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Temps de lecture estimé : 12 mn
28/05/02
Résumé:  Juliette découvre l'amour avec un garçon dont personne ne voulait...
Critères:  fh jeunes copains taille lunettes jardin école amour volupté facial fellation cunnilingu pénétratio init ecriv_c
Auteur : Thomas et Juliette
Juliette, la fille du boulanger ou ma belle égérie


Juliette, la fille du boulanger ou ma belle égérie.



Je me présente, je suis Thomas, je suis assez grand (1m90), du ventre, des petites lunettes cachant des yeux bleus enfin bref je ne suis pas vraiment bien comme me le rappellent souvent mes camarades de classes, surtout féminins. Ces remarques normales quand on est adolescent ont contribué à forger mon caractère timide, renfermé, un peu candide mais ça n’a jamais effacé ma tendresse et ma gentillesse naturelle, je suis incapable de faire du mal et quand on me fait du mal je ne réagis pas, j’ignore (c’est peut être stupide mais je suis comme ça). Je dois aussi rajouter que je suis le premier de la classe (donc souvent tête de turc !) et enfin (quand on a la poisse lol) mes parents sont propriétaires d’un grand domaine ou ils tiennent une hostellerie, bref on me prend aussi pour le petit bourgeois de service qui claque des doigts pour avoir ce qu’il veut. Par contre on ne va jamais voir ce que je peux ressentir mais je ne leur en veux pas.


Il y a quand même une exception, c’est Juliette, Juliette c’est mon égérie, elle est trop belle(elle ressemble à la chanteuse Heather Nova), toujours fraîche et souriante, elle s’habille sexy mais jamais vulgaire, elle est intelligente, cultivée, enfin c’est la plus belle, la seule qui ne m’a jamais dit un mot méchant mais des «bonjour » ou des «au revoir » avec son beau sourire. Chaque fois c’est une fête pour moi de la voir. C’est aussi une fille pas comme les autres car tous les garçons ont essayé de sortir avec mais elle s’est toujours refusée même à Youssef le play-boy et le leader de notre classe. J’aimais beaucoup, le dimanche matin, aller chercher le pain car c’est elle qui me sert, ça me met du bôme au cœur.


Ma solitude, je la passais dans mes livres, notamment d’histoire. Ma réputation dans cette matière est établie et, en ce beau matin de début d’été, Juliette vient me parler.


« Bonjour Thomas »

« Bon…jour Juliette tu vas bien ? »

« Très bien, dis-moi tu t’y connais bien en histoire et moi pas trop, alors ça me ferait plaisir si on bossait ensemble chez moi ce soir pour le test de demain »

« Oui ça me fait plaisir de t’aider »


Evidement ça me faisait plaisir, j’étais rouge pivoine.


La fin des cours arrive enfin et nous partons vers sa maison. Elle était belle, ses cheveux volaient avec la brise, sa petite robe d’été virevoltait au rythme de ses belles jambes. Elle me ramena sur terre :

« Ferme ta bouche, tu vas avaler une mouche » riait-elle.

« Excuse-moi, je réfléchissais au test de demain » (je sais, c’est pas bien de mentir)

« Ne mens pas, tu rougis, je me doute que tu as pas l’habitude de te balader avec une fille, tu sais moi je t’ai toujours respecté car je me doute que ça doit pas être évident pour toi et je dirais même qui si tu me regardes c’est que tu me trouves belle et, venant de toi, ça me flatte car tu es le plus intelligent de nous tous, donc tu as du goût » et elle me lance son petit sourire mutin qui me fait fondre.

« Merci Juliette, ça me touche mais je me doute que tu préférerais que ce soient des garçons comme Youssef qui te regardent »

« Ho surtout pas, ils ont rien dans la tête, d’ailleurs je ne sors qu’avec des garçons qui sont à la fac et avec qui je peux discuter »

Cette phrase me donna un double sentiment, le premier est qu’elle est géniale car elle préfère quelqu’un qui pense que quelqu’un qui fait le petit dur mais que je n’avais aucune chance(au fait est-ce que j’en avais déjà avant ?) si elle sort avec quelqu’un qui est à la fac.

« Ton petit ami doit être quelqu’un d’intéressant alors » elle me sourit

« Non j’ai rompu car l’inconvénient c’est qu’ils veulent vite coucher et moi je tiens à conserver ma virginité pour l’homme que j’aime »(c’est une sainte ma belle Juliette)

« Wouaw chapeau, moi aussi je la garde pour la fille que j’aime, de toute façon si une fille sort avec moi ça sera par amour et pas pour le reste »

« Au lieu de dire des bêtises, rentre, on est arrivés »


Une fois le bonjour à ses parents effectué, nous sommes montés dans sa chambre, classique pour une jeune fille comme elle. On a tout de suite travaillé et je lui ai expliqué les subtilités de l’invasion de la Belgique par l’Allemagne contre la France lors de la première guerre mondiale et autres sujets du genre. J’étais heureux, je voyais Juliette qui me fixait, elle buvait mes paroles avec ses beaux yeux bleus, ses océans de douceurs.

« Wouaw, en plus d’être un excellent professeur, tu es un bel orateur, on voit que tu aimes ça, je suis heureuse de t’avoir fait sortir un peu de ta coquille »

« Je suis content si tu es prête pour le test et merci de tes compliments, ça me fait plaisir d’en recevoir, mais j’ai un peu de mal à sortir de ma timidité car être seul dans la chambre d’une fille ça ne m’est jamais arrivé »

« Je ne vais pas te manger et tu es le premier garçon que j’invite pour travailler avec moi, par contre le goûter que je vais te préparer ça on va le dévorer »


En effet, les petits gâteaux de la boulangerie sont délicieux, on a bien rigolé en parlant de nos camarades de classe et leur inculture ou encore de nos profs. J’étais triste de voir l’heure du départ arrivée et de devoir me séparer de Juliette mais celle-ci voulait me raccompagner, elle savait que son père faisait une livraison chez moi et qu’elle repartirait avec lui.


Nous voilà dans la rue et après quelques pas, elle me prend la main. Je la regarde ; mon cœur bat la chamade :

« Tu devrais voir ta tête, je ne fais rien d’autre que te prendre la main, on ne fait rien de mal »

« Oui mais c’est la première fois qu’une fille… enfin… je suis heureux… mais j’ai… pas l’habitude »

« Détends-toi, tu dois pas avoir peur de moi mon petit cœur » elle me fit un bisou sur la joue

Ses marques d’affection mon empli de joie, d’une joie immense. Durant tout le trajet, j’étais heureux, le roi du monde, je la serrais fort de peur qu’elle ne s’envole et je vis avec horreur notre arrivée au domaine. Son père l’attendait et quand je lui ai tendu ma joue, elle a fait un petit mouvement pour que ses lèvres se posent sur les miennes. Je fermais les yeux, je me sentais décoller. Elle partit dans la camionnette, en me faisant un clin d’œil.


Cette nuit, je n’ai pas dormi, j’ai le goût et la sensation de ses lèvres imprégnées dans mon cœur et ma tête. Je ne savais pas quoi penser, me considérait-elle comme son petit ami ou bien comme un ami à qui elle a fait un smack pour le remercier, évidemment la seconde solution primait.


Le lendemain matin, je me pressais pour arriver tôt en classe et pour voir ma belle Juliette. Elle était là, resplendissante dans son beau chemisier. Je me suis assis dans mon coin, tranquille et elle est venue s’asseoir près de moi. Elle me refait un smack très appuyé.

« Bonjour petit cœur, tu as bien dormi ? »

« Oui et toi, tu ne vas pas t’asseoir près de ta copine Gwen ? »

« Oui bien dormi, et je préfère me mettre près de mon petit ami »

« C’est pas bien de te moquer de moi, tu es trop belle pour être ma petite amie »

« Mon petit cœur, je ne me moque pas de toi, j’ai découvert ton vrai côté, celui que tu cachais et il ma fait fondre, je n’ai jamais ressenti ça pour un garçon et tu me fais craquer ». Je ne bougeais pas, quelques larmes coulaient sur ma joue. Elle me fait un autre smack et avec sa douce main, elle essuie mes larmes.

« Ne t’en fais pas, je ne te ferais jamais souffrir, tu es un gros bébé tout sensible et je vais bien m’occuper de toi »

« Tu n’as pas idée du bonheur que tu me fais Juliette, je suis le plus heureux des garçons, je ferai tout pour que tu sois heureuse »

On se fit un autre smack mais cette fois-ci, on a subi les railleries de nos camarades mais on s’en moquait. Nous avons passé le test en histoire et à la fin, je vis le visage radieux de ma Juliette

« J’ai su répondre à tout, c’est grâce à toi, merci » et j’ai encore eu droit à un bisou mais je ne m’en lasse pas.


Je lui ai proposé de venir faire ses devoirs chez moi, elle a accepté. Tout le long du chemin, nous étions main dans la main. Une fois chez moi, nous avons été très studieux, on a vite fait nos devoirs et après je lui ai proposé de faire une balade dans le domaine. Nous avons fait une belle balade, nous étions collés l’un à l’autre. Nous sommes arrivés près des framboisiers où elle ne put s’empêcher de me demander d’y goûter, les fruits étaient bien mûrs et le jus coulait sur le menton de ma Juliette.

« C’est bête de perdre tout ce bon jus sucré, tu devrais le lécher et moi je le ferais pour toi »

«Oui, tu as raison et puis tu es très appétissante comme ceci »

Doucement, j’ai commencé à boire le jus de son cou jusqu’à son menton et enfin jusqu’au petit bouton de rose que sont ses lèvres. Elle aussi fit de même et une décharge électrique me traversa tout le corps.

« Bébé, si on s’embrassait, j’en ai envie »

« Heu…oui…enfin…je sais pas comment…faire »

« Ferme les yeux et entrouvre tes lèvres et laisse toi aller ça va venir tout seul »

Je m’exécutais et je sentais les lèvres sucrées de Juliette se poser sur les miennes. Sa langue a passé l’ouverture de ma bouche pour entrer en contact avec la mienne, doucement ma langue entre dans la danse et, les secondes passant, notre baiser gagna en passion. Elle me prit les mains et les posa sur ses hanches, je commençais à les caresser doucement et elle caressait mon dos. J’étais ailleurs, au paradis. J’aurais donné ma vie pour que ce baiser ne s’arrête jamais.

« Wouaw tu embrasses bien pour un débutant »

« Tu es un très bon professeur, j’étais au paradis »

« Je sais, je l’ai senti sur ma cuisse pendant notre baiser » elle me fait un clin d’œil malicieux.

« Je…suis…désolé » j’allais me liquéfier sur place.

« C’est pas grave, c’est tout à fait normal et ça me gêne pas, au contraire car ça montre que je te plais »

« Tu me plais beaucoup car tu es une vraie déesse »

« Et toi mon gros bébé au miel »

Elle me prit la main et on courait en riant jusque dans ma chambre où nous avons flirté jusqu’au soir, je prenais un peu plus d’assurance, nos baisers étaient très amoureux et parfois ma main s’attardait sur une de ses fesses. Elle, moins intimidée, me caressait tout le corps et c’est avec regret que je dus la voir partir après que son père ait fait la livraison du soir.


Notre semaine scolaire s’est déroulée de cette manière, on passait tout notre temps ensemble, ses copines ne voulaient plus lui parler car elles me trouvaient trop neuneu mais on s’en foutait, on était bien ensemble.

Mes parents étaient heureux de me voir avec une amie, mieux encore une petite amie et il me proposèrent qu’elle vienne passer le w-e au domaine, ça lui ferait du bien, et qu’elle aimerait sûrement dîner avec moi à l’hostellerie. Je les ai remerciés et j’ai tout de suite sonné à Juliette pour lui dire, elle avait l’air très heureuse au téléphone.


Le w-e était là, il fût merveilleux. On a mangé en amoureux, les yeux dans les yeux. On a fait de longues balades dans le parc ou nous avions trouvé un coin tranquille où nous pouvions flirter dans le chant des oiseaux. Le samedi soir, après avoir regarder Thierry Ardisson, elle me glisse à l’oreille :

« Petit cœur, ce w-e est merveilleux et il m’a décidé à faire un pas de plus dans notre relation, un pas que je n’ai jamais franchi avec un autre garçon »

« On va partir en vacances ensemble ?» Quand on est candide, on l’est jusqu’au bout. Je la voyais rigoler.

« Mais non gros bêta, mais on pourrait perdre notre virginité tous les deux mais je te force pas, si tu es pas prêt, je t’attendrai »

« Ma Juliette, je suis très honoré et j’aimerais beaucoup mais tu es sure de vouloir faire ça avec moi ? »

« Mais oui, tu dois être l’amant idéal maintenant tais-toi et embrasse-moi »

On s’est embrassés, je sentais ses mains plus entreprenantes dans ses caresses, je compris que je devais faire de même. J’aimais beaucoup caresser ses fesses, elles sont fermes. Elle enlève mon polo et me couche sur le lit. Elle embrasse doucement mon cou puis mon ventre qu’elle caresse du bout de sa langue pendant que ses mains s’occupe de ma ceinture. Elle baisse et enlève mon jeans et elle embrasse mon sexe à travers mon slip ; autant dire que ça m’a fait drôle.

« Tu es pas obligée de faire ça »

« Ca me dérange pas, je vais te faire venir pour que tu sois plus endurant après »

Elle me retira mon slip et elle me masturba un peu. Puis ses mains s’occupaient de mes testicules et sa petite langue titillait mon gland. Je lui caressais ses doux cheveux tout en gémissant. Elle me suçait maintenant, elle est très douée surtout au moment ou elle me regarde avec ses yeux de braise.

« Hum…princesse…je vais venir… »

« Laisse-toi aller mon bébé »

J’éjaculais comme je ne l’avais jamais fait auparavant, j’ai souillé son front, ses joues et un peu ses cheveux.

« Je suis désolée, je t’ai sali tout le visage »

« C’est pas grave, viens on va s’amuser »

Elle m’emmena à ma petite salle de bain, elle prit un essuie et elle me dit :

« Mets-toi à genoux, enlève ma culotte et fais-moi des coquineries sous ma jupe »

« OK, ma princesse »


Je me glissais sous sa jupe et saisis délicatement sa petite culotte avec des petits cœurs, je lui ai enlevé. Ma langue commence à goûter son intimité, je fermais les yeux, je m’enivrais. Je glissais aussi un de mes doigts dedans. J’entendais les gémissements de me belle Juliette, je m’appliquais encore plus et, quelques instants plus tard, ma douceur au miel jouissait sur mon visage. Je suis sorti de sous sa jupe, elle avait les yeux fermés, elle respirait fort. J’ai posé mes lèvres sur les siennes et on s’est embrassés tendrement.

Je l’ai prise dans mes bras et… on s’est cassé la figure en allant vers le lit, on a beaucoup rigolé. Elle était magnifique à voir avec ses cheveux en bataille, sa jupe presque troussée et ses seins qui pointaient à travers son haut. Je dois avouer que de la voir dans sa position dévergondée, elle, ma Juliette si studieuse, ça m’a donné beaucoup d’émotions. Je l’ai remise debout et on s’est couchés sur le lit. Doucement, je l’ai déshabillée, d’abord son haut, j’ai pu voir sa belle poitrine, je les admirais tellement ils étaient beaux.

« Ils te plaisent mon bébé ? »

« Heu…oui…ils sont… »

« Tais-toi et embrasse-les »


Je les pelotais et puis je jouais avec les tétons, tout me fait craquer chez cette fille. Ensuite j’ai enlevé sa jupe, elle était nue, belle, sauvage, une vraie déesse, ma déesse. Je me mis sur elle en missionnaire, on s’embrassait et on tremblait beaucoup.

« Allez bébé, vas-y d’un coup, faut pas t’en faire si j’ai mal. »

Je m’enfonçais d’un coup, je sentais sa virginité se briser et Juliette poussait un cri. Je regardais et je voyais du sang couler. C’est la seule fois que j’ai fait du mal à ma belle Juliette, ça m’a vraiment fait mal au cœur. Des petites larmes coulaient sur ses joues mais son beau sourire illuminait son visage. Avec des petits bisous, je léchais ses larmes. Je la regardais et par son regard, je voyais que je pouvais y aller. Je commençais à la limer, elle avait encore quelques petites douleurs mais ça passait, mes va-et-vient s’accéléraient, je lui caressais les seins. On gémissait tous les deux, heureusement que je vis au grenier pour avoir du calme, je lui donnais mon amour, ma passion dans chacun de mes mouvements. Son vagin se contracta et elle jouit, moi aussi je me répandis sur son ventre.


Nous étions assez épuisés et pendant 5 minutes, nous avons fait un petit câlin très tendre, c’est la béatitude, nous avions franchi le cap, je ne suis plus puceau grâce à ma belle Juliette, ma fleur du soleil. Nous avons pris une bonne douche ensemble et puis nous sommes partis nous coucher, elle s’endormit sur mon ventre, j’avais une main sur son sein droit et l’autre dans ses cheveux, je me laissais gagner par le sommeil.


Aujourd’hui nous terminons nos études et nous allons reprendre l’hostellerie de mes parents, notre amour ne fléchit pas, il grandit chaque jour d’avantage. Juliette a changé ma vie, c’est fou tout ce qu’une personne peut vous apporter dans la vie.