n° 04114 | Fiche technique | 13510 caractères | 13510 2346 Temps de lecture estimé : 10 mn |
27/04/02 |
Résumé: La grosse Berta, elle aussi s'ennuyait, ils décide de passer une soirée ensemble, en tout bien, tout honneur. | ||||
Critères: ffh extracon collègues gros(ses) grosseins groscul travail voir exhib odeurs fmast fa | ||||
Auteur : André Sébastien Borland |
Je suis un branleur professionnel, un sale petit glandeur qui n’en fout pas une rame. Non pas que je n’aie pas, comme on dit, des possibilités, mais bon, j’ai pris l’habitude de ne rien glander, c’est tellement agréable.
Il y a juste quelques trucs à savoir, des petites ficelles pour rester planqué. Tout d’abord, il faut être sympa avec tout le monde, être toujours disponible, avenant et prêt à rendre service : toujours dire "Oui" mais ne rien faire, c’est ce qu’il faut maîtriser dans ce métier. Sans vouloir me vanter, je suis particulièrement doué et ça me laisse beaucoup de temps de libre que je consacre à la détente.
La machine à café, toute une vie tourne autour de ce genre d’endroit. Je pourrais en écrire tout un roman, tellement il y aurait de choses à raconter. C’est là que les collègues se défoulent, c’est là que se trament des complots… Mais, c’est là également que naissent des amourettes. Je ne parle pas de petits coups tirés à la va-vite dans le local à papier, depuis que le monde est monde, cela a toujours existé. Non, je parle de la vraie drague qui excite les petits cœurs, quand les protagonistes sont bien enamourés et surtout bien accros et qu’ils peuvent difficilement le cacher. Mr Pimperonan, chef de service, père respectable, retrouve un regain de jeunesse lorsqu’il se retrouve face à la petite Anne-Caroline, toute frêle et toute mignonne, avec ses grands yeux admiratifs. Il pourrait être son père, presque son grand-père et pourtant il frétille comme un jeune gardon et elle le fait tourner en bourrique. C’est trop drôle de les regarder.
Personnellement, je ne me mêle pas trop aux conversations, dans ma position ce n’est pas la peine de trop se faire remarquer. Mais, j’observe les situations de loin, avec tendresse.
Bon, mais ce n’est pas tout, vous êtes là pour du cul, alors je vais vous en donner.
Moi, j’adore les femmes, toutes les femmes, mais pas n’importe quelles femmes. Je préfère de loin les personnages haut en couleur ! Je préfère qu’elles soient brillantes et qu’elles déplacent de l’air. J’aime aussi les grandes gueules, j’aime celles qui veulent tout casser. Ce n'est qu'un avis personnel, mais je trouve que ceux qui préfèrent les femmes passives ont un réel problème dans leurs petites caboches. Une femme, c'est tout sauf un légume, ça doit être une chipie, une teigneuse, une harpie, elle doit avoir un caractère de merde et papillonner dans tous les sens et nous en faire vraiment baver et nous donner tous les motifs de lui foutre des claques.
C’est pour ça que j’aime la grosse Berta. Elle est loin d’avoir sa langue dans sa poche ! Une grosse dondon avec une grande gueule souvent vêtue d’un improbable jogging qui lui moule bien tous ses bourrelets. Bien sûr, on peut trouver ailleurs beaucoup plus bandante. Pourtant, quel personnage et quelle gouaille, elle croque la vie en beuglant ! À la machine à café, on n'entend qu’elle, il faut dire qu’elle déplace de l’air avec ses 130 kg bien tassés. Qui plus est, elle jacte comme une concierge de quartier et jure comme un charretier. Il n'empêche qu'elle est sympa, vivante, rieuse, pleine de vie, pleine d'entrain et pleine d’amour.
De là à dire qu'il était inévitable que je couche un jour avec elle… J'ai beau aimer les grosses, je les choisis quand même ; avec son franc-parler, ce n’était malgré tout pas gagné. D’abord, elle était mariée et moi aussi, j’étais marié, peu fidèle, il est vrai, mais marié tout de même. Je n'osais pas la draguer, car vu son manque de discrétion, nous aurions tôt fait de nous faire repérer par les collègues.
Cela dit, j’aimais bien plaisanter avec elle, c’était une bonne copine. Parfois, elle avait des petites histoires de cul à raconter à la cantonade, une fille très agréable, sans filtre, très décontractée… avec des gros nichons. Lorsque, par malheur, elle courait dans le couloir, c'était un bonheur pour moi de voir ses opulents appendices brinquebaler de tous les côtés… quand même beaucoup plus agréable que d'affronter l'expression guindée des cadres supérieurs !
Un jour donc, je la croise à l’étage, ça n’allait déjà plus trop bien avec Élodie et nous allions inévitablement nous séparer.
Et, elle, de m’envoyer un coup d’épaule pour m’envoyer valser, histoire de me charrier.
C’est ainsi que je suis sorti un vendredi soir avec la grosse Berta. Cela dit, en tout bien tout honneur, nous avons été fort sages, nous avons dansé, bu, rigolé, nous nous sommes éclatés, une soirée très agréable qui s’est poursuivie jusque vers deux heures du matin.
Ensuite, je l’ai bien sagement raccompagnée chez elle, juste un petit bécot anodin pour la route et nous nous sommes séparés. Rien de bien méchant donc, juste pour s’amuser et flirter un peu.
Cependant, le lundi suivant, la voici qui entre dans mon bureau et referme la porte derrière elle :
Au moins c’est direct.
Chuchotant presque, pour ne pas se faire repérer des collègues d’à côté :
Alors, joignant le geste à la parole elle soulève son jogging et dévoile un somptueux balconnet rempli de choses affriolantes. Pulpeux et bien rempli, il y en a toujours qui sont gâtés par la nature.
J’attends donc deux ou trois heures que les bureaux se vident, le cœur léger, la queue bandée, avec l’impatience de pouvoir la retrouver.
J’arrive en haut, et mince, elle est en train de papoter avec sa collègue. D’ailleurs, la dite Joséphine passe son temps à papoter, elle préfère ça aux coups de balai. Je bavasse un peu, l’air de rien, avec les deux femmes, j’espère que l'empêcheuse de tourner en rond va finir par se casser.
Ça y est, elle se décide, elle va aller faire l’escalier, elle reviendra plus tard… Oui, c'est ça, le plus tard possible.
Sitôt seuls, j’enlace la grosse Berta, un gros baiser bien baveux, elle y met toute sa puissance, cette matrone est vraiment chaude. Mes mains fiévreuses la tripotent un peu partout, glissent sous ses vêtements, triturent ses bourrelets. Je trouve ça apaisant, l’opulence est rassurante, presque maternelle… D’un autre côté, ma compagne a de gros besoins, urgents, impérieux, ils ne peuvent pas attendre, je le sens, elle a la fièvre cette femme-là, depuis des heures qu’elle bouillonne, tout un week-end à avoir eu envie.
Alors, j’enlève tout, son jogging, le haut, le bas, elle a vraiment de gros mollets, et j’extrais ses mamelles de son large soutif. Quelles belles tétasses, je les masse, je les pétris, je les lèche, je les tête aussi. Son corps sent la sueur, l’odeur de la bête en rut, réellement très excitant. Je la fais allonger sur les tables, j’arrache sa culotte, elle est déjà toute jaunie d’un désir animal. Ma tête plonge entre ses grosses cuisses pour lui faire des léchouilles. Quelle odeur, quelle saveur, quel fumet ! J’en suis tout retourné, j’en bande comme un cerf.
Justement, ça tombe bien, car ma langue ne lui suffit plus, elle réclame autre chose de beaucoup plus consistant, à corps et à cri :
Elle ne mâche pas ses mots et je n’ai, moi non plus, aucune raison de ne pas la satisfaire. Alors, je la défonce à coups de reins, je la défonce à coups de bite, m’enfonçant sans problème dans sa chatte accueillante et sans vraiment me soucier des bruits de table, des bruits de chaise et de tout le barouf qui s'ensuit. Je vois ses gros nibards remuer dans tous les sens, c’est ça le principal et c’est tout ce qui m’importe.
Sitôt dit, sitôt fait, entièrement à poil sur la moquette, elle n’a gardé que ses chaussettes et moi je viens l’empaffer entre ses grosses fesses, en ahanant comme un goret. Quel cul grandiose, c’est un plaisir de le défoncer. Je ne sais pas si elle aime aussi se faire enculer, une femme sur deux s’y oppose, on verra ça après…
Concentrés sur nos occupations, nous n’avions pas vu Joséphine arriver. Intriguée, elle a dû rappliquer dès qu’elle a entendu le gros barouf, elle devat se demander ce qui se passait… Maintenant elle est là, à nous regarder dans l’encadrure de la porte. Et même qu’elle est en train de se masturber, cette cochonne, ça l’excite de nous voir baiser. Peut-être aimerait-elle, elle aussi, participer.
Berta a déjà joui au moins deux fois et moi je suis sur le point d’éjaculer. Je lui demande de se retourner pour lui éclabousser ses grosses miches. Hummmm oui ! C’est là qu’elle remarque Joséphine en train de nous espionner, la main dans la culotte. Elle me fait signe de la tête et moi je crache toute ma purée en regardant notre petite voyeuse en train de se frotter…
Putain ! Quel pied… Maintenant Berta me lèche le gland en prenant des allures de salope. Hummmm… Elle a vraiment toutes les qualités.
Joséphine reste discrète, elle s’éclipse même sans trop rien dire. En tout cas, elle a tout vu !
J’aide Berta à se rafistoler sans oublier pour autant de lui peloter ses grosses miches et d’étaler mon foutre gras sur ses tétasses.
Et hop, le tour est joué, on se roule une galoche et c’est comme si rien ne s’était passé…
Évidemment, depuis on a recommencé, plusieurs fois, le plus souvent possible et en divers endroits du bâtiment. J’ai même appris que Berta ne déteste pas se faire sodomiser, et qu’elle adore aussi lécher. Cette femme-là est parfaite, elle a un sacré tempérament, dommage qu’elle soit mariée… Mais cela fait plusieurs mois qu’ils n’ont rien fait, pourvu que ça dure, alors autant en profiter…
Quant à Joséphine, quand nous avons discuté avec elle, elle n’a jamais voulu avouer que ça l’excitait de nous regarder. Elle avait la main dans la culotte mais sans plus, elle faisait rien, tu parles ! Sans plus, tu parles, elle a la trouille de dire que ça l’excite, plusieurs fois par la suite elle est revenue nous observer, qu’elle ne dise pas alors que c’est par simple curiosité !
Ce qui est certain c’est qu’elle ne veut pas participer et qu’elle n’aime pas trop en parler. Mais, qu’importe après tout. Nous, avec Berta, cela ne nous gêne pas plus que ça, bien au contraire, de faire tout ça devant une petite voyeuse !