n° 04337 | Fiche technique | 11923 caractères | 11923Temps de lecture estimé : 8 mn | 01/06/02 |
Résumé: Philou, le copain de Caro est parti à l'armée. Caro est un peu coincée. Parviendrais-je à la décoincer ? | ||||
Critères: ff lingerie 69 intermast cunnilingu init ecriv_f | ||||
Auteur : Nathalie 2 (Nathalie, 24 ans) |
C’était il y a un an (j’en ai 24 maintenant). J’étais en Fac et parmi les étudiants se trouvait Philippe mon copain d’enfance qui sortait avec une fille de ma promo Caroline. Philou aimait beaucoup Caro mais il me confiait souvent qu’il regrettait quelle soit aussi coincée car elle avait grandi dans une famille très stricte et fréquenté uniquement un collège et lycée de bonnes sœurs où pendant des années on lui avait donné des super préjugés sur le sexe.
Bref la Caro à 20 ans c’était encore slip "Petit Bateau" et au lit c’était le missionnaire et basta ! A la rentrée suivante Philou ayant un an de plus il avait fini ses études alors que Caro et moi entamions notre dernière année et donc il est parti faire son armée dans un coin paumé et il allait être absent longtemps puisqu’il ne rentrait qu’une fois par mois.
Caro vivait cela très mal et Philou m’a demandé de la sortir et de m’occuper d’elle pour pas qu’elle déprime trop si bien que Caro et moi sommes devenues très complices et je m’aperçu qu’en effet en matière de sexe elle était très timide elle rougissait comme une écrevisse dès que l’on commençait à parler sexe ou qu’on racontait une histoire cochonne.
Caro louait un appart avec Philou pas loin du mien et plusieurs fois par semaine soit Caro débarquait chez moi ou l’inverse et nous bavardions de tout et de rien de temps en temps je la branchais sexe et mine de rien petit à petit on faisait des progrès mais ce n’était pas encore l’extase !
Un soir chez moi nous commençâmes à discuter lingerie et elle me déclara bille en tête que les filles qui mettaient « ce genre de choses » n’étaient que des putes ! J’ai essayé de lui faire changer d’avis mais elle n’en démordait pas ! A un moment je lui dit que je me rendais aux toilettes pour un besoin pressant et je m’éclipse… dans ma chambre. Je dois le dire je suis une adepte de la lingerie fine je suis « tombée dedans » depuis l’âge de 15 ans et depuis je ne mets que cela. Je prends donc un de mes ensembles qui me va le mieux c’est un ensemble noir soutien-gorge, brésilien, porte jarretelles je me change à toute vitesse enfile des bas noirs et je retourne en petite tenue vers le salon.
Je m’arrête à l’entrée et aperçois Caro qui lisait le programme télé je lui demande :
Elle lève les yeux et se fixe en me voyant ainsi parée puis pique un phare ! Elle bredouille :
Bref pendant deux minutes elle essaye de rattraper l’affaire mais visiblement elle est dépassée. J’en profite pour m’approcher et je m’installe dans mon fauteuil et reprends la conversation et finalement après une bonne heure de discussion elle admet que ce n’est pas la lingerie qui fait qu’une fille est une pute ou pas mais son attitude. Là, j’avais marqué un point cependant elle me dit qu’elle ne pourra jamais mettre ça, que Philou ne comprendrait pas et puis qu’elle ne se sentirait pas à l’aise du tout ! La je lui dis qu’il n’y a qu’un moyen de le savoir c’est d’essayer et lui demande de me suivre dans ma chambre.
Elle me suit un peu à reculons il faut bien l’avouer mais on arrive à ma chambre. Là, j’ouvre mes placards et elle admire toute ma garde-robe avec des yeux brillants d’envie il faut dire que j’ai de la chance puisque ma mère travaille dans une grande société internationale et chaque année elle doit refaire sa garde-robe et c’est sa boîte qui règle la note cela fait partie de son contrat et elle est taillée comme moi si bien que je récupère ses fringues chaque année. Bref elle commence à regarder toutes mes fringues. J’ai du Versace, du Yves St Laurent, du Dior etc etc… Mais ce n’était pas le but de l’opération j’ouvre mes tiroirs à sous-vêtements et je lui sors un de mes ensembles blancs tout mignon et lui dit de les essayer ! Caro et moi avons les mêmes mensurations donc pas de problèmes de taille !
Elle les touche du bout des doigts puis comme j’insiste elle cède et se dirige vers la salle de bain j’attends un peu puis comme elle ne sort pas je tape à la porte en lui demandant si ça va et elle me dit qu’oui ! Oui mais elle n’ose pas sortir ! Je négocie trois minutes en lui expliquant qu’il n’y a que moi ici donc elle a pas à avoir honte et finalement elle ressort, elle était magnifique il faut dire que déjà sans cela Caroline est une très belle fille alors avec des dessous sexy, elle devient superbe !
On retourne dans ma chambre et je referme une des portes miroir de ma penderie et plante Caro devant. Elle se regarde et je lui demande :
Elle reste silencieuse puis murmure :
Je jubilais et je profitais de la situation pour enchaîner en sortant des Dim Up blancs
Elle les prends mais me dit que non, car elle a les jambes velues. Surprise je regarde ses jambes et constate qu’en effet elles sont recouvertes d’un duvet blond très fin (Caro est blonde j’oubliais) pas de problème je la tire vers la salle de bain et en quelques minutes avec la crème « qui va bien » on revient dans la chambre. La Caro qui a désormais ses longues jambes (elle fait 1 m 73) lisses enfile les dims et reprend position devant la glace je lui demande
Elle me répond qu’elle imaginait pas cela que c’est très mignon et que cela lui plaît de plus en plus. J’étais de plus en plus contente de moi en pensant au bonheur qu’aurait mon Philou en découvrant sa Caro ainsi « dé »vêtue alors je prends le porte-jarretelles de l’ensemble et des bas blancs et lui dit en souriant :
Elle rougit puis enlève les dims et enfile les bas mais visiblement pour le porte jarretelles elle ne voyait pas par quel bout le prendre. Je rigolais et lui disais de me laisser faire ! C’est là que tout a basculé j’ai pris le porte jarretelle et commençait à le mettre à Caro lorsque d’un coup je me sentis toute moite lorsque mes doigts commencèrent à glisser sur sa peau fine. J’essayais de ne rien laisser paraître de mon trouble et continuait de la vêtir en fixant les jarretelles mais être accroupie entre les jambes de Caro me redonna envie de la prendre sur-le-champ mais dans ma tête je n’arrêtais pas de me dire :
Et je terminais de fixer les jarretelles puis nous retournâmes devant la glace et là je lui demandais :
Elle me répondit que cela lui faisait un drôle d’effet de se voir ainsi. C’est alors que je lui sortis qu’elle était ravissante et qu’elle me plaisait beaucoup ! Je devins blême en prononçant mes derniers mots, ils m’avaient complètement échappés elle me regarda avec des yeux étonnés :
Et là, j’ai craqué je l’ai embrassé elle est restée sans réaction, en fait elle tremblait. Elle me rappelait ma réaction la première fois que ma cousine m’avait embrassé vers 14 ans. Je m’arrêtais et en la regardant dans les yeux je lui demandais si elle avait peur elle me répondit qu’oui, un peu. Alors je lui dit que si elle voulait arrêter c’était maintenant après ce serait trop tard mais qu’elle n’avait pas à avoir peur j’étais très douce. Elle hésita un peu puis en prenant une profonde inspiration me dit qu’elle me faisait confiance.
Je l’embrassais à nouveau mais cette fois je sentis une réponse de sa part, nos langues commencèrent à se nouer dans un baiser très sensuel. Je la fis reculer et s’allonger sur mon lit et je commençais par embrasser son cou et sa poitrine prisonnière du soutien-gorge elle restait très passive de son côté je l’observais du coin de l’œil elle avait fermé les yeux et poussait de petits gémissements. Je décidais de lui enlever son soutien-gorge et sa petite culotte elle se laissa faire et je recommençais à embrasser son corps puis je m’attaquai à ses seins je les suçais, en excitait les pointes les mordillait Caro subissait cela en gémissant et en soupirant de plaisir je posais une main sur son sexe humide et commençais à la caresser elle écarta légèrement ses cuisses et j’en profitais pour la pénétrer de deux doigts, je la limais ainsi très lentement et je complétais cette caresse en titillant son clitoris avec ma langue il ne fallut pas longtemps pour que Caro explose en criant son plaisir.
Je lui laissais reprendre son souffle et après un moment elle me regarda puis m’embrassa d’elle-même et commença à me caresser le corps elle avait des gestes hésitants et j’avais l’impression de revivre mes premiers émois avec ma cousine. Elle découvrait petit à petit mon corps et commençais à prendre confiance ses doigts s’insinuèrent dans ma chatte et elle commença à aller et venir en moi tout en s’occupant de mes seins avec sa bouche.
Au bout d’un moment je pris sa tête et la dirigea vers mon sexe Caroline comprit le message et s’appliqua à me lécher du mieux qu’elle pouvait, la façon « novice » qu’elle avait de passer sa langue finit de m’exciter, elle léchait mon clitoris du bout de la langue tout en continuant son va-et-vient avec deux doigts. Je me laissais faire pendant de délicieuses minutes puis demanda à Caro de se placer en soixante-neuf. Elle n’eut pas besoin de l’entendre deux fois et je me retrouvais donc avec les cuisses de Caro de chaque côté de ma tête avec son minou humide en point de mire. Je commençais alors un petit jeu sadique puisque alors que Caro me léchait goulûment moi je me contentais de frôler son sexe avec ma langue. Au bout de quelques instants Caro s’arrêta et m’ordonna presque de la lécher et comme je rigolais elle se redressa et s’assit carrément sur ma bouche en me dictant de la lécher ! J’ouvris alors grand la bouche et je la léchai du mieux possible elle cria de plaisir tellement elle désirait cette caresse elle reprit alors sa position et nous entamâmes un soixante-neuf torride. Etant plus expérimentée que Caro je lui fit perdre la tête et bientôt elle s’arrêta de me lécher pour s’abandonner à ma langue, je lui mit alors une claque sur les fesses qui la fit sursauter en lui disant
Caro sourit et reprit son ouvrage. À un moment je regarda du coin de l’œil le miroir de la penderie et la scène était jouissive je voyais la tête blonde de Caro prisonnière de mes bas noirs alors que ma tête brune était enchâssée dans ses bas blancs cette scène finit de m’exciter et je jouissais bruyamment suivie peu après par Caro. Nous nous endormîmes ensuite et au petit matin Caroline me fit tout une scène à propos de ce qui venait de se passer et qu’il ne fallait jamais que Philippe l’apprenne ! Il ne l’apprit pas enfin pas tout de suite…. Je vous raconterais peut-être ce passage une autre fois !
Bisous à tous !
Nathalie.