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14/04/02
Résumé:  Qui que vous soyez, Messieurs, ceci se veut votre histoire. Autant que vous êtes, j'ai fait le choix, le temps d'un instant, de vous inviter tous, blonds ou bruns, petits ou gros, mariés ou impubères à pénétrer dans mon antre.
Critères:  fh exhib massage cunnilingu fsodo tutu ecriv_f
Auteur : Chiara      
Une simple invitation


Qui que vous soyez, Messieurs, ceci se veut votre histoire. Autant que vous êtes, j’ai fait le choix, le temps d’un instant, de vous inviter tous, blonds ou bruns, petits ou gros, mariés ou impubères à pénétrer dans mon antre. Lecteurs du hasard, je vous livre sans détours une parcelle de mon territoire. Amoureux des mots et de l’érotisme, je vous autorise à ouvrir le grand livre de mon intimité. Obsédés de la concupiscence, je vous convoque à un abandon phallique. Pervers de tous âges, je vous convie à une découverte sans faux frais.


Mais veillons bien entendu à ne pas brûler les étapes. Ne soyez, je vous prie, pas trop pressés… Je sais que vous me cherchez sur votre écran, que vous tentez de m’apercevoir alors que nous n’avons même pas encore pris le temps des présentations. Et puis, si j’accepte de me livrer, cela reste donnant donnant. Vous devez pour votre part vous engager à me respecter, à ne pas juger mon comportement comme vil. Et surtout à ne pas me caractériser comme vulgaire. On est d’accord ? Veillez dès lors apposer votre signature au bas de ce document. Voilaaaa… Toi là, veux-tu bien écrire proprement ! Tiens, tant que j’y suis, je passe au tutoiement, ce sera plus commode.


Bien. Commençons par le commencement. Tu me vois ? Je suis juste en face de toi. Mais si, regarde mieux. Je suis assise par terre, à droite du grand sofa. Tu vois, je lève les bras. Ben oui, cette femme, c’est bien moi. Ne me dis pas que tu es déçu ! Comment ? Tu ne me discernes pas bien ? Tu me trouves un peu perdue dans cette grande pièce ? Et minute papillon ! Nous avons tout le temps ! Au fait, comment trouves-tu mon appartement ? J’ai toujours rêvé d’habiter dans un loft spacieux. Pas de cloisons inutiles, chaque meuble posé à sa juste place et modulable à merci. La lampe en métal que tu vois derrière moi est très ancienne, vestige paraît-il d’un palais ottoman. Je l’ai rapporté d’Istambul il y a quelques années. Bon je te laisse faire le tour du propriétaire. Le sofa en coin, la table basse indienne, les petites jardinières en fonte qui parsèment le sol, … Mais je suppose que tu n’es pas venu pour ça. La décoration d’intérieur, ce sera pour une autre fois ! Cela dit, n’hésite pas à bien observer, à scruter les moindres détails de mon petit chez-moi. Si tu savais les mystères que certains objets recèlent !


Revenons à moi. Attend, je m’approche. Voilà, là tu me vois parfaitement. Bonjour cher Monsieur, moi c’est Chiara. Comme tu dis, un prénom qui sent bon l’Italie. Plus précisément, je suis Romaine. J’habite dans un de ces vieux quartiers faits de ruelles et d’histoire, où les parfums de moka partagent l’atmosphère avec les gaz carboniques des Piaggio. Comme tu me vois, du haut de mes trente-trois ans, je suis Italienne des pieds à la tête. Et oui, désolé pour toi, le grand maigre qui me zieute nonchalamment, je ne réponds sans doute pas à tes sacro-saintes envies de blonde suédoise aux yeux bleus ! Mais que cela ne t’empêche pas de demeurer encore un petit peu avec nous, qui sait peut-être même que tu changeras de critères…


J’aime mes cheveux ébouriffés, qui font semblant de ne plus avoir papoté avec un peigne depuis des lustres. Pourtant, si tu savais le nombre de fois qu’ils se font dorloter chez mon coiffeur préféré ! J’aime les avoir tels que tu les vois pour l’instant, ni trop courts, ni trop longs, les pointes titillant mes épaules. Comme j’aime leur couleur auburn, oscillant entre brun et roux selon les saisons. Ne trouves-tu pas que cette couleur me va à ravir, et qu’elle est en parfaite osmose avec le noir de mes yeux et le teint mat de ma peau ? Ma peau, tiens, parlons-en. Tu aimerais que je te la livre de suite hein ? Que je te la jette au visage recto-verso, pour que tu emplisses tes mirettes de son parfum sucré ? Curiosité bon enfant ou désir lubrique ? Allez, puisque je suis sympa, je veux bien t’en dévoiler une petite tranche immédiatement. Regarde bien. Suis ma main retrousser ma… Et puis non, fais-le toi-même.


Vas-y, doucement. Prends ma nuisette délicatement entre tes doigts, remonte lentement. Tu sens comme le tissu est soyeux ? je suis sûre que toi aussi tu aimes les matières nobles. Et là ! N’en profite pas pour toucher ma culotte petit dégoûtant ! N’oublies pas notre contrat, sois patient. Voilà, c’est mieux. Ouïe ouïe, tes doigts qui effleurent mon ventre me chatouillent. J’en ai la chair de poule. Mais continue, c’est très agréable. Je suis sûre que tu sais te montrer très doux. Et oui, voici mes seins. Pas mal, ne trouves-tu pas ? Comment ça celui de gauche est plus gros ? Attends, enlève complètement ma nuisette d’abord, que je te prouve ta méprise. Voilà, aye, mes cheveux ! Oui oui, tu peux la jeter au sol, nous n’en avons plus besoin pour l’instant.


Alors ? Laisse moi reculer, que je t’offre une vue d’ensemble. Un petit tour, à gauche, à droite, de dos. Et où es-tu ? Ah, je pensais que tu avais profité que j’aie le dos tourné pour t’éclipser. Voyons donc ces seins. Tu trouves vraiment qu’ils sont différents ? T’as p’têtre raison. En tout cas, saches qu’ils sont très doux au toucher. Regarde-moi ce 85 B parfait. Tu aimes quand je le soupèse, quand j’y glisse mes mains, quand je les pétris ? Je dois bien t’avouer que j’adore les caresser ! Allez, tiens, à toi, touche. Hummm, mais c’est que tu t’y prends bien petit saloupiaud. Aurais-tu donc déjà palpé tant de seins dans ta vie que tes mains soient si expertes ? Bien sûr que tu peux prendre mes mamelons entre tes doigts. Mais doucement, hein, ne recommence pas à te montrer empressé. Regarde comme ils pointent rapidement. Très bien. Continue, malaxe, façonne-les à la guise.


Mais ! Mais c’est que tu bandes, toi ! Si tu crois que je ne vois pas la bosse qui déforme ton pantalon ! Humm, on dirait même qu’il y a du potentiel là-dedans… Voilà qui promet pour la suite ! Mais oui, j’ai remarqué aussi ton excroissance, jeune imberbe. Mais tu ne devrais pas être à l’école toi ? Ah bon, tu viens d’avoir 18 ans… Je doute, je doute…


Mais trêve de bavardage, revenons à mon corps. Si tu quittais mes seins quelques secondes ? NON pas encore mon cul ! Passe plutôt tes doigts sur mon cou, caresse ma nuque, apprivoise mon ventre. C’est que tu sais t’y prendre, toi. J’aurais pas pensé en te découvrant tout à l’heure. Désolée d’avoir douté de tes capacités. Aller, pour me faire pardonner, je t’autorise à opérer une petite descente, à t’aventurer plus bas.


Voilà, parfait, tout en douceur, d’abord le long de mes hanches, vers mes cuisses. Tes doigts n’ont pas essayé d’agripper l’élastique de ma culotte, well done Sir. Là tu marques un point, je vois avec plaisir que tu as compris. Mets tes mains bien à plat, remonte sur mes fesses, froisse le léger coton qui les recouvre, caresse pleinement la chair par-dessus le tissu. Elles te plaisent, hein ? Cela fait bien longtemps que tu n’avais plus peloté d’aussi enthousiasmantes. En tout cas, je peux te certifier que l’excitation grimpe. Tu ne m’en veux pas si je me touche les seins pendant que tu poursuis ton petit bonhomme de chemin sur mes rondeurs ? Merci, bon prince. Tant que tu y es, vire-moi vite fait cette culotte. Au diable les bonnes manières, je veux sentir tes doigts sur mon cul. Ouais, ouais, sans chichis, enlève d’un coup sec. Et bazarde-la à l’autre bout de la pièce. Quoi ? Tu préfères la garder ! Et quoi encore ? La porter à ton nez devant tes collègues de bureau aussi, tant que tu y es ! Pas question ! Et si t’es pas d’accord, t’as qu’à disparaître ; C’est moi qui fixe les règles, vieux cochon.


Alors amis ? OK. Mais je dois bien dire que rien qu’évoquer tes sales habitudes m’a un peu refroidie. Retire tes mains deux minutes, que je retrouve l’envie. Pendant ce temps, fais profiter tes yeux de ma chatte. Et non, je ne m’épile pas complètement, désolée pour les fétichistes du genre (faudrait tout de même que je fasse gaffe à ne pas décevoir trop de monde !). Regarde bien mes boucles brunes. Si tu savais comme elles sont soyeuses. J’épile juste ce qu’il faut, au gré de mes envies. Parfois je dégage bien dans la nuque, pour ne laisser qu’un petit triangle bien isocèle. D’autres fois, c’est la forêt bavaroise à domicile. Quoi qu’il en soit, elle renferme toujours la même chose. Un paradis de nacre et de sucre, un labyrinthe verdoyant où il fait bon se perdre. J’te montre ? Dacodac, y a qu’à suivre le guide. Veuillez juste essuyer vos pieds avant d’entrer et laisser vos affaires aux vestiaires.


Allez, te fais pas prier, sors-la ta queue. T’en crève d’envie de toute façon. Pudique le coco ? Rassure-toi, j’en ai vu d’autres. Très bien. Humm, bien longue là-bas derrière. Prends la dans ta main, ne me laisse pas agir seule. Accompagne mon mouvement. Regarde, moi aussi, je me caresse. Regarde, mes doigts se frayent un passage dans mon pubis, ils écartent les lèvres. Juste pour toi. Profites-en, suis mon index s’introduire dans mon vagin. Mes cuisses ne sont pas encore entièrement ouvertes, mais cela ne saurait tarder. Dans quelques instants, c’est le grand écart qu’elles te proposeront. Plonge dans mes profondeurs, hume pleinement l’odeur de mon sexe, enivre-toi de ses effluves les plus suaves. Allez, approche ta langue, je sais que te ne penses qu’à ça. Vas-y, je te laisse la place. Enfouis-la bien profondément, écarte bien les lèvres, aide-toi de tes doigts si tu veux. Hummmm comme ta langue est agile. Je la sens fouiller les moindres détours de mon minou. Wouawww, mais c’est que tu tentes de me foutre un doigt dans le cul salopard. Je ne l’avais pas vu venir ! Mais non cela ne me dérange pas, gros bêta, bien au contraire. Mais délicatement, hein ! Et puis, tant pis pour toi si je jouis déjà.


Tiens, tiens. Tu renonces… Ah, c’est donc ça, tu as peur qu’en cas de jouissance le jeu ne s’arrête. Qui sait si tu n’as pas raison ? Tu retire ta langue, tu lâches ma chatte. Comme tu veux. Tu préfères souffler un peu ? A la bonne heure. Si tu veux, je bouge pas, je laisse mes jambes bien écartées que tu ne perdes pas une miette de mon intimité. Et toi au fait ? Tu tiens toujours ? Toi là, avec tes lunettes en écailles, si tu crois que je n’ai pas vu que tu avais éjaculé… Mais t’inquiètes, je t’offre un second tour.


Bon, ben c’est pas tout ça. Couchée nue à même la moquette, cela gratte les fesses, surtout quand elle est en coco. Si cela ne te dérange pas, on pourrait passer sur mon lit, on sera plus confo. Suis-moi, il est derrière le paravent, là.


Comment tu trouves ? Grand non ? Tu seras d’accord avec moi que ce n’est pas parce que je vis seule que je dois me coltiner une paillasse ridicule ! J’aime l’espace… Tu vois la petite table de nuit sur la gauche ? Elle aussi renferme plein de petits secrets. Qui sait si je ne t’en livrerai pas quelques bribes un de ces quatre.


Tu aimes me voir me balader à poil dans mon appartement ? Cela ne doit pas t’arriver tous les jours une petite nana qui te fait visiter son meublé les fesses à l’air ! Et gratos en plus ! Tant qu’on y est, je peux te faire voir le reste si tu veux. Bien que je ne sois pas convaincue que cela te passionne… En tout cas, tu auras un bref aperçu de la cuisine puisque je vais me chercher un petit verre d’eau.


Voilà qui est mieux. C’est que tu me donnes chaud, toi ! Par contre, et pas de bol pour les uromachinchouette, je vais vite faire un petit pipi, et ça c’est toute seule ! Je reviens tout de suite…


Une bonne chose de faite. Alors, où en était-on ? Ah oui, si mes souvenirs sont exacts, il n’y a pas si longtemps tu avais encore ta langue dans ma chatte. Si on passait à autre chose ? Cela te dirait par exemple de me prendre sous la douche ? Comment ça pas envie de te mouiller les cheveux ? Tu serais pas un peu difficile des fois, toi ?

Bon réfléchissons. Qu’est-ce qui te ferait plaisir ? Simplement me regarder pendant que je prends une douche ? Ma foi, pourquoi pas… Allez, suis-moi.


Tu as tort, l’eau est délicieuse. Chaude à souhait. Regarde, sur mes fesses, elle se transforme en une myriade de petites perles minuscules. Je passe les doigts et elles disparaissent, pour se reformer immédiatement à un autre endroit. Ma peau est littéralement amoureuse de l’eau, quelle que soit la période de l’année. Piscine, bain, douche, rivière, mer, tout est bon. Même une pluie fine l’emplit de bonheur. Surtout durant les chaleurs d’été, parfois suffoquantes à Rome. Préfères-tu mes cheveux lissés comme à présent ou ébouriffés comme tout à l’heure ? Cela me fait une tête différente, non ? C’est un peu comme si tu avais deux filles pour le prix d’une ! Ce qui m’attriste, c’est que mouillés, leur couleur auburn disparaît, laissant la place au brun foncé, certes en harmonie avec mes boucles pubiennes.


Dis, tu veux bien prendre le gel douche et me laver le dos ? A moins que tu ne refuses aussi de te mouiller les mains, bien sûr… A la bonne heure. Faudrait pas trop exagérer cher Monsieur, sinon vous pouvez retourner à vos travail, femme, jardinage et autres. Doucement, d’abord les omoplates, puis lentement le dos. LE DOS j’ai dit, pas les fesses ! Intenable le bonhomme ! Voilà qui est mieux, bien masser, langoureusement. Je vois cher ami que vous n’avez pas perdu la main malgré ce petit intermède… Le bas de mes reins vous intéresse-t-il tant que cela que vous prenez un malin plaisir à y abandonner vos doigts ? Et mes seins maintenant ! A pleines mains, en plus ! Et bien sûr, tu crois que je vais te laisser faire ? Allez, tu as raison. J’abdique, je te donne carte blanche.


Tes mains érigent mes tétons, se mêlent à l’eau chaude. Je te sens derrière moi, je sens ton souffle dans ma nuque, je sens tes mains caresser chaque parcelle de mon corps, je sens ta langue se perdre dans mon cou, glisser dans mon dos. Je sais que ta queue n’en peut plus de se dresser, je reconnais à présent sa chaleur. Tes doigts ne se retiennent plus, fouillent mon ventre, s’immiscent dans mon sexe, pétrissent mes lèvres, virevoltent sur mon clitoris, glissent dans ma fente, viennent buter contre mon œillet secret. Enfin tu m’as rejointe, je sens ton sexe contre mes fesses. J’aime ta bouche qui chuchote dans mon oreille, ta langue qui boit l’eau sur ma peau. Mais je ne veux pas me retourner, je te préfère dans mon dos, juste voir tes mains malaxer mes chairs.


Ta queue s’est calée entre mes cuisses et tente de forcer le passage. Ne sois pas brutal, contente-toi d’un peu de sauvagerie. Laisse-moi le temps d’écarter les cuisses, de trouver des appuis confortables.


L’eau aidant, tu es rentré d’un trait. Une énorme bouffée de chaleur me déchire le ventre. Ton sexe emplit pleinement ma cavité profonde, reste tranquille un instant pour sonder de plus belle ses moindres méandres. Je te sens fort, périlleux, fougueux. Et dire que tu avais peur de te mouiller. Mais tu es trempé mon cher ! Sueur mêlée à l’eau claire.


Tu me demandes de m’abaisser pour mieux me pénétrer et je t’obéis volontiers. Prends-moi fort, prends-moi profondément. Bien que pilonnant mon ventre, ton sexe sait être tendre. Tu me dis que tu as peur de jouir trop vite, que tu souhaites m’offrir mille orgasmes et je souris. Laisse-toi aller mon bel homme, je suis tout à toi le temps d’un rêve sur papier. Explose en moi, inonde-moi de ta fierté masculine. Moi aussi j’ai joui tout à l’heure, sans partage.


Mais tu t’es retiré de ma chatte. Sans prévenir. Mais, qu’est-ce que tu… C’est donc dans mon cul que tu veux te perdre. C’est donc entre mes fesses que tu veux t’abandonner. Et bien soit, je t’accorde la clef de cette intimité là aussi. Viens, rentre, je suis preneuse.


Mais tu ne prends même pas le temps de découvrir la profondeur de mon abîme. Ta jouissance est brève mais démoniaque alors que tu commençais seulement à arpenter les premiers monts. Si j’ai joui ? Non, mais ce n’est pas grave, ce sera pour très bientôt. Crois-tu que j’ai toujours besoin de toi pour me donner du plaisir ? Fort heureusement, non. Quoique, reviens me voir quand tu veux. À présent, tu connais mon appartement, mon corps. Je te le fais pas dire, bien peu en réalité…. Mais ne t’en vas pas déjà. Regarde-moi bien une fois encore. Observe bien pour garder au fond de toi le souvenir de ma peau hâlée, de mes grands yeux noirs, de mes fesses bien rebondies, de mon pubis accueillant, de mon odeur musquée, de mes paroles cachées.


Et maintenant rideau. Juste une chose avant de se quitter : n’oubliez pas le contrat que vous avez signé. Je le garde précieusement. Je le rangerai avec les autres, dans un des tiroirs de ma petite table de nuit, là-bas, sur la gauche.