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n° 04026Fiche technique19760 caractères19760
Temps de lecture estimé : 11 mn
16/04/02
Résumé:  Par le plus profond des hasards, Françoise rencontre Jeanne, une copine d'adolescence qu'elle n'avait plus vue depuis trente ans.
Critères:  f ff copains religion vacances école amour volupté noculotte fmast cunnilingu init
Auteur : Françoise 3  (Adepte de la masturbation féminine)
Et Jeanne arriva dans ma vie


Françoise se réveilla. Le soleil, déjà haut, transperçait les doubles rideaux et dispensait une douce lumière dans la chambre. 10h déjà, se dit Françoise. Tant pis, je n’irai pas travailler aujourd’hui.


C’était la première fois, depuis qu’elle avait repris la direction de la petite agence de voyage que dirigeait son mari avant son décés, qu’elle manquerait une journée de travail.


Elle s’étira. Elle était détendue. Il y avait bien longtemps qu’elle ne s’était sentie aussi bien. Elle était nue sous le drap qui la recouvrait. Jamais, non plus, elle n’avait couché nue. Elle tourna légérement la tête. À côté d’elle, Jeanne dormait paisiblement. Elle la regarda avec beaucoup de tendresse. C’était elle, la cause des bouleversements qui venaient de déranger une vie qui, juqu’àlors, avait été si tranquille. Elle ne regrettait rien. Ce bonheur nouveau, c’est à elle qu’elle le devait.


Jeanne était nue, elle aussi. Les draps lui cachaient le bas du corps. Ah, ce corps ! Comme il était beau, mince, avec une peau dorée, des attaches délicates. Elle fixa son regard sur sa poitrine. De petits seins que la position allongée rendait à peine renflés, avec au centre de minuscules aréoles foncées, surmontées de longs mamelons fièrement dressés. Elle fit glisser le drap. Au dessous de la taille bien marquée, les hanches allaient en s’évasant et rejoignaient des jambes finement galbées. Son pubis était recouvert de poils soyeux, blonds comme sa chevelure. Ils étaient peu fournis et cachaient à peine la cicatrice de son sexe. Elle avait le corps d’une adolescente. Seules, les rides de son cou trahissaient son âge. Comme Françoise, elle avait atteint la cinquantaine.


Françoise se découvrit et regarda son propre corps. Elle était tout son contraire. Plus petite, potelée, avec une peau blanche de femme rousse et des seins volumineux, aux grandes aréoles roses. Ses deux grossesses les avaient alourdis et ils pendaient de chaque côté de son buste. Des hanches larges, un ventre bombé, de fortes cuisses complétaient le tableau. Sa toison, faite de longs poils roux frisés, était très fournie. Comment deux femmes aussi différentes s’étaient-elles retrouvées, là, couchées dans le même lit ? Ne dit-on pas que les opposés s’attirent ?


Ce qu’elle venait de vivre aurait été inconcevable, sans ces retrouvailles, dues au plus profond des hasards. Les yeux fermés, elle se mit a revivre la journée d’hier…


Françoise, assise derrière son bureau, regarda cette femme entrer et s’installer sur le siège lui faisant face. À peine eut elle prononcé quelques mots, Françoise s’écria :



Une heure plus tard Jeanne était assise sur le canapé du salon dans l’appartement de Françoise. Tout en buvant le thé, elles entamèrent une discussion à bâtons rompus. Françoise parla de son mariage, de ses enfants, de son veuvage. Jeanne expliqua qu’elle était restée célibataire. Puis elles se remémorèrent les événements qui avaient jalonné le mois qu’elles avaient passé ensemble. Soudain, un ange passa. Elles se regardèrent et sans échanger un seul mot, elles savaient, à ce moment précis, qu’elles pensaient à la même chose. Un sentiment de gêne s’installa. La première, Jeanne rompit le silence.



Comment aurais-je pu oublier ? Ce qui s’était passé cette nuit-là était resté gravé en ma mémoire à tout jamais.


A l’époque j’étais une jeune fille innocente, élevée de manière stricte suivant les principes moraux rigides dictés par la sacro sainte religion chrétienne. J’avais atteint mes 18 ans avec la certitude que tout ce qui se trouvait au-dessous de la ceinture avait été créé par le diable. Lorsque j’avais tenté d’avoir quelques précisions sur le pourquoi de ma métamorphose physique au moment de la puberté, ma mère m’avait répondu :


  • — On en parlera plus tard !

Le "on" voulait dire "personne" et le "plus tard" signifiait "jamais".


Cette fameuse nuit donc, je fus réveillée par des gémissements venant du lit de Jeanne. J’allumai la lampe de chevet et je la surpris en train d’agiter la main entre ses cuisses sous son pyjama, tout en se caressant la poitrine. Elle s’arrêta, et devant mon regard interrogateur me dit :


  • — Ça ne t’arrive jamais à toi de te caresser ?
  • — …
  • — Tu ne te branles jamais ?

Comme je restais muette, elle surenchérit:


  • — Tu ne te fais jamais jouir ?
  • — Mais Jeanne, c’est défendu de se toucher là, c’est sale !
  • — Espèce d’idiote! Qui est l’imbécile qui t’a dit cela ? Tu ne sais pas ce que tu perds ! Moi je le fais tous les jours et crois moi, c’est fantastique !

Tout en parlant, Jeanne reprit ses mouvements de la main et elle baissa son pantalon. Malgré moi, mon regard était attiré par cette main et surtout ce doigt qui s’agitait à l’intérieur de son sexe. Mes yeux allaient de son visage à sa chatte. Soudain je vis ses narines se pincer, son souffle s’accélérer. Son corps se tendit, elle émit un râle plus fort que les précédents, et s’immobilisa.


  • — Mon dieu que c’est bon !
  • — Laisses Dieu en dehors de cela criai-je, c’est plutôt le diable !
  • — Dieu ou diable, qu’importe, c’est divin !

Jeanne s’était assoupie. Dans l’obscurité je n’arrivais pas à dormir. Ce que je venais de voir m’avait troublé bien plus que ce que j’avais laissé croire. Une chaleur inconnue avait envahi mon corps tout entier. À mon insu, le diable était entré en moi. Il avait pris ma main et l’avait posée sur mon minou. Il avait écarté mes jambes. Il avait saisi mon doigt et l’avait introduit entre mes petites lèvres. Des frissons me parcouraient le corps. Je me rassurai en me disant que je n’y étais pour rien. Ce n’était pas moi qui faisait cela, mais LUI. Je me laissais guider. Une onde puissante, incontrôlable me transperça, et au moment où le plaisir me submergea, la lumière se ralluma.


  • — Alors, me dit Jeanne, ça t’a plu ?
  • — C’est la première fois répondis-je, cherchant à justifier ce que je venais de faire.
  • — Et crois moi, maintenant que t’y as goûté, tu ne pourras plus t’en passer.

Jeanne avait eu raison. Les nuits qui suivirent furent remplies de nos soupirs. Vers la fin des vacances nous en étions même arrivées à nous satisfaire en pleine lumière, face à face.



Mes camarades de classe et moi dormions dans un dortoir aménagé en box. De grandes cloisons séparaient nos lits et nous donnaient un semblant d’intimité. Une nuit où il faisait une chaleur étouffante, n’arrivant pas à trouver le sommeil, je m’étais caressée, et aprés m’être fait jouir, je m’endormis enfin au-dessus des couvertures, le bas du corps découvert, la main entre les cuisses. Je perçus soudain une petite lueur. C’était soeur Thérèse qui faisait sa tournée avec sa lampe de poche. Lorsqu’elle m’éclaira, je fis semblant de dormir. Malgré la posture indécente dans laquelle je me trouvais, je n’osais faire un geste, feignant le sommeil profond, la regardant à travers mes cils, attendant de la voir enfin disparaître.


Le faisceau lumineux s’attarda sur mon entre-jambe. La lampe s’éteignit, mais la silhouette de soeur Thérèse restait là, au pied du lit. J’entendis un bruit d’étoffe. Dans la pénombre, je distinguais les jambes blanches de la soeur, puis un bras qui remuait à un rythme régulier. Lorsqu’elle ralluma sa lampe quelques secondes toujours dirigée vers mon sexe, je vis sa main enfouie au creux de ses cuisses. Soeur Thérèse se masturbait. Imaginer plus que de voir une religieuse se caresser fit naître en moi une irrésistible envie d’en faire autant. Mais quand ma main, toujours entre mes cuisses remua, soeur Thérèse laissa retomber sa robe et s’enfuit. L’excitation qui s’était emparée de moi était si forte que je continuai mes caresses jusqu’à la jouissance.


Jeanne suspendit son récit. Ses yeux étaient brillants. Françoise s’apprêtait à l’inciter à continuer quand elle vit ses narines se pincer. Elle comprit que l’évocation de ces souvenir devait la remuer aussi. Quand elle la vit serrer fortement les jambes, elle sut qu’elle venait d’avoir un orgasme. Elle-même était fortement excitée, mais elle bouillait d’impatience de connaître la suite.


Le lendemain, je fus convoquée au bureau de soeur Thérèse. Je me doutais un peu de ce qui m’attendait.


  • — Jeanne, me dit-elle, en faisant ma tournée d’inspection, cette nuit, je t’ai vue à moitié nue sur ton lit, dans une position indécente, et en plus tu étais en train de te… de te… enfin tu vois ce que je veux dire.

Avec un aplomb dont je ne me savais pas capable, je lui répondis :


  • — Oui ma soeur, j’étais en train de me branler.

Soeur Thérèse faillit s’étrangler.


  • — Quelle impertinence ! Tu sais bien que l’on ne tient pas ce genre de langage dans cet établissement ! Tu sais que tu risques l’exclusion ? Ce serait dommage, l’année du bac…
  • — Je sais bien qu’il ne faut pas dire "BRANLER" rétorquai-je en insistant sur le mot, mais on peut le faire. N’est-ce pas ma soeur?

Le visage de soeur Thèrèse devint cramoisi.


  • — À voir votre main s’agiter entre vos cuisses, ce que je faisais n’avait pas l’air de vous choquer outre mesure. Mon plus grand regret c’est de ne pas vous avoir vue aller jusqu’au bout. Vous vous êtes finie dans votre chambre j’espère ?
  • — Mais tu fabules !
  • — Soeur Thérèse, regardez-moi dans les yeux et dites-moi: "Je jure devant Dieu que je ne me suis jamais masturbée".
  • — Je jure devant Dieu, commença-t-elle, que je ne me suis jamais… Que je ne me suis jamais…
  • — Allez ma soeur, que je ne me suis jamais masturbée.
  • — Non je ne peux pas le dire !
  • — Vous voyez bien ! Moi je jure que cela restera entre nous. Au fait, vous l’avez eu votre plaisir cette nuit ?
  • — Oouui…
  • — C’était bon ?
  • — Oouui…
  • — Comment vous y prenez-vous ? Je n’ai pas très bien vu. Avec un doigt, deux…
  • — Ça suffit maintenant Jeanne, tu abuses de ma faiblesse.
  • — Je vais vous montrer comment moi je m’y prend.

Je commençai à relever ma jupe.


  • — Non Jeanne, s’il te plait, arrête…

Soeur Thérèse avait prononcé cette phrase d’une petite voix, comme une prière. Je sentais qu’elle était sur le point de craquer.


  • — Avouez ma soeur que vous mourez d’envie de me voir faire.
  • — Non !
  • — Non ? répétai-je en laissant retomber ma jupe.
  • — Oui, j’aimerais te voir, finit-elle par dire.
  • — Alors, je peux vous faire ce plaisir, mais donnant donnant, vous commencez. Je veux vous voir dans la posture dans laquelle vous étiez cette nuit, devant mon lit.

Soeur Thérèse se leva, fit le tour du bureau et posa ses fesses sur le rebord. Pendant qu’elle remontait sa longue robe, je la questionnai :


  • — Il vous arrive souvent de vous caresser devant les lits des pensionnaires ?
  • — Tu es la première.
  • — Et pourquoi moi ?
  • — Parce que tu es la première que je surprends dans cette position.
  • — Pourtant, aux nombreux gémissements que j’entends, je ne suis certainement pas la seule à me branler. Bon admettons. Et vous vous vous branlez souvent ?

La robe de la soeur était arrivée à mi cuisses.


  • — Une à deux fois par jour.
  • — Dans votre chambre?
  • — Dans ma chambre, presque toujours.
  • — Que veut dire le presque ?
  • — Qu’il m’arrive de le faire ici, derrière mon bureau.
  • — À quoi pensez-vous dans ces moments là ?
  • — Je pense qu’une des autres soeurs est là, entre mes jambes, en train de me lécher.
  • — Vous aimeriez vous faire lécher ?
  • — Oh oui ! Ca me manque. Ça m’est arrivé souvent pendant mon noviciat avec deux autres nonnes et j’aimais aussi les sucer.
  • — La mère supérieure ne vous a jamais surprises ?
  • — Il n’y avait pas de danger de ce côté-là, c’est elle qui nous avait initié !
  • — Et ici, vous n’avez pas trouvé d’autres soeurs pour vous amuser ? Il doit bien y en avoir au moins une…
  • — Peut-être, mais je ne l’ai pas encore trouvée.

Sa robe était maintenant remontée jusqu’à la taille. Je fus surprise de ne voir aucun sous-vêtement.


  • — Je ne mets jamais de culotte, c’est plus pratique, me dit-elle.

Son sexe était recouvert d’une épaisse toison brune, montant très haut sur le ventre, si fournie que même lorsqu’elle écarta les jambes, sa fente resta invisible. Devant ce spectacle mon attitude changea radicalement. Je ne ressentais plus le besoin de la dominer. Je voyais soeur Thérèse comme une camarade prête à s’abandonner aux plaisirs charnels. Je m’agenouillai devant elle. Mes doigts peignèrent ses poils. Le ventre de Soeur Thérèse se tendit en avant. Elle s’offrait à mes caresses. Je me rappelai son souhait d’être sucée. N’ayant jamais vu le sexe d’une autre femme, je m’empressai de l’ouvrir. Ses petites lèvres apparurent, longues, charnues, gorgées de sang. Une liqueur épaisse suintait de sa fente. Son gros clitoris bandait hors du capuchon, il devait être trois fois plus volumineux que le mien.


  • — Regarde, dit-elle, regarde mon gros bouton, il attends ta langue. Prend le entre tes lèvres, aspire le, mordille le…

Je faisais ce qu’elle me demandait. Ses jambes se mirent à trembler.


  • — C’est trop fort, c’est trop bon, je vais jouir. Non ! N’arrête pas !

J’avais retiré ma bouche de son sexe, je m’étais relevée et je la forçai à s’étendre sur le tapis. J’enlevai ma culotte et m’installai tête-bêche.


  • — Lèche moi aussi, tu seras la première.

Lécher et être léchée c’est merveilleux. Bientôt le bureau fut rempli de nos râles. Nous avons joui très vite.


  • — Oh ! Jeanne !
  • — Oh ! Thérèse ! répondis-je en écho, oubliant le "soeur".
  • — Appelles-moi Chantal, c’est mon vrai prénom.



Jeanne bondit du canapé et sa tête plongea entre mes jambes.



Et Jeanne fit jouir Françoise, vite, comme elle l’avait souhaité.


Françoise jouit si fort qu’elle faillit s’évanouir. Jeanne se débarassa de ses vêtements, grimpa sur le fauteuil de Françoise et posa sa chatte sur sa bouche. Françoise se sentait maladroite, mais elle fut rassurée quand l’orgasme de Jeanne explosa brusquement, violemment. Elles se couchèrent et s’aimèrent jusque tard dans la nuit.


Jeanne ouvrit les yeux et vit Françoise qui la regardait. Elle lui sourit. Dans les yeux de Françoise, une lueur brillait. Elles se regardèrent encore plus intensément, et à cet instant, elles surent qu’elles allaient encore s’aimer.


Lorsque, vers midi, Jeanne quitta l’appartement aprés un dernier baiser, Françoise ne lui posa aucune question. Chacune avait l’impression d’avoir vécu une magnifique aventure.


Quand, vers 20 h, la sonnette retentit, Françoise ouvrit la porte. Jeanne était là, une grande valise posée à ses pieds et demanda d’une petite voix timide :