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n° 04071Fiche technique15162 caractères15162
Temps de lecture estimé : 9 mn
23/04/02
Résumé:  Après un accident, un homme se réveille dans un hôpital très spécial...
Critères:  fh médical fépilée noculotte fmast intermast fellation pénétratio fantastiqu
Auteur : Elmo 92  (Un jeune homme brun de 28 ans)      
SOS


Etait-ce un rêve ? Emerger lentement dans cet épais brouillard, ne rien discerner, ne rien pouvoir toucher, ni sentir…


Il se réveilla comme on sursaute après un cauchemar : apeuré, abasourdi et chancelant. Ses yeux ! Il crut un moment qu’il était devenu aveugle, mais quelques instants suffirent pour qu’il s’habitue à l’obscurité. La lueur de la lune, dehors, entrait de façon fantomatique dans la pièce. Il était couché et se sentait très courbaturé. Impossible de bouger sans ressentir de la douleur. Il tourna avec difficulté la tête et ne vit que la grande fenêtre et les murs lisses. À ses pieds, une barre de métal. Il s’entendit respirer… Vivant ! Ou bien il rêvait qu’il s’éveillait dans ce qui semblait être une chambre d’hôpital… Il sentait cette odeur caractéristique et médicamenteuse. Pourquoi s’était-il retrouvé en ces lieux ? Il revenait de cette réunion qui n’en finissait pas… La fatigue… Pas envie de rentrer pour retrouver sa femme. Et son portable qui sonnait. Cette femme qu’il avait draguée avait fini par commencer à répondre à ses avances. Elle l’appelait. Il avait répondu et… Le camion ! Impossible de l’éviter ! Le noir total après le choc, les phares qui avaient foncé sur lui comme deux boules de feux !


Il régnait dans la chambre, où il devait certainement être seul, un silence total. Pas un bruit ne lui parvenait. Etait-ce à cause de son esprit englué dans la mélasse ? Il ne put réaliser combien de temps s’écoula à partir de son réveil. Il ne parvint pas à se rendormir et se sentit revenir peu à peu à lui. Une heure, deux heures… ? C’était impossible ! Le temps était devenu une donnée insaisissable. Le manque total de repères le plaçait dans une situation où l’espace et le temps étaient absents. La douleur l’empêchait de tenter quelque mouvement que ce soit.


Je suis seul dans une chambre faiblement éclairée. Il me semble rester ainsi plusieurs heures dans la nuit sans parvenir à me rendormir.


Après une éternité, une infirmière entra dans la chambre. Elle le regarda d’un air dubitatif. Il ne la voyait pas très bien à cause de l’obscurité et la devinait plus qu’il ne la considérait. Elle s’approcha du lit, jeta un œil à la feuille de soins accrochée au bas, et vint vers lui pour lui tâter le front et prendre son pouls. Ainsi, il put voir sa blouse blanche aux derniers boutons ouverts sur un soutien-gorge blanc.



Elle se pencha pour réajuster l’oreiller et, ce faisant, fit bailler sa blouse encore plus, révélant une poitrine imposante qui débordait du soutien-gorge comme s’il n’était pas à la bonne taille. Il n’en croyait pas ses yeux lorsque les seins arrivèrent à portée de sa bouche. Ses lèvres furent en contact avec le sein droit de l’infirmière qui poussa un petit soupir et se pencha encore plus pour s’appuyer complètement sur la bouche du malade. Il sentit la chair ferme, douce et ronde du sein contre ses lèvres et respira une odeur de savon à la lavande. Sous le tissu du soutien-gorge il devina la pointe du téton qui frotta contre son menton.L’infirmière pesa un court instant sur lui et finit par se redresser.



Elle tourna les talons et quitta la chambre aussi doucement qu’elle était y était entrée. Complètement ébranlé par ce qui venait de se produire, il finit par trouver le sommeil et s’y engouffra comme un nourrisson. Un bruit de froissement de tissu le fit revenir à lui. Devant son lit se tenait l’infirmière. Elle était vraiment magnifique. Elle avait déjà enlevé sa blouse, et déboutonnait son soutien-gorge. Elle le regardait la dévisager. Elle continua de se déshabiller en faisant glisser sa culotte à ses pieds. Il était béat, dans un état d’excitation indescriptible, sentant sa queue durcir entre ses jambes mais ayant trop mal partout pour faire le moindre mouvement. Il ne pouvait rien tenter pour l’aider à supporter ce spectacle. Elle s’assit sur le lit, fit « chut » avec l’index de sa main droite avant de la glisser sous les draps et de se mettre à lui caresser le membre délicatement à travers son pantalon. Très vite il ne put se retenir, se raidit, grimaça et soupira longuement, tant la douleur lui parcourut les membres tandis que le plaisir le submergeait. L’infirmière se rendit compte qu’il avait éjaculé. Elle ressortit sa main, contempla le sperme qui engluait ses doigts et les lécha consciencieusement jusqu’à ce qu’il n’y paraisse plus.


Elle se saisit sur une petite table d’un stéthoscope et joua avec l’instrument sur ses seins dont les bouts durcissaient à vue d’œil… Plantée à côté du lit, un sourire carnassier sur les lèvres, l’infirmière écarta les cuisses et fit aller et venir le stéthoscope sur sa toison brune. Un désir féroce tenaillait le patient impuissant, cloué dans son lit. Elle avait l’air de s’en moquer, posa une jambe sur le bord du matelas et se mit à se masturber. Elle ne semblait plus se soucier de lui et se donna ainsi du plaisir pendant de longs moments. Il enragea d’être si près de cette belle brune au corps si prometteur sans pouvoir en profiter ! Il entendait les bruits mouillés causés par les mouvements des doigts qu’elle prodiguait à sa chatte. Le doux clapotis allié à la vision de ce sexe de femme ouvert devant lui eut pour effet de lui amener une nouvelle érection sous son pyjama.


L’infirmière eut un orgasme, ondulant du bassin, deux puis trois doigts enfoncés dans son vagin, se redressa, ramassa ses affaires et sortit de la chambre. Il se retrouva de nouveau seul, sans la possibilité de se soulager lui même sous peine de souffrir les mille morts.


Lorsqu’il se réveilla, il faisait jour. La lumière baignait la chambre doucement et il put constater que sa chambre était constituée, hormis le lit, d’une table de nuit, d’une chaise et d’un vestiaire très rudimentaires. À sa droite se trouvait la porte du cabinet de toilette. Au loin, devant, la porte. Il avait soif et la bouche pâteuse. Il ne savait pas si on était le matin ou l’après-midi mais sa gorge était vraiment très sèche.


Comme si le ciel l’avait entendu, il vit la porte s’ouvrir sur une infirmière, blonde cette fois-ci. Elle portait un plateau où se trouvait à côté des mets une carafe d’eau et un verre. Elle le salua, posa le plateau sur une table roulante qu’elle amena au niveau du lit, versa de l’eau dans le verre et fit le boire. Le liquide, certainement de l’eau du robinet, lui fit du bien.



Son regard bleu était assez glacial mais sa voix se voulait chaude et rassurante. Il tenta de dire quelque chose mais ne put actionner les parois de sa mâchoire.



Elle prit place près de lui et lui donna à manger : de la purée et du jambon coupé finement. Sa blouse était ouverte sur le haut et à chaque bouchée, il pouvait admirer l’étroit sillon à la naissance de ses seins. Sous sa blouse, ses cuisses étaient gainées de bas sombres.



Il hocha douloureusement la tête.



Il avait l’impression de faire un cauchemar… Cette infirmière était aussi sinon plus désirable que la première et il était pratiquement réduit à l’état de légume, sans pouvoir profiter des trésors qu’il avait à sa disposition. Il mangea tout, ce qui eut pour effet de satisfaire grandement l’infirmière.



Elle se leva, défit le chignon et laissa ses cheveux blonds descendre en cascade sur ses reins. Puis, elle déboutonna lentement sa blouse, découvrant deux seins parfaits aux aréoles roses et larges et aux pointes dressées. Elle ne portait pas de culotte et il eut le plaisir de découvrir une fente rose et lisse. Il bandait comme un fou et une colonne déformait son pantalon de pyjama à l’entre-jambes.



Elle se saisit du sexe en érection, le sortit entièrement du pyjama et tendit le cou pour refermer ses lèvres dessus tout en lui caressant les couilles. Elle engloutit toute la hampe, l’aspirant très fort en le branlant d’une main. Il poussa un gémissement. De plaisir ? De douleur ? Il ne les ut pas. Combien de temps durèrent les mouvements de va-et-vient de cette crinière blonde au bas de son bassin ? Il ne put le dire. Il sentait les lèvres de la belle gober son gland avec douceur, puis ceindre le périmètre de son membre pour l’envelopper et l’avaler jusqu’à la base. Elle savait y faire et il crut bien qu’il allait de nouveau jouir et se répandre au fond de sa gorge, mais elle s’en douta certainement, vu les soubresauts qui agitaient sa queue, et elle abandonna ses mouvements buccaux.



Là-dessus, elle grimpa sur le lit, l’enjamba après avoir tiré les draps à ses pieds et abaissa son pantalon au niveau de ses genoux. Elle tira sur sa veste de pyjama et découvrit son torse recouvert d’hématomes. Elle remonta sur lui à genoux, sans le quitter des yeux, introduisit un doigt entre ses petites lèvres, puis attrapa le sexe tendu et le présenta à l’entrée de sa chatte et s’empala sur toute la longueur du membre. Il avait les jambes serrées l’une contre l’autre tandis qu’elle avait ses cuisses de chaque côté des siennes. Elle se soulevait pour le pomper avec son ventre. Il avait mal mais c’était si délicieux de la voir se démener sur sa queue… Au bout d’un moment, le plaisir gronda et il se vida dans le ventre de l’infirmière qui resta assise, empalée au plus profond, sans bouger, savourant les jets de sperme chaud.


Elle resta très longtemps dans cette position, caressant les couilles de son patient qu’elle torturait en même temps qu’elle le comblait. Il vit poindre le clitoris rouge et brillant hors du capuchon, tel un petit sexe en érection. Elle jouissait comme une folle et les spasmes agitant son bas ventre semblaient ne pas pouvoir s’arrêter.



Un SOS ? Quel SOS ? Il ne comprenait rien. Absolument rien ! La situation était si absurde…



Comment savait-elle qu’il ne faisait pratiquement plus l’amour à sa femme, que celle-ci s’endormait le soir, à peine couchée ?



Il crut devenir fou. Il était enfermé dans un asile, il imaginait tout ça ! La fille, son monologue… Tout ! C’était impossible. Il avait eu un accident. Il devait rêver… L’infirmière le quitta et sortit de la chambre à poil, les cuisses luisantes de traînées de sperme en train de sécher, sa blouse à la main. Un nuage vaporeux enveloppa ses yeux, s’infiltra dans ses narines et embruma son esprit. Il y eut comme un long tunnel où il se retrouva projeté. Comme si un vent violent projetait son corps inerte dans le vide d’un corridor plongé dans le noir.


Il vieillissait à mesure qu’il parcourait ce long couloir. Il se sentait de plus en plus fatigué. Ses membres blessés le faisaient de plus en plus souffrir. Une voix légèrement chevrotante se mit à retentir. « Voici venue l’heure du verdict. La vie vous est laissée. La promesse d’amour et de fidélité faite lors de votre union a été respectée, malgré votre propension à la violer. Vous serez de nouveau prévenant, attentionné et tendre. Vous traiterez votre épouse avec les égards qui lui sont dus et vous travaillerez à la survie de votre couple. » Il sentit la vitesse s’amenuiser et sa conscience diminuer au fur et à mesure.


Il s’éveilla dans son lit. Le soleil brillait dehors. Il avait bien dormi et en se retournant, vit que sa femme dormait encore. Elle avait le visage baigné d’une sérénité totale. Il la regarda dormir un long moment, réalisant la chance qu’il avait. Elle était belle. Ses cheveux tombaient joliment sur ses épaules dénudées et son corps était si bien mis en valeur par cette chemise de nuit couleur lavande… il poussa la couette.


Il soupira de plaisir devant le galbe de ses jambes et le fier caractère de sa poitrine. Il se leva et se rendit dans la cuisine pour préparer le petit déjeuner. Il était rentré tard mais il allait profiter pleinement de cette belle journée, imprégné de tendresse et d’élans fougueux qu’il était.