n° 04032 | Fiche technique | 13120 caractères | 13120 2458 Temps de lecture estimé : 10 mn |
06/03/25 corrigé 06/03/25 |
Résumé: Un nouveau quartier, et des gens inconnus. | ||||
Critères: fh sales douche préservati pénétratio fsodo | ||||
Auteur : Florane (Femme aimant excitations diverses) |
Je viens de terminer mes études et j’ai décidé d’aller dans une autre ville pour travailler. J’ai besoin de changer d’entourage.
Me voilà dans une ville inconnue où je cherche un appartement pas trop coûteux pour m’installer sans me préoccuper du côté monétaire.
En regardant dans le journal local et en faisant quelques téléphones, je crois avoir trouvé. Arrivé sur les lieux, l’endroit est plutôt sombre, les meubles sont usés, mais l’appartement me plaît. Je le prends.
Comme je suis assez habile, j’entreprends le nettoyage et la peinture. Je m’installe confortablement dans mon appartement et me voilà à la recherche d’emploi.
J’étais tellement enthousiasmée d’avoir trouvé si vite un appart, que je n’avais pas remarqué l’endroit où celui-ci était situé. Quartier sombre avec des ruelles et des gens sans abris, par contre, je remarque aussi que tout est calme. Bon, peut-être qu’ils ne sont pas dangereux ! J’essaie de me convaincre que tout est correct !
Je pars à la quête d’emploi, je longe les trottoirs avec ces gens fouillant dans les poubelles ou encore étendus par terre. Ils me disent « Bonjour » et me sourient, je leur rends la pareille, mais ils me font tellement pitié. Mais enfin, je suis rassurée.
À chaque sortie, ils sont là, à leur place respective, et ils me saluent toujours aussi gentiment. Il y en a un qui laisse aller une petite phrase déplacée à l’occasion, mais sans plus. Je les regarde et je souris.
Mais, chaque jour, il y a toujours une petite phrase déplacée, ça me dérange un peu. Jusqu’au jour où vraiment les commentaires étaient harcelants. J’ai essayé de dédramatiser la situation en leur disant en blague que je n’aimais pas ce genre de commentaires. Je crois bien que le message a passé.
Aujourd’hui, je suis heureuse, je me suis trouvé un boulot. J’arrête dans un petit resto et demande plusieurs cafés à emporter. Je retourne chez moi et en passant devant ces clochards, je leur dis que j’ai quelque chose à fêter avec eux et je leur donne les cafés. Je bois le mien avec eux, me disant qu’ils vont me foutre un peu la paix quand je passerai devant eux. Ça a fonctionné !
Puis, quelques semaines plus tard, en voilà un nouveau dans le groupe. Il est très vulgaire et les autres lui disent de me laisser tranquille. Mais il n’en fait qu’à sa tête. Il se lève et me suit, je le sais qu’il est derrière moi. Je passe entre les voitures stationnées pour traverser la rue et il me prend par un bras et m’appuie face à une voiture. Il s’est placé derrière moi et bien appuyé sur moi, je n’ai d’autre choix que de mettre les mains sur le capot. Il se penche sur moi et met aussi ses mains sur le capot. Je sens son haleine qui empeste l’alcool et son sexe dur sur mes fesses.
Je suis figée sur place, je ne parle pas, mais je n’ai pas peur… Au contraire, ça me provoque, mais je ne veux pas que quelqu’un s’en aperçoive. Donc, je l’écoute me dire ses saloperies et il me laisse aller. Je traverse la rue et reviens plus tard chez moi dans l’espoir qu’il ne sera pas là.
Je suis hantée par cet homme. Il me fait de l’effet, car, sans le savoir, un homme qui sent l’alcool m’excite et la position dans laquelle il m’a parlé m’a beaucoup troublée sexuellement, sans compter ce qu’il m’a dit. Je suis excitée et, en même temps, j’ai une peur qui m’habite. Peut-il m’agresser, me violer, ou quoi encore ? J’essaie de reprendre mes esprits.
Mais il me faut aller au boulot, il me faut sortir de chez-moi et je ne peux les éviter. Alors, j’essaierai d’être discrète.
Les journées passent, cet individu est avec le groupe et il ne m’embête pas. Il me regarde sans cesse, je sais, je le sens. Mais je n’entends plus ses insanités. Mais j’avoue que ça me manque, même si c’était des plus vulgaire, je savais que je plaisais. Puis, les jours où il est là, je me mets à le regarder. Je me fais de plus en plus aguichante ; dans mon regard, dans ma façon de marcher et sans oublier ma façon de m’habiller. Pourquoi je veux tant lui plaire ? Je n’en ai aucune idée ! Il me bouleverse, me chavire, me trouble dans mes émotions. Pourtant, ce n’est qu’un clochard.
Ce soir, je reviens chez moi et il m’intercepte pour me demander un café. Je suis affolée, je veux et, en même temps, ma tête ne veut pas. Je n’ai que quelques secondes pour réagir et me voilà que je lui dis :
Pourquoi je lui ai dit oui ? Qu’est-ce que j’ai fait ? Qu’est-ce qui m’arrive ? Tout le long du petit trajet à faire pour se rendre au café, je me pose mille et une questions. Nous voilà rendus, nous sommes assis face à face. Pendant qu’il boit son café, je le regarde attentivement. De temps en temps, nos yeux se croisent et c’est moi qui tourne mon regard ailleurs, puis reprends mon observation visuelle. Je remarque malgré sa saleté qu’il a de beaux traits, de beaux yeux et un beau sourire, malheureusement abîmé par son manque d’hygiène. Je remarque aussi de belles mains. Mais je reste silencieuse. Il me fait un peu la conversation, j’apprends qu’il est quelques années plus vieux que moi, qu’il me trouve séduisante et qu’il voudrait bien me baiser. Cette dernière phrase dite, je me suis sentie rougir comme une gamine, car son sentiment était partagé, mais que je n’osais le dire. Je n’osais même pas penser baiser avec un individu dont l’hygiène me repousse.
Il ne s’oppose pas et on repart chacun de notre côté. J’entre chez moi la tête dans les nuages, confuse dans mes nombreuses pensées… ou perdues dans mes solutions pour l’amener dans mon lit. Mais qu’est-ce que je dis ? Je perds le nord, vraiment, il me déroute. Je décide de prendre un bain pour me détendre et je mets de la musique pour me changer les idées, car j’en ai besoin. Je sors du bain, j’enfile un peignoir et je m’en vais au salon lire un bon livre. Soudain, quelqu’un cogne chez moi. Je regarde dans l’œil de la porte et je vois cet homme avec qui je viens de prendre un café. Comment il sait que j’habite ici ? Je veux lui ouvrir et lui offrir mon corps, mais non, je ne peux faire ça !
J’entrouvre la porte.
Coincée entre ma tête et mon sexe, je ne sais que faire… Je lui ouvre. Il entre et reste dans le hall. Je m’adosse au mur, les mains derrière le dos et je le regarde.
Il s’approche de moi, très proche en appuyant une main sur le mur au-dessus de moi. Je ferme les yeux de peur ou d’envie, je ne sais pas. Ma poitrine se gonfle tellement mon souffle est lourd. J’appuie ma tête sur le mur et il passe son autre bras autour de ma taille, mon souffle s’accélère et il m’embrasse dans le cou. Je tourne la tête pour montrer mon désaccord. Il se retire et s’en va. Mon cœur bat à toute vitesse, mes jambes sont comme de la flanelle et je m’en veux de ne pas l’avoir retenu. Mais comment je pourrais faire pour baiser avec lui, il est répugnant.
Quelques jours passent sans que je le voie, je souris aux autres qui sont là, mais mon regard le cherche. Je réalise qu’il me manque, qu’il a déjà envahi mon esprit. J’entre chez moi comme à l’habitude, mais, quand je viens pour fermer ma porte, il est là qui la bloque. Il la pousse et entre dans mon appart, je ne pose aucune résistance. Il a consommé de l’alcool et j’ai peur qu’il soit violent, mais je joue le jeu. Je lui dis de s’asseoir, que je vais prendre une douche et que je reviens. Je vais effectivement prendre une douche en espérant qu’il s’endorme sur le divan. Le rideau de la douche s’ouvre un peu et je laisse aller un cri tellement j’ai eu peur.
Je le regarde et décide de l’inviter dans la douche avec moi.
Il entre avec moi, ne sachant trop quoi faire, et c’est moi qui le déshabille et laisse tomber son linge dans le fond de la baignoire. Je le sens gêné, je le regarde et son regard fuit le mien. Lorsque j’enlève son pantalon, j’ai la surprise de voir qu’il ne porte pas de slip et j’ai cette merveilleuse queue bien bandée en vis-à-vis de mon visage. Je le caresse avec le savon que je passe dans tous les petits coins sans en oublier un. Puis il me tourne et m’appuie les mains contre le mur, et il appuie sa bite sur ma chatte.
Il enfile le condom et il me plante sa queue dans le fond de ma chatte. Oh, qu’il me fait vibrer ! J’aime sa façon de me baiser. Il m’embrasse partout dans le cou, j’adore ça. Ses coups de bassin sont divins et mes jambes tremblent de plaisir. Ses mains se font très inquisitrices et se promènent sur mon corps comme si elles le connaissaient par cœur. Je suis envahie d’un plaisir incommensurable, je baise enfin avec lui et il me procure des vibrations qu’aucun homme avant n’a su me donner. Je sens beaucoup de plaisir et je gémis mon plaisir. Il se retire, me retourne, me soulève par les jambes, m’appuie contre le mur, et m’insère sa queue à nouveau dans ma chatte. Sa bouche suce mes seins, sa bite me cogne au fond et j’enlace mes bras autour de son cou. Ma tête reste appuyée sur le mur pour éviter les baisers. Mes yeux fermés, je suis à l’écoute de mon corps tout entier quand tout à coup sa bouche se colle sur la mienne et il m’inflige un baiser sauvagement délicieux. Je laisse entrer sa langue dans ma bouche, dans tous les recoins de ma bouche, je n’ai plus aucun dédain.
Mais je sens le plaisir m’envahir de plus en plus et mes râlements sont là pour le dire, mon souffle dans sa bouche lui fait comprendre que je vais jouir bientôt. Il me tient toujours dans la même position, mais sort de la baignoire, s’assoie sur le siège des toilettes. Me voilà en situation de contrôle, c’est moi qui prends le rythme et sa main me caresse le clitoris et je jouis très vite et très fort. Je me relève et me mets à quatre pattes sur le plancher et lui demande de m’enculer. Il reste un peu surpris et je le supplie de m’enculer. Je le sens appuyer son gland contre mon anus qui s’ouvre avec la pression de sa bite. Son gland vient d’entrer. Quelle chaleur dans mon cul ! C’est bon.
C’est moi qui pousse vers l’arrière pour qu’il me l’enfonce toujours plus loin à chaque coup. Je cambre encore plus le dos et il me besogne à grands coups de queue. Il accélère ses mouvements et jouit à son tour, je le sens dans mes entrailles, il est chaud. Ohh, que j’aime ça ! Nous voilà allongés sur le plancher froid, essoufflés par nos pulsions ardentes. Nous sommes muets, je me relève et mets mon peignoir. Je n’ai pas le choix de laver ses vêtements qui sont mouillés dans la baignoire.
Me voilà en train de laver le linge d’un clochard, de lui faire un café et de lui couper les cheveux. Incroyable ! Puis, il retourne à la salle de bain et en ressort après un bon moment. Je n’en crois pas mes yeux, j’ai un autre homme devant moi ! Il a pris mon rasoir et s’est fait la barbe. Comme il est beau, il a l’air d’un Dieu.
On a bavardé un peu pendant que son linge séchait et voilà que le tout est prêt. Il se rhabille et repart tout souriant. Je l’embrasse sur la joue et lui dis bonsoir. Mon cœur se serre, mon corps est vide. Son absence se fait déjà sentir.
Le lendemain matin, journée de congé, quelqu’un frappe à ma porte. J’ouvre et c’est lui. Il se précipite sur moi et me caresse sans retenue. Je le laisse faire et je joins mes caresses aux siennes. Nous sommes deux corps enflammés qui brûlent de désirs mutuels. Nous nous rendons jusqu’au salon où nous baisons comme des animaux sauvages, sans pudeur et que pour le plaisir. Épuisés, nous prenons un petit déjeuner. Tranquillement, nous bavardons un peu et après, je l’invite à prendre une douche avec moi, et nous baisons une fois de plus. Puis, je veux qu’il reparte.
Régulièrement, il vient chez moi et nous baisons passionnément. Rien de plus, je ne voulais rien de plus. Mais je sentais mon cœur s’attacher à une personne sans avenir, je ne voulais pas souffrir, mais comment ? En évitant l’amour évidemment.
Jusqu’à ce qu’un jour, je décide de me trouver un appartement ailleurs. Un soir, il est venu chez moi et a eu la surprise de voir toutes ces boîtes. Aussitôt, il se dirige vers moi et me prend dans ses bras, je me sens bien appuyée sur sa poitrine.
Je le regarde, les larmes aux yeux, et il a bien compris que je suis en train de m’attacher à lui et que je dois le fuir pour me protéger. Je prends sa main et je le conduis vers ma chambre, nous faisons l’amour comme des amants très amoureux, tout est doux, silencieux et triste à la fois. Nous savons que c’est la dernière fois.
Puis, il repart, on se dit « Adieu » et je déménage dans un autre quartier en souhaitant ne jamais le rencontrer à nouveau.