les femmes, secundo, c’est pas possible qu’en ayant fini chaque jour à quatorze heures, il revienne vers quinze heures trente ou seize heures. Pauvre Francine, elle allait se passer de vacances pour favoriser les escapades extraconjugales de son homme.



Sur ce, Francine se leva pour en parler à son mari. Un quart d’heure plus tard, elle revint.



C’est ainsi que nous bûmes chacune deux Martinis bien tassés et je dois dire qu’après ça, bien qu’il ne soit que vingt-deux heures, toutes trois nous nous sommes mises au lit !




CHAPITRE V – Bonheurs



Entendons-nous bien. Si je m’étais proposée pour aller faire le ménage chez Francine en son absence, je ne pensais pas du tout à rééditer nos exploits de l’atelier. Non, cet homme me dégoûtait maintenant, la manière dont il m’avait snobée à la piscine y était pour quelque chose, mais plus encore le peu de respect dans lequel il tenait sa femme m’avait choquée. Le train de Francine devait partir à seize heures trente, Giacomo pour une fois revint plus tôt (vers quinze heures quinze), par la fenêtre je le vis mettre les bagages dans le coffre de sa voiture. Dix minutes plus tard, Francine sortit. Je me précipitai vers elle pour la rassurer.



Giacomo vint vers moi.



Sur ce, elle embarqua et ils partirent.


C’est avec un quart d’heure d’avance que Giacomo revint. Je le laissai rentrer avant de traverser la rue. Je n’eus même pas à frapper sur la porte, il l’ouvrit alors que j’arrivai sur le seuil.



La porte à peine fermée, il se jetait sur moi. Je m’écartai cependant et il faillit tomber, emporté par son élan.



Nous avions terminé de faire le lit et nous nous faisions face de chaque côté de celui-ci.



Je m’exécutai. Une bonne minute passa, je l’entendais s’activer derrière moi.



Giacomo était incroyablement poilu, jamais je n’avais vu cela. Une toison drue recouvrait la totalité de son corps, de la nuque aux mollets.



Je ne pus m’empêcher de rire.



J’étais toujours de l’autre côté du lit. Je me déshabillai, posai mes habits sur la commode et vint me poster devant le dos de Giacomo. Puérilement, bien que me tournant le dos, il tenait ses mains sur ses yeux.



Il le fit se voilant toujours le regard. Il les enleva et, semblant interloqué, fit un pas en arrière.



Il s’avança, je pensai qu’il allait se précipiter sur mes seins, mais non. Il caressa mes cheveux, s’approcha encore et posa sa bouche sur mon oreille, sa langue la lécha, il en mordilla tendrement le lobe au moment où sa main caressa mon épaule, je sentis son sexe tendu contre mon ventre. Sa bouche descendit dans mon cou pendant que sa main continuait son exploration. Bientôt, elle allait atteindre mon sein… elle l’atteignit – ou plutôt elle l’effleura – lorsque nos bouches se joignirent. Je ressentis un premier frisson. Sa langue fouillait tendrement la mienne pendant que sa caresse se faisait plus précise. Il m’enlaça de sorte que son sexe débordant de passion s’écrasait sur moi, moi-même je l’enlaçai et lui rendis son baiser passionné.


Il s’interrompit, s’écarta et, en me regardant, se baissant un peu, passa une main sous mes fesses et l’autre derrière les épaules, il me transporta de la sorte sur le lit. Il s’allongea à mes côtés et commença d’embrasser mes seins, passant de l’un à l’autre, faisant saillir les pointes sous les caresses alternées de sa langue, de ses lèvres et de ses dents. C’était bon, il léchait bien tandis que ses mains caressaient doucement l’une mon ventre plat, l’autre mon flanc de la taille aux hanches. Sa bouche descendait aussi, on aurait dit qu’il voulait que ses mains partent en éclaireuses du chemin que sa bouche allait suivre. Si tel était le cas, vivement que ses mains arrivent à mon clitoris ! Sans rien dire, je l’invitai à y venir en écartant les jambes. Mais non, il commença de caresser mes jambes pendant que sa langue s’attardait sur mes hanches. Il continuait de progresser, le bougre, et partout où il passait il allumait un incendie. Je ne sais pourquoi, mais j’ai particulièrement apprécié ses caresses buccales dans la pliure de mon genou. Enfin, il atteignit mes pieds, il suçota chacun de mes orteils, les téta. Maintenant, seule sa bouche était active, il entreprit de remonter mes jambes par l’intérieur, lentement, j’avais hâte qu’il arrive enfin à destination, et enfin il y parvint. Il commença à laper ma chatte, s’abreuvant de ma cyprine, alors que j’éprouvais un premier orgasme. Après quelques instants, sa langue fit place à ses doigts et sa bouche se concentra sur mon clitoris, mon Dieu qu’il léchait bien, j’étais aux anges, je ressentais orgasme après orgasme et ceux-ci étaient d’une intensité que je n’avais jamais soupçonnée auparavant. N’y tenant plus, au milieu de mes gémissements et autres couinements, je l’invitai à venir, à me prendre. Alors, il se redressa et vint s’allonger à mes côtés.



Je regardais alors son sexe, dont le volume, me semblait-il, avait encore augmenté.



C’était vrai, je ruisselai littéralement. Je me plaçai donc sur lui, écartant les jambes au maximum, je tins son sexe à deux mains et le guidai, mes parois vaginales s’écartèrent comme pour faire bon accueil à sa bite. Je m’interrompis alors, car je connus un nouvel orgasme accompagné d’un cri qui tenait plus du feulement que du gémissement. Je continuai de m’empaler, ma chatte engloutissant centimètre après centimètre son engin, la moitié était rentrée et mes parois continuaient de s’écarter, jamais je ne saurais le contenir tout, me dis-je encore une fois, mais oui ! la progression se poursuivait imperturbablement, inexorablement, et c’est tout étonnée que je m’aperçus que mes cuisses trouvaient appui sur les siennes. Je marquai alors un temps d’arrêt.



Je commençai alors d’onduler du bassin, il ne me fallut pas plus de trente secondes pour encore jouir, mais là, je parvins à tenter de me contrôler et à tenter de contrôler les mouvements de mon bassin, je ne voulais pas que ça cesse et je continuai donc de monter et de descendre sur son pieu. Auparavant, je croyais (c’était en tout cas ce que j’avais pu expérimenter !) qu’un orgasme était un court moment de jouissance, d’extase, mais ce jour-là, je dus me rendre à l’évidence, tel n’était pas le cas et la jouissance extatique pouvait durer longtemps, je ne voulais pas que ce moment se termine et, pour le prolonger, je continuai mes déhanchements, je continuai de bouger, mais de manière de moins en moins contrôlée, de manière de plus en plus désordonnée : la psychomotricité n’a pas grand-chose à voir avec la baise. Je me triturais les seins puis regardais mon amant au travers du voile que formaient mes cheveux plaqués de sueur devant mes yeux. Mon destrier, mon étalon, ahanant, les yeux exorbités, se régalait du spectacle que je lui offrais. Alors, enfin, je pensais à lui et m’abaissais, redoublant la cadence et offrant mes seins à sa bouche. Se relevant en s’appuyant sur ses coudes, il se précipita dessus et commença de me les mordre, de me les gober, ma jouissance s’accrut encore pour culminer enfin lorsque je sentis son sexe gonfler, se raidir et déverser une quantité incroyable de sperme dans mes entrailles. Je m’écroulai alors sur lui, épuisée par l’épreuve.




CHAPITRE VI – Le calme après la tempête ? Que nenni !



Je dus certainement m’assoupir, mais pas longuement. Quand je rouvris les yeux, je le vis en train de dormir, son bras reposant lourdement sur mes épaules. Je me dégageai, j’avais envie d’uriner, je me levai et me rendis aux toilettes. Là je me rendis compte que mes poils pubiens étaient encore poisseux de son sperme, je fis une toilette minutieuse, mais néanmoins rapide : le lieu de nos exploits me manquait ! Giacomo dormait toujours, un sourire béat illuminait son visage. Je le regardai et vis pour la première fois son sexe flasque, mais, malgré ça, sa taille était encore imposante… un peu plus court (mais à peine) et nettement moins gros.


Ainsi c’est donc « ça » qui m’avait fait tant jouir. Ce sexe de la taille d’une poupée Barbie, mais qui pouvait en très peu de temps se muer en un colosse qui ravalerait Ken au rang de pâle mauviette. Il y avait un peu de Hulk dans cette bite (le vert en moins !). Je m’en approchai et, doucement je m’en saisis. Je savais confusément ce qui allait se passer, ça allait se terminer en fellation, jamais encore je n’avais pratiqué une telle caresse, mais je n’allais certes pas tarder à en devenir une experte, en tout cas j’y mettrais tout mon cœur !

Doucement pour ne pas le réveiller, je le décalottai et approchai mon visage, de forts effluves de nos récentes sécrétions firent frémir mes narines. Je déposai un baiser sur son méat, puis je fis avec ma bouche sur sa hampe et ses couilles (incroyablement grosses et poilues aussi !) ce qu’il avait fait avec la sienne sur mon corps : je le léchai tendrement, sans précipitation, à un certain moment j’essayai même de prendre tout un testicule dans ma bouche. Je faisais tout cela en guettant du coin de l’œil un possible réveil, mais non, il dormait toujours de tout son saoul. Il dormait ? Pas tout à fait, une chose en lui se réveillait, sa queue commençait doucement, mais (d)sûrement, à reprendre des proportions d’abord dignes de n’importe qui, puis dignes de lui seul. À ce moment, je m’en saisis à deux mains et ouvrant toute grande la bouche je pris son gland, j’essayai de faire tourner ma langue tout autour, ce qui, vu l’exiguïté de ma cavité buccale, s’avéra particulièrement difficile, mais j’y parvins – me semblait-il – de manière satisfaisante, puis je rentrai sa queue le plus loin possible dans ma bouche tout en m’aidant de mes mains pour le branler. C’est à ce moment qu’en sursaut il se réveilla.



Je me remis à l’ouvrage, une de mes mains continuant de faire coulisser sa chair sur sa bite, ma bouche contribuant au recouvrement partiel de son gland et l’autre lui massant énergiquement les couilles lui me caressait les cheveux. Avec ce traitement, sûr qu’il n’allait pas tenir longtemps. En effet, au bout d’un (petit) moment :



Et sur ce, il prit sa bite en main et, telle une lance incendie, la dirigea vers moi. Son foutre vint atterrir sur mes seins, quatre ou cinq jets drus se succédèrent. Je ne comprenais pas.



Il ne répondit pas, grognant de plaisir les yeux révulsés.



Puis reprenant ses esprits :



J’approchai à nouveau mon visage de son sexe à nouveau rabougri (enfin pas totalement !) et englobai son gland, le goût de sa semence était fort, mais finalement pas si désagréable. Une fois nettoyé, nous sommes descendus, après une rapide douche, nous avons mangé la salade que Francine nous avait préparée. Il était vingt heures trente et donc il était grand temps que je rentre chez moi. Giacomo me fit remarquer qu’il serait peut-être plus opportun qu’il me passe une clef de la maison afin que je fasse un peu le ménage avant qu’il ne rentre ce qui nous laisserait plus de temps pour nos ébats. L’idée n’était pas mauvaise et j’acquiesçai bien volontiers.


Le jour suivant, vers quinze heures quinze, alors que je terminai la vaisselle, j’entendis les pneus de la voiture de Giacomo crisser dans l’allée. Il possédait une de ces portes de garage qui s’ouvrent au moyen d’une commande, la voiture s’engouffra dans le garage, la porte se referma en même temps que la portière de la voiture. Puis j’entendis Giacomo monter les escaliers quatre à quatre. Je me retournai et le vis tenant maladroitement quelque chose derrière son dos en s’avançant vers moi.





CHAPITRE VII – Des jours de rêve !



Je l’ouvris et découvris un petit paquet, je le mis sur la table et m’assis sur une chaise entreprenant de le déballer. Lui vint se placer derrière moi et posa ses mains velues sur mes seins, il les soupesait tous les deux par-dessus mon vêtement au moment où je terminais de défaire l’emballage, c’était un ensemble soutien-gorge, string, porte-jarretelle en satin de couleur bordeaux accompagné d’une paire de bas noirs.



Il me prit et me porta jusque dans la chambre. Là, nous nous déshabillâmes le plus rapidement possible. Il bandait déjà. Les préliminaires furent moins longs que le jour précédent, nous avions bien trop envie l’un de l’autre. Cette fois, il me prit en levrette et j’eus l’impression que son sexe était encore plus long qu’avant. À chacun de ses coups de boutoir, je sentais ses couilles taper sur mes fesses, nous fûmes rapides à jouir et à nous écrouler côte à côte sur le lit.



Nous adoptâmes la position et, chacun de notre côté, nous nous mîmes à l’ouvrage, nos langues semblaient à l’unisson, la mienne passant de son gland à ses couilles, puis remontant à son gland, l’engouffrant dans ma bouche et le pompant énergiquement, sa bouche aspirant mon clitoris saillant, le lutinant de la langue, le mordillant, puis il allait à ma chatte et se désaltérait de ma cyprine. À un certain moment sa langue continua son chemin et vint lécher mon anus. J’en ressentis un tel frisson et une telle surprise que je me relevai brusquement (lui écrasant la figure de mon séant)



Il se dégagea.



Je me rabaissai et m’occupai à nouveau de sa bite, lui maintenant passait alternativement de ma rondelle à mon clitoris sans oublier ma chatte. Comme le jour précédent je jouis incroyablement et, bien qu’entièrement occupée, ma bouche laissait entendre des sons gutturaux. Je décidai alors de redoubler d’activité avec son manche afin que mon étalon jouisse à son tour, assez vite, il se raidit, abandonna ses caresses, ses mains se crispèrent sur mes fesses, ses ongles s’enfoncèrent jusqu’à m’en faire presque mal, mais je n’allais certes pas pleurer puisque j’avais ce que je voulais : de longues giclées de spermes, que je tentai d'avaler, se déversèrent dans ma bouche. Lorsqu’il eut terminé de lâcher la purée, je me redressai et vint l’embrasser fougueusement pour que dans nos bouches se mêlent son foutre, mon jus et nos salives.


Après cela, nous restâmes étendus en nous contemplant, mais il fallait bien que l’un de nous mette un terme à ce moment. Lorsque je voulus me lever, il me retint.



Il s’assit en recommençant de sucer mon clitoris. Je recommençais à mouiller, il introduit deux doigts dans ma chatte et s’imprégna de mes sécrétions, puis il en introduisit un dans mon anus, je savais ce qu’était la sodomie, mais je ne savais pas que ça pouvait aussi s’appliquer aux femmes, pensant que cet orifice n’était qu’un réceptacle pour les homosexuels. De plus je ne savais pas que l’on pouvait ressentir du plaisir avec semblable pénétration. Eh bien, je dus bien admettre que je me trompais lourdement, ce qu’il me faisait m’amena encore à la jouissance, une jouissance différente, mais tout aussi intense que celles que j’avais éprouvées jusque là, d’autant plus qu’un second doigt vint rejoindre le premier. Il voulut en mettre un troisième, mais mon anus refusa toute nouvelle intromission. Après un traitement de la sorte de quelques minutes, épuisés, mais heureux, nous arrêtâmes et allâmes manger. Pendant le repas, il me dit :



De toute manière demain était un autre jour (et après-demain aussi d’ailleurs). D’ailleurs, un de ces jours, après une de nos copulations, il me dit à brûle-pourpoint :



Moi, je me flanquai à rire :



Giacomo descendit et se rendit à la salle de bain, quelques instants il remonta avec différents ustensiles : un rasoir, des ciseaux, un bassinet rempli d’eau tiède, de la mousse à raser et une serviette. Après m’avoir fait réitérer mon assentiment, il s’empara des ciseaux et, consciencieusement, il coupa mes poils les plus longs, si bien qu’à la fin je n’en avais plus de plus de cinq à six millimètres. Ensuite il commença à s’enduire la main de mousse et à m’en masser la toison. Peu de temps après, alors que je fermais les yeux, je sentis le va-et-vient du rasoir de Giacomo sur ma chatte, l’opération dura près d’un quart d’heure, au bout duquel je pus découvrir mon minou tout rasé. Il va sans dire que Giacomo l’a baptisé d’une langue experte, pour mon plus grand plaisir.




CHAPITRE VIII – Le festin de Clitorine.



Les jours passaient et se ressemblaient, faits de jouissances et de plaisirs, d’extases et d’orgasmes. Francine devait revenir un dimanche et je n’osai penser que, quand elle serait là, je n’aurais plus ma dose quotidienne de sexe. À lui aussi, j’allais manquer ! Mais nous évitions le sujet, bien que nous sachions tous deux que nous ne pourrions pas l’évacuer sans fin. Le jeudi précédant le retour de Francine, après avoir fait deux fois l’amour (une fois avant le dîner et une fois après), je voulus savoir si à lui aussi les caresses anales faisaient de l’effet. Je fis donc mettre Giacomo en position.



Il s’exécuta et je vins placer ma langue sur le bas de son dos, entamant de descendre dans sa raie culière. Je fus interrompue par un barrage naturel, en effet, sa pilosité était là plus abondante que partout ailleurs et ses poils était drus, on aurait dit du crin ! Un peu dépitée, j’entrepris de forcer l’accès avec mes doigts. Après que mon index eut été lubrifié de ma salive, il se fraya à grand peine et à l’aveuglette un passage jusqu’à sa rondelle, je poussai un peu, il y avait une résistance et puis, finalement, mon doigt le pénétra, je commençai de le ramoner. Je fus surprise de constater que, lorsque le frère aîné de mon index voulut aider son frangin, il ne put s’introduire. Ainsi donc, le sphincter de cet homme au sexe cyclopéen était de dimensions ridicules ! Néanmoins, cette expérience ne fut pas que synonyme de déception, en effet, je remarquai que mon intromission avait eu comme effet de faire reprendre une taille et une raideur appréciable à la bite de Giacomo. Dès lors j’entrepris de le faire jouir une troisième fois, ce qui, pour lui, aurait constitué une première. Je le fis se retourner sur le dos, je le pris dans ma bouche et entamai une lente et savante fellation, à ce moment, le téléphone posé sur la table de nuit retentit, Giacomo décrocha.



Je m’interrompis et le regardai, mais d’un geste, il me fit signe de continuer, ce que je fis pendant qu’il branchait l’amplificateur.



Je pris ma langue et la promenai tout le long de sa hampe, il bandait toujours, mais je voyais bien qu’il n’était pas aussi vigoureux que les autres fois, était-ce parce que nous avions déjà eu deux coïts ou était-ce la conversation téléphonique ? Arrivant au gland, je le léchais comme on le fait avec une crème glacée. Puis j’eus une idée, je l’abandonnai et dévalai les escaliers, je pénétrai dans la cuisine et ouvris le frigidaire, j’y pris une bombe de chantilly et remontai les escaliers. La situation me désespérait, car la raideur continuait de s’affaisser (c’est tout juste s’il ne lui aurait pas [ph]fallut un tuteur !), lui, tout en continuant de répondre aux banales questions de Francine et de lui en poser d’aussi banales, s’était relevé et était appuyé sur un coude. Je me précipitai sur son sexe, déposai la bombe de chantilly et commençai de le branler, rien n’y fit, alors je recommençai d’introduire mon doigt dans son cul et presque aussitôt son sexe se mit au garde à vous ! Je pris alors la bombe de chantilly et commençai d’en enduire son sexe ; heureusement qu’elle n’avait pas encore été entamée, car je n’en aurai sûrement pas eu assez ! Je commençai par la base et terminai par son gland. Lui continuait de me regarder, les yeux exorbités, essayant de donner le change à Francine au téléphone.



J’attaquai par la base et, de toute la largeur de ma langue, léchai la première bande de crème près de ses couilles et de son pubis. Je me relevai pour admirer le travail ! Bien, une bande d’environ quatre à cinq centimètres était engloutie, je laissai à peu près la même dimension intacte et entrepris de m’attaquer à une couche plus haut…



Je continuai de la sorte, laissant sa bite zébrée de lignes de quatre centimètres de chantilly…



Au bout de trois tours de langue, il avait trois bandes de crème, dont la dernière plus énorme que les autres, puisqu’elle se terminait par son gland. Je décidai de le laisser pour terminer…



Maintenant, il y avait plus de crème dans mon estomac que sur sa bite, en quelques coups de langue je décidai de le terminer, sauf le gland – bien sûr – que je gardais pour la fin…



Voilà, il ne restait plus que les neiges éternelles, j’allais les faire fondre…



Complètement nettoyé, je m’emparai de son sexe à deux mains et le branlai pendant que ma langue, en d’expertes circonvolutions, s’occupait du sommet de son pic désormais complètement déneigé, Giacomo respirait de plus en plus difficilement…



Presque aussitôt, il éjaculait en grognant.



Alors qu’il mangeait son dessert et que je faisais du café (j’étais repue ! Et même un peu écœurée) il me dit :



Ma mère fut d’autant plus d’accord qu’elle venait d’être prévenue par sa direction qu’elle devait participer à un recyclage ce week-end à la côte. Nous allions certainement passer un excellent moment Giacomo et moi !




CHAPITRE IX – Balles magiques.



Le lendemain, je fis le ménage chez Giacomo, il revint vers dix-sept heures quinze alors que je venais de terminer et que je m’apprêtais à mettre les vêtements que j’avais prévus pour aller au restaurant.



Nous montâmes rapidement les escaliers, nous nous débarrassâmes de nos vêtements et trouvâmes rapidement la position. Ensuite, il se leva et me proposa d’aller chercher mes vêtements que j’avais laissés dans le séjour. J’acceptai, bien sûr. Il revint les bras chargés de mes vêtements.



Je le déballai vite et en sortis un petit écrin recouvert de papier velouté rouge orné de caractères orientaux dorés avec, au milieu, une silhouette de femme asiatique à genoux et dévêtue (on voyait ses tétons affaissés) avec de longues épingles retenant un chignon.



Il l’ouvrit et je découvris deux boules d’aspect métallique, qu’il sortit immédiatement de leur écrin. Elles étaient reliées ensemble par une cordelette et au bruit du tintement qu’elles firent je me fis rapidement une idée de leur poids : elles devaient être relativement légères.



Je m’exécutai. Il prit les boules et commença à m’en caresser les joues. Leur contact était froid. Il atteignit mes lèvres, je me demandai où il voulait en venir. Les boules continuaient leur parcours, prenant la température de mon corps. Après me les avoir fait embrasser, les tractant par la ficelle blanche qui les unissait, il en caressa mes seins, les roula entre les deux, puis fit le tour de mes tétons, ceux-ci pointaient, je m’abandonnai totalement à la caresse. Je savourai véritablement ce moment et je commençai à subodorer la suite. Ces boules, il allait me les mettre dans mon vagin, ça ne faisait pas l’ombre d’un doute ! Lorsque mon cerveau eut assimilé ce fait, il envoya immédiatement des stimuli à ma chatte qui s’inonda instantanément. Lorsque ces balles magiques roulèrent sur mon ventre, je commençai de gémir dans cette attente infernale, mais Giacomo avait décidé de faire durer le plaisir, il plaça une boule sur mon ombilic et, de l’autre commença de masser mon clitoris de l’autre. Je sentais le plaisir monter inéluctablement, mais, alors qu’il sentait que j’étais au bord de la jouissance, Giacomo ralentissait les mouvements ou déplaçait la boule. Lorsqu’il prit la boule posée sur mon nombril et l’introduisit dans ma chatte, je n’en pus plus et jouis bruyamment une première fois. De l’autre boule, il continua d’agacer mon clitoris. À peine redescendue de mon nuage, il prit la deuxième boule et la fit rejoindre la première. Brusquement, il se leva.



Je me levai du lit, mais dus de suite me rasseoir : je ne m’attendais pas à ce que le moindre de mes mouvements fasse s’entrechoquer les boules. Une fois cette idée adoptée, je refis une tentative et enfilai mon string et mon porte-jarretelle, Giacomo était déjà habillé, il m’aida à enfiler mes bas pendant que je mettais mon soutif. Le moindre de mes gestes conjugués au contact des mains de Giacomo sur mes jambes nues avait pour effet de secouer mon corps de frissons. Mais progressivement, je m’habituai, et au bout de dix minutes, ces frissons avaient laissé la place à d’agréables ondes de plaisir.


Comme vêtements, j’avais opté pour un tailleur noir avec une mini jupe noire et un chemisier blanc. Giacomo avait observé ma séance d’habillage. Une fois prête, sur mes hauts talons noirs, il trouva que mon chemisier était trop sage, il me demanda d’en défaire deux boutons, de la sorte on pouvait voir ma gorge et la naissance de ma poitrine. Et ces divines boules qui continuaient leur va-et-vient ! Je fus au bord de la jouissance lorsque je descendis les escaliers pour me rendre à la salle de bain où je me maquillai rapidement : une touche de mascara noir sur mes cils et du rouge à lèvres. Je sortis par la porte d’entrée pendant que Giacomo remontait l’allée avec la voiture. Je dus me contorsionner pour m’installer. Au point où j’en étais il ne me fallait plus grand-chose pour filer au septième ciel, alors pendant que nous roulions, je commençai à croiser et décroiser les jambes, à les écarter, à me repositionner sur le siège et, au bout d’à peine un kilomètre (il est vrai que pour rejoindre l’autoroute, les virages et les dos d’âne ne manquaient pas), un long râle s’échappa de ma gorge : je jouissais comme une possédée, oui tel était bien le terme, une possédée, j’étais sous l’emprise de ces balles magiques.



Je tentai tant bien que mal de me calmer, le trajet en droite ligne sur l’autoroute m’y aida, l’excitation recommença lorsque nous arrivâmes en ville, mais pas suffisamment longtemps pour que j’éprouve un nouvel orgasme. Giacomo gara la voiture à proximité du restaurant, c’était un italien qu’il connaissait. On nous introduisit, il dit qu’il avait réservé une table et une jeune fille nous y conduisit, nous nous installâmes. Le patron, un homme d’une cinquantaine d’années, arriva.



Il me regarda :



Carmelo arriva avec les cartes, c’était un garçon d’environ mon âge, plutôt mignon, mince, blond, les yeux bruns. De suite, je vis que je ne le laissais pas indifférent.



Je le regardai dans les yeux :



Carmelo s’éloigna de nouveau, Giacomo n’arrêtait pas de me dévisager.



Lorsque Carmelo revint pour prendre la commande, je m’étais écartée de la table et avais croisé les jambes, il pouvait voir une étroite bande de peau au-dessus de mon bas, je continuai de le regarder, il prit note de la commande essayant de fuir mon regard. Il rougissait. Pour manger, je m’étais rapprochée de la table, mais mon excitation était à son comble, je continuai de croiser et décroiser les jambes. Nous avions presque fini lorsque Giacomo me dit :



À ce moment, Carmelo arriva.



Je me levai et lui emboîtai le pas. Il se dirigea vers le fond du restaurant et m’ouvrit une porte qui donnait sur des escaliers.



Il m’accompagna.



Une fois à l’intérieur j’enlevai mon string et les boules de geisha, je posai le tout sur le lavabo et rouvris la porte.



Je le pris et commençai de l’embrasser tout en déboutonnant ses pantalons. Il bandait déjà et, ma foi, c’était un organe tout à fait appréciable, je m’assis sur le bord du lavabo et pris son pénis que je guidai sans difficulté dans ma chatte humide, nous continuions à nous embrasser, je croisai mes jambes sur ses reins et commençai d’onduler du bassin, lui allait et venait dans ma vulve, il ne lui fallut pas longtemps pour jouir en de longues saccades, alors que moi je n’avais encore rien eu.



Son sexe commença à débander, alors, tout en continuant de l’enserrer de mes jambes afin de l’empêcher de se retirer et, tout en continuant aussi d’onduler du bassin, je rejetai le buste en arrière et défis mon chemisier et fis sortir mes seins des balconnets de mon soutien, puis je lui appliquai la tête sur mes seins qu’il commença à lécher, je l’encourageai :



Il commença à reprendre vigueur, le visage enfoui dans mon bénitier, sa langue, plus particulièrement était agile, il était peut-être puceau, mais en tout cas, en caresse buccale, ça promettait ! Son sexe grossissait de plus en plus et puis je sentis qu’il était au summum ! Alors je me déchaînai et poussai des petits cris, lui aussi geignait. Nos mouvements, désordonnés au départ, étaient maintenant à l’unisson, je ressentis un orgasme qui, presque aussitôt, fut suivi de son éjaculation, moins abondante que la première, il est vrai.


Je l’embrassai sur le front.



Après son départ, je me rhabillai, mis les boules de geisha dans mon sac à main, et réajustai mon maquillage, puis je remontai dans le restaurant. J’arrivai à la table au moment où Carmelo arrivait avec les desserts (un excellent Tiramisu) et le café. Une demie heure plus tard, nous sommes sortis.




CHAPITRE X – Fin de soirée émouvante à plus d’un titre.




Le trajet ne dura que quelques minutes. Giacomo opta pour un grand café très profond, nous nous dirigeâmes vers le fond. Il y avait peu de clients : quatre joueurs de belote, un groupe de jeunes, visiblement des motards et d’autres clients isolés. Ayant un peu trop bu, je pris une orangeade, Giacomo commanda quant à lui une bière. Une fois servis, s’installa entre nous un long moment de silence que Giacomo rompit le premier.



En prenant le verre, nous discutâmes de choses et d’autres : de la raison de notre présence (ce qui passa relativement facilement !), des études que j’allais entamer, du boulot qu’ils avaient dans l’entreprise et de la passion qu’il avait de confectionner des cocktails ! S’ensuivit un long silence, après que Giacomo eut – par courtoisie – recommandé des consommations (je pris à nouveau un Martini et vis que ça ne plaisait pas trop à Giacomo), Henri reprit la parole :



Les motards se retournèrent un bref moment, puis replongèrent leur nez dans leur verre.



Cette fois, ce n’était plus une interrogation, mais une affirmation.



Peut-être était-ce le Martini, mais moi, je m’amusai follement de la situation !



Je décidai d’entrer dans la danse.