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Temps de lecture estimé : 13 mn
19/04/02
Résumé:  Le récit vécu de la découverte un peu tardive du sexe.
Critères:  f taille fmast fgode fist fdanus init ecriv_f
Auteur : Caroline  (Femme divorcée)      Envoi mini-message
(Re)Naissance

Note de la rédaction :


Le nitrate d’amyle, plus connu sous le nom de "poppers", est une substance toxique pouvant avoir des effets négatifs sur la santé et en particulier occasionner des problèmes cardiaques. À ce titre son utilisation est tout à fait déconseillée.




La seconde vie de Caroline - (Re)Naissance



Ma vie a changé complètement lorsque j’ai divorcé de mon mari, Laurent. J’étais jusqu’à présent, un pur produit exponentiellement frustrée de classe moyenne, qui avait commis une erreur monumentale en épousant son premier petit copain ! ! Pourquoi ? probablement parce qu’à treize ans, je mesurais 1m78 et que je pensais être un monstre ! Laurent m’a toujours traitée merveilleusement, s’occupant de moi à l’école, me protégeant toujours des moqueurs et des malintentionnés. Il avait un an de plus et comme nous étions pratiquement voisins, nous faisions toujours notre chemin vers l’école ensemble. J’ai ainsi toujours pensé que j’avais beaucoup de chance qu’un garçon comme Laurent s’intéresse à moi et, bien que je n’éprouve pas une passion brûlante pour lui, nous sortîmes ensembles tout naturellement…


J’ai toujours été très timide, complexée par ma grande taille, culminant à 1m86 dès quinze ans. Toujours ensembles, tout le monde nous imaginait mariés et nous ne les avons pas déçus ! A dix-neuf et vingt ans, respectivement, nous franchimes le pas, bien trop jeunes comme je le sais maintenant…


Si Laurent a été sexy, il n’a jamais été particulièrement attiré par la chose sexuelle. Pendant toutes ces années, il se limita au minimum syndical, une fois toutes les deux semaines sans fioritures, ni originalité. Je ne suis pas sûre qu’il se soit soucié une seule fois de savoir ce que je ressentais, ou si je jouissais. Une fois terminée son affaire, il se retournait et s’endormait très vite, me laissant insatisfaite.


Tout a en fait basculé alors qu’il était parti à l’étranger deux mois suite à un contrat important. Pour la première fois depuis huit ans, je me retrouvais seule pour plus d’une ou deux nuits consécutives … Quelques jours après son départ, je trainais dans la maison, m’ennuyant ferme, lorsque me vint l’idée de faire LE grand nettoyage de printemps. Inspirée, je commençais par la chambre. Nous avions acheté cette maison trois ans auparavant pour un prix ma foi très raisonnable, en imaginant d’emblée tout refaire du haut jusqu’en bas. Là encore, mon cher mari n’avait pas fait preuve d’une grande activité car tout était resté tel qu’à notre arrivée. Je décidai donc de m’armer de courage et de tout bouger !


Je commençai, inspiration divine, par bouger l’armoire à glace afin de pouvoir nettoyer parfaitement les tapis. En soulevant ceux-ci, un morceau de la plinthe située dans le coin derrière le meuble bascula, révélant une cavité creusée dans le mur. Curieuse, je tâtonnais à l’intérieur et en retirais une pile de magazines et quelques cassettes vidéos. Un regard sur le premier de la pile m’informa immédiatement sur le contenu général de cette cache : sexe ! Je m’allongeai sur le sol et enfonçai davantage mon bras dans l’ouverture magique pour en retirer un sac plastique mystérieux.


Excitée et curieuse, je détaillai un peu plus mes trouvailles étalées sur le sol. Cela ne pouvait provenir de Laurent car l’armoire, la poussière en attestait, n’avait pas bougé d’un pouce depuis notre arrivée. J’ouvris le sac : il contenait trois vibromasseurs de tailles différentes (de 12 à 30 centimètres environ) et cinq petits bouteilles scellées portant des étiquettes suggestives de marque " TNT ". Tout un programme ! !


Pour bien comprendre la suite de mon récit, je vous rappelle qu’à ce moment précis de ma vie, je ne connaissais de la vie que très peu de choses. L’amour à la papa, et je n’avais jamais, je le sais maintenant, jamais joui de ma vie, ni par Laurent, ni même en me masturbant, car… j’ignorais ce que c’était : une vraie bécasse. Ainsi donc, au moment où j’ai vu la couverture du premier magazine, j’ai su que ma vie venait de basculer. Je sentis monter en moi une vague de sensations inconnues, l’adrénaline du désir ! Pas pour n’importe quoi, non. Pour ça, le SEXE… Dieu, ou quelque chose d’approchant avait mis cela entre mes mains, pour une raison que j’ignorais. Tremblante comme une feuille, je rassemblai les journaux et le sac en plastique sur le lit et me déshabillai rapidement. Lorsque je fus nue, je me Couchai sur le lit, fermant les yeux un instant pour savourer ce moment. En les réouvrant, je vis à nouveau tous ces magazines et je compris que je ne rêvais pas.


En choisissant un au hasard, je l’étalai devant moi en commençant à le détailler. Une superbe fille me souriait, la bouche grande ouverte. Une substance blanchâtre s’étalait sur sa langue et coulait légèrement le long de ses lèvres. Elle avait mis du sperme dans sa bouche ! ! Revenant en arrière, je vis défiler devant mes yeux ébahis le film de cet "incroyable chose". Je vis, incrédule, cette fille caresser et sucer un sexe masculin et faire jaillir dans sa bouche le flot de semence. Sans y penser, ma main commença à descendre le long de mon corps et toucha mon sexe brûlant et bizarrement humide. Je me demandais quel goût cela pouvait avoir. Je me focalisai ensuite sur un autre fascicule intitulé "anal sex". Dès la couverture, je fus mise au parfum : une jeune nymphette à quatre pattes semblait manquer d’air, ceci probablement à cause d’un long et fin sexe introduit dans son anus. Je fus marquée par la plénitude lue sur son visage gracieux, la beauté de ces courbes. Ma main se crispa un peu plus sur mon sexe, qui semblait se liquéfier lentement : que m’arrivait-il donc ?


L’impression était étrange car je m’aperçus que j’étais plus attirée par l’image de cette superbe fille nue que par la sodomie elle même. J’ai commencé à me caresser, explorant mon corps, centimètre carré par centimètre carré. Je (re)découvrais ainsi mon clitoris : oh, bien sûr, j’avais déjà ressenti plusieurs fois des choses agréables à cette endroit, mais pas avec une telle intensité. Juste une légère excitation par rapport à ce qui déferlait sur moi, en ce jour béni. Je caressais de plus en plus rapidement mon bouton devenu turgescent alternativement avec la paume de ma main et le bout de mon index. Le jus s’écoulant lentement de mon sexe me permettait de m’auto-lubrifier agréablement, évitant l’irritation par manque d’habitude. J’avais oublié depuis longtemps la magazine pour ne m’occuper que de moi. Les vagues de plaisir me submergeaient. Je poussais des petits cris tant les sensations nouvelles qui m’envahissaient, étaient puissantes. J’avais l’impression d’avoir découvert le Paradis : j’explosais dans un orgasme ravageur pour la toute première fois de ma vie.


Pantelante, je marquai une pause, ne pouvant plus toucher mon clitoris devenu si sensible. Dans un coin de la chambre se trouvait un grand psyché ancien, unique objet me restant de ma grand mère. Je l’installai dans le prolongement de mon lit et me regardai. Ce qui je vis me plut ! En fait, j’étais plutôt sexy. Je touchais des parties de mon corps comme si je les découvrais pour la première fois, ce qui en fait n’était pas si faux. Je me regardais objectivement en comparaison avec les filles de ces magazines et franchement, je me trouvais bien mieux. Mes fesses étaient bien rebondies et mes seins gonflés. J’avais des pointes de seins longues et très sensibles. Dès que je les sollicitais, elles semblaient se figer en deux petites phalanges écarlates. Mon corps était ferme car j’avais par le passé frequenté de longues heures les salles de gymnastique ou de fitness. Laurent ne m’avait jamais dit combien j’étais belle et sexy. Je lui en voulus de m’avoir laissée dans l’ignorance, probablement sciemment pour éviter tout désagrément…


Je retournai vers les magazines lorsque mon regard se porta vers le sac que je renversai sur le lit, répandant sur la couette les vibros et les petites bouteilles. J’avais vu un jour chez ma voisine un vibromasseur, bien petit par rapport à ceux-ci et surtout moins évocateur. Là, autour d’un tube rigide, une enveloppe en latex noir donnait l’illusion d’un pénis, certes de tailles incongrue mais très réalistes. Je ne pensais pas que les piles aient résisté à l’épreuve du temps, mais, à mon étonnement, ils reprirent vie lorsque je tournai le bouton. Surprise par cette sensation bizarre, je le lâchai et je le regardai bouger sur le lit. Je le repris et l’éteignis. Dans la salle de bain, je nettoyai soigneusement les trois objets et les essuyai dans une serviette éponge. Je pris au passage un flacon de vaseline et revint dans la chambre. De nouveau, je repris le magazine et regardai l’anus de cette fille. Semblable à un bouton de rose, étiré autour du sexe la pénétrant, il ressemblait à une petite bouche serrée autour du bâton de chair. "Si elle peut le faire, je peux le faire", me dis-je. En arrière plan, je vis étonnée un pot de vaseline semblable au mien et deux bouteilles identiques à celles que j’avais trouvées dans la cache. Était ce la clé ? J’ouvris l’une d’elles en faisant sauter le sceau métallique. Une étrange odeur chimique s’en échappa et s’assaillit les narines. Je reniflais une ou deux fois puis refermait le bouchon. Je sentis aussitôt mon cœur s’accélérer, et une chaleur nouvelle m’envahir. Je me sentais prise de folie sexuelle : je ne le sus que plus tard mais je venais ainsi de découvrir la puissance du nitrate d’amyle.


L’influence sur ma libido s’avéra extraordinaire. Insatiable et affamée, j’ouvris le pot de vaseline et m’enduisit copieusement les doigts de ma main gauche. Je commençais à jouer avec mon anus en tournant lentement autour de mon propre "bouton de rose". J’utilisais mon index comme une sonde. "Mon Dieu", me dis-je, "comment ai-je pu ignorer cela si longtemps ?". Je passai ainsi plusieurs minutes à me pistonner avec mon doigt, avant d’en introduire un deuxième, car deux valent mieux qu’un… Je me souvins alors des vibromasseurs. J’enduisis de vaseline le premier : je ne savais pas trop ce que j’allais en faire. Je le mis en marche à puissance réduite et le promenai entre mon clitoris et mon sexe. La plaisir monta et, par hasard ou par chance, juste au moment où j’allais jouir, le bâton m’échappa et vint toucher mon anus. Par instinct, je saisis la bouteille de nitrate d’amyle : une grande inspiration me transforma en un animal en chaleur : je sentis mes muscles se détendre et je poussai, sans difficulté le vibromasseur dans mon anus. Pour amplifier encore le plaisir, je commençais quelques va-et-vient lents en tournant cet objet sur lui-même. Ne pouvant plus résister, je parcourus mon corps de ma main libre et finis par mon clitoris : deux ou trois caresses me conduisirent à l’orgasme. Je ressentis de façon incroyable tous les spasmes de mon corps, en particulier, ceux de mon anus autour du vibro.


Reprenant mes esprits lentement, je sentis le cylindre noir vibrer, excitant également par l’intérieur, mon sexe vide… Dans l’un des magazines, une fille se faisait prendre par de grands noirs à la fois, l’un devant et l’autre derrière. Je voulais être cette fille, j’allais être cette fille ! !


Le deuxième vibro était long de 18 cm. Celui dans mon anus était déjà de la taille du sexe de Laurent. Deux seraient probablement beaucoup pour moi, mais je devais m’en rendre compte par moi même. Je coinçai le premier vibromasseur dans mon anus en m’asseyant dessus, pendant que je lubrifiais abondamment le second. Face au miroir, je positionnai la tête de celui-ci sur l’entrée de mon sexe. Gémissant sous l’effet des vibrations, je sentis le cylindre de latex forcer petit à petit l’ouverture et me pénétrer lentement. La sensation de total envahissement était fantastique. Les deux vibromasseurs s’étaient placés d’eux-mêmes parallèlement encadrant la mince paroi de chair séparant mes deux trous. Les mains plaqués sur mes seins, je pinçais frénétiquement mes pointes en me regardant, droit dans les yeux, dans le miroir. Le spectacle était magnifique, en toute modestie…


Sous l’effet de cette double sollicitation, un flot soutenu de jus coulait le long de mes jambes, inondant le lit sous mes fesses. Je pris les deux objets, et pompai frénétiquement comme une folle : Je jouis encore et encore.


Je suppose que j’aurais pu (dû ?) être surprise de pouvoir prendre ces deux "jouets" à la fois, pour ma première séance. Mais, rien ce jour là ne pouvait me perturber dans cette découverte accélérée de mon corps et de ses possibilités. Néanmoins, je m’assoupis deux ou trois heures, mes rêves peuplés des images de ces magazines. Je me réveillai, excitée et à nouveau humide. Je décidai alors de continuer mon initiation en regardant ce que pouvait bien me réserver ces cassettes vidéo. Je rassemblai mes nouveaux amis dans le sac en plastique et me rendis dans le salon devant la télé. Je m’installais confortablement, lumières tamisées et grand gin tonic on the rocks. Prévoyante, j’étalai une grande serviette de bain sur le canapé avant d’introduire la première cassette dans le magnéto.


Je vis qu’il s’agissait d’un film amateur. C’était du sexe brut, sans scénario, de l’intégrale, tout ce que je voulais.


La première séquence commença avec une très jeune fille réveillant une femme plus âgée pour lui faire l’amour. C’était la première fois que je voyais des lesbiennes en action et, la beauté de ces corps me coupa le souffle. Je ne compris pas tout de suite pourquoi cela me faisait autant d’effet : peut-être, moi-même ? La plus jeune léchait, doigtait, pinçait… le sexe rasé de sa partenaire qui semblait apprécier de plus en plus le traitement. Soudain, un homme entra dans le champ de la caméra, modifiant la teneur de la scène. Je décidai alors de reproduire ce que je voyais à l’écran. Je pris courageusement le plus grand des vibros, celui de 30 cm. Je le léchais comme le faisait la jeunette avec le (petit !) sexe de l’homme. Au bout de quelques minutes, celui-ci l’arrêta de la main et la bascula, avant de la pénétrer. Je me mis à genoux et positionnai la tête de mon amant de latex à l’entrée de mon vagin. En tâtonnant, je trouvai la bonne position pour pousser en écartant les lèvres de mon sexe dans deux mains. Appuyant de tout mon poids, je sentis mon sexe s’entrouvrir progressivement pour permettre le passage du gland surdimensionné : la sensation fût prodigieuse. Je descendis progressivement sur cette hampe, cm par cm, jusqu’à ce que mon vagin soit rempli. Me retrouvant assise sur mes talons, je réalisai que tout était entré. Incrédule et fière, je pompais lentement, puis de plus en plus vite le vibro dans mon sexe ainsi ouvert. L’homme sur l’écran se retira et se positionna devant l’anus de la jeune fille. Je frémis nerveusement car si mon sexe avait accepté ce traitement somme toute facilement, mon anus me semblait plus difficile à convaincre ! Je devais savoir : libérant mon sexe, je retournai l’engin et le plaçai contre mon sphincter, toujours à genoux. La sensation de ce gland énorme appuyant sur ma petite rondelle me fit fondre littéralement. Saisissant mes fesses à pleines mains, poussant , tirant, je fis progresser petit à petit le gland en moi. Soudain, il pénétra, d’un coup, m’arrachant un cri de douleur et me coupant le souffle. Prise d’une inspiration subite, je m’aidai d’une grande bouffée de nitrate d’amyle pour faire transformer la douleur en plaisir. Après le passage du gland, je me rendis compte que le reste suivait sans problème, me procurant une sensation fantastique et totalement inédite comme vous pouvez l’imaginer…


J’avais complètement laissé de côté la vidéo. Elle défilait en arrière plan pendant que je me défonçait l’anus de plus en plus profondément, dans un mélange détonnant de plaisir et de douleur. En me contorsionnant, j’arrivais à mettre en marche les vibrations. Mon anneau fut pris de contractions incontrôlables, et, n’y tenant plus, je tirais sur mes pointes de seins à les arracher jusqu’à un nouvel orgasme incroyable d’intensité. En quelques minutes, je suis ainsi devenue accro au sexe anal, entre autre me direz-vous ! Retirant le vibro lentement, je savourais, vidée, les derniers spasmes : je marquai une pause afin de reprendre mes esprits.


Tout allait trop vite. Deux heures plus tôt, j’étais une femme au foyer qui s’ennuyait en faisant du ménage. Maintenant, j’étais une bête sexuelle, enchaînant les expériences à toute vitesse, même si, pour l’instant, j’étais encore seule. Je profitais de cette pause pour souffler un peu et manger, mais les trente-sept années de frustration sexuelle se rappelèrent à mes sens et je repris mon auto-apprentissage. Je revins devant la télévision et remis en route le magnétoscope. Je me caressais doucement en regardant en continu ces corps léchés, pénétrés devant, derrière, ces éjaculations puissantes… une femme recevait sur le visage, béate, deux giclées de sperme, aimablement fournies par deux immenses athlètes noirs dont les dimensions me laissaient rêveuses. Je me demandais si cela me plairait, je voulais goûter un homme, sentir du sperme dans ma bouche et sur ma langue.


J’accélérai le mouvement de ma main. La jeune fille blonde de la première séquence réapparut avec une petite brunette, très mignonne également. Elles commencèrent à faire l’amour et je sentis mon sexe pulser lorsqu’elles se positionnèrent en 69. J’imaginais les sensations que l’on devait avoir ainsi. Être assaillie par les odeurs intimes de sa partenaire, lui prodiguer du plaisir tout en recevant le même hommage. Je dus faire un effort surhumain pour ne pas jouir. J’étais sûre maintenant que je devais trouver une femme pour moi, sentir ses mains, sa langue, ses lèvres, son souffle, sur ma peau… La blonde se releva et prit sur le côté un tube d’une substance translucide qu’elle étala copieusement sur ses mains. Je me demandais ce qui allait se passer. La réponse vint rapidement et j’y trouvai enfin ma vocation.


La blonde introduisit deux doigts dans le sexe humide de la brune, facilement, naturellement… puis deux autres suivirent. Je fis de même, les écartant afin de dilater doucement ma vulve. Je gémis doucement, en même temps que cette jolie brunette, en sentant ma sexe s’ouvrir largement, comme pour les vibro. Je suis grande, c’est sûr mais je n’avais jamais pensé que mon sexe pouvait être en proportion ! J’appris bien plus tard que cela n’était pas nécessairement systématique, mais ceci est une autre histoire. Pour l’instant, je trouvais que quatre doigts donnaient pas mal de plaisir. Mais le meilleur restait à venir. La blonde replia son pouce vers la paume de sa main et sous mes yeux ébahis commença à pousser en tournant son poing dans le sexe de sa partenaire. Celle-ci gémissait en se tortillant pour faciliter la pénétration. Je ressentis un choc énorme lorsque, d’un coup, la main sembla aspirée jusqu’au poignet. La brunette se figea puis cria sauvagement en saisissant le bras de l’autre fille pour accélérer le mouvement de va-et-vient. Pour mon premier jour de ma nouvelle vie sexuelle, je tombais directement sur une scène de fist-fucking.


Je cherchai à faire de même. La sensation fut énorme mais même en m’aidant de ma deuxième main, je ne pus aller aussi loin qu’elle. L’angle était mauvais ! Ceci me confirma que je devais partir en quête d’une partenaire pour m’aider à découvrir le plaisir de cette pratique nouvelle. Un peu frustrée et jalouse, je me contentai de suivre la scène sur l’écran. Je repris alors mon plus grand vibro qui pénétrait maintenant très aisément et me caressais presque discrètement, attendant la suite.


La blondinette seule maintenant à l’écran jouait avec un vibromasseur, comme moi, le roulant sur son corps, en modulant la puissance de ces vibrations. Je calquai ses mouvements en gémissant lorsqu’elle gémissait. Elle posa soudain son jouet et entreprit d’introduire quatre doigts dans son sexe béant. Mon cœur manqua de s’arrêter. Si mon instinct, qui venait juste d’être réveillé, ne me trompait pas, cette fille était en train de se fister seule. Elle continua à pomper son sexe lorsqu’elle changea soudain de position, me révélant ainsi comment aller plus loin. Elle retira sa main, passa sa jambe derrière son bras. Frémissant d’impatience, je testais immédiatement cette nouvelle position. La différence m’apparut évidente : l’angle était parfait. Je regardais fascinée la blondinette exécuter un long, sensuel et excitant fist sur elle-même, me montrant ainsi la voie. Je copiai ce que je voyais à l’écran, multipliant mon plaisir, imaginant qu’elle était réelle, face à moi, sentant presque son odeur, sa chaleur…


Mes chairs se dilataient de plus en plus et je plongeai avec délice ma main dans ce trou béant et brûlant qu’était devenu mon sexe.

Je m’allongeai avec ma main dans mon sexe. Je poussai le plus loin possible : il me fallut un certain temps pour la faire entrer et ressortir sans gène ni douleur, mais il ne resta alors que le plaisir.


J’eus ainsi trois orgasmes consécutifs très rapprochées, mon index droit dansant une farandole folle sur mon clitoris. Jamais je n’avais eu autant d’émotions en si peu de temps. Des larmes de joie me coulèrent spontanément. Rien ne serait plus comme avant : pour la première fois de ma vie, je me sentais satisfaite sexuellement…


A suivre.