Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 04115Fiche technique28820 caractères28820
Temps de lecture estimé : 16 mn
27/04/02
Résumé:  Etape très féminine.
Critères:  fh hh fplusag piscine travesti fmast hmast rasage hdanus
Auteur : Domi DUPON  (Homme du bon côté de la cinquantaine)            Envoi mini-message

Série : Noël-Noëlle

Chapitre 06 / 08
Noël-Noëlle (6/8) Mauvaise surprise

EPISODE 6: MAUVAISE SURPRISE



Samedi 17, début d’après midi: Une dizaine de jours se sont écoulés. Dix jours fantastiques où nous avons fait l’amour comme des fous. Pendant les heures de bureau, nous retrouvions la relation patron/secrétaire. À l’exclusion de quelques gestes tendres anodins, Ludovic ne s’autorisait pas le moindre dérapage. Moi, je me comportai en collaboratrice modèle. Collaboratrice car ce lundi à 6 h 30, pendant que je buvais, bien installée dans le lit encore chaud, le café qu’il m’avait apporté, il sortait de son emballage une petite robe d’été, robe sac toute simple achetée lors de nos pérégrinations à La Pardieu. Il souhaitait que je la porte au travail. J’acceptai sans chichi: le bureau n’étant pas ouvert au public, je ne risquai pas grand chose. Le succès de nos sorties du week-end m’avait donné beaucoup d’assurance, presque de la suffisance, quant à la qualité de mon image féminine. Entre midi et deux, toute retenue disparaissait et son bureau fut le théâtre de séances intenses. Il me prit debout contre son bureau, contre la fenêtre, couchée sur la moquette, à genoux sur son fauteuil. Je le suçai, il me suça. Il ne nous restait généralement quatre ou cinq minutes pour avaler un sandwich quelconque arrosé de café. Puis, il redevenait le patron jusqu’à ce que nous montions dans sa voiture pour rentrer à la villa.


Elle était notre nid, nul n’est venu nous y déranger. La femme de ménage était en vacances. Chaque soir, le jeu, pour nous, était de remettre la maison en ordre. Jeu rapide car en fait nous n’utilisions que deux pièces: la chambre et la cuisine. Quant aux repas, l’intendance était assurée par un excellent traiteur. Etant donné la saison, nous vivions beaucoup à l’extérieur. En arrivant, le passage obligé était la piscine où, selon les vœux de mon patron, je me baignais dans un maillot deux pièces hyper sexe de sa femme: ce qui me donnait un bronzage très féminin. Ensuite au gré de notre inspiration, balades en forêt, petit tennis - Ludo en avait fait construire un derrière la maison quelques années auparavant - ou simplement farniente sur un transat. Mercredi, nous avons même organisé un défilé de mode dont j’étais l’unique mannequin et lui, l’unique spectateur. J’avais fait d’énormes progrès dans l’art du maquillage. Ma démarche, maintenant, était assurée même avec les chaussures à talons plus hauts. J’ai dû essayer, ce soir-là, quasiment toutes les toilettes, tous les sous-vêtements de Josette. D’accord, après ce fut la galère pour tout ranger correctement.


Nous n’avons pas beaucoup regardé la télévision car, dès la nuit tombée, Ludovic m’entraînait au lit. Là ,commençait le film du soir où nous mettions au propre ce que nous avions esquissé à midi. Nos petits jeux se terminaient rarement avant minuit. Ensuite hors de question de dormir, nous avions besoin d’échanger, d’oraliser tout ce que nous avions vécu alors nous parlions énormément. Très souvent ces discussions postcoïtales nous entraînaient aux premières heures de l’aube. Ludo et moi étions des cérébraux, nous aimions analyser, commenter nos ébats.


Quelque part, malgré ses dires, il avait eu du mal à accepter son attirance pour mon côté garçon et avait besoin de se justifier. Il me parla de son mariage, de sa femme qu’il n’ avait pas vraiment trompée avant moi. Et surtout, il me questionnait, il voulait tout savoir de moi, mon enfance, mes envies, mes loisirs, je dus même lui raconter mes quelques tentatives illusoires de flirt. Un seul sujet était tabou: la boite. C’était un domaine fermé et secret qui ne passait pas le seuil de sa demeure m’affirma-t-il. Notre passion ne le troublait aucunement dans son travail et quelle que fut l’heure à laquelle nous nous endormions, à huit heures tapantes, nous étions au bureau.


Hier soir, nous retournâmes manger à Lyon. J’étrennai, en public, mes talons hauts. Maintenant, nous nous amusions des regards qu’on me jetait. Aujourd’hui, Ludo devait travailler jusqu’à midi et nous devions partir le reste de week-end. Quand je le vis revenir à 9 heures, je compris immédiatement que notre virée était annulée.



Ce le fut moins! Déjà remontée parce qu’il avait trouvé une excuse pour ne pas la rejoindre ce week-end, elle ne crut pas un mot de son voyage parisien. Elle l’accusa d’inventer cela pour qu’il soit injoignable. Après une discussion interminable, elle se calma. Il jeta rapidement quelques affaires dans un sac et il partit en me promettant d’être de retour le plus tôt possible.


Allongée sur le ventre, sur le bord de la piscine, je profite de l’absence de Ludovic pour bronzer entièrement nue. J’ai ôté le haut et le bas. Je les ai posés à côté de ma serviette. Je rêvasse me remémorant cette dernière soirée, ces dernières heures, je le revois sauta…



Je me retrouve assise face … cette voix… statufiée … La tuile dans toute sa splendeur, rentrée surprise de Josette… Je déteste le théâtre de boulevard… Et là, on y est en plein!



Reprenant mes esprits, je m’apprête à lui débiter une excuse plausible lorsque ses yeux se posent sur ma poitrine où elle ne peut ignorer l’absence de bronzage dû au port du soutien-gorge. Elle est dubitative mais ne réagit pas. Puis elle découvre mon visage … maquillé. Pendant un instant, c’est elle qui reste muette. Je ne sais plus où me mettre, être une souris … Soudainement, elle s’esclaffe. Je la regarde sans comprendre.



Instant de silence. Elle me scrute de bas en haut et de haut en bas sans aucune vergogne arrêtant son regard aux endroits stratégiques.



Elle éclate, subitement, d’un rire à la limite de l’hystérie. Entre deux hoquets, des mots hachés:



Je me précipite à l’intérieur, trop heureuse de fuir, je cours dans la chambre, enfile rapidement mon jean que j’avais abandonné depuis dix jours. Quand je reviens avec la boisson demandée, je la trouve assise jambes haut croisées dans un des transats du salon de jardin qui jouxte la piscine. Elle semble s’être calmée. Elle ricane:



J’éclate en sanglots, de grosses larmes coulent sur mes joues, je ne peux plus m’arrêter. Josette se lève, s’approche et passant sa main dans mes cheveux, elle attire ma tête contre sa poitrine. Avec des paroles douces, elle tente de me consoler. J’inonde son corsage et cette humidité colle l’étoffe à ses seins laissant deviner leur forme Cette vision, ses mots, son odeur, la pression de sa poitrine contre ma joue, je ne sais plus où je suis. Mais elle parvient au résultat espéré.



Quand j’en ai terminé, elle s’écarte de moi. J’ai soudain la pensée qu’elle a joué cette comédie pour mieux me posséder. Ce en quoi, je me fourvoie. Elle me tend les mains et me force à me relever. En me regardant droit dans les yeux, sans un mot, elle commence de dégrafer mon jean, le fait glisser sur mes hanches puis s’agenouille pour me l’ôter. Elle entoure mon pénis de ses longs doigts manucurés et me fait remarquer:



Que voulez-vous que je réponde à cela ? Je ne suis pas vraiment en situation de faire la fine bouche. De plus les frémissements qui m’ont agité quand elle m’étreignait contre sa gorge m’ouvrent des perspectives intéressantes. Je ne comprends pas trop ce qui m’arrive. Vingt minutes auparavant, j’étais persuadé d’être du côté femelle, d’être amoureuse de Ludo. Maintenant je bande devant une femme. Pas n’importe quelle femme, celle de mon amant. Je ne veux pas en rester là, je veux savoir qui je suis réellement. Ce qui m’inquiète est que je ne sais pas exactement quel est son jeu.



A cette occasion, je me réalise que Ludovic et moi n’étions que des débutants maladroits dans la science du maquillage: Josette, elle est une experte. Elle me confie d’ailleurs qu’elle a suivi des stages d’esthéticienne. Et c’est une experte perverse: lorsqu’elle a terminé son oeuvre, je ressemble réellement à une petite salope car elle a outré mon maquillage, soulignant mes yeux au khôl, accentuant la sensualité de mes lèvres par une utilisation judicieuse du rouge à lèvres; elle m’a également épilé cils et sourcils. Une petite salope se mire dans la glace. Je suis nue et je ne débande pas depuis mon entrée dans la salle de bain: Josette s’appliquant par ses propos et par quelques gestes bien placés à me maintenir dans un état d’excitation continuelle.


Ses propos… Tout en me fardant, elle n’arrête pas de raconter. Elle me rappelle que c’est elle qui a demandé à Ludo de m’engager et elle me fait comprendre que j’ai eu ce boulot car elle avait des vues sur moi. Elle avait expliqué à maman qu’il fallait absolument que je croie que c’était elle qui avait demandé. Elle lui avait fait croire que Ludo, très imbu de son autorité, n’aurait pas accepté que sa femme trouve du personnel en son lieu et place. Ce que je connais de Ludovic me fait penser qu’elle n’a pas réellement menti. Elle m’avoue qu’elle n’a jamais trompé Ludo mais que depuis qu’elle m’avait aperçu nu…


Elle m’explique qu’un jour en visite chez une de nos voisines, et s’accoudant au balcon, son regard plongea dans ma chambre dont la fenêtre était ouverte, elle découvrit un spectacle charmant: un jeune homme, à savoir moi, nu devant son armoire à glace (et oui déjà), s’admirant et se caressant. Ses mains se promenaient sur tout son corps papillonnant de sa bite tendue à ses seins dont il triturait les pointes. Son amie occupée au téléphone, Josette jouit, c’est le cas de l’écrire, de tout le spectacle et quand le jeune homme lia sa queue et ses couilles avec une ficelle, elle n’y tint plus et sa main se glissa sous sa jupe afin de calmer son excitation. Aussi quand le garçon branla sa bite enturbannée, elle imprima une cadence identique à ses doigts sur son clitoris et, miracle du hasard, au moment même où le jeune homme éjaculait, aspergeant la glace de son foutre, elle jouissait comme une folle. Plus tard, incidemment, elle avait obtenu quelques renseignements auprès de sa copine. En bref, j’étais un jeune homme très bien, très sérieux qui aidait beaucoup sa maman. Pas un de ces petits voyous toujours à traîner avec des filles et rentrant à des heures pas possibles.


Depuis elle repense souvent à moi, penser d’ailleurs n’est pas le terme exact, fantasmer me paraît plus approprié pour qualifier les situations dans lesquelles j’apparais. Elle, avait également, entre autre fantasme a celui de me féminiser car, cachée derrière sa fenêtre, elle avait été frappée par les attitudes "femellisantes" que j’adoptai face à mon miroir. Elle m’avoue ingénument que lorsque Ludo lui appris qu’il cherchait quelqu’un, c’est elle qui a appelé ma mère car sa copine lui avait dit que je faisais un I.U.T. d’informatique. Elle avait l’intention de rentrer innocemment fin juillet, Ludo devant passer quinze jours à Paris début août. C’est pour cette même raison qu’elle avait proposé le studio! Comment voulez-vous qu’avec de tels propos, je puisse débander.


Puis ce fut l’habillage! Pour cela nous nous rendons dans la chambre conjugale. Heureusement, j’ai eu le temps et la bonne idée de refaire le lit. Josette choisit pour moi un chemisier en soie quasiment transparent, sous lequel je porte un soutien-gorge possédant une armature qui remonte mes seins en laissant à nu mes tétons et une minijupe noire. Elle me pare évidemment d’un porte-jarretelles qui retient des bas couleur chair mais elle refuse tout net que je mette une culotte.



Je ne comprends pas la cause de cette soudaine fureur. Craignant l’impair, j’opte pour le silence.



J’ose enfin:



Pendant cet échange, je me déshabille.



Ce en quoi, elle aura ni totalement tort, ni totalement raison.

Retour à la salle de bain. Elle me fait allonger sur une espèce de table de massage sur laquelle elle a préalablement étalé une grande serviette éponge. Dans un appareil, elle met à fondre ce que je suppose être de la cire. Elle exploite la période de chauffe pour déterminer les endroits où elle va intervenir. Ses mains fines, bien plus fines que les miennes, parcourent mon anatomie à la recherche du moindre poil rebelle. Mains qui se font caresses auxquelles mon corps réagit très favorablement. Son approche est très différente de celle de Ludo mais ces frôlements, ces effleurements, ces petits coups de griffes ravivent mon érection qui s’était calmé lors de sa crise de colère.



Munie d’une paire de ciseaux, elle coupe grossièrement les petites touffes de poils sous mes aisselles.



Elle étend de la cire sous mes aisselles, sur ma poitrine recouverte d’après elle d’un mince duvet, sur mes jambes et même sous mon nez. La chaleur dégagée par cette sorte de pâte est tout à fait supportable.



Elle éponge le sperme avec un morceau de papier sopalin. Mon phallus, prisonnier de cette gangue maintenant solidifiée, reste raide. Elle en baise la tête qui dépasse. Puis commence l’opération épilation. D’un geste sec, sans brutalité mais sans délicatesse excessive. Elle arrache une après l’autre les bandes de cire. À la première, celle sous le nez, je gémis et je ne peux empêcher mon corps de sursauter. Par la suite, je tente de me contrôler car je sens son regard qui attend mes manifestations de souffrance. Elle garde le meilleur pour la fin. Sur mes testicules, son produit s’est étalé inégalement et quand elle tire, elle rencontre quelque difficulté. À chaque morceau, qu’elle ôte, la douleur est telle que j’en ai les larmes aux yeux. Elle y parvient et pour se faire pardonner, elle embrasse doucement les bourses qu’elle vient de martyriser. La conséquence positive de cette souffrance est que le volume de mon sexe a diminué et la cire s’enlève sans problème. Je ne suis pas très belle à voir, j’ai la peau rougie partout où elle m’a épilée.



Ses doigts atteignent ma petite rondelle plissée et s’y introduisent aisément. Elle en introduit trois sans rencontrer aucune résistance.



Insensiblement, ses doigts remuent dans mon fondement. Ma queue ( pardon!) coincée entre mon ventre et la table me fait mal.



A mon grand regret, elle retire sa main et répand sa maudite cire sur mes cuisses, mes fesses. Le moment jouissif arrive quand elle en renverse dans mon entre fesse. Je contracte l’anus au maximum pour ne pas absorber de cette cochonnerie. Une petite quantité atteint mon rectum malgré mes efforts et je mords dans la serviette pour ne pas crier. Heureusement, cela refroidit très vite. Au bout de quelques minutes, elle ôte les bandes mais cette fois, je sais ce qui va se passer et je réprime toute manifestation de souffrance. Je m’assois jambes pendantes pour qu’elle puisse reprendre mon maquillage ruiné par l’opération épilation. Posant son nécessaire à ma gauche, elle vient s’encastrer entre mes cuisses. Ainsi placé, mes parties génitales frottent contre l’étoffe rugueuse de sa jupe et ma verge se redresse.



Avec un brin de sadisme, elle remue son bassin, donnant un mouvement oscillatoire à sa jupe. Mon érection atteint son volume de croisière. Elle se recule pour contempler son œuvre.



Quand j’entre dans la chambre, mon premier mouvement est d’apprécier le résultat de l’épilation à travers l’image que me renvoie le miroir. Je suis horrifiée, je ne suis qu’une immense tâche rougeâtre. S’apercevant de mon dégoût, Josette essaie de me rassurer:



Bien que ma toison ne fut qu’un mince duvet, son absence accroît mon sentiment de nudité. Mon membre semble s’être allongé.



Je sors les boites de dessous le lit et lui montre les chaussures. Elle les observe attentivement.



Je les enfile et me déplace devant elle. Elle, admirative:



Malgré son désir de me voir aller cul nu, elle accepte que je passe une culotte assez résistante pour retenir mon sexe car il a tendance, libre, de tendre le tissu de la jupe de façon fort disgracieuse. Pour plus de sûreté, elle me prête une culotte spéciale ventre plat.


EPISODE 7: EN ROUTE POUR LYON