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n° 03889Fiche technique13139 caractères13139
Temps de lecture estimé : 8 mn
28/03/02
Résumé:  Etant seul depuis quelques temps, je me suis pris à rêver que je prenais une fille dans mes bras...
Critères:  fh couple amour volupté fmast intermast fellation cunnilingu fdanus
Auteur : Loco  (Je me suis déjà présenté sur ce site...)      
Le baiser (!)


S’approcher lentement d’une bouche inconnue, en recueillir d’abord le souffle léger, puis sentir des lèvres chaudes et douces contre les siennes, palper leur fermeté, leurs vibrations… Goûter celle du haut, puis celle du bas, tenter le passage avec sa langue, percevoir peu de résistance, s’aventurer plus loin ; tester du bout l’ouverture, et, après avoir été accepté, lécher ces lèvres jusqu’aux commissures, rentrer pour en découvrir davantage, timidement au début, hésitant… Et puis partir à la découverte, palpant des papilles l’intérieur des joues, le palais, les dents alors que sa propre bouche est explorée de même, lécher la langue de l’autre et lui lécher les lèvres à nouveau puis toute la bouche puis les joues, le nez, les yeux, jusqu’aux oreilles, attraper la nuque pour mieux presser, serrer les pommettes des deux mains, pouces aux bords des commissures pour mieux embrasser, la mâchoire à se disloquer, la salive surabondante, le souffle court, muqueuses mélangées, se touchant juste du bout puis s’entortillant, museaux grands ouverts… Mordiller les lèvres de l’autre avant de pénétrer à nouveau cet antre de plaisir…


Pendant que les bouches se partagent, les mains peuvent aussi s’exprimer, se passer mutuellement dans les cheveux, voire les tirer un peu pour mieux mettre la tête de l’autre en arrière, alors que les bouches en profitent pour s’investir de plus belle, les mains donc redescendent dans le cou et, animées d’une vie propre, de là partent sur les épaules, les caressent, les massent lentement, descendent au même rythme sur les bras, puis les avant-bras, sentent la peau de la paume, la pincent même, et rejoignent les mains enfin… Les doigts se découvrent, s’enlacent, se caressent, reconnaissent, autonomes, s’entortillent à s’emmêler. Remonter les bras en les caressant toujours - de toute façon tout n’est plus que caresse mutuelle alors que les bouches s’activent à un baiser sans fin - les mains qui remontent jusqu’aux épaules pour redescendre épouser le dos, sentir les formes arrondies des hanches, puis des fesses, que l’on presse au passage. Serrant pour mettre les ventres en contact, de la poitrine jusqu’aux cuisses, le corps de l’autre jusqu’à l’étouffer, relâcher pour passer les mains sur le ventre, et, sur le tee-Shirt toujours, remonter jusqu’à oser effleurer un sein dont on devine au passage la fermeté…


Y revenir après un court passage sur les épaules et investir ce nouveau territoire : le sein! Palper sous la paume les bouts durcis, les regarder poindre sous les tissus tendus, les malaxer un peu sans les maltraiter, sentir le souffle de l’autre se raccourcir sous sa propre bouche, descendre la main sur le vêtement, extraire le tee-shirt du jean, effleurer la peau du ventre en remontant vers le soutien-gorge, en tâter la matière et ce mystère qu’il contient, promener le bout de l’index sur l’aréole, tendue sous la dentelle…


Soulever enfin le vêtement pour regarder, déjà plus maître de soi, pour faire jouir l’œil de ce modelé, de cette forme si convoitée, laissant l’autre bouche ouverte, en attente…


Embrasser à présent le sous-vêtement, le mordiller, le lécher même jusqu’à la peau, le humer, la joue au contact, et puis craquer bêtement, en soulever les bonnets pour voir surgir, enfin soulagés, les deux seins tendus, mamelons érigés, libérés, montrés, prêtés… Se jeter voracement sur eux pour les avoir enfin dans sa bouche, les sucer du bout des lèvres, les aspirer, les engloutir, les mordiller, et les sentir durcir encore sous les gémissements de leur propriétaire ; les lâcher pour mieux les regarder à nouveau, enfouir son visage entre eux en les caressant des deux mains, tendus, frémissants, les embrasser sans cesse pour les quitter, comme à regret afin d’aller, presque malgré soi, toujours trop vite, investir, découvrir de nouveaux espaces.


Le ventre est un terrible repaire pour une langue, elle s’y perdrait à tenter de goûter le sel de la peau, son grain, son modelé, progressant centimètres carrés par centimètres carrés jusqu’au… surprise! L’anneau sur le nombril, charme indéniable, perversité de la femme… S’agenouillant pour mieux l’embrasser, la langue pénètre jusqu’à cette fabuleuse cicatrice, endroit qui en lui-même mérite autant d’intérêt que tout le reste. Pendant que les lèvres en découvrent le pourtour, et alors que les mains tiennent les hanches au niveau de la ceinture, descendant vers les fesses puis remontant, la langue explore ce nouveau territoire que l’on prête encore, s’entortillant autour du métal, creusant les irrégularités, les irrigants, zone érogène inattendue que l’on laisse, qu’on abandonne afin qu’elle soit aussi léchée comme il se doit, vibrant presque…


La bouche, toujours descendante, abandonne ce joyaux à présent trempé de salive et se heurte à la ceinture et au bouton du jean ; l’enveloppe ; y trouve moins de charme que la peau ; les dents le mordent et les mains viennent à la rescousse, dégrafant l’une puis déboutonnant ces intrus, le premier d’abord, découvrant un début de duvet, le deuxième ensuite et là…


…L’élastique de la dentelle apparaît, et sa marque sur la peau, à la lisière d’une douce forêt dont les poils frisants commencent à poindre. Le cœur accélère encore, les doigts s’emparent des fesses et les malaxent dans une étreinte animale alors que le sexe endolori, emprisonné, se tend sous le jean… Les derniers boutons sautent comme par magie et apparaît le sous-vêtement magique, le dernier délicieux barrage, translucide, électrique… Les mains pénètrent alors le pantalon vers l’arrière, le descendent et peuvent enfin s’attarder sur les fesses, les caressent et les pressent, faisant se coller au mont de vénus la joue, puis le nez, puis la mâchoire ; le jean descend tout seul aux genoux, et le visage se frotte contre le slip pendant que les mains le tendent, le tirent en haut vers l’arrière et lui font épouser au mieux les formes délicates du ventre, du sexe, et des fesses… Les dents mordent l’élastique et le tirent aussi vers le haut, puis vers le bas ; la langue sort à nouveau d’elle-même lécher ce pubis encore habillé, à même le tissu, puis descend la motte vers la fente odorante. L’olfactif s’en mêle ; le nez pénètre plus bas entre les cuisses, les force à s’écarter gênées qu’elles sont au genoux par le jean tire-bouchonné, et remonte vers le haut, humant les délicates effluves féminines. Les mains tirent encore sur les élastiques de la culotte, la faisant pénétrer entre les cuisses suintantes, entre les fesses, faisant s’échapper les poils et passant entre les lèvres qui s’écartent, luisantes, immédiatement lapées par la langue vive, à l’affût à présent, qui cherche à passer sous le mince tissu… et y arrive… Quelques doigts sont déjà près de l’anus et s’en rapprochent encore, descendant vers la raie culière, s’y promenant sous le slip jusqu’aux haut des jambes, reculant, puis saisissant les cuisses, s’emparant de l’une d’entre elle, la massant, l’écartant de l’autre, appréciant le modelé, la douceur, le visage venant à se frotter sur cette nouvelle aire délicate. Pour mieux accéder au tableau ainsi offert, la figure s’écarte et l’œil se régale du spectacle, croise le regard de l’autre, empli de lubricité et de convoitise, y trouve les encouragements à poursuivre ce délicieux parcours…


Les mains caressent alternativement les fesses et les cuisses, les massent ; le nez et la langue remontent alors vers l’entrecuisse et écartent conjointement le slip, pénétrant les chairs ouvertes, trempées, s’introduisant entre les lèvres, cherchant l’ouverture entre les poils, la trouvant sous des gémissements à présent bien audibles… Le sexe douloureux sous son propre vêtement à l’allure de carcan, le désir guide seul la langue qui part à la recherche du petit organe si sensible, en haut de la fente. Le pubis est tendu vers l’avant, les cuisses se desserrent encore ; le sexe est exposé à toutes les caresses ; les mains remontent vers lui, le clitoris est assailli par la langue, le bassin oscille, deux doigts se glissent vers la vulve, en écartent les lèvres délicatement, et l’investissent sans problème, les premières phalanges s’enfonçant puis ressortant, toutes luisantes de bave et de mouille. L’autre main écarte le slip, découvrant enfin la chatte d’une manière indécente, chatte que l’on tend, que l’on offre comme le reste, les deux mains de l’autre quittant les cheveux qu’elles n’avaient de cesse de masser pour dégager elles-mêmes la dentelle, par l’avant et par l’arrière, en découvrant ainsi plus, tirant au passage sur la peau des fesses, pour se les dégager, et sur le bas-ventre, pour ouvrir encore plus le sexe aux caresses des doigts insidieusement pénétrant et de la langue jouissive. Les genoux ploient, les cuisses s’écartent encore, donnant à voir le tableau obscène de la femme qui s’exhibe, sexe tendu vers la jouissance, vulve ouverte, léchée, branlée dans la chatte, offrant, en les séparant plus encore les fesses et leur intérieur à la main inquisitrice qui s’insinue par l’arrière vers le petit orifice à présent si sensible…


Les gémissements deviennent plus rauques, le sexe dégouline de foutre, et le clitoris tendu semble vouloir ne plus être quitté par la langue qui ne lui laisse aucun répit, le titillant, le suçant, le quittant pour aller lécher un peu le con, envahi par trois doigts à présent, et toute la chatte et l’intérieur des cuisses, poils des lèvres compris, pour revenir ensuite au petit organe tendu. Sa propre queue est complètement arquée sous son froc, il faudrait la libérer. Le jean rapidement dégrafé, le bout de son gland sort seul de sous le slip et respire enfin, congestionné. Un doigt peut alors flirter avec l’anus, descend vers la fente et remonte, étalant de la mouille vers le cul, recommence en appuyant chaque fois un peu plus et glisse ainsi vers l’intérieur, violant le passage… Elle crie des insanités, trémoussant son ventre sur le visage qui s’est soudé à sa fente, maltraitée par quatre doigts qui lui secouent vicieusement le con, et un autre qui progresse, maintenant outrageusement, dans son fondement. Fermement maintenue dans cette attitude pleine de lubricité, animale, elle ondule de tout son corps, branlée, secouée dans ses deux orifices, sent la jouissance venir et, soudain, dans un cri, éjacule un jet de mouille ; secouée par une série de spasmes terribles, elle jouit brutalement, longuement… Les mains la soutienne pour qu’elle puisse s’allonger à même le sol, anéantie, alanguie, momentanément soulagée, inerte… consentante au déshabillage auquel on la soumet, apaisée.


Une fois nue et confortablement installée, délivrée de toute entrave, elle présente une autre figure d’elle-même, à la fois câline, offerte, obscène, odorante et humide… Les yeux n’en perdant pas une miette, les vêtements glissent à terre, et, s’éloignant du baiser initial, mais le concluant finalement, le regard tendu vers tant de complaisance, la langue ressort d’elle même pour aller plonger dans l’antre ainsi proposée, avec douceur au début, pour ne pas traumatiser le délicat organe, le lapant, comme pour le laver, le menton et le nez, à sa suite s’engageant à nouveau… C’est trop tôt, trop sensible encore. Elle tends sa main vers le sexe dressé qu’on lui offre, les yeux s’écarquillent, la bouche s’ouvre à nouveau sous la remontée du désir ; le buste se relève, attiré par la queue rigide, l’envie d’y goûter, d’y poser sa langue, de l’avoir dans la bouche est trop forte. Les mots sont à nouveau obscènes, les couilles sont soupesées, le gland est au bord des lèvres qui l’embrassent, le lèche, langue sortie… le goûte, l’engloutit enfin avec douceur et commence son mouvement, assisté des deux mains… Le vagin s’humecte à nouveau pendant que la verge gonfle encore sous la caresse, le membre pénètre la bouche qui s’ouvre toujours plus, c’est la bouche qui est baisée en premier, les deux mains tenant la tête, les mouvements du bassin faisant se choquer le gland au fond de la glotte. Elle se branle à nouveau la chatte, plus excitée que jamais par cette queue qui ressort à présent et vient se frotter, baveuse, sur le visage, les joues, le nez, les yeux, le front… Les couilles se posent sur sa bouche qu’elle ouvre encore, la tige va se perdre dans les cheveux, s’y caresse, les entortille autour d’elle-même, se branle avec…


Il est temps de passer aux choses sérieuses.