Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 04271Fiche technique39707 caractères39707
Temps de lecture estimé : 20 mn
24/05/02
Résumé:  Pris par le désir, Robert assume sur sa tante un de ses fantasmes végétal...
Critères:  fh fplusag extracon oncletante grosseins poilu(e)s intermast cunnilingu légumes pénétratio fdanus fsodo ecriv_f
Auteur : Fulvia      

Série : Tante Jeanne

Chapitre 02 / 03
Tante Jeanne 02

Résumé de l’épisode précédent :

Ayant rendu visite à sa tante, afin de la réconforter suite à l’hospitalisation de son mari, Robert ressent une perverse attirance pour le corps sensuelle que sa parente, dans sa détresse abandonne nonchalamment dans ses bras. Et se laissant emporter par ses sens affolés, il assume ses fantasmes d’adolescent et réussit à faire jouir sa tante par une savante masturbation. Celle-ci, reconnaissante à son neveu pour l’orgasme qu’il lui a procuré se croit obligée de lui rendre ses caresses et lui offre une voluptueuses fellation, le faisant éjaculer dans sa bouche..



----------------------




Saisissant sa sensuelle tante par les hanches, Robert la repoussa jusqu’à la table de bois placée au centre de la pièce. Se laissant conduire par son jeune cavalier, Jeanne tenta faiblement de se soustraire aux désirs de son neveu :



  • — Non ! Robert ! … Ce n’est pas possible, gémit-elle sans beaucoup de conviction, affolée à la pensée de ce que le jeune homme voulait lui faire subir… Je suis toute mouillée… par ta faute, hasarda-t-elle comme ultime défense.



  • — Justement, lui répliqua Robert bien décidé à mettre son projet à exécution… Je veux moi aussi goûter à ta liqueur…


Incapable de résister à ses sens bouleversés Jeanne laissa son ardent neveu la coucher sur la table de cuisine encombrée de légumes, un long frisson de désir lui parcourant tout le corps.



  • — Oh non… Robert… Non… Gémit-elle doucement en sentant le jeune homme retrousser sa jupe…


Sourd aux protestations, bien faibles de sa tante, Robert se pencha sur le bas-ventre qu’il venait de découvrir. Saisissant la fine culotte de satin à l’entrejambe rendu translucide par l’abondance des sécrétions vaginales qui s’y était répandues il la tira doucement vers le bas.



  • — Non, je t’en prie ! Gémit Jeanne d’une toute petite voix… Sois sage…Ce n’est pas bien… Laisse-moi mon chéri…


Mais si son esprit tentait vainement de se soustraire aux désirs incestueux de son neveu, son corps au contraire s’offrait sans retenues aux convoitises sexuelles dont il était l’objet. Dans un frémissement de tout son être, elle souleva ses fesses, afin d’aider son neveu à lui retirer sa lingerie intime. Frissonnant de désir elle sentit la douceur du satin glisser le long de ses cuisses frémissantes, passer ses genoux, frôler ses mollets, pour enfin déraper sur ses pieds. Privée de son cache sexe, elle sentit une bouffée de honte lui envahir le visage en imaginant le spectacle qu’elle devait offrir ainsi à demi-dénudée à son jeune neveu.


Fixant avec émotion le bas-ventre replet à la chair laiteuse de sa tante, au bas duquel moussait l’abondante toison aux reflets roux dont la pointe se perdait entre les deux cuisses pleines et charnues, Robert porta le slip féminin abondamment humidifié à son visage comme un trophée victorieusement gagné, pour en humer avec ivresse les odeurs épicées qui s’en dégageaient. Pour la première fois il découvrait la nudité d’une femme dans la force de l’âge ; d’une femme épanouie au corps et aux appâts plantureux. Médusé il laissa son regard s’attarder sur les hanches larges et rembourrées de la femme d e son oncle, sur son ventre légèrement rebondi, sur sa luxuriante toison couleur feu qui formait un triangle parfait sur le pubis renflé, sur ses cuisses potelées encore resserrées comme pour interdire l’accès à longue fente broussailleuse qui s’y cachait. Lui qui avait toujours connu sa tante blonde comme les blés, découvrait tout d’un coup la véritable coloration de cette dernière et cette constatation lui apporta une nouvelle bouffée de désir. Glissant la culotte chiffonnée dans sa poche, il força sa parente à replier ses jambes sur son torse en les lui écartant largement.



  • — Oh Robert !… Tenta de se défendre mollement Jeanne en acceptant la position.


La gorge nouée par l’angoisse, elle ne put s’empêcher d’éprouver une certaine confusion, malgré le désir qui la consumait, à se montrer dans une telle posture terriblement obscène à celui qu’elle avait vu grandir et qu’elle avait toujours considéré comme le fils qu’elle n’avait pu avoir. Mais ses sens bouleversés eurent vite raison de ses états d’âme. Dans un faible gémissement elle s’abandonna sans retenue aux exigences sexuelles de son neveu, éprouvant même un certain plaisir à s’offrir ainsi. Au bout d’un instant, Robert la força à poser ses pieds à plat sur la table et à écarter ses jambes au maximum, à s’écarteler impudiquement, dans une posture affreusement éhontée, que seul son gynécologue se permettait de lui faire prendre Jamais en plus de vingt ans de mariage son mari ne lui avait demandé de s’exposer ainsi, de manière aussi lubrique.


Terriblement ému, Robert contempla longuement l’entrecuisse tapissé d’un épais buisson ardent de sa tante, au centre duquel se détachaient les deux grandes lèvres cramoisies et gonflées, délimitant l’entré du plus mystérieux réceptacle charnel, lieu des plus suaves plaisirs. Se laissant enfin tomber à genoux à même le sol carrelé, il insinua son visage entre les fortes cuisses charnues de sa tante offerte à ses désirs. De ses pouces il écarta les babines sexuelles, découvrant les chairs incarnates et luisantes de la vulve épanouie, auxquelles il plaqua sa bouche assoiffée. Avec ivresse il enfonça sa langue dans la cavité sexuelle torride, léchant avec une gourmandise avide les parois gorgées de suc vaginal, tout en frottant adroitement son nez sur le merveilleux bouton de chair fièrement dardé d’entre les replis de la longue fente.


Immédiatement, sous ce baiser terriblement érotique, Jeanne se cambra convulsivement sur la table de la cuisine en agitant violemment son bassin, sous la violence du plaisir que lui procurait cette langue agile la fouillant intimement. Incapable de se contenir elle laissa échapper une longue plainte amoureuse. Grisé par les gémissements énamourés que laissait échapper sa sensuelle parente, Robert appuya un peu plus son luxurieux baiser. Plaçant sa langue à la base inférieure de la longue fente sexuelle, il la remonta jusqu’à la commissure supérieure des grandes lèvres, léchant avec application de bas en haut la vulve suintante, recueillant avec délectation le jus chaud et épicé qui s’écoulait des entrailles de sa tante exacerbée. Plusieurs fois il renouvela sa voluptueuse cajolerie, arrachant un petit cri de plaisir à sa volcanique parente chaque fois que sa langue venait buter le clitoris congestionné de celle-ci.


Etendue sur la table de chêne, les cuisses refermées autour du visage de son neveu qui lui broutait si adroitement la chatte, Jeanne, le corps secoué de spasmes voluptueux, s’abandonna sans pudeur à l’extraordinaire cunnilingus que lui prodiguait si généreusement son jeune partenaire. Il y avait bien longtemps que son mari ne lui avait dispensé pareil baiser ! Aussi s’offrit-elle sans retenue à la langue agile de son jeune partenaire, rejetant loin d’elle la pensée de ce que son abandon avait d’incestueux. Retrouvant avec délectation des sensations qu’elle avait oubliées, elle se polarisa sur le plaisir qu’elle sentait monter du fond de ses entrailles, alors que dans son soutien-gorge ses mamelons devenaient douloureux. Aussi éprouvant l’impérieux besoin de les presser afin d’adoucir les élancements que le désir faisait naître dans sa poitrine, elle empoigna fougueusement ses volumineuses mamelles pour les étreindre passionnément à travers le tissu qui les protégeait encore. Soudain une violente décharge sexuelle la fit se cambrer furieusement sur la table en bois. Une onde dévastatrice explosa au plus profond de son vagin, irradia son bas-ventre, grimpa le long de son corps, pour submerger, tel un raz-de-marée puissant et sauvage ses mamelons douloureux. Un torrent brûlant et incontrôlable surgit des profondeurs de ses entrailles, dévastant ses chairs intimes avant de jaillir en un flot impétueux d’entre les grandes lèvres de sa vulve ravagée. Robert qui venait de mordiller le clitoris dilaté se trouva soudain surpris par ce flux bouillonnant, qui surgissant des entrailles de sa tante lui emplit la bouche. Collant étroitement ses lèvres à l’ouverture béante du sexe ruisselant, il s’empressa d’avaler la liqueur au goût acre qui en fusait, tandis que sur la table Jeanne prise d’une frénésie charnelle se contorsionnait fébrilement en poussant les mêmes petits vagissements qu’elle avait lâchés quelques instants auparavant lorsqu’elle avait joui sur ses doigts.


Tel un chiot assoiffé, Robert lapa consciencieusement les sécrétions vaginales ou l’urine se mêlait à la cyprine. Puis le bas du visage trempé il abandonna la vulve humide, ainsi que le clitoris monstrueusement érigé, pour se redresser les lèvres luisantes des humeurs intimes de sa tante. Toujours étendue sur l’immense table de la cuisine, Jeanne, les yeux clos, les doigts encore refermés sur son opulente poitrine, les cuisses largement ouvertes sur sa chatte trempée, haletait doucement, le bas-ventre encore agité de frémissements voluptueux. Longuement Robert la contempla, la trouvant particulièrement désirable dans son abandon sexuel.


Reprenant ses esprits, Jeanne ouvrit les yeux et découvrit son jeune neveu debout entre ses jambes écartées qui la fixait avec un regard rempli de concupiscence :



  • — C’était magnifique, mon chéri murmura-t-elle… J’étais bien… Tu es un amant merveilleux…


Mais soudain son regard fut attiré par le membre viril fièrement dressé au bas du ventre du jeune homme. Stupéfaite de la rapidité avec laquelle ce dernier avait pu retrouver une telle érection après son éjaculation récente elle ne put que s’exclamer :



  • — Mais tu bandes encore ! … C’est pas croyable ! … Tu avais encore des réserves ?


Fier de montrer la force de sa virilité à celle qui quelques années plus tôt avait été son égérie, celle qui lui avait fait connaître ses premières masturbations solitaires le soir dans son grand lit, Robert empoigna son membre viril et entreprit de se branler lentement, éprouvant un plaisir pervers à se masturber ainsi sous le regard de sa tante alanguie. Fixant avec émotion le ventre replet dénudé au bas duquel l’abondante toison sexuelle aux bouclettes rousses formait un triangle parfait, il fit aller et venir sa main refermée le long de son membre viril tendu, décalottant largement son gland de nouveau gonflé.


Allongée sur sa table, les jambes largement ouvertes et repliées, les mains toujours posées sur sa poitrine, Jeanne fixa comme médusée l’énorme bourgeon de chair dilaté, qui suivant les mouvements de la main de son neveu qui se masturbait devant elle, disparaissait et réapparaissait sous le va-et-vient du prépuce mobile. La vision de ce gros bouton de chair tendu dans sa direction et qui semblait la narguer l’excita tellement que machinalement elle reprit le doux malaxage de sa poitrine, pressant presque maternellement ses lourdes mamelles.



  • — Fais-moi voir tes seins ! Réclama soudain Robert, les yeux fixés sur les monumentales bosses qui déformait le léger corsage dont était encore vêtue sa tante.


Après un moment d’hésitation, Jeanne jugea qu’elle ne pouvait refuser ce menu plaisir à son neveu pour lequel elle avait toujours éprouvé beaucoup de tendresse et qui aujourd’hui venait de lui procurer un tel bonheur. Aussi c’est avec une certaine jouissance qu’elle entreprit de déboutonner son chemisier qui s’écarta de lui-même, dévoilant aux yeux réjouis de Robert les deux balconnets abondamment remplis du soutien-gorge renforcé. Ne pouvant défaire l’agrafe de son sous-vêtement mammaire du fait de sa position couchée, Jeanne se contenta de tirer les corbeilles de dentelle vers le haut, libérant brutalement ses extraordinaires seins, qui privés de leur soutien s’avachirent de chaque côté de son torse, tel deux masses élastiques.


Médusé par la vision de cette poitrine monumentale qu’il découvrait enfin, et qui l’avait tant fait fantasmer du temps de sa jeunesse, Robert demeura comme pétrifié, cessant même de se masturber. Malgré ce que laissaient deviner les bosses qui déformaient le devant de ses corsages, jamais il n’aurait imaginé que sa tante posséda des seins si volumineux ; Deux masses énormes, souples et moelleuses, au centre desquelles une immense aréole pourpre tranchait sur la blancheur laiteuse parsemée de taches de rousseur des lourdes mamelles. Au centre de ces couronnes grenat à la peau granuleuse se dressait telle deux minuscules verges, les tétons d’une taille étonnamment importante. Maggy, son épouse, pensa-t-il faisait un 90 C et pourtant sa poitrine paraissait bien menue à côté de celle qu’il avait sous les yeux en ce moment.


Devant l’air ébahi de son neveu, Jeanne saisit ses volumineux appâts charnels dans ses mains pour les presser l’un contre l’autre en les remontant sur son torse, éprouvant une certaine jouissance à offrir les merveilleux fruits charnus de sa poitrine à son jeune compagnon :



  • — Alors ?… Ils te plaisent ? Demanda-t-elle en bombant exagérément son buste et faisant saillir ses volumineux seins… Tu ne les trouves pas trop gros ?



  • — Ils sont magnifiques, réussit à articuler Robert, les yeux rivés sur les énormes mamelons cramoisis.


Les deux gigantesques masses de chair ainsi resserrées lui firent penser à une vaste paire de fesses.



  • — Tu ne veux pas les embrasser ? Roucoula alors Jeanne prise d’un désir soudain… Regarde comme ils sont gonflés !…


Ne demandant pas mieux, Robert ne se le fit pas répéter deux fois. Se penchant sur le corps étendu de sa sensuelle tante il referma ses lèvres sur l’un des tétons raides et durs, qu’il se mit à sucer avec une délectation sensuelle.



  • — Oh oui !… Gémit aussitôt Jeanne, éprouvant un délicieux plaisir à être ainsi tétée… Hhuumm c’est bon !


Retrouvant alors ses instincts de nourrisson Robert pressa fortement ses lèvres autour du mamelon gonflé, l’aspirant fortement dans sa bouche tandis que du bout de la langue il titillait l’extrémité du téton dressé. Sous cette nouvelle caresse terriblement affolante, Jeanne lâcha ses volumineux appâts pour refermer ses doigts dans la chevelure de son jeune partenaire, l’attirant fiévreusement contre son sein, comme elle l’aurait fait avec un bébé qu’elle aurait allaité.



  • — Oh oui ! … Murmura-t-elle pour encourager son neveu… Tête-moi bien mon chéri ! … Plus fort ! …


Ainsi encouragé, Robert s’acharna sur le bout de chair que le désir raidissait.



  • — Ooohhh oui ! Râla aussitôt Jeanne en pressant fortement le visage de son neveu sur son sein douloureux. Encore ! Oui ! Ooohh oui, c’est si bon …. Continue mon chéri !…Oui !


Le désir que ses précédents orgasmes n’avaient pu complètement assouvir s’irradia de nouveau dans son corps, depuis ses mamelons douloureux. Et comme animé d’une vie propre son bas-ventre commença à s’agiter sensuellement à la recherche d’un sexe masculin qui le pourfendrait et calmerait le feu interne qui le consumait. Dans les profondeurs de son vagin, le brasier qui s’était quelque peu assagi suite à sa précédente jouissance se réveilla et embrasa de nouveau ses entrailles.


Conscient des ravages sexuels qu’il causait dans le corps de sa volcanique tante, Robert s’acharna sur les seins gonflés, les tétant passionnément, passant alternativement d’un mamelon à l’autre, léchant et mordillant les tétons aussi raides et durs que sa virilité au bas de son ventre douloureux. Les plaintes de plus en plus prononcés de sa partenaire surexcitée montaient à ses oreilles comme une délicieuse mélodie, l’encourageant dans sa frénésie sexuelle. Comprenant que les mordillements qu’il infligeait aux tétines de chair érigées, procurait à sa parente un plaisir particulièrement ardent, il serra plus fortement ses dents autour de l’éminence de chair dressée, la mordant franchement. Aussitôt Jeanne sentit d’innombrables ondes voluptueuses se propager dans tout son corps frémissant, la forçant à se cambrer frénétiquement, tandis que de sa gorge, des petits cris de plaisir s’échappaient. Mais si ces caresses mammaires excitaient Jeanne au plus haut point, la faisant se contorsionner lascivement sur la table de cuisine, il en était de même pour Robert dont le membre frémissant réclamait sa part de câlineries.


Ne pouvant résister plus longtemps au désir qui lui gonflait douloureusement les couilles, Robert abandonna alors les énormes mamelles luisantes de sa salive et devenues cramoisies sous ses morsures, pour se redresser. Oubliant le lien de parenté qui l’unissait à la femelle offerte cuisses ouvertes, étendue face à lui sur la table, il présenta sa verge roide à l’entrée de la chatte rousse abondamment velue.


Sentant le puissant gland frôler les grandes lèvres de sa vulve, Jeanne ne put contenir le frisson de contentement que lui procura ce frôlement érotique. Mais prenant soudain conscience que l’homme qui se calait entre ses jambes pour la pénétrer de sa queue bandée était le neveu de son mari, ce garçon qu’elle avait pratiquement élevé, elle eut un sursaut de lucidité ; Elle ne pouvait accepter cet accouplement incestueux. Aussi elle s’empressa de placer une de ses mains devant sa chatte enfiévrée pour empêcher l’énorme bourgeon de chair masculin de s’y glisser. D’une voix que le désir rendait défaillante, elle tenta de repousser son trop entreprenant neveu :



  • — Non, Robert ! … Il ne faut pas ! … C’est pas bien ! … Laisse-moi ! …Je t’en prie !…


Trop excité pour se conformer aux prières de sa tante, Robert réussit sans trop de mal à repousser la main que cette dernière plaçait devant l ’entrée de son sanctuaire secret. Avant qu’elle ne puisse de nouveau lui fermer l’accès de sa vulve, il présenta son gland dilaté entre les grandes lèvres gonflées et juteuses et lentement, éprouvant un plaisir infini, il enfonça son bourgeon de chair dans le ventre féminin, sans n’avoir à forcer tant sa tante possédait une chatte exceptionnellement vaste et abondamment lubrifiée, comme il avait pu s’en rendre compte quelques instants auparavant en la fouillant de ses doigts. De nouveau il fut extrêmement étonné de découvrir combien la femme de son oncle possédait un vagin aussi spacieux. Malgré la taille pourtant importante de son membre viril, il eut l’impression de flotter dans cette chatte démesurée.


Pendant tout le temps que dura la pénétration de la longue queue dans son vagin bouillonnant, Jeanne ne cessa de gémir :



  • — Non ! Oh non !… Je t’en prie, va-t-en ! … Ce n’est pas bien ! … Non arrête ! S’il te plait !… Je te sucerai si tu veux… Non ! Oh non !…. Ohhh…


Mais sous les coups de boutoirs que commença à lui dispenser son neveu, une fois qu’il se fut complètement introduit dans sa vulve, Jeanne se trouva dans l’incapacité de résister plus longtemps à ses sens exacerbés qui réclamaient un apaisement rapide. Le va-et-vient puissant et régulier du gland dilaté entre les parois juteuses de sa vulve transforma son sexe en un centre de plaisir d’où prenaient naissance des milliers d’ondes voluptueuses qui irradiaient les différentes zones érogènes de son corps. Ses faibles protestations se transformèrent très vite en gémissements langoureux, qui évoluèrent en des vagissements ininterrompus. Sous les vigoureuses pénétrations du membre viril dans son vagin brûlant, elle sentit ses entrailles se liquéfier. Un mince filet chaud et abondant s’écoula de sa chatte investie et ardemment fouillée pour se perdre dans la longue raie séparant ses fesses charnues.


Les mains agrippées aux larges hanches potelées de sa tante, qui les jambes à l’équerre et les pieds posés sur ses épaules avait de nouveau empoigné ses énormes seins pour les presser fiévreusement, Robert s’agita d’abord lentement, puis avec de plus en plus de frénésie entre les cuisses de celle-ci, faisant coulisser sa verge raidie dans le magma brûlant du vagin incandescent. Mais vu l’ampleur de la cavité sexuelle qu’il harcelait de son pieu de chair, il ne tarda pas à se rendre compte que s’il éprouvait un certain plaisir à sentir son membre naviguer dans cette fournaise humide, il ne ressentait pas le frottement terriblement affolant des chairs internes de la vulve contre sa verge, tellement la cavité sexuelle de sa partenaire était dilatée. Cette constatation lui fit soudain douter du plaisir qu’il pouvait donner à sa tante. Son oncle pensa-t-il devait posséder un membre d’une grosseur peut commune pour pouvoir investir et amener son épouse dotée d’un sexe si large à l’orgasme. Le corps en sueur il se démena alors en ondulant des hanches, de manière à frotter son gland gonflé contre les parois évasées du vagin torride.


Mais malgré les gémissements de plus en plus prononcés de sa tante, il fut pris de doute sur sa capacité à réussir à faire jouir celle-ci. Aussi se déchaîna-t-il dans le large fourreau sexuel, le pistonnant avec une véritable rage sexuelle, s’acharnant désespérément à procurer enfin l’orgasme libérateur à sa parente. Soudain, alors qu’il se démenait dans une cadence effrénée, claquant furieusement la croupe tendue de sa compagne de son bas-ventre, il remarqua, posés sur la table, prés du corps allongé de sa tante, divers légumes prêt pour une soupe que sa parente devait préparer avant son arrivée. Parmi ceux-ci son attention fut attiré par un poireau d’une grosseur surprenante. À la vue de ce légume aux dimensions peu communes, une idée perverse lui traversa alors l’esprit. Le corps de cette plante potagère devait mesurer une cinquantaine de centimètres et son diamètre, remarqua-t-il devait être le double de son membre viril. Jugeant l’étonnant poireau avec ses racines dressées apte par ses dimensions à remplir le vagin démesuré de sa sensuelle tante, et de ce fait pouvant lui apporter rapidement l’orgasme qu’elle attendait, il décida d’utiliser cet artifice végétal pour amener sa chaude parente à l’orgasme final.


Doucement il retira sa verge du sexe spacieux et dégoulinant de la femme de son oncle. Sentant le membre gonflé se retirer complètement de son vagin bouillonnant, Jeanne éprouva un sentiment de frustration : contrairement à ce que Robert pensait, elle éprouvait un réel plaisir sous cette violente pénétration. Il y avait si longtemps que son mari ne lui avait l’amour, que ses zones érogènes s’étaient immédiatement réveillées sous les frottements actifs du gland volumineux.



  • — Oh non, gémit-elle… Reste !… C’était si bon !…



  • — Attends, la rassura Robert… Ça va être encore meilleur !


Surprise par cette affirmation de son neveu, Jeanne le suivit des yeux, curieuse de connaître les intentions du jeune homme. Le voyant se saisir du plus gros des poireaux et de présenter entre ses cuisses écartées, son cœur s’accéléra soudainement, comprenant tout d’un coup le projet que Robert avait conçu… Elle même, depuis que son mari perturbé par sa maladie l’avait délaissé sexuellement, avait à plusieurs reprises utilisé des légumes pour calmer les émois de ses sens en affolés. En général elle utilisait une carotte qu’elle choisissait de bonne taille. Mais jamais elle n’avait songé à utiliser le poireau comme artifice sexuel, ainsi qu’avait l’intention de faire son neveu, chez qui elle découvrait une façade de son tempérament amoureux qu’elle n’aurait jamais imaginé.


Le long légume potager à la main, Robert se plaça de nouveau entre les cuisses que sa tante avait gardé grandes ouvertes, et qui les yeux brillants d’une lueur nouvelle suivait le moindre de ses mouvements. La gorge nouée par la perversité de son geste il présenta l’extrémité du poireau dardé de ses racines contre la fente béante de sa parente attentive.



  • — Oh, chéri !… Qu’est-ce que tu fais ? Tenta de protester cette dernière sans beaucoup de conviction, attendant avec émotion l’introduction du légume dans sa chatte ruisselante.


Maintenant fermement l’énorme légume, Robert entreprit d’en frotter l’extrémité barbue le long de la vulve écartée et luisante de cyprine de sa tante, insistant plus particulièrement sur le clitoris vermillon et monstrueusement gonflé qu’il stimula à l’aide des souples racines.


Frissonnante de désir contenu, Jeanne tendit aussitôt son bas-ventre en direction du légume qui l’affolait, en gémissant sourdement.


Ravi du résultat obtenu, Robert appuya un peu plus sa caresse, insistant vicieusement sur le bouton dilaté, le fouettant à l’aide des radicelles dures et souples en même temps, ce qui créait des spasmes nerveux dans le bas-ventre de sa bienheureuse victime.


Jeanne, dont tout le corps était parcouru d’ondes érotiques referma ses doigts sur ses seins volumineux qu’elle entreprit de presser et de malaxer suivant les vagues voluptueuses qui la submergeaient et qui venaient mourir dans ses mamelons turgides et douloureusement gonflés. Surexcitée, elle agita langoureusement ses hanches, lançant désespérément sa vulve à la rencontre du légume qui lui agaçait le clitoris. Perdant toute retenue, impatiente de sentir un corps quel qui soit s’enfoncer dans son vagin en fusion, elle replia vivement ses jambes contre son torse, en s’écartelant impudiquement ; offrant ainsi l’affolante vision des chairs intimes de sa chatte béante à son tourmenteur, ses genoux écrasant ses volumineuses mamelles :



  • — Je t’en prie, sanglota-t-elle… J’ai trop envie !… Je veux sentir ta queue dans mon ventre !… Viens, mon chéri !… Viens me la mettre !…Je t’en supplie… Regarde comme je suis mouillée !…


Mais contrairement à ce qu’elle désirait, ce n’est pas son membre au gland toujours aussi dilaté que son neveu présenta à l’orée de sa vulve entrouverte et ruisselante de désir. La gorge nouée par l’émotion, à la pensée de ce qu’il allait oser, Robert appuya le bout arrondi de l’énorme poireau entre les lèvres luisantes de la chatte velue qui palpitait dans l’attente de la pénétration. Celles-ci s’écartèrent graduellement sous la poussé qu’il imposa au légume, avalant lentement l’énorme légume qui s’enfonça dans les profondeurs du vagin dilaté, comme aspiré par le mystérieux orifice sexuel féminin. Bientôt, seules les longues feuilles vertes émergèrent du sexe dilaté, la totalité du corps lisse et blanc du poireau étant enfoui dans le ventre de sa tante. Terriblement excité par le spectacle hautement obscène de ce monstrueux légume profondément planté dans le sexe dilaté de sa parente, Robert activa alors le poireau, le faisant coulisser dans le gouffre sexuel de sa partenaire, tout en lui imprimant un mouvement de rotation alterné.


Sous cette énorme pénétration végétale, Jeanne ne tarda pas à haleter sensuellement, la vulve entièrement comblée par l’énorme légume, qui tout en la fouillant intimement lui flagellait l’intérieur du vagin à l’aide de ses racines souples. Hagarde elle fixa son pervers neveu.


- Tu aimes ? L’interrogea ce dernier.


Pour toute réponse, elle émit un grognement de contentement qui se transforma aussitôt en un véritable râle de plaisir, lorsque Robert accéléra le mouvement de va-et-vient de l’énorme poireau maintenant imprégné de liqueur vaginale, l’enfonçant le plus loin possible dans sa chatte affreusement dilatée. Sous cette vigoureuse pénétration, elle ne tarda pas à pousser des petits cris, qui se transformèrent peu à peu en des vagissements entrecoupés d’encouragements en termes crûs :



  • — Oh oui ! … Vas-y ! … Plus fort ! … N’aie pas peur mon chéri ! … Défonce-moi bien la chatte ! … Bourre-moi à fond !


La gorge nouée, la verge raidie au maximum, Robert songea que jamais aussi loin qu’il ne s’en souvienne, il n’avait entendu sa tante se permettre un écart de langage. Aujourd’hui il découvrait une nouvelle femme : une femme esclave de ses sens, que le plaisir poussait à s’exprimer en des termes d’une vulgarité identique à ceux employés par ces actrices de pornos, et qui oubliant leur lien de parenté n’hésitait pas à l’encourager à lui procurer ce plaisir après lequel elle courrait depuis une demi-heure. Tout en fixant d’un œil excité le va-et-vient accéléré du monstrueux légume entre les grandes lèvres sexuelles distendues, il s’interrogea sur la possibilité que sa tante utilise ce genre de godemiché végétal pour assouvir ses besoins. Désirant en avoir la confirmation, il abandonna l’énorme poireau, dont tout le corps se trouvait profondément fiché dans le vagin de sa parente :



  • — À toi, lança-t-il à cette dernière, qui le fixait d’un air égaré… Branle-toi ! …


Et afin de faire comprendre à sa sensuelle parente ce qu’il désirait, il s’empara d’une de ses mains qu’il obligea à se refermer sur le phénoménal légume qui jaillissait hors de sa chatte béante et ruisselante de sécrétions luisantes.


Follement excitée par tous ces différends attouchements que lui prodiguait son pervers neveu, Jeanne referma ses doigts autour du monstrueux poireau en balbutiant :



  • — Oh mon Dieu, ce que tu me fais faire !


Le corps moite de sueur érotique, éprouvant un plaisir pervers à s’offrir ainsi en spectacle, en une tenue terriblement obscène devant ce garçon qu’elle avait vu grandir et qu’elle avait aimé à l’égal d’un fils, Jeanne referma son autre main autour du légume. Maintenant fermement l’énorme poireau, elle entreprit alors de l’agiter d’abord doucement de bas en haut, se pistonnant les entrailles avec une véritable délectation sensuelle. Puis peu à peu elle accéléra son mouvement de va-et-vient, se ramonant le vagin avec frénésie, avec une soif évidente de se faire jouir. Oubliant totalement la présence de son neveu, elle commença à haleter bruyamment tout en se fouillant la chatte avec fièvre.


Considérablement excité par le spectacle d’une obscénité rare qui se déroulait entre les cuisses largement écartées de sa parente, Robert empoigna sa verge toujours aussi tendue, et d’une main alerte entreprit de se masturber en suivant d’un œil alléché le va-et-vient rapide et rythmé du monstrueux légume s’enfonçant dans le sexe extraordinairement dilaté de sa tante. Mais vu la posture que celle-ci avait adoptée pour se masturber, elle lui présentait sa croupe large et ronde, que la position rendait encore plus vaste. Affolé par ce tableau d’une rare obscénité il fixa l’orifice anal brun et plissé qui semblait palpiter doucement sous les coups de boutoirs que Jeanne se dispensait allègrement. Un désir soudain lui traversa l’esprit : pouvoir enfoncer sa queue extrêmement tendue dans ce second orifice que sa tante lui offrait impudiquement, certain de trouver ce conduit anal plus étroit que le vagin dans lequel il avait si aisément navigué, et plus à la mesure de son membre gonflé. Terriblement ému à l’idée d’enculer sa tante, l’épouse de son oncle, il s’avança vers la vaste croupe tendue, dirigeant le bout mafflu de son membre gonflé en direction de l’adorable petit trou froncé.


Tout à la recherche de sa jouissance en se pistonnant vigoureusement la chatte, Jeanne ne s’aperçut pas immédiatement des mobiles pervers de son neveu. L’anus abondamment lubrifié par les abondantes sécrétions qui s’écoulaient du vagin fouillé par le godemiché végétal, luisait d’humidité. Aussi lorsque Robert y appuya son gland, celui-ci, malgré sa dimension extraordinaire s’enfonça avec une facilité déconcertante dans ce profond et mystérieux conduit.


Merveilleusement surprise par cette pénétration anale à laquelle elle ne s’attendait pas, Jeanne en oublia un instant sa monstrueuse masturbation afin de goûter pleinement cette volumineuse mais extraordinaire sodomisation. Les yeux révulsés elle fixa intensément son ardent neveu, prête à l’encourager à s’enfoncer plus loin dans ses intestins s’il le fallait. Mais comme dans un puissant coup de reins, ce dernier lui plantait la totalité de son membre dilaté dans les entrailles, elle poussa un long cri de plaisir qui retentit dans la pièce, tandis que tout son corps se cambrait frénétiquement.


Lui saisissant les hanches, Robert commença alors à l’enculer d’un ample mouvement des reins, faisant coulisser avec adresse sa verge dans ses intestins souples, lui procurant un plaisir extrême. Ahanant sous les va-et-vient du membre viril qui naviguait dans son cul élargi, Jeanne reprit sa fougueuse masturbation avec encore plus d’ardeur, dans une ivresse sexuelle décuplée par le fait d’être sodomisé.


Entre la mince paroi qui séparait le vagin des intestins, Robert sentait avec un délice immense l’extrémité du poireau qui plongeait en cadence dans la vulve, heurter son membre viril, lui procurant ainsi un plaisir incommensurable. Durant un quart d’heure il encula ainsi sa tante, lui arrachant de véritables cris de jouissance à chaque pénétration. Le foutre brûlant qui s’échappait en flots irréguliers de la chatte barattée par l’énorme poireau, coulait en un mince filet le long de la raie des fesses, pour venir finalement lubrifier sa verge, facilitant ainsi l’introduction anale.


Bientôt la pièce résonna des cris langoureux de Jeanne et des grognements animales de son neveu, témoignant de l’approche imminente de leurs jouissances communes. Esclave du plaisir qu’elle sentait monter de ses entrailles labourées, Jeanne avait cessé d’agiter le godemiché végétal à l’intérieur de son vagin en fusion, tout attentive aux ondes sexuelles que lui dispensait le membre viril de son neveu coulissant avec régularité entre ses fesses écartées.


Enfin Robert sentit le plaisir envahir son bas-ventre, gonfler un peu plus sa virilité. Percevant aux frémissements avant coureur qui agitèrent son membre que l’éjaculation libératrice n’allait pas tarder, il se retira précipitamment d’entre les fesses de sa tante. Maintenant son membre viril d’une main ferme, il fixa avec extase l’affolant trou du cul demeuré béant et dilaté après son retrait. Et comme de son gland turgide jaillissaient les premières salves blanchâtres il visa adroitement l’anus grand ouvert l’aspergeant copieusement de son sperme épais et abondant, éprouvant un plaisir pervers à contempler l’orifice anal de sa tante souillé par sa semence. Au même moment dans un long râle de femelle comblée, Jeanne jouit dans une contorsion extraordinaire de tout son corps.


Au bout d’un long moment, les deux amants reprirent enfin leurs esprits. Lentement, Jeanne retira l’énorme poireau de sa vulve trempée, qu’elle reposa sur son ventre encore parcouru de spasmes.



  • — Tu sais c’est la première fois, murmura-t-elle d’une voix triste…



  • — La première fois ? L’interrogea Robert surpris, ne comprenant pas ce que sa tante tentait de lui expliquer.



  • — C’est la première fois que je trompe ton oncle… Tu me crois ?



  • — Ou… Oui bien sur, bégaya Robert soudain dégrisé.



  • — Et c’est avec toi ! Continua Jeanne confuse. Tu es mon premier amant… Mais je ne regrette pas, c’était tellement bon… Il y a longtemps que je n’avais autant joui… Et toi ? Tu as été heureux ?



  • — Oui pour moi aussi ça été fabuleux, s’empressa de répondre Robert, comme pour rassurer sa tante… Moi aussi, je n’avais jamais connu un tel plaisir…


Alors, se redressant de sa position couchée Jeanne s’accrocha au cou de son neveu qui venait de lui faire connaître ce merveilleux orgasme et l’embrassa tendrement du bout des lèvres :



  • — C’est vrai ?… C’est la première fois ? Questionna-t-elle surprise et ravie en même temps… Tu sais si tu veux recommencer, tu peux revenir quant tu veux…


Attendri par cet abandon, Robert attira sa tante à lui et collant ses lèvres aux siennes l’embrassa passionnément, lui fouillant la bouche de sa langue agile, bien décidé à renouveler cette première aventure sexuelle.




N’hésitez pas à me donner votre avis à : Fulvia69@club-internet.fr.